Hongrie : Un nouveau lieu de pureté pour la communauté juive de Budapest: Le Mikvé inauguré en grande pompe

Hongrie : Un nouveau lieu de pureté pour la communauté juive de Budapest: Le Mikvé inauguré en grande pompe

Un nouveau Mikvé, investi et somptueux, a été inauguré à Budapest, la capitale de la Hongrie européenne, à quelques centaines de mètres du Parlement gouvernemental • Il s’agit du deuxième Mikvé à Budapest et à proximité se trouve une grande communauté juive avec des milliers de familles juives.

Un nouveau Mikvé, investi et somptueux, a été inauguré à Budapest, la capitale de la Hongrie européenne, à quelques centaines de mètres du Parlement gouvernemental.

 

Il y a de nombreuses années, lorsque les premiers émissaires – Rav Baruch et Bathsheba Oberlander – sont arrivés en Hongrie en tant qu’émissaires du Rav et pour ouvrir un Beth Habad, le Rabbi a posé une condition à leur installation: « Seulement s’il y a un Mikvé Cacher à Budapest! ».

Les participants à la cérémonie festive comprenaient: l’émissaire principal dans le pays et le chef de la communauté juive de Budapest – Rav Baruch Oberlander, Rav Avraham Yehoshua Waldman, fondateur de l’association Mikvé Tahara, Rav Shmuel Glitzenstein du centre Zsilip et des émissaires Habad de la ville, Rav Shlomo Koves des émissaires du Rabbi en Hongrie et le Grand Rav de l’Union des communautés orthodoxes locales (EMIH), ainsi que les Rabanit Bathsheba Oberlander et Shoshi Glitzenstein.

 

 

Le Mikvé a été construit avec l’aide des membres de la communauté locale et de l’association Mikvé Tahara.

C’est le deuxième Mikvé seulement à Budapest. À proximité se trouve une grande communauté juive avec des milliers de familles juives résidant autour du centre Zsilip, l’un des quartiers juifs les plus importants en Hongrie.

 

 

La ville de Budapest

Budapest est la plus grande ville et la capitale de la Hongrie, située le long du Danube. Elle a été créée en 1873 par la fusion de Buda, Pest et Óbuda.

 

La ville a une riche histoire, remontant à l’époque celte et romaine, et est devenue un centre de la culture humaniste de la Renaissance au XVe siècle.

Budapest a joué un rôle central dans de nombreux événements historiques, tels que la révolution hongroise de 1848 et l’insurrection de 1956.

Considérée comme l’une des plus belles villes d’Europe, elle attire plus de 4,3 millions de visiteurs par an. En tant que principal centre politique, culturel, commercial et industriel de la Hongrie, Budapest abrite le Parlement hongrois, les bâtiments ministériels, les ambassades et les sièges sociaux des entreprises.

Elle est également la deuxième ville la plus peuplée d’Europe centrale et une plaque tournante économique importante dans la région.

Selon les données du Congrès juif mondial, la population juive en Hongrie se situe actuellement entre 75 000 et 100 000 personnes. Cependant, une estimation différente est avancée par l’éminent démographe juif Sergio Della Pergola, qui, dans l’une de ses publications, estime qu’il y a plutôt un « noyau » de 47 400 Juifs en Hongrie. Cette différence de chiffres peut s’expliquer par les différentes méthodes de calcul et les critères utilisés pour déterminer l’appartenance à la communauté juive.

En outre, de nombreux rabbins hongrois estiment qu’il y a en réalité un peu plus de 100 000 Juifs parmi leurs fidèles. Cette estimation pourrait prendre en compte les Juifs moins pratiquants ou ceux qui ne sont pas officiellement affiliés à une synagogue ou à une organisation juive, mais qui s’identifient néanmoins comme faisant partie de la communauté juive. Il est également possible que certains Juifs hongrois n’aient pas connaissance de leurs origines juives en raison de l’assimilation ou des événements historiques, tels que l’Holocauste, qui ont profondément affecté la population juive du pays.

Habad en Hongrie

« Keren Or » est le nom d’un centre Habad et communautaire israélien en Hongrie, qui a commencé à opérer en 2004  sous le nom de « Keren Or » dans l’obscurité de la Hongrie, fondé par le couple Rav Shmuel et Devorah Raskin.

Le Rav Shmuel Raskin est arrivé à Budapest en 1999 en tant que jeune homme venu étudier à la Yeshiva Habad de Budapest. Voyant le grand nombre d’Israéliens vivant en Hongrie, dont environ mille étudiants israéliens en médecine qui ont établi leur résidence ici pendant leurs années d’études, de nombreux hommes d’affaires et leurs familles vivant en Hongrie pour gagner leur vie, et des milliers de touristes juifs visitant la Hongrie chaque année, le Rav Raskin a décidé de commencer à organiser la communauté israélienne à Budapest. Après le mariage du Rav Raskin, le Rav Oberlander a demandé au couple Shmuel et Devorah Raskin de s’installer à Budapest et de poursuivre l’activité florissante et diversifiée que le Rav Raskin avait commencé en tant qu’étudiant de la yeshiva.

L’activité de Habad en Hongrie a commencé environ une décennie plus tôt, avec l’arrivée du Rav Baruch Oberlander, le Rav de la communauté Habad de Hongrie, envoyé par le Rabbi pour établir des institutions d’étude de la Torah pour la communauté juive en Hongrie. Une communauté qui, seulement quelques décennies auparavant, pendant la Seconde Guerre mondiale, avait presque complètement perdu son héritage de la Torah. Depuis lors, le Rav Baruch Oberlander travaille inlassablement jour et nuit pour établir des institutions d’étude de la Torah pour les Juifs de Hongrie, qui sont au nombre d’environ cent mille. Parmi les institutions communautaires figurent aujourd’hui : une garderie, une école, une yeshiva, une synagogue, un tribunal Ravique, une maison d’édition en hongrois, un journal hebdomadaire et une université ouverte pour les études juives.

Pendant plusieurs années, l’activité pour les membres de la communauté israélienne s’est déroulée dans différents locaux loués, sans résidence fixe. En raison de l’expansion de la communauté et de l’activité diversifiée, le Rav Shmuel Raskin a vu la nécessité vitale d’établir une « Maison Habad » spéciale qui répondrait aux besoins de la communauté.

Dès le début, le Beth Habad a été appelée « Keren-Or », en l’honneur de la jeune fille Keren-Or Priel, qui a été gravement blessée dans un accident de la route et qui, par la grâce de Dieu, s’en est sortie saine et sauve. Ses parents, M. Yossi et Mme Edna Priel de Budapest, qui ont voulu remercier le Créateur, ont décidé de contribuer à la construction du Beth Habad « Keren-Or » en l’honneur de leur fille. Le Beth Habad « Keren-Or » est devenue un centre pour la communauté israélienne et juive locale, et un point de repère pour les Juifs visitant la Hongrie.

Les activités de Habad en Hongrie

L’activité de le Beth Habad ‘Keren-Or’ est variée : elle commence par des cours de Torah de haut niveau, des cours de Guemara, de Hassidout et de la Paracha de la semaine, qui ont lieu à la synagogue et au centre communautaire où ils attirent des dizaines de participants, et se termine par des cours privés et des études en partenariat avec des hommes d’affaires.

Pour les étudiants, une université ouverte pour l’étude du judaïsme a été créée, où sont enseignés des sujets proches de leur cœur, comme l’éthique médicale dans la Halakha, la philosophie juive, la Kabbale et bien d’autres. Des bourses spéciales sont également attribuées aux étudiants.

Pour les femmes de la communauté et les étudiantes qui résident en Hongrie, Mme Devorah Raskin a organisé des cours de très haut niveau, comprenant des conférences sur la place de la femme dans le judaïsme, des ateliers créatifs pour élargir la conscience de soi et bien d’autres.

Chaque Chabbat, des centaines de personnes participent aux prières dans la magnifique synagogue et au Kiddouch et au repas du Chabbat qui ont lieu dans la salle des événements de le Beth Habad par la suite. Ces repas sont devenus célèbres grâce à l’ambiance particulière et aux merveilleuses chants des zemirot du Chabbat qui émanent de la salle, faisant se sentir les participants comme une famille chaleureuse. Les nombreux étudiants qui viennent chaque Chabbat à le Beth Habad se sentent également comme s’ils étaient dans leur deuxième maison, un endroit chaleureux rempli d’amour.

Dans une formule similaire d’études juives pour les étudiants et de repas du Chabbat, le Rav Raskin a créé une autre Maison Chabad pour les Israéliens dans la ville de Debrecen, située à environ 300 km de Budapest, la capitale, où se trouve une autre université pour les études de médecine et où étudient encore environ 400 étudiants israéliens. Cette réalité oblige le Beth Habad à maintenir une activité juive régulière là-bas, et les émissaires permanents, le Rav Shmouel Feigin et son épouse Rivka, y ont été envoyés.

Récemment, des activités similaires ont également lieu dans la ville de Szeged, où sont envoyés les étudiants de la grande Yechiva de Chabad à Budapest chaque week-end.

Des dizaines d’autres événements sont organisés par le Beth Habad dans la salle des événements : circoncisions d’enfants de la communauté – effectuées par le Mohel Rabbi Shlomo Kovesh, célébrations de coupe de cheveux, Bar Mitsvah et bien d’autres. Et bien sûr, pour une Bar Mitsvah, il faut non seulement une salle, mais aussi une préparation massive, effectuée par le Rav Raskin, qui a déjà préparé des dizaines de garçons pour leur Bar Mitsvah, certains célébrant la cérémonie à le Beth Habad « Keren-Or » à Budapest, et d’autres en Israël avec la participation du Rav et des membres de la communauté de Hongrie.

Un centre de bienfaisance spécial a été créé pour les nécessiteux, un centre qui prend soin de nourrir et de soutenir des dizaines de familles dont les enfants fréquentent les écoles juives, en envoyant régulièrement des paniers de nourriture à leur domicile. Les émissaires Chabad rendent également visite aux prisonniers juifs et s’efforcent de les encourager.

Bien que le travail soit considérable tout au long de l’année, l’activité redouble pendant les fêtes et les jours solennels d’Israël. À chaque fête, des fêtes sont organisées pour les enfants, les étudiants et les hommes d’affaires, avec pour objectif de rapprocher les cœurs et d’apporter de la lumière dans leur vie. Cela, en plus de l’accomplissement des commandements du jour.

Les prières de Rosh Hachanah et Yom Kippour sont organisées dans une immense salle d’hôtel louée spécialement pour accueillir tous les participants. L’année dernière, la prière a été organisée avec la participation de près de 400 personnes.

Pour la fête de Souccot, une immense souccah (128 m²) a été construite, où plus de 100 personnes se sont assises à chaque repas de fête.

Lors du dernier Seder de Pessa’h, plusieurs salles ont été louées, toutes remplies à ras bord, avec plus de 1 000 personnes…

Le point culminant est la fête de Hanoukka; le Beth Habad « Keren-Or » illumine la lumière de Hanoukka dans toute Budapest. L’allumage central a lieu chaque soir sur la célèbre place Nyugati, au cœur de la ville, en présence du maire et des ministres du gouvernement. Des centaines de personnes dansent et chantent fièrement « Am Israël Haï » (Le peuple d’Israël vit). En outre, un cortège de voitures avec des menorahs lumineuses sur leurs toits parcourt toute la ville, précédé d’un grand camion portant une grande et impressionnante menorah. Sept autres menorahs géantes ont été placées dans des endroits centraux et fréquentés de Budapest, tout cela pour diffuser le miracle de Hanoukka et apporter la « lumière » de la fête aux cœurs de nos frères et sœurs israélites.

La fête de Lag Baomer est organisé par le Beth en pleine nature avec des plats cuisinés « sur le feu » et de la musique juive est devenu une tradition, où tous les membres de la communauté, étudiants et hommes d’affaires, viennent participer activement.

Le Beth Habad maintient un contact constant avec tous ceux qui franchissent ses portes ; il organise des week-ends et des fins de semaine dans un hôtel de la ville pittoresque de Ráckeve, située sur les rives du Danube, avec des repas de Shabbat, des conférences sur le judaïsme et des activités spéciales et variées pour les enfants et leurs parents, afin de renforcer et d’unifier la communauté.

Le Centre communautaire israélien – Beth Habad Keren-Or maintient également un contact constant avec les étudiants, y compris ceux qui ont terminé leurs études en Hongrie et sont devenus médecins en Israël. Il est devenu une sorte de tradition d’organiser des réunions émouvantes en Israël pour ces étudiants devenus médecins. Car cette « lumière » (Keren-Or), une fois qu’elle a pénétré le cœur d’une personne, ne cesse de briller.

 

Habad Budapest 1052, Karoly Krt 20
Tél : 3612660308  –  36303601315
Hassidout pour les enfants – Emor # 3 : «Vous pouvez commencer à changer notre monde pour le meilleur !»

Hassidout pour les enfants – Emor # 3 : «Vous pouvez commencer à changer notre monde pour le meilleur !»

Rubrique réalisée par Réouven Bennaïm
Tsivot Moshiah, le Beth Habad des enfants de Perpignan

Léilouy Nishmat Rav MORDE’HAÏ (Mottel) a’h PEVZNER
Chalia’h du Rabbi à Perpignan pendant 17 ans

 

РУССКИЙ 🇷🇺

Вы можете начать менять наш мир к лучшему уже сегодня, и, неважно, насколько малы ваши действия. Бейт Хабад Детей Перпиньяна

Краткое содержание главы « Эмор » Ваикра (Левиты) 21:1-24:23

В начале главы « Эмор » излагаются законы, касающиеся коэнов (священников), Коэн-Гадоля (Первосвященника) и храмовой службы. Коэн должен избегать ритуальной нечистоты от контакта с мертвым телом, за исключением случая кончины кого-то из ближайших родственников. Коэн не может жениться на разведенной или на женщине с нечистым прошлым; Коэн-Гадоль может жениться только на девственнице. Коэн с физическим изъяном не может служить в Храме. Увечное животное не может быть принесено в жертву.

Новорожденный теленок, ягненок или козленок должен оставаться с матерью как минимум семь дней, прежде чем его можно приносить в жертву. Запрещено приносить в жертву животное и его детеныша в один и тот же день.

Во второй части главы перечисляются Дни Священного Собрания – праздники еврейского календаря: еженедельный Шаббат; день принесения пасхальной жертвы – 14-е Нисана; семидневный праздник Песах, начинающийся 15-го Нисана; приношение Омера – меры ячменя нового урожая – на второй день Песаха и начинающийся с этого отсчет 49-ти дней, завершающийся на 50-й день праздником Шавуот; день « памяти трубления в шофар 1-го Тишрея; день поста 10-го Тишрея; семидневный праздник Суккот, начинающийся 15-го Тишрея, в течение которого предписывается жить в « шалашах » и каждый день брать вместе « четыре вида растений »; наступающий на 8-й день после начала Суккот праздник Шмини-Ацерет.

Затем говорится о зажигании храмовой Меноры и о « личном » хлебе, каждую неделю раскладываемом на золотом столе в Святилище.

В заключение главы рассказывается об инциденте с наказанием человека за богохульство, а также о законах наказания за убийство, причинение увечья и нанесения ущерба имуществу.

 

« Vous pouvez commencer à changer notre monde, chaque jour, pour le MEILLEUR, même avec une petite action ! »

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Le Houmach


Salut petit lecteur !

Aujourd’hui, nous allons te parler d’une partie de la Torah qui s’appelle la Paracha Tsav.

Cette partie nous raconte comment le Temple était tenu propre et comment les prêtres accomplissaient leur travail.

Les prêtres étaient appelés les Cohanim et ils étaient les descendants de la famille de prêtres. Même si nous ne sommes pas tous des descendants de prêtres, la Torah nous dit que nous sommes tous considérés comme des prêtres. C’est parce que nous sommes tous une « nation de prêtres ».

Il y avait beaucoup de tâches à accomplir dans le Temple pour le maintenir propre. L’une d’entre elles était de retirer les cendres de l’autel. Le prêtre enlevait une petite quantité de cendres de l’autel et les déposait à l’est de la rampe. Ensuite, il changeait de vêtements et portait des vêtements moins élégants pour transporter le reste des cendres à l’extérieur du Temple.

Ce changement de vêtements semble étrange, car les prêtres accomplissaient déjà beaucoup de tâches qui les salissaient. Alors, pourquoi est-ce qu’ils devaient se changer pour transporter les cendres à l’extérieur ?

C’est là que Rachi nous aide en nous donnant une illustration. Il dit que c’est comme un serviteur qui ne porterait pas les mêmes vêtements pour cuisiner un repas pour son maître ou pour servir du vin.

Quand un serviteur est en présence de son maître, on attend de lui une présentation et une formalité différentes. De la même façon, la Torah veut faire la distinction entre les services accomplis à l’intérieur du Temple, où la présence divine est manifeste, et les services accomplis à l’extérieur, où la présence divine n’est pas manifeste.

Le fait que le même prêtre accomplisse les deux tâches nous montre l’importance de toutes les tâches que nous accomplissons. Parfois, certaines tâches semblent plus importantes et plus valorisantes, et d’autres semblent moins importantes et moins valorisantes.

Mais en réalité, toutes les tâches sont importantes. Le véritable serviteur de D.ieu peut accomplir les deux avec la même ferveur car il comprend que les deux sont importants dans l’accomplissement de la volonté divine.

Il en va de même dans nos relations avec les autres personnes. Parfois, nous apprécions plus la compagnie de certaines personnes et nous nous sentons plus à l’aise avec elles. Et parfois, nous ne sommes pas aussi à l’aise avec d’autres personnes et nous les considérons comme ennuyeuses ou peu importantes.

Mais en réalité, nous devons être prêts à nous « abaisser » pour les autres et à nouer des relations de réciprocité avec eux. C’est comme ça que D.ieu se penchera sur nos besoins et nous conduira vers la Rédemption finale.

Voilà, petit lecteur ! J’espère que tu as compris l’importance de toutes les tâches que nous accomplissons et de toutes les personnes avec lesquelles nous avons des relations.

Même si certaines tâches ou certaines personnes peuvent sembler moins importantes, nous devons les considérer toutes comme égales et importantes.


Le Tanya du jour


Les Mitsvot sont des choses très importantes que D.ieu veut que nous fassions. Il y en a certaines qui nous disent de faire quelque chose de bien et d’autres qui nous disent de ne pas faire de mal. Par exemple, une Mitsva négative nous dit de ne pas être méchant avec les veuves et les orphelins. Au contraire, nous devons être gentils avec eux et prendre soin d’eux. Une autre Mitsva négative nous dit de ne pas parler mal des autres. Et une autre encore nous dit de ne pas nous venger si quelqu’un nous fait du mal.

Lorsque nous faisons une Mitsva, c’est comme si nous nous marions avec D.ieu. Nous devenons très proches de Lui et nous nous élevons à un rang très saint. C’est pourquoi les Sages nous disent de nous lever lorsque nous voyons quelqu’un qui accomplit une Mitsva. Même si cette personne n’est pas très intelligente, nous devons la respecter car à ce moment-là, D.ieu réside en elle.

Malheureusement, notre corps peut parfois nous empêcher de voir la sainteté qui se trouve en nous lorsque nous faisons une Mitsva. C’est comme un rideau qui cache la vue. Mais si nous continuons à faire de bonnes choses, ce rideau finira par disparaître et nous pourrons voir la beauté de la sainteté. Les Patriarches ont même pu voir ce monde futur alors qu’ils étaient encore sur Terre, parce que leur corps était très pur et ne leur cachait pas la vue

 


Le Sefer HaMitsvot du 11 Iyar


Mitsvanégative n°256 : Soyons gentils avec les veuves et les orphelins
Dans la Torah, il est écrit que nous ne devons jamais être méchants envers les veuves et les orphelins. Nous devons être toujours aimables et gentils avec eux, les traiter avec bonté et les faire sentir importants. Si nous ne suivons pas cette règle, nous serons punis.

Mitsvanégative n°301 :Ne disons pas de méchancetés
Dans la Torah, il est écrit que nous ne devons pas parler de méchancetés sur les autres. Nous devons être aimables avec tout le monde, sans faire de différence. Cela signifie également que nous ne devons pas diffamer les autres.

Mitsvanégative n°304 : Ne nous vengions pas D
ans la Torah, il est écrit que nous ne devons pas nous venger des autres, même s’ils nous ont fait du mal. Nous devons être plus forts que cela et ne pas agir de la même manière qu’eux.

Mitsva négative  n°305 : Ne gardons pas de rancune
Dans la Torah, il est écrit que nous ne devons pas garder de la rancune envers les autres, même si nous ne nous vengeons pas. Nous devons oublier les méchancetés et être toujours aimables envers tout le monde.

 

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LES DOUZE PSOUKIM (à apprendre par coeur)


1 – Torah TORAH TSIVA LANOU MOCHÉMORACHA KÉHILAT YAAKOV.

תּוֹרָה צִוָּה לָנוּ מֹשֶׁה מוֹרָשָׁה קְהִלַּת יַעֲקֹב

“La Torah que Moïse nous a ordonnée est l’héritage de la Communauté de Jacob” (Deut. 33:4)

C’est Moïse, le fidèle serviteur de D.ieu qui nous a transmis la Torah. Et chaque Juif, garçon ou fille, la reçoit pour lui-même. Qu’il l’ait étudiée durant des années ou qu’il n’en connaisse qu’un tout petit peu, Elle lui appartient, pour l’apprendre et la mettre en pratique. C’est le plus beau cadeau que D.ieu pouvait nous faire.


2 – Chéma Israël CHEMA Israël ADO-NAY ELO-HÉNOU ADO-NAY É’HAD..

שְׁמַע יִשְׂרָאֵל ה’ אֱ־לֹהֵינוּ ה’ אֶחָד

Ecoute Israël, l’Eternel est notre D.ieu, l’Eternel est Un.

C’est Moïse, le fidèle serviteur de D.ieu qui nous a transmis la Torah. Et chaque Juif, garçon ou fille, la reçoit pour lui-même. Qu’il l’ait étudiée durant des années ou qu’il n’en connaisse qu’un tout petit peu, Elle lui appartient, pour l’appr-endre et la mettre en pratique. C’est le plus beau cadeau que D.ieu pouvait nous faire.


3 – Bé’hol Dor Vador BÉ’HOL DOR VADOR ‘HAYAV ADAM LIROT ETE ATSMO KE-ILOU HOU YATSA MIMITSRAYIM

בְּכָל דּוֹר וָדוֹר חַיָּב אָדָם לִרְאוֹת אֶת עַצְמוֹ כְּאִלּוּ הוּא יָצָא מִמִּצְרַיִם

“Dans chaque génération, il faut se considérer comme sorti soi-même d’Egypte.

Il y a quelques 3500 ans, Hachem nous a fait sortir d’Egypte. Il nous a fait passer de l’esclavage à la liberté. Et, si Hachem ne l’avait pas fait, nous serions encore des esclaves aujourd’hui. Aussi, chaque jour, nous remercions D.ieu de nous avoir libérés. Et, dans notre cœur, nous promettons d’utiliser notre liberté du mieux possible, comme les serviteurs choisis du Roi des rois.


4 – Kol Israël KOL ISRAEL YECH LAHEM ‘HÉLEK LÉOLAM HABA CHÉNÉÉMAR VÉAMÈ’H KOULAM TSADIKIM LÉOLAM YIRCHOU ARETS NÉTSER MATAAÏ MAASSÉ YADAÏ LEHITPAERE.

בכָּל יִשְׂרָאֵל יֵשׁ לָהֶם חֵלֶק לְעוֹלָם הַבָּא, שֶׁנֶּאֱמַר: וְעַמֵּךְ כֻּלָּם צַדִּיקִים לְעוֹלָם יִירְשׁוּ אָרֶץ, נֵצֶר מַטָּעַי מַעֲשֵׂה יָדַי לְהִתְפָּאֵר

Tous les Juifs ont une part dans le monde futur, comme il est dit : « Dans Ton peuple, il n’y a que des Justes. Ils hériteront de la terre pour toujours. Ils sont le produit de Mes plantations, l’œuvre de Mes mains. Et, J’en suis fier. «

D.ieu est particulièrement fier de chaque Juif. Il nous a créés et Il prend soin de nous comme un jardinier prend soin d’une jeune plante. Et, comme nous grandissons, en étudiant Sa Torah, en faisant Ses Mitsvot extraordinaires, alors D.ieu nous prépare une place dans le Monde Futur, à côté d’Avraham, d’Its’hak, de Yaakov, de Moché, du roi David et de tous les grands hommes de notre histoire.


5 – Ki Karov KI KAROV ÉLÉ’HA HADAVAR MÉOD BÉFI’HA OUVILVAV’HA LAASSOTO.

כִּי קָרוֹב אֵלֶיךָ הַדָּבָר מְאֹד בְּפִיךָ וּבִלְבָבְךָ לַעֲשׂוֹתוֹ

Obéir à la Torah en paroles, en pensée et en action, tout cela est à ta portée.

Tu sais, la Torah n’est pas dans le ciel. Elle est ici, sur terre, toute proche, facile à étudier et à pratiquer. Elle est à ta portée, aussi proche que la synagogue du coin de la rue, aussi proche que le livre que je tiens dans la main ou la phrase de Torah que je connais par cœur, ou encore que le bonheur que je ressens au fond de moi. En fait, la Torah, c’est tout ce que je veux vraiment. C’est comme cela que Hachem m’a fait.


6 – Véhiné Hachem VÉHINÉ Hachem NITSAV ALAV OUMELO KOL HAARETS KEVODO OUMAVIT ALAV OUVO’HEN KÉLAYOT VALEV IM OVDO KARAOUÏ.

וְהִנֵּה ה’ נִצָּב עָלָיו וּמְלֹא כָּל הָאָרֶץ כְּבוֹדוֹ וּמַבִּיט עָלָיו וּבוֹחֵן כְּלָיוֹת וָלֵב, אִם עוֹבְדוֹ כָּרָאוּי

D.ieu se tient au-dessus de lui, et toute la terre est pleine de Sa gloire. Il regarde au fond de son esprit et de son cœur pour voir s’il Le sert comme il convient.

Imagine que tu sois dans le palais d’un roi. Autour de toi, tout est magnifique : les pièces, les murs, les meubles. Des princes et des gouverneurs, habillés d’or et d’argent, se tiennent debout avec respect, attendant d’obéir à l’ordre du roi ou simplement de le voir. Imagine que tu passes au milieu d’eux et, tout à coup, tu te trouves devant le roi. Personne ne dit un mot. Comme tu approches, il te regarde avec un grand intérêt. Imagine l’effet que cela ferait ! Eh bien, c’est exactement ainsi que nous nous tenons à tout instant devant Hachem, le Roi du monde entier.


7 – Béréchit BERECHIT BARA ELO-HIM ETE HACHAMAYIM VEETE HAARETS.

בְּרֵאשִׁית בָּרָא אֱ-לֹהִים אֵת הַשָּׁמַיִם וְאֵת הָאָרֶץ

Au commencement, D.ieu créa le ciel et la terre.

D.ieu a créé tout l’univers : les cieux et tout ce qui s’y trouve, la terre et tout ce qui y vit. C’est la toute première chose que la Torah nous dit. Aussi, si jamais nous avons peur du noir, de la tempête, du froid, des gens et si rien ne semble aller comme cela devrait, la Torah nous dit de ne pas en être effrayé. Hachem a créé l’univers et Il en prend soin. Et, Il nous a donné la Torah pour faire que les choses soient comme elles doivent être. La Torah nous dit ce que nous devons faire et comment nous pouvons rendre, la terre meilleure et plus sainte. Et quand D.ieu voit que nous nous conduisons bien, alors Il nous donne la réussite et Sa bénédiction.


8 – Véchinanetam Lévané’ha VÉCHINANETAM LÉVANÉ’HA VÉDIBARTA BAM BÉCHIVTÉ’HA BÉVÉTÉ’HA OUVLE’HTÉ’HA VADÉRÈH OUVCHO’HVÉ’HA OUVKOUMÉ’HA.

וְשִׁנַּנְתָּם לְבָנֶיךָ וְדִבַּרְתָּ בָּם בְּשִׁבְתְּךָ בְּבֵיתֶךָ וּבְלֶכְתְּךָ בַדֶּרֶךְ וּבְשָׁכְבְּךָ וּבְקוּמֶךָ

Et tu enseigneras la Torah à tes enfants, et tu en parleras chez toi et en voyage, avant de te coucher et quand tu te lèveras.

La Torah s’adresse à nos parents. Elle leur dit : « Papa, maman, enseignez-moi à vos enfants. Je veux qu’ils connaissent mes saints mots ». Nous aussi, il faut que nous disions à nos parents : « Papa, maman, faites la meilleure chose que vous puissiez faire pour moi: apprenez-moi la Torah. Apprenez-moi les phrases de la Torah avec soin jusqu’à ce que je m’en souvienne toujours, à la maison ou sur le chemin, en allant dormir ou en me levant ». Si nous le demandons du fond du cœur, de la manière que l’on utilise pour demander les choses que l’on veut vraiment, nos parents nous écouteront. Ils nous enverront dans une colonie de vacances dirigée selon la Torah et dans une école où nous apprendrons la Torah, les Mitsvot et tout le Judaïsme.


9 – Yagati Oumatsati YAGATI VÉLO MATSATI AL TAAMINE. LO YAGATI OUMATSATI AL TAAMINE. YAGATI OUMATSATI TAAMINE.

ויָגַעְתִּי וְלֹא מָצָאתִי – אַל תַּאֲמִין, לֹא יָגַעְתִּי וּמָצָאתִי – אַל תַּאֲמִין, יָגַעְתִּי וּמָצָאתִי – תַּאֲמִין

Si l’on te dit: « j’ai travaillé dur, mais je n’ai pas réussi », ne le crois pas. Si l’on te dit: « je n’ai pas travaillé dur, mais j’ai réussi », ne le crois pas. Si l’on te dit : « j’ai travaillé dur et j’ai réussi », tu peux le croire.

S’il arrive qu’un jour on n’agisse pas exactement comme il faudrait et que l’on ne se sente pas assez fort pour continuer d’étudier la Torah et de pratiquer les Mitsvot, alors il faudra se souvenir de la promesse de Hachem : Si nous essayons encore et encore plus, le mieux possible, alors finalement nous réussirons. Et ce que nous obtiendrons à ce moment-là dépassera tout ce que nous avions imaginé.


1 0 – Véahavta VÉAHAVTA LÉRÉA’HA KAMO’HA. RABBI AKIVA OMER: ZÉ KLAL GADOL BATORAH.

וְאָהַבְתָּ לְרֵעֲךָ כָּמוֹךָ – רַבִּי עֲקִיבָא אוֹמֵר, זֶה כְּלָל גָּדוֹל בַּתּוֹרָה

Rabbi Akiva dit que « tu aimeras ton prochain comme toi-même » est un principe de base de la Torah.

Quand nous travaillons dur pour nous améliorer, il ne faut pas oublier nos amis et nos voisins. Comme l’a dit Rabbi Akiva, il faut aimer son prochain exactement comme on s’aime soi-même. C’est le plus important de tout ce que nous apprenons. Aussi, si nous avons la chance d’étudier la Torah, nous devons travailler dur pour aider nos amis juifs à la pratiquer eux aussi.


11 – Vézé Kol Haadam VÉZÉH KOL HAADAM VÉTA’HLIT BRIATO OUVRIAT KOL HAOLAMOT ÉLYONIM VETA’HTONIM LIHYOT LO ITBARE’H DIRA BETA’HTONIME.

וְזֶה כָּל הָאָדָם וְתַכְלִית בְּרִיאָתוֹ וּבְרִיאַת כָּל הָעוֹלָמוֹת, עֶלְיוֹנִים וְתַחְתּוֹנִים, לִהְיוֹת לוֹ יִתְבָּרֵךְ דִּירָה בְּתַחְתּוֹנִים

Rabbi Akiva dit que « tu aimeras ton prochain comme toi-même » est un principe de base de la Torah.

Pourquoi D.ieu a-t-il créé chacun d’entre nous et l’univers tout entier ? Pour qu’en respectant la Torah et les Mitsvot, nous puissions faire de nous-mêmes, de nos maisons et du monde qui nous entoure un endroit où D.ieu puisse résider, un endroit où Il vivra exactement comme nous vivons dans nos maisons


12 – Yisma’h Israël YISMA’H ISRAEL BÉOSSAV PÉROUCH CHÉKOL MI CHÉHOU MIZÉRA ISRAEL YECH LO LISMOA’H BESIM’HAT Hachem ACHER SAS VÉSAMEA’H BÉDIRATO BÉTA’HTONIM.

יִשְׂמַח יִשְׂרָאֵל בְּעוֹשָׂיו, פֵּרוּשׁ שֶׁכָּל מִי שֶׁהוּא מִזֶּרַע יִשְׂרָאֵל יֵשׁ לוֹ לִשְׂמֹחַ בְּשִׂמְחַת ה’, אֲשֶׁר שָׂשׂ וְשָׂמֵחַ בְּדִירָתוֹ בְּתַחְתּוֹנִים

« Les Juifs doivent se réjouir de leur Créateur ». Cela signifie que chaque Juif doit partager la joie de D.ieu, qui est heureux de Sa demeure dans ce monde.

Chaque Juif, quoi qu’il ait étudié jusqu’à présent, où qu’il ait vécu jusqu’ici, reste toujours un membre de notre peuple. Et il doit être heureux et fier que Hachem lui ait donné la plus grande mission du Monde : faire une Maison où D.ieu puisse habiter.



Participez à des tournages de courts métrages sur le Machia’h selon les directives du Rabbi 

Le BETH HABAD DES ENFANTS DE PERPIGNAN, dans le cadre de ses activités pour les enfants de TSIVOT MOSHIA’H recherche des acteurs et actrices de 7 a 15 ans pour participer à des tournages de courts métrages sur le Moshiah selon les directives du Rabbi de Loubavitch.
Enfants sans expérience
Pour la France 🇨🇵 contacter
[email protected]
Tel : 0770 39 73 34




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Le stand de Téfilines Habad : un point de convergence spirituelle au Kotel

Le stand de Téfilines Habad : un point de convergence spirituelle au Kotel

Les jours du souvenir et d’indépendance en Israël sont des moments importants pour les citoyens de ce pays. Cette année, des milliers de jeunes, en grande partie du projet « Marche des vivants », des soldats de l’armée israélienne, de jeunes et d’adultes visiteurs et également des touristes se sont rendus au Mur Occidental.

La Marche des Vivants est une marche organisée dans le cadre d’un voyage de jeunesse en Pologne, en Israël et dans la diaspora, qui a lieu chaque année lors de la Journée du Souvenir de l’Holocauste et de l’héroïsme, dans la ville d’Auschwitz en Pologne. Les participants à la marche suivent un itinéraire qui va du camp d’extermination d’Auschwitz I, situé dans la ville, au site du camp de Birkenau (Auschwitz II), situé à proximité. Ces dernières années, environ dix mille personnes participent à la marche chaque année.

Le Mur Occidental, également connu sous le nom de Kotel, est l’un des lieux les plus sacrés pour les Juifs. C’est pourquoi il n’est pas surprenant de voir des milliers de personnes se rassembler pour prier et les Téfilines à cet endroit.

Le stand de Téfilines Habad près du Mur Occidental était le centre d’attraction ce week-end. Les Chlou’him, le Rav Shmuel Wais et le Rav Shlomo Gatnov, dirigés par l’envoyé principal le Rav Yossi Halperin, ont accueilli avec gentillesse et bonne humeur les nombreux visiteurs.

Les jours de souvenir et d’indépendance sont des moments importants pour les citoyens d’Israël. Ils se souviennent des soldats tombés sur les champs de batailles et des victimes du terrorisme, tout en célébrant leur indépendance et leur liberté. Les gens se rassemblent pour prier et partager leur amour et leur solidarité avec leur pays et leur peuple.

Nous vous présentons un reportage photos de cette journée mémorable montrant la solennité et la communion des juifs accomplissant avec joie la Mitsva des Téfilines alors qu’ils se souviennent des soldats tombés sur les champs de bataille et des victimes du terrorisme.

 

A partir du 11 mai 2023, les États-Unis abandonnent leur exigence de présentation d’un certificat de vaccination

A partir du 11 mai 2023, les États-Unis abandonnent leur exigence de présentation d’un certificat de vaccination

Un peu plus de trois ans après l’éclatement de la pandémie de coronavirus dans le monde entier, les États-Unis ont annoncé aujourd’hui qu’ils abandonnent leur exigence que tout voyageur souhaitant entrer sur leur territoire présente un certificat de vaccination avec deux vaccins contre le coronavirus.

Selon l’annonce des États-Unis, à partir du jeudi 11 mai, les voyageurs pourront entrer dans le pays sans restrictions.

Depuis que les pays du monde entier ont adopté une stratégie post-pandémie, les États-Unis étaient le dernier pays à exiger une preuve de vaccination contre le coronavirus pour les voyageurs entrant sur leur territoire, mais comme indiqué, ils abandonneront cette exigence la semaine prochaine.

Même les ultra-orthodoxes qui souhaitaient voyager ces deux dernières années et demie pour se rendre dans les sanctuaires sacrés et prier dans la tente du rabbin devaient présenter un certificat de vaccination.

À l’heure actuelle, il reste encore des pays isolés qui continuent de restreindre l’entrée en relation avec les politiques de coronavirus, parmi lesquels: le Japon, la Chine, les Philippines et d’autres cas similaires par rapport aux États-Unis.

Guemara – Talmud Sota 26a et 26b – Rachi, Hala’ha et Hassidout

Guemara – Talmud Sota 26a et 26b – Rachi, Hala’ha et Hassidout

Hayom Yom du 11 Iyar :  On adopte, dans le Sidour, les lectures suivantes…

Hayom Yom du 11 Iyar : On adopte, dans le Sidour, les lectures suivantes…

 אומרים בתפלה:

וכן – בצירי ולא בפתח – שני כתובים.

חייתני – בקמץ ולא בפתח – מירדי בור.

זכר – זיין בסגול ולא בצירי – רב טובך.

משליך קרחו – בפתח ולא בקמץ – כפתים.

ומלכותו ואמונתו לעד קיימת.

On adopte, dans le Sidour, les lectures suivantes:
. « Ve’hen (et non Ve’han) Chneï Ketouvim » (p.26).
. « ‘Haytani Miyardi Bor » – ‘Haytani s’écrit avec un Kamatz et non avec un Pata’h (p.30).
. « Ze’her Rav Touve’ha » – Le Zaïn s’écrit avec un Segol et non avec un Tsereï (p.33).
. « Machli’h Kar’ho Kefitim » – Kar’ho s’écrit avec un Pata’h et non avec un Kamatz.
. « Oumal’houto Veemounato Laad Kayemet » (p.48).