27 Adar : « Peut-on répondre aux attentes du Rabbi ? » Par Shabi Soffer

27 Adar : « Peut-on répondre aux attentes du Rabbi ? » Par Shabi Soffer

À la veille du 31ème Haf Zayin Adar et un mois avant Haf Het Nissan, la question demeure : qu’attend-on réellement de nous ?

 

[Il est incompréhensible que lorsque dix (et bien souvent dix fois dix) Juifs se rassemblent à un moment propice à la Rédemption, ils ne soulèvent pas un tumulte suffisamment grand pour que le Machia’h vienne immédiatement.]

Ils sont, à D.ieu ne plaise, capables d’accepter la possibilité que le Machia’h n’arrive pas ce soir, et même qu’il n’arrive pas demain, ou après-demain, à D.ieu ne plaise.

Même lorsque les gens crient Ad Mataï ? (« Jusqu’à quand resterons-nous en exil ? »), ils le font seulement parce qu’on leur a dit de le faire. S’ils avaient une intention sincère et un désir ardent, et criaient dans la vérité, le Machia’h serait sûrement déjà venu.

Que puis-je faire de plus pour motiver l’ensemble du peuple juif à crier et à réclamer, et ainsi provoquer réellement la venue du Machia’h ? Tout ce qui a été fait jusqu’à présent n’a servi à rien. Car nous sommes toujours en exil ; de plus, nous sommes en exil intérieur en ce qui concerne notre propre service de D.ieu. »

(28 Nissan 5751)

Nous sommes tous familiers avec la Si’ha prononcée la veille du 28 Nissan 5751. La façon dont je l’entends habituellement décrite est « la Si’ha où le Rabbi a dit qu’il a fait tout ce qu’il pouvait pour amener le Machia’h. »

Cela m’a toujours dérangé comme une simplification excessive et une incompréhension de la véritable frustration exprimée par le Rabbi ce soir-là. Dans la partie ci-dessus de la Si’ha, il est clair que le Rabbi ne demande pas seulement ce qu’il peut faire de plus pour amener le Machia’h, mais aussi, que puis-je faire de plus pour vous faire vous soucier ? Que puis-je faire de plus pour vous faire dire ad Mataï parce que vous le pensez vraiment.

Lorsque le Rabbi a exprimé douloureusement que tous ses efforts étaient vains, ce n’était pas seulement à propos de notre effort futile dans l’avènement du Machia’h lui-même, mais aussi du temps et de l’énergie qu’il a consacrés à ses Hassidim. Enseignant, guidant et nous dotant d’outils pour la vie quotidienne que nous n’avons tout simplement pas intériorisés de tout cœur.

L’accent mis par le Rabbi sur l’importance du Machia’h n’était en aucun cas une nouvelle campagne ou un nouvel objectif qui a commencé dans les dernières années par opposition aux premières années, bien au contraire, c’est l’apogée de ce que le hassidisme est et a toujours été.

C’était le but de la création, c’était la raison pour laquelle Hachem a brisé la barrière entre les réalités spirituelles et physiques. La création du monde avait pour objectif de fusionner les mondes spirituel et physique afin de permettre à la présence divine de résider même dans les domaines les plus bas de la réalité. Hachem, ou D.ieu, a voulu que l’humanité ait la possibilité de se connecter à Lui et de participer activement à l’élévation du monde physique vers des niveaux spirituels plus élevés.

Dans la tradition juive, le concept de « tikoun olam » (réparation du monde) est central pour comprendre cette idée. Les êtres humains sont censés agir en partenaires avec D.ieu pour réparer et améliorer le monde à travers des actions justes, la prière et l’étude de la Torah.

En brisant la barrière entre les réalités spirituelles et physiques, Hachem a donné à l’humanité l’opportunité de participer à la réalisation de Son plan divin. Il a ainsi permis aux âmes humaines de s’incarner dans des corps physiques et de vivre dans un monde où elles peuvent choisir librement d’accomplir des actes de bonté, de générosité et d’amour, qui ont un impact direct sur les mondes spirituel et physique.

Le but ultime de cette création est d’établir un monde où la présence divine est pleinement révélée et ressentie, et où l’harmonie règne entre le spirituel et le matériel. Les êtres humains sont chargés de travailler pour atteindre cet objectif en se conformant aux commandements divins et en œuvrant pour réparer et sanctifier le monde dans lequel ils vivent.

En conclusion :

Aujourd’hui marque 31 années douloureuses depuis le 27 Adar Rishon 5752 et 28 ans depuis Gimmel Tamouz.

Prenons quelques instants pour laisser cela nous déranger jusqu’au plus profond de nous, pour réaliser que nous sommes tous parfaitement à l’aise exactement là où nous sommes, et réfléchissons à des moyens pratiques de sortir de notre zone de confort, ne serait-ce qu’un peu, pour faire du Rabbi et de tout ce qu’il représente une partie plus essentielle de notre vie quotidienne.

Combien de fois avons-nous un moment fixe pour apprendre (en dehors de Hitat et Rambam qui sont évidemment essentiels en soi), quand est-ce que nous avons prié correctement pour la dernière fois ? Pour ceux qui ne sont pas en Chli’hout, quand avons-nous demandé pour la dernière fois à quelqu’un s’il est juif ?

אשרינו מה טוב חלקנו Nous sommes vraiment chanceux d’avoir un Rabbi comme le nôtre, qui a consacré tant de son précieux temps et de son attention à nous, et nous a offert un nombre infini de Si’hot et de Maamarim, des directives personnelles, des lettres, des milliers d’heures distribuant des dollars et des Kountreisim, tout cela en audio et en vidéo, dans lesquels nous pouvons nous immerger pour découvrir le monde merveilleusement doux et beau que le Rabbi a partagé avec amour avec nous. Tout ce dont nous avons besoin, c’est d’être réceptifs en réfléchissant profondément à ce qui est vraiment important dans la vie et en concentrant notre attention sur la volonté de vivre à la hauteur de ces exigences.

Oui, cela fait beaucoup trop longtemps que nous n’avons pas vu et entendu le Rabbi. Nous devons nous rappeler que chaque mot qu’il a partagé avec nous est une flamme directrice massive dans une nuit sombre et brumeuse, chaque ligne est chargée de vie et attend d’être lue et vécue. Chaque enregistrement, chaque Sefer contient son essence, il a mis tout son être dans tout ce qu’il nous a donné.

En visitant souvent le Ohel, en vivant avec les Si’hot et les Maamarim, et en écoutant les milliers d’heures enregistrées de sa voix sacrée chantant, priant et parlant Torah Min Hashamayim, nous pouvons nous rappeler les choses importantes dans la vie, le monde merveilleux qu’il a partagé avec nous. Comme le Rabbi l’a déclaré à maintes reprises dans ces dernières Si’hot que nous avons eu la chance d’entendre, tout est prêt, il nous suffit d’ouvrir les yeux et de voir que Machia’h est là. Ouvrons enfin nos yeux.

Puisse-t-on mériter la venue du Machia’h avant même que nous sortions tous de notre galut personnel et être ensemble avec notre Rabbi, vivant la vie telle qu’elle était prévue, comme une demeure pour Hachem dans ce monde physique. Puisse cela se réaliser תיכף ומיד ממש !

Shabi Soffer/Collive

Hayom Yom du 27 Adar : La vérité est la voie médiane

Hayom Yom du 27 Adar : La vérité est la voie médiane

ליום כ »ז אדר א’

אאמו »ר [הרש »ב] אמר: האמת היא דרך המיצוע. נטיה לימין – להחמיר על עצמו ולמצוא חסרונות באישיות העצמית או עניני עבירות שהם לא כפי האמת; נטיה לשמאל – להקל על עצמו, לחפות על חסרונות אישיים או להקל בעניני ‘עבודה’ בגלל אהבת עצמו – שניהם דרכים תועות.

Mon père (le Rabbi Rachab) dit:
«La vérité est la voie médiane. S’écarter à droite pour être trop sévère envers soi-même, se trouver des défauts ou des fautes qui ne correspondent pas à la réalité, s’écarter à gauche pour être beaucoup trop indulgent, cacher ses propres défauts, considérer légèrement le service de D.ieu par amour pour soi-même, sont deux voies aussi fausses l’une que l’autre.»

 

ליום כ »ז אדר ב’

מברכים ר »ח ניסן. אמירת כל התהלים בהשכמה. יום התוועדות.

משיחת אאמו »ר [הרש »ב]: חטא בני אהרן היה « בקרבתם לפני ה’ וימותו », רצוא בלי שוב. האמת היא שכאשר « נגשים לפני ה' » צריך להיות בבחינת « תטהרו » – נקי וזך. שיהיה ברור ביותר, ובצורה שינתן לכך ביטוי במעשה בפועל: ‘כל הגבוה גבוה ביותר יורד למטה מטה ביותר’, ורצוא בלי שוב היא מיתה. ועל זה בא צווי ה’ אל משה (ויקרא טז,ב) שיאמר לאהרן – אותיות נראה, ובכוחות הנפש [« ראיה »] הוא השכלה – לאמר: בשביל לבא אל הקדש גם מבית לפרוכת, שהוא לפני הצמצום, יש לדעת ש »על הארן » – אותיות נראה, השכלה – נמצאת « כפורת », הסתרה מכוונת, הוא « פני הכפורת » – אשר על כך האזהרה: « ולא ימות » – לא להסתפק ב’רצוא’ בלבד, « כי בענן אראה על הכפורת » – תכליתו של הצמצום הראשון הוא הגילוי, כשהמבוא [=ההכנה] לזה הוא [בחינת] ה »ואל » – ביטול עצמי; לקיים מה שהחסידות מדריכה, ולא מה שהשכל מדריך. או אז – « יבא אל הקודש ».

Voici un extrait d’un discours de mon père (le Rabbi Rachab):
«La faute des fils d’Aharon fut la suivante: « en s’approchant de D.ieu, ils moururent ». Ils connurent l’élévation sans réintégrer le monde. Car, pour se présenter devant D.ieu, il faut, au préalable, se purifier, être pur et clair. La proximité qui découle de cette démarche doit affecter l’action concrète. Car, plus on est haut, plus on est susceptible de descendre bas. S’élever sans réintégrer le monde conduit à la mort.

C’est à ce propos que fut donnée à Moché l’Injonction divine (Vaykra 16,2) de parler à Aharon. Aharon est l’anagramme de Niré, visible. Parmi les forces de l’âme, ce terme correspond donc à l’intellect.

Ainsi, Moché indiqua que, pour s’approcher du domaine sacré, « de l’intérieur de la tenture de l’Arche Sainte », expression qui désigne le stade précédant, le Tsimtsoum, on doit savoir qu’au dessus du Aron (l’Arche Sainte), constitué des mêmes lettres que Niré, terme qui désigne l’intellect, se trouve un couvercle dont le but est de voiler. C’est là le sens de l’expression « la face cachée du couvercle' ».

En conséquence, « il ne mourra pas », on ne se contentera pas de la seule élévation sans réintégrer ensuite le monde. Car « c’est dans une nuée que J’apparaîtrai sur le couvercle de l’Arche Sainte ». Le but du premier Tsimtsoum est bien la révélation.

L’expression introduisant ce passage est « il n’entrera pas », qui fait allusion à la soumission totale. Il faut appliquer ce que demande la ‘Hassidout et non ce que dicte la logique. Ainsi, « Il s’approchera du domaine sacré ».»

Il y a 31 ans : La distribution du dollar du Rabbi, dimanche, veille du 27 Adar Rishon 5752-1992

Il y a 31 ans : La distribution du dollar du Rabbi, dimanche, veille du 27 Adar Rishon 5752-1992

* Le Rav Raphaël Tenenhuys, Chalia’h du Rabbi en Floride, demanda une bénédiction pour un dîner qu’il organisait. Le Rabbi lui tendit un second dollar et dit :
«On aura de bonnes nouvelles».

Le Rav Tenenhuys présenta un donateur finançant la construction d’un édifice à la mémoire de la Rabbanit. Celui-ci en tendit le plan au Rabbi, qui lui demanda :
«Est-ce pour moi ?» Puis, lui donnant un dollar :
«Je vous remercie pour ce cadeau. Il est essentiel que vous diffusiez le Judaïsme et la ‘Hassidout».

* Quelqu’un transmit au Rabbi plusieurs éditions nouvelles du Tanya. Le Rabbi lui tendit un second dollar et dit :
«Pour un Tanya, il convient de payer». Puis un troisième :
«Pour un livre, il convient de payer. Ceux-ci vous accompagnent-ils ?» Il tendit ensuite un dollar à chacun des accompagnateurs.

* Le Rabbi tendit un second dollar au Rav Moché Bogomilsky, directeur de la Yéchiva Loubavitch d’Ocean Parkway, qui était accompagné de plusieurs classes de cette institution. Il lui dit :
«Pour toute l’école». Il tendit un second dollar à un professeur et dit :
«Pour les Sidourim (dans lesquels ils apprennent à lire)». Il tendit un second dollar à un autre professeur et dit :
«Pour tout cette classe».

* Le Rav Yona Avtsen, directeur des Sihot en Anglais, transmit au Rabbi, un recueil des Sihot de 5749, traduites en anglais. Le Rabbi lui tendit un second dollar et dit :
«Vous donnerez de bonnes nouvelles. Vous aurez une grande réussite ».

* Le Rav Avraham Stolin transmit au Rabbi, un livre commentant la venue du Machia’h. Le Rabbi lui tendit un second dollar et dit :
«Vous donnerez de bonnes nouvelles et connaîtrez une grande réussite». Puis, un troisième :
«Vous donnerez de bonnes nouvelles».
«Je souhaite recevoir la bénédiction du Rabbi pour un membre de ma famille qui vient d’avoir un enfant». Le Rabbi lui tendit un autre dollar et ajouta :
«Il l’éduquera pour la Torah, le dais nuptial et les bonnes actions».

* Quelqu’un demanda au Rabbi une bénédiction pour avoir d’autres enfants. Le Rabbi lui tendit un dollar, ainsi qu’à son épouse et dit:
«Ce sera en un bon moment, très prochainement. Il n’y a pas lieu de retarder».

* Le Rav Dov Levanoni, qui avait réalisé une maquette du Beth Hamikdach selon l’avis du Rambam, transmit au Rabbi, un album de photos de cette maquette dont il expliqua différents points. Le Rabbi lui dit :
«Bénédiction et réussite, une grande réussite». 
«Je demande la bénédiction du Rabbi pour terminer ce livre en bonne santé et joyeusement».
«Amen. Où est la pente, celle qui conduit vers l’Autel?» Le Rav Levanoni la désigna du doigt. Le Rabbi la regarda et dit :
«Ne doit-elle pas être beaucoup plus grande?» Le Rav Levanoni fournit quelques explications et le Rabbi lui répondit :
«Vous avez sans doute dû mesurer. Ce sera en un bon moment. Vous connaîtrez une grande réussite, de manière fructueuse. Très rapidement, nous nous rencontrerons dans le troisième Temple. Bénédiction et réussite». Le Rabbi tendit un second dollar au Rav Yehouda Keller, qui l’accompagnait et dit :
«Bénédiction et réussite». Il tendit un second dollar à l’épouse du Rav Levanoni et dit :
«Pour votre mari». Celle-ci demanda une bénédiction. Le Rabbi lui répondit :
«Très prochainement, nous nous rencontrerons dans le troisième Temple. Vous demanderez alors à votre mari si tout y est exact». Leur fils transmit au Rabbi un livre qu’il avait rédigé. Le Rabbi répondit :
«Bénédiction et réussite. Ce sera en un bon moment. Vous donnerez de bonnes nouvelles». Enfin, le Rabbi tendit un second dollar au Rav Yossef Itshak Keller et lui dit :
«Pour le Temple».

* Yohaï Pelleg, propriétaire de la salle dans laquelle doit être organisé un dîner au profit des institutions ‘Habad de Kyriat Malahi reçut un second dollar. Le Rabbi lui dit :
«Vous recevrez de bonnes nouvelles et connaîtrez une grande réussite ». Puis un troisième :
«Pour que votre salle connaisse la réussite. Des occasions joyeuses y seront célébrées. Vous donnerez de bonnes nouvelles». Le Rabbi dit ensuite à son épouse :
«Bénédiction et réussite». Il lui tendit un second dollar et ajouta :
«Vous connaîtrez une grande réussite dans cette salle, avec votre mari».

* Le Rabbi dit à Acher Yahloman, donateur de ‘Habad en Terre Sainte :
«Bénédiction et réussite. Vous donnerez de bonnes nouvelles pour toutes les sources de la ‘Hassidout. Vous connaîtrez une grande réussite».

* Un peintre, originaire de Russie, indiqua qu’il réalisait un tableau du Rabbi, à l’occasion de ses quatre vingt dix ans. Le Rabbi lui dit :
«Bénédiction et réussite. Je vous remercie pour ce cadeau». Puis un second dollar :
«Pour toute la famille».

* Quelqu’un indiqua au Rabbi qu’il avait besoin d’une bénédiction de complète guérison. Le Rabbi lui répondit :
«Ce sera en un bon moment. Vous donnerez de bonnes nouvelles. Vous vivrez de longues années, en bonne santé».

* Le Rabbi tendit un second dollar à une délégation des «Bonds» pour Israël et leur dit :
«Vous donnerez de bonnes nouvelles».

* Une jeune fille demanda au Rabbi, une bénédiction pour se marier. Le Rabbi lui tendit un second dollar et dit :
«Vous donnerez ceci à la Tsedaka, le jour que vous deviendrez Kalla».

* Une femme dit au Rabbi :
«Je suis la petite-fille de Avraham Elderman, qui est venu en aide au précédent Rabbi. Vous souvenez-vous de lui?»
«Oui. Il habitait à Newark».

* Le Rabbi dit au Rav Mordehaï Nahmowsky, directeur du département pour la pureté familiale de Holon :
«Bénédiction et réussite ». Il lui tendit un second dollar et ajouta :
«Vous connaîtrez une réussite particulière auprès des nouveaux immigrants. Vous donnerez de bonnes nouvelles».
«Je demande la bénédiction du Rabbi à l’occasion de l’élection du Grand Rabbin de Holon».
«Vous donnerez de bonnes nouvelles». Le Rabbi lui ajouta un autre dollar et dit :
«Une grande réussite et de bonnes nouvelles».

* Quelqu’un demanda une bénédiction pour «Yossef Itshak». Le Rabbi précisa :
«Le fils de Raïsel? Il vivra longtemps avec sa richesse».

* Quelqu’un indiqua au Rabbi qu’il construisait une maison en Erets Israël. Le Rabbi lui répondit :
«Construire une maison en Erets Israël est particulièrement important. La Guemara en particulier, fait l’éloge de celui qui prend pareille initiative».
«Je demande la bénédiction du Rabbi à ce propos».
«Vous avez d’ores et déjà la bénédiction de D.ieu».

* On transmit au Rabbi une représentation des affiches diffusées en Erets Israël, portant le slogan «préparez-vous à la venue du Machiah». Le Rabbi dit :
«Est-ce pour moi ? Voici un dollar pour cette image».

* Le Rabbi tendit un second dollar à un donateur du ‘Heder Loubavitch de Chicago et lui dit :
«Votre réussite dépassera ce qu’elle a été jusqu’à maintenant».

* Le Rav Dov Rabinovitch, de la municipalité de Yerouchalaïm indiqua au Rabbi qu’il rentrait en Terre Sainte. Le Rabbi lui dit :
«Bénédiction et réussite». Il lui tendit un autre dollar et dit :
«Voici pour vous». Puis un troisième :
«Pour le donner à la Tsedaka, à Yerouchalaïm».
«Je demande la bénédiction du Rabbi pour les élus de la Municipalité de Yerouchalaïm et pour qu’ils mènent à bien la tâche difficile qui leur est confiée». Le Rabbi lui tendit un autre dollar et dit :
«D.ieu n’exige qu’en fonction des forces qu’Il accorde. Chacun possède assurément la force pour cela».
«Je demande la bénédiction du Rabbi pour réussir à construire le Talmud Torah ‘Habad de Yerouchalaïm et le Beth Hanna».
«Il semble que d’autre projets soient en préparation et non uniquement ces deux-là».
«En effet».

* Le Rav Groner présenta ensuite au Rabbi le Rav Shmelké Halpert, député d’Agoudat Israël à la Knesset. Celui-ci expliqua :
«Lors des dernières élections, ‘Habad nous a beaucoup aidés et la réussite a été considérable. Grâce à cela, de nombreux acquis ont été obtenus pour le Judaïsme, le Chabbat, le renforcement de la foi et des institutions de Torah. Mais, tout cela n’est pas définitif et l’aide de D.ieu est nécessaire pour maintenir les acquis».
«Vous savez sans doute que se contenter de ce que l’on possède est une qualité. Néanmoins, cela ne s’applique pas au domaine de la crainte de D.ieu. Pour un parti religieux, se contenter des acquis est un des pires défauts. On peut par la suite, sommeiller à cause de cela. D.ieu vous conférera donc la réussite et vous désirerez deux cents pièces. Lorsque vous les aurez, vous en souhaiterez encore cent de plus, double pour la sagesse». Le Rabbi lui tendit un autre dollar et ajouta :
«Vous donnerez de bonnes nouvelles. Une grande réussite».
«Nous avons besoin d’une bénédiction pour réussir les prochaines élections».
«Vous avez de nombreux problèmes à résoudre avant celles-ci».
«Il y a trois mois pour cela».
«Vous aurez plus de temps que cela. En tout état de cause, jusqu’aux élections, il faut faire le choix de «Moché Son serviteur». Vous devez élire la Torah de Moché, les Mitsvot de Moché. Vous vous épargnerez ainsi beaucoup de tracas et D.ieu réalisera Lui-même la diffusion du Judaïsme, au delà de ce qu’ont pu faire les Juifs». Le Rabbi lui tendit un autre dollar et ajouta :
«Vous aurez bénédiction et réussite».
«Je demande une bénédiction pour le mariage de ma fille».
«Vous donnerez ce dollar à la Tsedaka pour elle. Elle-même donne sans doute de la Tsedaka avant d’allumer les bougies. Ainsi, le veut notre coutume. Sans en faire le voeu, c’est là une pratique positive, que les petites filles peuvent adopter dès l’âge de trois ans. En tout état de cause, elle est déjà Bat Mitsva et pense maintenant à se marier. Elle donnera ce dollar avant d’allumer les bougies. Elle aura de longues années en bonne santé et, prochainement, se mariera de la manière la plus positive».

* Quelqu’un demanda a Rabbi une bénédiction pour avoir des enfants. Le Rabbi lui tendit un second dollar et répondit :
«Ce sera très prochainement. Vous donnerez ceci à la Tsedaka pour votre femme et aurez de bonnes nouvelles».
«Je demande également une bénédiction pour mon frère».
«Quel est sont nom?»  Il le donna, le Rabbi lui tendit un autre dollar et ajouta :
«Vous le donnerez à la Tsedaka pour lui. Il aura de longues années, en bonne santé».

* Quelqu’un demanda au Rabbi une bénédiction pour connaître la joie. Le Rabbi lui tendit un second dollar et dit :
«Amen, vous donnerez de bonnes nouvelles. Il convient, en effet, de multiplier la joie».

* Le Rabbi tendit un second dollar au Rav David Raskin et lui dit :
«Pour tout Tseïré Agoudat ‘Habad». Celui-ci présenta au Rabbi plusieurs médecins qui devaient être les invités d’honneur du Melavé Malka de Tseïré Agoudat ‘Habad, prévu à l’issue du Chabbat Pekoudeï. Le Rabbi leur tendit un second dollar et dit :
«Pour tous vos patients. Vous donnerez de bonnes nouvelles». Il tendit ensuite un dollar à l’épouse d’un des médecins et lui dit :
« Pour l’aide que vous apportez à votre mari».

* Le Rav Avraham Hecht, qui devait parler à ce Melavé Malka, demanda au Rabbi une bénédiction pour son discours. Le Rabbi lui tendit un second dollar et dit :
«Très prochainement, vous donnerez de bonnes nouvelles et vous élèverez d’une étape vers l’autre». Le Rabbi tendit ensuite un dollar à son petit-fils, élève de la Yechiva de Morristown, et lui dit :
«Tu donneras ceci à la Tsedaka, à Morristown. Tu seras un ‘Hassid, craignant D.ieu». Puis, se retournant vers son grand-père :
«Nous avons dit que les élèves de la Yechiva doivent rédiger leurs propres commentaires, puis les faire imprimer dans les fascicules. Il le fera, de façon positive et vous donnerez de bonnes nouvelles».

* Une femme indiqua au Rabbi qu’elle s’appelait Marie et sollicita un nom juif. Le Rabbi lui répondit :
«Vous vous appellerez Miryam».

* Un journaliste du New York Post demanda au Rabbi s’il avait un message à transmettre au monde entier. Le Rabbi répondit :
«Vous devez écrire que le Machia’h arrive, très prochainement».

* Sam Domb dit :
«Chalom, Rabbi. Comment allez-vous» ?
«Tout va bien».
«Vous avez donné une bénédiction à un membre de ma famille qui doit subir une opération, car il souffre du coeur. Or, un médecin préconise l’opération et un autre, un traitement médicamenteux. Cette personne aimerait savoir que faire et sollicite la bénédiction du Rabbi».
«Elle aura bénédiction et réussite. Vous interrogerez un Rav à ce propos, auquel vous apporterez tous les détails, les informations et les décisions des médecins. Alors, le Rav saura prendre une décision et ce sera celle qui convient le mieux. D.ieu vous bénira et vous permettra de faire le meilleur choix. Toute votre famille aura une vie en bonne santé ».
«Il s’agit, en l’occurrence, de mon fils et de son épouse. Tout dépend de la bénédiction du Rabbi».
«Il s’agit de la bénédiction de D.ieu. Vous aurez des années en bonne santé et dans la joie».
«Je veux maintenant demander une bénédiction pour le peuple juif. Je voudrais que l’aide que j’apporte à ‘Habad soit positive. Je fais tout ce qui est en mon pouvoir pour aider le comité de développement pour l’éducation juive. Une bénédiction est nécessaire à ce propos».
«Que D.ieu vous bénisse et qu’Il vous conserve en bonne santé au sein de tout le peuple juif. Vous connaîtrez une grande réussite».

* Le Rav Mendel Raskin, Chaliah à Montréal, vint voir le Rabbi, accompagné d’une cinquantaine d’enfants de cette ville. Le Rabbi lui tendit un second dollar et dit :
«Vous donnerez de bonnes nouvelles. Voici pour toute cette classe». Il tendit un second dollar à son épouse et dit :
«Vous le donnerez à la Tsedaka, à Montréal».

* Le Rav Hillel Pewzner transmit au Rabbi la clé de la «Cité de l’éducation Sinaï» et expliqua :
«La Cité appartient désormais au Rabbi Chlita».
«Vous donnerez de bonnes nouvelles».
«Je demande une bénédiction de réussite pour la Chehita, à Paris».
«Vous donnerez de bonnes nouvelles et connaîtrez la réussite». Le Rav Pewzner présenta au Rabbi, l’un de ses donateurs. Le Rabbi lui dit :
«Il ne faut pas le convaincre que ce qu’il a d’ores et déjà donné est suffisant». Se tournant vers le donateur, il dit en français :
«D.ieu vous aidera et vous donnerez beaucoup plus. Vous transmettrez de bonnes nouvelles et vous élèverez d’une étape vers l’autre. Bénédiction et réussite. Vous donnerez de bonnes nouvelles».

Hassidout pour les enfants – Vayikra #1: «Vous pouvez commencer à changer notre monde pour le meilleur !»

Hassidout pour les enfants – Vayikra #1: «Vous pouvez commencer à changer notre monde pour le meilleur !»

Rubrique réalisée par Réouven Bennaïm
Beth Habad des enfants de Perpignan – « Tsivot Moshiah »

Léilouy Nishmat Rav MORDE’HAÏ (Mottel) a’h PEVZNER
Chalia’h du Rabbi à Perpignan pendant 17 ans

 

РУССКИЙ 🇷🇺

Вы можете начать менять наш мир к лучшему уже сегодня, и, неважно, насколько малы ваши действия. Бейт Хабад Детей Перпиньяна

К чему мне жертвы ваши? Заповедь о жертвоприношении как пробный камень понимания духа иудаизма Р-н Александр Фейгин

Мы склонны считать эпоху, в которую живем, пиком здравомыслия и просвещения. Это забавно, но простительно: так думали о своем времени все поколения. К примеру, мы морщим нос, читая о жертвоприношениях. Это не для нас, это из примитивной древности! А вот и голоса из древности: « Неужели всесожжения и жертвы желанны Всевышнему, как и послушание гласу Всевышнего? « К чему Мне множество жертв ваших? – говорит Всевышний ». Это не цитаты из интервью современного гуманиста, это слова пророков Шмуэля и Йешаягу.

Стало быть, подобное отношение к жертвам – не наше изобретение. И для великих мудрецов прошлого этот вопрос был куда как непрост: Рамбам в « Мишне Тора » говорит о том, что в будущем, с приходом Машиаха, будут возобновлены жертвоприношения. А в « Путеводителе заблудших » он же говорит о жертвоприношениях как об уступке Торы человеческим слабостям.

Именно эта неоднозначность « кровавого » служения в Храме (Розанов пишет: « Если израильский Б-г любит « обонять запах жертв », то евреи неужели же этого не любят? Всем им хочется крови ягненка ли, Ющинского ли ») должна заставить нас глубже разобраться в теме главы Торы « Вайикра ».

« …Когда человек [пожелает] принести от вас жертву Б-гу… » (Вайикра, 1:2). Человек должен приносить в жертву « от себя », часть себя. Часть своего ли горячо любимого имущества (ох, как больно!), часть ли своего « Я ». И если пролитие крови жертв в Храме оказывается просто ритуалом и не отрывает « с мясом » от нас, любимых, куски гордыни и самодовольства, тогда и звучат слова пророка: « К чему Мне множество жертв ваших? – говорит Всевышний ».

Но здесь, может быть, стоит остановиться и подумать. Только ли о жертвах мы говорим? Скажем, молитва многим представляется более совершенным, духовным, нежели жертвоприношение. Но что, если она превращается в автоматическое бормотание? Или благотворительность, великое дело: а если человек дает деньги бедным, чтобы прославиться своими добродетелями? Что, если возложение тфилин превращается в бессмысленное наматывание ремешков? А соблюдение субботы – в томительное ничегонеделанье?

Первое побуждение – ответить на поставленный вопрос так: любой акт праведности, любой путь служения должен быть основан на глубоком внутреннем настрое души (кавана). Иначе и молитва, и благотворительность, и жертвы – все превращается в механическое бездуховное действие. И тогда Всевышний говорит вместо « К чему Мне множество жертв ваших? » – « К чему Мне множество молитв ваших? »

Сказанное более чем тривиально. Более того, рассуждения о необходимости каваны можно встретить (в других терминах) и вне иудаизма.

Рассуждения эти верны, но недостаточны: некоторые могут плавно развить их в совсем уж нееврейскую идею о том, что лучше искренне ничего не делать, чем автоматически или неискренне делать нечто. Недаром у евреев бытует ироничная пословица: « Лучше быть здоровым и богатым, чем бедным и больным ». Действительно, лучше с рвением соблюдать заповеди, чем без рвения ими пренебрегать. Но жизнь не вписывается в черно-белый расклад. Она сложнее и часто задает вопросы вроде: « Каваны нет, желания тоже нет. Исполнить заповедь или ну ее? » Иудаизм однозначно отдает предпочтение действию. Сопровождается оно каваной – отлично. Нет – есть надежда, что за действием придет и понимание, и желание, и радость.

Все это напрямую не связано с жертвоприношениями, Но именно заповедь о принесении жертв может служить пробным камнем понимания духа иудаизма. Тот, кто принимает заповеди как указание к действию, понятны ли они ему или нет, вызывают ли отклик в сердце или нет, – тот и к жертвам Храме отнесется, как к должному. Тот, кто привык сортировать заповеди на симпатичные ему лично и не симпатичные, а значит, необязательные, первым делом отреагирует на « маргинальность » жертвоприношений. Потому-то первым, что удалили реформисты из молитвенника, были именно тексты о жертвоприношениях. Вот только из Торы их удалить не удалось.

« Vous pouvez commencer à changer notre monde, chaque jour, pour le MEILLEUR, même avec une petite action ! »

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HAYOM YOM


26 Adar 1
C’est avec trois instruments du service divin, l’amour de D.ieu, l’amour de la Torah et l’amour d’Israël, que les jeunes dédiés à l’étude de la Torah doivent se présenter pour assumer la mission qui leur est confiée dans la vigne de l’Éternel, D.ieu des armées célestes.

Cette mission consiste à rapprocher les cœurs de leurs frères de l’accomplissement des Préceptes matériels, à leur permettre de consacrer du temps à l’étude. Ils doivent s’y consacrer sans tenir compte de la douleur que provoque l’antagonisme entre les différentes factions.

La vérité incontestable est que le cœur juif est une source d’eau vive. Une alliance a été conclue avec le travail et l’effort : ils ne se révèlent jamais inutiles.

 


Illustration du Hayom Yom : [email protected]

26 Adar 2
Dans la formation d’une génération droite et son éducation, tout ce qui est sacré pour le peuple du D.ieu d’Abraham et fondamental pour la Maison d’Israël – manger casher, respecter la pureté et la sainteté du Chabbat – a été confié par notre D.ieu, puissant et redoutable, aux femmes juives afin qu’elles préservent ces principes et les mettent en pratique.

À la femme qui s’acquitte de son devoir et remplit son rôle dans la vie familiale, assume la conduite de la maison et une éducation conforme à la Torah, s’appliquent les termes du verset (Proverbes 14,1) : « La sagesse de la femme bâtit sa maison ».

C’est ainsi que l’amour de D.ieu, de la Torah et d’Israël, conjugué au dévouement des femmes juives, permet la transmission des valeurs sacrées et la formation d’une génération attachée aux préceptes et à l’étude de la Torah.


HOUMACH PARACHAT VAYIKRA 1ERE MONTEE


D.ieu a souvent parlé à Moïse dans le Tabernacle, une tente spéciale où ils pouvaient se rencontrer. D.ieu donnait des instructions à Moïse pour qu’il les transmette au peuple d’Israël.

Les offrandes d’élévation de bétail

D.ieu a expliqué à Moïse comment les Israélites devaient offrir des sacrifices d’animaux pour montrer leur amour et leur respect envers D.ieu. Ils devaient utiliser des animaux domestiques qu’ils possédaient, et les animaux devaient être en bonne santé et sans défaut.

Les offrandes d’élévation de gros bétail

Si quelqu’un voulait offrir un gros animal en sacrifice, comme un taureau, il devait choisir un mâle sans défaut. L’animal était amené à la Tente de la Rencontre et présenté à D.ieu. Le donateur posait sa main sur la tête de l’animal pour montrer qu’il offrait l’animal à D.ieu.

Le service des prêtres

Les prêtres, les fils d’Aharon, étaient responsables de tuer l’animal et de recueillir son sang dans un bassin spécial. Ensuite, ils jetaient le sang sur l’autel de manière spécifique. Les prêtres découpaient l’animal en morceaux, sans le couper en petits morceaux. Les prêtres devaient s’habiller correctement et préparer un feu sur l’autel avant de mettre les morceaux d’animal sur le feu. Les morceaux d’animal étaient disposés sur le feu de manière spécifique, y compris la tête. La peau de l’animal était donnée au prêtre. Les prêtres devaient laver certaines parties de l’animal avant de les mettre sur le feu. Ensuite, ils brûlaient tout l’animal sur l’autel.

Les offrandes d’élévation de menu bétail

Si quelqu’un voulait offrir un petit animal en sacrifice, comme un mouton ou une chèvre, il devait choisir un mâle sans défaut. Le donateur posait également sa main sur la tête de l’animal. Les prêtres abattaient l’animal à un endroit précis et recueillaient le sang pour le jeter sur l’autel, tout comme pour les gros animaux. Les prêtres découpaient le petit animal et le préparaient pour le feu, tout comme pour les gros animaux. Les prêtres devaient laver certaines parties de l’animal avant de les mettre sur le feu. Ensuite, ils brûlaient tout l’animal sur l’autel, et le feu divin finissait de consumer l’animal.


TEHILIM 119 FIN


Ces versets nous disent combien la Torah est aimée et importante. La Torah aide à devenir plus sage et à éviter les mauvais chemins. Elle est comme une lampe qui éclaire le chemin à suivre. En suivant les commandements de D.ieu, on trouve la paix et le bonheur.

Malgré les difficultés et les méchants qui tentent de nuire, il est important de rester fidèle aux enseignements de la Torah. En priant D.ieu, on demande de l’aide, de la compréhension et du soutien pour suivre ses commandements.

La Torah est précieuse, comme de l’or, et elle est remplie de vérité et de justice. En suivant les enseignements de D.ieu, on trouve la paix, le salut et la vie. Même si on se perd parfois comme un mouton égaré, il ne faut pas oublier les commandements de D.ieu.


TANYA chapitre 37


Au début, chaque âme était avec D.ieu avant de venir sur Terre. Les âmes descendaient sur Terre pour aider à améliorer le monde, en aidant surtout leur corps et leur âme animale à se développer et à apprendre.

Même les âmes les plus sages et les plus fortes ont eu du mal à rester aussi proches de D.ieu qu’avant lorsqu’elles sont venues sur Terre. Mais elles étaient là pour une raison très importante.

Leur mission consistait à aider leur corps et leur âme animale à s’améliorer, en les guidant à travers les défis et les leçons de la vie. Les âmes devaient accomplir des actions positives et éviter les actions négatives pour aider à apporter la lumière divine dans le monde.

La raison pour laquelle les âmes viennent sur Terre est de travailler avec leur corps et leur âme animale pour rendre le monde meilleur et plus lumineux.


SEFER HAMITSVOT


La mitsva positive n°246 nous apprend comment gérer les disputes entre les personnes. Cette règle est basée sur un verset qui dit : « Quelque soit l’objet du délit… qu’on affirme être le sien ».

En d’autres termes, lorsqu’il y a une dispute, chaque personne doit dire la vérité et admettre une partie de la faute pour que la situation puisse être résolue. Cette règle s’applique à toutes les situations où il y a un désaccord entre deux personnes, et où chacune admet et nie une partie du problème.

 

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LES DOUZE PSOUKIM (à apprendre par coeur)


1 – Torah TORAH TSIVA LANOU MOCHÉMORACHA KÉHILAT YAAKOV.

תּוֹרָה צִוָּה לָנוּ מֹשֶׁה מוֹרָשָׁה קְהִלַּת יַעֲקֹב

“La Torah que Moïse nous a ordonnée est l’héritage de la Communauté de Jacob” (Deut. 33:4)

C’est Moïse, le fidèle serviteur de D.ieu qui nous a transmis la Torah. Et chaque Juif, garçon ou fille, la reçoit pour lui-même. Qu’il l’ait étudiée durant des années ou qu’il n’en connaisse qu’un tout petit peu, Elle lui appartient, pour l’apprendre et la mettre en pratique. C’est le plus beau cadeau que D.ieu pouvait nous faire.


2 – Chéma Israël CHEMA Israël ADO-NAY ELO-HÉNOU ADO-NAY É’HAD..

שְׁמַע יִשְׂרָאֵל ה’ אֱ־לֹהֵינוּ ה’ אֶחָד

Ecoute Israël, l’Eternel est notre D.ieu, l’Eternel est Un.

C’est Moïse, le fidèle serviteur de D.ieu qui nous a transmis la Torah. Et chaque Juif, garçon ou fille, la reçoit pour lui-même. Qu’il l’ait étudiée durant des années ou qu’il n’en connaisse qu’un tout petit peu, Elle lui appartient, pour l’appr-endre et la mettre en pratique. C’est le plus beau cadeau que D.ieu pouvait nous faire.


3 – Bé’hol Dor Vador BÉ’HOL DOR VADOR ‘HAYAV ADAM LIROT ETE ATSMO KE-ILOU HOU YATSA MIMITSRAYIM

בְּכָל דּוֹר וָדוֹר חַיָּב אָדָם לִרְאוֹת אֶת עַצְמוֹ כְּאִלּוּ הוּא יָצָא מִמִּצְרַיִם

“Dans chaque génération, il faut se considérer comme sorti soi-même d’Egypte.

Il y a quelques 3500 ans, Hachem nous a fait sortir d’Egypte. Il nous a fait passer de l’esclavage à la liberté. Et, si Hachem ne l’avait pas fait, nous serions encore des esclaves aujourd’hui. Aussi, chaque jour, nous remercions D.ieu de nous avoir libérés. Et, dans notre cœur, nous promettons d’utiliser notre liberté du mieux possible, comme les serviteurs choisis du Roi des rois.


4 – Kol Israël KOL ISRAEL YECH LAHEM ‘HÉLEK LÉOLAM HABA CHÉNÉÉMAR VÉAMÈ’H KOULAM TSADIKIM LÉOLAM YIRCHOU ARETS NÉTSER MATAAÏ MAASSÉ YADAÏ LEHITPAERE.

בכָּל יִשְׂרָאֵל יֵשׁ לָהֶם חֵלֶק לְעוֹלָם הַבָּא, שֶׁנֶּאֱמַר: וְעַמֵּךְ כֻּלָּם צַדִּיקִים לְעוֹלָם יִירְשׁוּ אָרֶץ, נֵצֶר מַטָּעַי מַעֲשֵׂה יָדַי לְהִתְפָּאֵר

Tous les Juifs ont une part dans le monde futur, comme il est dit : « Dans Ton peuple, il n’y a que des Justes. Ils hériteront de la terre pour toujours. Ils sont le produit de Mes plantations, l’œuvre de Mes mains. Et, J’en suis fier. «

D.ieu est particulièrement fier de chaque Juif. Il nous a créés et Il prend soin de nous comme un jardinier prend soin d’une jeune plante. Et, comme nous grandissons, en étudiant Sa Torah, en faisant Ses Mitsvot extraordinaires, alors D.ieu nous prépare une place dans le Monde Futur, à côté d’Avraham, d’Its’hak, de Yaakov, de Moché, du roi David et de tous les grands hommes de notre histoire.


5 – Ki Karov KI KAROV ÉLÉ’HA HADAVAR MÉOD BÉFI’HA OUVILVAV’HA LAASSOTO.

כִּי קָרוֹב אֵלֶיךָ הַדָּבָר מְאֹד בְּפִיךָ וּבִלְבָבְךָ לַעֲשׂוֹתוֹ

Obéir à la Torah en paroles, en pensée et en action, tout cela est à ta portée.

Tu sais, la Torah n’est pas dans le ciel. Elle est ici, sur terre, toute proche, facile à étudier et à pratiquer. Elle est à ta portée, aussi proche que la synagogue du coin de la rue, aussi proche que le livre que je tiens dans la main ou la phrase de Torah que je connais par cœur, ou encore que le bonheur que je ressens au fond de moi. En fait, la Torah, c’est tout ce que je veux vraiment. C’est comme cela que Hachem m’a fait.


6 – Véhiné Hachem VÉHINÉ Hachem NITSAV ALAV OUMELO KOL HAARETS KEVODO OUMAVIT ALAV OUVO’HEN KÉLAYOT VALEV IM OVDO KARAOUÏ.

וְהִנֵּה ה’ נִצָּב עָלָיו וּמְלֹא כָּל הָאָרֶץ כְּבוֹדוֹ וּמַבִּיט עָלָיו וּבוֹחֵן כְּלָיוֹת וָלֵב, אִם עוֹבְדוֹ כָּרָאוּי

D.ieu se tient au-dessus de lui, et toute la terre est pleine de Sa gloire. Il regarde au fond de son esprit et de son cœur pour voir s’il Le sert comme il convient.

Imagine que tu sois dans le palais d’un roi. Autour de toi, tout est magnifique : les pièces, les murs, les meubles. Des princes et des gouverneurs, habillés d’or et d’argent, se tiennent debout avec respect, attendant d’obéir à l’ordre du roi ou simplement de le voir. Imagine que tu passes au milieu d’eux et, tout à coup, tu te trouves devant le roi. Personne ne dit un mot. Comme tu approches, il te regarde avec un grand intérêt. Imagine l’effet que cela ferait ! Eh bien, c’est exactement ainsi que nous nous tenons à tout instant devant Hachem, le Roi du monde entier.


7 – Béréchit BERECHIT BARA ELO-HIM ETE HACHAMAYIM VEETE HAARETS.

בְּרֵאשִׁית בָּרָא אֱ-לֹהִים אֵת הַשָּׁמַיִם וְאֵת הָאָרֶץ

Au commencement, D.ieu créa le ciel et la terre.

D.ieu a créé tout l’univers : les cieux et tout ce qui s’y trouve, la terre et tout ce qui y vit. C’est la toute première chose que la Torah nous dit. Aussi, si jamais nous avons peur du noir, de la tempête, du froid, des gens et si rien ne semble aller comme cela devrait, la Torah nous dit de ne pas en être effrayé. Hachem a créé l’univers et Il en prend soin. Et, Il nous a donné la Torah pour faire que les choses soient comme elles doivent être. La Torah nous dit ce que nous devons faire et comment nous pouvons rendre, la terre meilleure et plus sainte. Et quand D.ieu voit que nous nous conduisons bien, alors Il nous donne la réussite et Sa bénédiction.


8 – Véchinanetam Lévané’ha VÉCHINANETAM LÉVANÉ’HA VÉDIBARTA BAM BÉCHIVTÉ’HA BÉVÉTÉ’HA OUVLE’HTÉ’HA VADÉRÈH OUVCHO’HVÉ’HA OUVKOUMÉ’HA.

וְשִׁנַּנְתָּם לְבָנֶיךָ וְדִבַּרְתָּ בָּם בְּשִׁבְתְּךָ בְּבֵיתֶךָ וּבְלֶכְתְּךָ בַדֶּרֶךְ וּבְשָׁכְבְּךָ וּבְקוּמֶךָ

Et tu enseigneras la Torah à tes enfants, et tu en parleras chez toi et en voyage, avant de te coucher et quand tu te lèveras.

La Torah s’adresse à nos parents. Elle leur dit : « Papa, maman, enseignez-moi à vos enfants. Je veux qu’ils connaissent mes saints mots ». Nous aussi, il faut que nous disions à nos parents : « Papa, maman, faites la meilleure chose que vous puissiez faire pour moi: apprenez-moi la Torah. Apprenez-moi les phrases de la Torah avec soin jusqu’à ce que je m’en souvienne toujours, à la maison ou sur le chemin, en allant dormir ou en me levant ». Si nous le demandons du fond du cœur, de la manière que l’on utilise pour demander les choses que l’on veut vraiment, nos parents nous écouteront. Ils nous enverront dans une colonie de vacances dirigée selon la Torah et dans une école où nous apprendrons la Torah, les Mitsvot et tout le Judaïsme.


9 – Yagati Oumatsati YAGATI VÉLO MATSATI AL TAAMINE. LO YAGATI OUMATSATI AL TAAMINE. YAGATI OUMATSATI TAAMINE.

ויָגַעְתִּי וְלֹא מָצָאתִי – אַל תַּאֲמִין, לֹא יָגַעְתִּי וּמָצָאתִי – אַל תַּאֲמִין, יָגַעְתִּי וּמָצָאתִי – תַּאֲמִין

Si l’on te dit: « j’ai travaillé dur, mais je n’ai pas réussi », ne le crois pas. Si l’on te dit: « je n’ai pas travaillé dur, mais j’ai réussi », ne le crois pas. Si l’on te dit : « j’ai travaillé dur et j’ai réussi », tu peux le croire.

S’il arrive qu’un jour on n’agisse pas exactement comme il faudrait et que l’on ne se sente pas assez fort pour continuer d’étudier la Torah et de pratiquer les Mitsvot, alors il faudra se souvenir de la promesse de Hachem : Si nous essayons encore et encore plus, le mieux possible, alors finalement nous réussirons. Et ce que nous obtiendrons à ce moment-là dépassera tout ce que nous avions imaginé.


1 0 – Véahavta VÉAHAVTA LÉRÉA’HA KAMO’HA. RABBI AKIVA OMER: ZÉ KLAL GADOL BATORAH.

וְאָהַבְתָּ לְרֵעֲךָ כָּמוֹךָ – רַבִּי עֲקִיבָא אוֹמֵר, זֶה כְּלָל גָּדוֹל בַּתּוֹרָה

Rabbi Akiva dit que « tu aimeras ton prochain comme toi-même » est un principe de base de la Torah.

Quand nous travaillons dur pour nous améliorer, il ne faut pas oublier nos amis et nos voisins. Comme l’a dit Rabbi Akiva, il faut aimer son prochain exactement comme on s’aime soi-même. C’est le plus important de tout ce que nous apprenons. Aussi, si nous avons la chance d’étudier la Torah, nous devons travailler dur pour aider nos amis juifs à la pratiquer eux aussi.


11 – Vézé Kol Haadam VÉZÉH KOL HAADAM VÉTA’HLIT BRIATO OUVRIAT KOL HAOLAMOT ÉLYONIM VETA’HTONIM LIHYOT LO ITBARE’H DIRA BETA’HTONIME.

וְזֶה כָּל הָאָדָם וְתַכְלִית בְּרִיאָתוֹ וּבְרִיאַת כָּל הָעוֹלָמוֹת, עֶלְיוֹנִים וְתַחְתּוֹנִים, לִהְיוֹת לוֹ יִתְבָּרֵךְ דִּירָה בְּתַחְתּוֹנִים

Rabbi Akiva dit que « tu aimeras ton prochain comme toi-même » est un principe de base de la Torah.

Pourquoi D.ieu a-t-il créé chacun d’entre nous et l’univers tout entier ? Pour qu’en respectant la Torah et les Mitsvot, nous puissions faire de nous-mêmes, de nos maisons et du monde qui nous entoure un endroit où D.ieu puisse résider, un endroit où Il vivra exactement comme nous vivons dans nos maisons


12 – Yisma’h Israël YISMA’H ISRAEL BÉOSSAV PÉROUCH CHÉKOL MI CHÉHOU MIZÉRA ISRAEL YECH LO LISMOA’H BESIM’HAT Hachem ACHER SAS VÉSAMEA’H BÉDIRATO BÉTA’HTONIM.

יִשְׂמַח יִשְׂרָאֵל בְּעוֹשָׂיו, פֵּרוּשׁ שֶׁכָּל מִי שֶׁהוּא מִזֶּרַע יִשְׂרָאֵל יֵשׁ לוֹ לִשְׂמֹחַ בְּשִׂמְחַת ה’, אֲשֶׁר שָׂשׂ וְשָׂמֵחַ בְּדִירָתוֹ בְּתַחְתּוֹנִים

« Les Juifs doivent se réjouir de leur Créateur ». Cela signifie que chaque Juif doit partager la joie de D.ieu, qui est heureux de Sa demeure dans ce monde.

Chaque Juif, quoi qu’il ait étudié jusqu’à présent, où qu’il ait vécu jusqu’ici, reste toujours un membre de notre peuple. Et il doit être heureux et fier que Hachem lui ait donné la plus grande mission du Monde : faire une Maison où D.ieu puisse habiter.



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Rav David Mimoun sur CNews : La Bar Mitsvah, un rite de passage important dans la vie

Rav David Mimoun sur CNews : La Bar Mitsvah, un rite de passage important dans la vie

 

 

 

À l’âge de 13 ans, un enfant franchit une étape déterminante : il devient non seulement responsable, mais il se voit également attribuer des devoirs et obligations qui n’étaient pas de mise avant cet âge. En effet, lorsqu’il atteint ses 13 ans, il est prêt à franchir un cap et à monter à la Torah, c’est-à-dire qu’il pourra désormais lire la Bible sur un parchemin.

Il va alors monter à la Torah et prononcer un discours. Bien sûr, tout ceci est suivi d’une grande soirée pour célébrer cet événement marquant. Au cours de cette soirée, on félicite l’enfant non pas pour avoir atteint un aboutissement, mais plutôt pour entamer le début d’un parcours spirituel.

En tant qu’être humain, nous avons tous en nous un mauvais penchant qui persiste pendant les 12 premières années de notre vie. La veille de la Bar Mitzvah, l’enfant est encore animé par ce mauvais penchant. Cependant, à l’âge de 13 ans, le yetser tov, le bon penchant, vient s’ajouter à cette dualité intérieure, et c’est à ce moment qu’un combat commence. Comme on dit souvent, on ne fait jamais la guerre tout seul, il faut être deux pour mener cette lutte.

Ainsi, un véritable homme est quelqu’un qui parvient à maîtriser et dominer les aspects négatifs de sa vie, en disant non à ce qui n’est pas bon pour lui et en faisant les choix qui lui sont bénéfiques. C’est pour ces raisons que la Bar Mitzvah est un événement si important dans la tradition juive.

Attentat à Hawara : un citoyen américano-israélien blessé, le terroriste capturé

Attentat à Hawara : un citoyen américano-israélien blessé, le terroriste capturé

Une attaque terroriste a eu lieu près de la place Einabus, au centre de Hawara, où les frères Hallel et Yigal Yaniv ont été assassinés il y a environ trois semaines. Un terroriste a ouvert le feu en début d’après-midi (dimanche) sur une voiture israélienne, blessant David Stern (41) sous les yeux de sa femme, qui a été prise de panique et évacuée avec lui à l’hôpital Beilinson de Petah Tikva. Stern, qui a été blessé, était armé et a riposté contre le terroriste, le blessant. Plus tard, il a été rapporté à l’hôpital que son état était modéré et stable malgré une blessure à la tête, et il a été ajouté que « c’est un miracle ». En même temps, une force du bataillon 50 du Nahal, un commandant de section et un soldat qui se trouvaient dans la région, ont tiré sur le terroriste et l’ont touché.

Le terroriste, Lit Nasser (28 ans), a tenté de s’échapper à pied, mais après une courte poursuite, il a été capturé vivant dans l’un des bâtiments de Hawara et arrêté alors que son état était grave. Après avoir été capturé, les soldats ont confisqué l’arme utilisée par le terroriste pour commettre l’attaque, et il a été transféré pour un interrogatoire supplémentaire par les forces de sécurité. Les tirs contre le couple israélien ont été effectués à bout portant, et le terroriste a utilisé une arme improvisée de type Carlo, qui a été retrouvée sur les lieux. Environ 20 balles ont été tirées en direction du véhicule et à partir de celui-ci (par le blessé – AB »C), et dans les images de la scène, on peut voir le pare-brise avant de la voiture complètement perforé.

Les amis de Stern, un citoyen américain, ont déclaré qu’il était un « combattant expérimenté et calme », un ancien Marine considéré comme une « légende » à leurs yeux. Ils ont raconté : « Il entraîne des armes et a formé des gens exactement pour de tels moments. »

Cette attaque a de nouveau eu lieu lors d’un sommet avec les responsables de l’Autorité palestinienne, dans le cadre des efforts visant à réduire les tensions avant le Ramadan, qui débutera plus tard cette semaine. Le chef du Shin Bet, Ronen Bar, et le chef du Conseil de sécurité nationale, Tzahi Hanegbi, se sont rendus aujourd’hui à Sharm el-Sheikh, en Égypte, pour participer au sommet, la deuxième réunion du « Forum Aqaba », qui s’est réuni le mois dernier. Des délégations de Jordanie, d’Égypte et des États-Unis participent également au sommet.

En raison des manifestations attendues des colons, qui ont déjà diffusé des messages sur les groupes WhatsApp à ce sujet, les forces de sécurité se préparent à empêcher les émeutes à Hawara ce soir, afin que les images enregistrées après la précédente attaque ne se répètent pas. De grandes forces affluent vers la région, y compris des unités de la police des frontières, de la police militaire et de l’armée, pour maintenir l’ordre et prévenir les violences. Les autorités appellent les colons à ne pas provoquer d’affrontements avec les Palestiniens et à laisser les forces de sécurité gérer la situation.

Le Premier ministre israélien, Binyamin Netanyahou, a condamné l’attaque et a déclaré : « Nous ne permettrons pas que le terrorisme revienne dans nos vies. Les forces de sécurité sont déterminées à capturer et punir les responsables de ces actes. Nous continuerons à agir fermement et avec détermination pour garantir la sécurité de tous les citoyens d’Israël. »

Le président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, a également condamné l’attaque et a appelé à la retenue de toutes les parties. Il a souligné l’importance de poursuivre les pourparlers de paix et les efforts de coordination en matière de sécurité entre les deux parties, afin d’éviter une escalade de la violence.

La tension reste élevée dans la région de Hawara, où les forces de sécurité israéliennes et palestiniennes travaillent en étroite collaboration pour prévenir de nouvelles attaques et rétablir le calme. Les habitants sont priés de rester vigilants et de signaler toute activité suspecte aux autorités.

Les organisations terroristes, telles que le Hamas et le Jihad islamique palestinien, n’ont pas revendiqué la responsabilité de l’attaque, mais ont salué l’acte en tant que « réponse naturelle à l’occupation israélienne ». Les responsables de la sécurité israélienne continuent d’enquêter sur les liens possibles entre l’attaquant et ces groupes.

Des rabbins d’Israël et d’Europe impressionnés par les élèves de la Yeshiva Tomchei Temimim de Vienne

Des rabbins d’Israël et d’Europe impressionnés par les élèves de la Yeshiva Tomchei Temimim de Vienne

Une délégation de Rabbanim distingués venant d’Israël et d’Europe a récemment visité la Yéchiva Tomchei Temimim de Vienne, en Autriche.

 

Parmi les éminents Ravs figuraient notamment le Grand Rabbin d’Israël, le Rav Dovid Lau, le fondateur de l’organisation de sensibilisation Hidabroot, le Rav Zamir Cohen, le Chef du Beth Din d’Anvers, le Rav Aaron Schiff, le shliach du Rabbi et le Grand Rabbin de Hollande, le Rav Binyomin Jacobs, le Dayan de « Shomrei Hadat » d’Anvers, le Rav Yaakov David Shmahl, ainsi que des membres du Beth Din de Vienne, le Rav Yossef Pardess et le Rav Yaakov Hotoveli.

Le Roch Yéchiva, le Rav Haïm Fieldsteel, ainsi que les Chlou’him de Vienne, le Rav Yaakov Biderman et le Rav Israël Netanelov, ont accueilli les invités et les ont présentés aux temimim, les élèves de la Yéchiva. La délégation était dirigée par le Rav Aryeh Goldberg, Directeur Général du Centre Ravique d’Europe (RCE).

Le Rav Lau et le Rav Cohen ont tous deux pris la parole pour s’adresser aux Ba’hourim, les étudiants de la Yéchiva. En réponse à l’exhortation du Rav Lau à compléter l’étude de la Masse’het, le Rav Fieldsteel a déclaré que les temimim s’étaient engagés à étudier l’ensemble de la Masse’het. Il a ajouté que chaque garçon qui réussit à se faire tester sur l’ensemble de la Masse’hta gagnera un voyage spécial en Erets Israël. Au cours de ce voyage, ils seront testés par plusieurs Rabbanim éminents. Impressionné, le Rav Lau a accepté la demande et a déclaré qu’ils étaient invités à le rencontrer pour être testés.

Tous les Rabbanim ont parlé d’étude avec les Temimim et ont été profondément impressionnés par la connaissance affichée. Cette visite a permis de renforcer les liens entre les différentes communautés juives et d’encourager les élèves de la Yéchiva à poursuivre leur étude de la Torah et de la Hassidout Habad-Loubavitch.

 















11 Nissan 5783 : Les élèves de la Yechiva Tomchei Temimim s’organisent pour une procession dans les rues de New York

11 Nissan 5783 : Les élèves de la Yechiva Tomchei Temimim s’organisent pour une procession dans les rues de New York

Le 11 Nissan, une grande procession des « Tanks de Mivtsaïm » est prévue dans toute la ville pour célébrer le 121e anniversaire du Rabbi. En préparation de cet événement, les élèves de la Yechiva Tom’hei Temimim se sont réunis pour une réunion spéciale afin de coordonner la mise en place de ce grand projet qui sera consacré au quartier de Lubavitch à New York.

La Yechiva Tom’hei Temimim attire des étudiants du monde entier. Ces élèves sont souvent impliqués dans des projets caritatifs et sociaux qui sont inspirés par les enseignements du Rabbi.

Le projet « Tanks de Mivtaïm » est l’un des projets phares du Mouvement Loubavitch. Il consiste en une flotte de camping cars qui se déplacent dans les rues pour distribuer des tracts, des livres, des brochures sur la spiritualité juive et proposes au passants juifs d’accomplir les Mitsvot. Les élèves de la Yechiva Tom’hei Temimim ont donc travaillé pour organiser cette procession spéciale qui aura lieu le jour de l’anniversaire du Rabbi.

Cette réunion a permis de discuter des détails pratiques de la procession, notamment de la logistique, de la sécurité et de la publicité. Les élèves ont également discuté de la signification spirituelle de cet événement et de la façon dont il peut aider à diffuser les enseignements de la Hassidout dans le monde entier.

L’anniversaire du Rabbi est une occasion importante pour les élèves de la Yechiva Tom’hei Temimim de mettre en pratique les enseignements qu’ils ont reçus. Cela montre également l’impact durable que les enseignements du Rabbi ont eu sur les générations de jeunes Juifs qui ont étudié à la Yechiva Tom’hei Temimim.