La vérité sur l’or du Tabernacle : Comment Moïse a-t-il comblé le manque ? La réponse du Rabbi

La vérité sur l’or du Tabernacle : Comment Moïse a-t-il comblé le manque ? La réponse du Rabbi

Le rapport de Moïse : Et qu’en est-il de l’or ? On peut dire que l’explication simple est que Moïse n’a pas eu besoin de rendre compte de l’utilisation de l’or, car sa quantité n’était pas grande, seulement vingt-neuf talents et trente sicles.

 

Sur les mots qui ouvrent la Paracha de Pekudei, « אֵלֶּה פְקוּדֵי הַמִּשְׁכָּן » (Voici les comptes du Tabernacle), Rachi dit : « Dans cette Paracha, tous les poids des dons du Tabernacle sont comptés, pour l’argent, l’or et le bronze, et tous ses ustensiles sont comptés. »

Nous avons donc ici un rapport de Moïse à la nation d’Israël, détaillant les matériaux que le public a donnés pour la construction du Tabernacle et leur utilisation.

La Torah énumère les poids des métaux collectés. Le poids de l’or collecté apparaît également : « וַיְהִי זְהַב הַתְּנוּפָה תַּשַׁע וְעֶשְׂרִים כִּכָּר, וּשְׁבַע מֵאוֹת וּשְׁלֹשִׁים שֶׁקֶל בְּשֶׁקֶל הַקְדֶשׁ » (L’or de l’offrande était de vingt-neuf talents et sept cents trente sicles, selon le sicle sacré).

Mais que faisait-on de l’or ? – Cela, Moïse ne le précise pas. Alors qu’il est dit que l’argent a été utilisé pour les socles du sanctuaire et les socles du voile, les crochets et les chapiteaux des colonnes, et même l’utilisation du bronze est détaillée – il n’y a pas de détail sur l’utilisation de l’or.

Certains expliquent qu’à ce stade, les vêtements sacerdotaux, dans lesquels l’or était tissé, n’étaient pas encore terminés, et donc Moïse a retardé le bilan final. Cependant, cette explication n’est pas satisfaisante, car il aurait dû rendre compte de toute façon, même de manière générale, afin d’écarter les soupçons des cœurs des enfants d’Israël. Il faut dire que l’explication simple est que Moïse n’a pas eu besoin de rendre compte de l’utilisation de l’or, car sa quantité n’était pas grande, seulement vingt-neuf talents et trente sicles.

Le soupçon de détournement pourrait être écarté si le public savait dans quelle mesure la contribution a été utilisée pleinement, et si l’on craignait que quelqu’un parmi les responsables n’en profite. Cependant, lorsque tout le monde sait que l’or collecté n’était pas suffisant pour les utilisations prévues, et qu’en fin de compte, Moïse a dû ajouter plus d’or, il n’y a plus besoin d’explications sur ce qui a été fait avec l’or.

Moïse a annoncé que l’or collecté pesait vingt-neuf talents et trente sicles. C’est une petite quantité par rapport au poids de l’argent, qui était de cent talents, et du bronze qui pesait soixante-dix talents. Il n’y a donc pas de crainte de détournement, car la quantité d’or requise pour le travail du Tabernacle était en réalité le double de celle qui avait été donnée ! Même un calcul rapide montre que l’or était insuffisant. Comment Moïse a-t-il pu combler l’or manquant?

La réponse à cela se trouve déjà dans la Paracha de Ki Tissa, lorsque Moïse a été ordonné de sculpter de nouvelles Tables. Rachi dit : « Le Saint béni soit-Il lui a montré un tailleur de pierres saphir du milieu de sa tente et lui a dit : Les déchets seront à toi, et de là Moïse s’est beaucoup enrichi »

(Hita’vaaduyot 5744, vol. 2, p. 1137).

Visite de la délégation JLI en Israël : un dîner de clôture avec des invités de marque

Visite de la délégation JLI en Israël : un dîner de clôture avec des invités de marque

 

La délégation du JLI (Jewish Learning Institute) a récemment effectué une visite en Israël, au cours de laquelle un dîner de clôture a été organisé en présence d’invités de marque. Parmi eux se trouvaient le président de la commission des Affaires étrangères et de la Défense, le député Yuli Edelstein, et le Grand Rabbin d’Israël – Rishon Letsion, Rav Its’hak Yossef.

 

La conférence a rassemblé 800 membres qui étudient régulièrement selon le programme éducatif du JLI et sont venus spécialement de diverses régions des États-Unis pour assister à cet événement.

La soirée a été marquée par une discussion animée et enrichissante entre les deux personnalités, qui ont évoqué divers sujets d’intérêt pour la communauté juive et les relations entre Israël et la diaspora. La visite du JLI en Israël vise à renforcer les liens entre les Juifs du monde entier et le pays, en mettant l’accent sur l’éducation juive et la promotion de la compréhension mutuelle.

Le député Yuli Edelstein a souligné l’importance du dialogue et de la coopération entre les différents courants du judaïsme, ainsi que l’engagement d’Israël envers la sécurité et le bien-être de tous les Juifs, quelles que soient leurs convictions ou leur origine. Yuli-Yoel Edelstein, né en1958 à Tchernivtsi, est un homme d’État israélien, membre du parti Likoud. Originaire de l’Union soviétique, il est président de la Knesset de 2013 à 2020, puis ministre de la Santé de 2020 à 2021.

Le Grand Rabbin d’Israël, Rav Its’hak Yossef, a insisté sur la nécessité de préserver et de renforcer la tradition et les valeurs juives, en particulier en matière d’éducation. Il a également évoqué les défis auxquels Israël est confronté sur la scène internationale et la manière dont la communauté juive mondiale peut contribuer à soutenir le pays. Le Grand Rabbin d’Israël, Rav Its’hak Yossef, né en à Jérusalem, est le grand-rabbin séfarade de l’État d’Israël depuis 2013. Il est également appelé Rishon LeZion, du nom donné aux grands-rabbins séfarades en Israël.

 

Le directeur général de la Conférence des Présidents, Malcolm Hoenlein, le président du JLI, le Rav Efraïm Mintz, et l’avocat Mordechai Tzivin, ont participé à la conférence de l’Institut d’apprentissage juif – la plus grande organisation d’éducation juive aux États-Unis.

Cet événement a offert l’occasion pour les participants d’apprendre, d’échanger et de renforcer leurs liens avec la communauté juive. Des conférenciers de renom, des ateliers et des discussions ont été organisés, abordant divers sujets liés à la philosophie juive, la loi juive (halakha), l’éthique, l’histoire, la Kabbale et le Talmud.

La conférence a également permis aux participants d’entendre des mises à jour importantes sur les initiatives et les projets du JLI, ainsi que d’apprendre les dernières nouvelles concernant les développements communautaires et éducatifs. Les participants ont eu l’opportunité d’interagir avec des personnalités de premier plan du monde juif et de partager leurs expériences et leurs réflexions sur l’éducation juive et son impact sur leurs vies.

 

 

Le JLI, ou « Jewish Learning Institute » (Institut d’Apprentissage Juif), est une organisation internationale qui se consacre à l’éducation juive pour les adultes de tous les horizons. Fondé en 1998, le JLI offre des programmes d’étude et d’apprentissage de haute qualité, axés sur la sagesse, la culture et les traditions juives.

Le JLI propose des cours et des programmes dans des milliers de communautés à travers le monde, avec des instructeurs compétents et passionnés qui enseignent sur une variété de sujets, y compris la philosophie juive, la loi juive (halakha), l’éthique, l’histoire, la Kabbale et le Talmud.

Les cours du JLI sont structurés de manière à permettre aux participants de tous les niveaux de connaissances et d’expérience de suivre et de s’engager dans les discussions. L’objectif principal du JLI est de créer un environnement d’apprentissage inclusif et stimulant, où les participants peuvent explorer et approfondir leur compréhension du judaïsme et de son rôle dans leur vie quotidienne.

En plus des cours, le JLI organise également des conférences, des ateliers et des voyages éducatifs, tels que la visite en Israël mentionnée précédemment. Ces expériences visent à renforcer les liens entre les membres de la communauté juive mondiale et à promouvoir une compréhension mutuelle et un engagement envers les valeurs juives.

En somme, le JLI est une organisation importante qui joue un rôle crucial dans l’éducation juive et le renforcement de la communauté juive à travers le monde.

Hayom Yom du 29 Adar: Un ‘Hassid doit créer un environnement autour de lui

Hayom Yom du 29 Adar: Un ‘Hassid doit créer un environnement autour de lui

ליום כ’ט אדר א’

מברכים ר’ח אדר שני, אמירת כל התהלים בהשכמה, יום התוועדות.

באמירת לחיים יש שתי נוסחאות: א) לחיים טובים ולשלום, וטעם הברכה – להיות כי בשתיית היין הנזכרת בפעם הראשונה בתורה היו תוצאות לא טובים – ‘ויחל נח גו », ועץ הדעת [מקור החטאים] – גפן היה, ולכן מברכים שיין זה יהיה לחיים טובים.

ב) הרב המגיד ממעזריטש היה עונה לחיים ולברכה. פעם בהתוועדות שהיה נוכח רבינו הזקן, ענה רבינו הזקן: לחיים ולברכה. אחרי ההתוועדות שוחחו החסידים בטעם נוסח זה, ששמעו אז פעם הראשונה. אחד החסידים אמר, אשר להיות כי נכנס יין יצא סוד, ובעבודה -הוא התגלות המדות, לכן זקוקים לברכה. והנוסח הוא ‘לחיים ולברכה’ – אותיות לב-רכה. אמר על זה ה’צמח צדק’: זאת יכול לאמר חסיד, שהתפלל ועסק בעבודת ה’ שלושים שנה.

29 Adar 1
Pour répondre au souhait de Le’haïm, il existe deux versions:
1. ‘Le’haïm Tovim Oulechalom’, pour une bonne vie et pour la paix.
La raison de cette bénédiction est la suivante. Lorsque la Torah relate, pour la première fois, que quelqu’un but du vin, elle indique qu’il en résulta des conséquences négatives, ainsi qu’il est dit (Beréchit 9, 20) «et Noa’h commença» (qui se traduit aussi: et Noa’h se corromput, se dégrada). De plus, l’arbre de la connaissance était une vigne. C’est la raison pour laquelle on souhaite que ce vin soit ‘pour une bonne vie’.
2. Le Maguid de Mezeritch répondait ‘Le’haïm Velivra’ha’, pour la vie et pour la bénédiction. Une fois, lors d’un Farbrenguen, l’Admour Hazaken répondit ‘Le’haïm Velivra’ha’. A l’issue de ce Farbrenguen, les ‘Hassidim analysèrent cette formulation, qu’ils entendaient alors pour la première fois. L’un d’entre eux proposa: «lorsque le vin entre, le secret sort», (Erouvin 65a). Appliqué au service de D.ieu, cela correspond à la révélation des sentiments. Pour l’obtenir, une bénédiction est nécessaire. On dit donc ‘Le’haïm Velivra’ha’. Ce dernier mot se lit également ‘Lev Raka’, un coeur tendre.
Le Tséma’h Tsédek fit, à ce propos, le commentaire suivant. Une telle interprétation ne peut être donnée que par un ‘Hassid qui a prié et servi D.ieu pendant trente ans.


ליום ל’ אדר א’,

אאמו’ר [הרש’ב] אמר: חסיד יוצר ‘סביבה’. במקרה ולא – עליו לפשפש בכליו, מה מצבו האישי. ועבודה זו כשלעצמה, שאינו יוצר ‘סביבה: – צריכה לשבור את רוחו כקיסם, ועליו לשאול את עצמו: מה אני עושה בכלל בעולם ?

30 Adar 1
Mon père (le Rabbi Rachab) dit:
«Un ‘Hassid doit créer un environnement autour de lui. S’il ne le fait pas, il lui faut inspecter méticuleusement son bagage et se demander ce qu’il en est pour son propre compte. De fait, son incapacité de créer un entourage autour de lui doit le briser comme une brindille. Il doit s’interroger: «que fais-je dans ce monde?».


ליום כ’ט אדר ב’

באחת ההתוועדויות אמר אאמו’ר [הרש’ב]: הקב’ה ברא את העולם וכל הדברים הגשמיים מאין ליש, וישראל צריכים להפוך את ה’יש’ ל’אין’; את הגשמיות לרוחניות. העבודה שבהפיכת הגשמיות לרוחניות ואת הגשמי לעשות כלי לרוחניות – זוהי חובת גברא. בזה מחוייב כל אחד ואחד בפרט.

29 Adar 2
Dans un Farbrenguen, mon père (le Rabbi Rachab) dit:
«D.ieu créa le monde et toutes les créatures matérielles à partir du néant.
Les Juifs, par contre, doivent transformer la matière en néant, en faire du spirituel. Transmuter la matière en esprit, faire qu’elle soit un réceptacle pour la Divinité est une obligation qui incombe à tous. Chacun en particulier y est astreint.»

Regardez : Lorsque le journaliste Yedidia Meir a révélé : « Je suis accro au magazine Kfar Habad »

Regardez : Lorsque le journaliste Yedidia Meir a révélé : « Je suis accro au magazine Kfar Habad »

Lors de l’événement festif du 2000e numéro qui s’est tenu à Tel Aviv, un court métrage a été projeté où le journaliste et animateur de radio Yedidia Meir a partagé ses expériences en lisant le journal « Kfar Chabad ». Il a captivé l’auditoire en décrivant comment le journal influence son travail. COL présente le clip complet à voir :

 

Yedidia Meir, un journaliste et animateur de radio bien connu, a récemment révélé son amour pour le journal « Kfar Chabad » lors d’un événement célébrant la publication du 2000e numéro du journal. Dans une vidéo projetée lors de l’événement, Meir a partagé avec l’auditoire comment la lecture du journal a eu un impact sur sa vie professionnelle et personnelle.

Selon Meir, le journal « Kfar Chabad » lui a offert une perspective unique et rafraîchissante sur les questions religieuses, culturelles et sociales en Israël. Il a également mentionné que le journal l’a inspiré et l’a aidé à mieux comprendre la communauté hassidique de Chabad et ses enseignements.

Meir a également expliqué que la lecture du journal « Kfar Chabad » lui a permis de rester informé des événements et des développements importants au sein de la communauté Chabad, ce qui a grandement influencé sa carrière de journaliste et d’animateur de radio.

Lors de l’événement, les participants ont été ravis d’entendre Meir parler de son attachement au journal et de l’influence qu’il a eue sur sa vie. La vidéo complète de l’intervention de Yedidia Meir est disponible sur le site de COL pour le visionnage.

 

 

 

Biographie de Shlomo Yedidia Meir

Shlomo Yedidia Meir (né le 26 Sivan 5736, 24 juin 1976) est un publiciste, satiriste, animateur radio israélien et chroniqueur hebdomadaire du journal « B’Sheva ».

Biographie : Yedidia Meir est né dans la vieille ville de Jérusalem, fils du rabbin Eliav Meir, fils d’Aaron Meir, directeur général de la Banque Hapoalim, et de Ziva, fille du rabbin Shlomo et Yehudit Kook. Son frère est le chanteur et musicien Yitzhak Meir.

Meir a grandi dans le moshav Gamzu, où son père a été le rabbin du village jusqu’en 2016. Il a étudié dans des établissements d’enseignement religieux sioniste et ultra-orthodoxe, à la Yeshiva Sha’alvim et ensuite à la Yeshiva Maarava, la Yeshiva Tiferet Tzvi et la Yeshiva Hachmat Shlomo.

Alors qu’il était encore à la Yeshiva, Meir a découvert une attirance pour le monde des médias. Il a commencé à travailler comme monteur musical pour la chaîne A de la radio israélienne. Plus tard, il a écrit des chroniques pour les hebdomadaires ultra-orthodoxes « Mishpacha » et « Bakehila » sous le nom de « Yedidia Meir », alors qu’il était connu à la Yeshiva sous le nom de Shlomo Meir.

Dans l’armée israélienne, il a d’abord servi dans le Rabbinat militaire, et après un an et demi, il a été accepté comme rédacteur pour l’hebdomadaire militaire « Bamahane ».

En 2000, après avoir quitté l’armée, Meir a fondé avec ses amis Yair Hasdiel et Kobi Arieli une newsletter satirique appelée « Efes », qui était envoyée par e-mail à une liste restreinte de professionnels des médias. Plus tard, Meir a accepté l’offre de Rogel Alpher, rédacteur en chef du supplément Haaretz, de transformer « Efes » en une chronique satirique hebdomadaire dans le supplément. En 2008, la chronique a été transférée au supplément du week-end de « Yedioth Ahronoth ».

Meir a participé à la création de la chaîne de télévision « Arutz HaTchelet » et a été consultant pour la telenovela ultra-orthodoxe « HaChatzer » produite par la chaîne. En 2004, lors de l’appel d’offres pour la chaîne 2, Meir a rejoint la franchise « Telad » en tant que conseiller en matière de tradition et de religion. Il a également écrit des chroniques d’opinion pour le site ynet.

En 2003, il a épousé la journaliste de Channel 2 News, Sivan Rahav (aujourd’hui Sivan Rahav-Meir). En 2005, le couple a publié ensemble le livre « Yamim Ktumim », qui comprend des entretiens avec huit personnalités de différents groupes du sionisme religieux sur le plan de désengagement.

En 2009, il a présenté une émission sur la chaîne 24 intitulée « Shorashim ».

Aujourd’hui, Meir anime une émission matinale quotidienne appelée « Hit’orerut » (Réveil) sur la station de radio ultra-orthodoxe « Radio Kol Chai ». Il diffuse l’émission depuis un studio à domicile. Le vendredi, il co-anime avec sa femme Sivan Rahav-Meir l’émission « Sof Shavua Zugi » (Week-end en couple) sur Galatz (la radio des Forces de défense israéliennes). De plus, il écrit une chronique hebdomadaire pour le journal « B’Sheva » et écrit pour le site d’Arutz 7, participant également en tant que panéliste à l’émission « HaPatriotim » (Les Patriotes) sur la chaîne Achshav 14.

Netanya : Arrestation du terroriste ayant poignardé une femme sous les yeux de ses enfants

Netanya : Arrestation du terroriste ayant poignardé une femme sous les yeux de ses enfants

La police israélienne a arrêté un terroriste soupçonné d’avoir poignardé une femme à l’épaule sous les yeux de ses enfants à Netanya il y a dix jours. Par miracle, seule la couche de manteau a été déchirée et la femme a réussi à fuir les lieux sans blessure. Le terroriste suspect a comparu ce matin devant le tribunal pour prolonger sa détention avant le dépôt de l’accusation.

Selon la police, il y a une semaine, un résident de Judée et Samarie a été arrêté à Netanya avec un couteau en sa possession. Au fur et à mesure de l’avancement de l’enquête, il est apparu qu’il avait perpétré une attaque au couteau sans victime. À la fin de l’enquête, une accusation sera déposée contre lui cette semaine et une demande de détention jusqu’à la fin des procédures sera présentée.

Le 12 mars 2023, la police de Netanya a effectué des recherches opérationnelles après avoir reçu un rapport sur un homme suspect se promenant dans une rue piétonne avec un couteau près de la place de l’Indépendance. Les agents à moto sont rapidement arrivés sur les lieux et ont arrêté le suspect, un résident de Judée et Samarie dans la vingtaine, avec un couteau pliant, mais aucune victime n’a été trouvée sur les lieux.

Comme mentionné, lors de l’enquête sur les circonstances de l’infraction, notamment la collecte de preuves vidéo sur les lieux, les interrogatoires et la collecte d’autres informations, il est apparu que le suspect avait poignardé une femme à l’épaule sous les yeux des passants et de ses enfants. Par miracle, seule la couche de manteau a été déchirée sans blesser la femme, qui a poursuivi son chemin et s’est échappée.

L’unité spéciale de lutte contre la criminalité de la station de Netanya a mené une enquête rapide et secrète, écartant les soupçons de la présence de complices ou d’activités terroristes supplémentaires. La détention du suspect a été prolongée au tribunal selon les besoins de l’enquête.

Ce matin, le suspect a été présenté devant le tribunal militaire pour une demande de prolongation de sa détention. Une accusation sera déposée contre lui dans les prochains jours pour les faits qui lui sont reprochés.

La porte-parole de la police a déclaré : « Il s’agit d’une action professionnelle et déterminée de la part des agents du district central, qui ont rapidement réagi pour maîtriser et arrêter le suspect armé d’un couteau après une poursuite, empêchant ainsi une attaque plus grave et des blessures à des citoyens innocents. »

Le commandant de l’unité de lutte contre la criminalité à la station de Netanya, le lieutenant-colonel Ohad Goldberg, décrit l’événement : « Nos forces ont agi avec rapidité et efficacité pour localiser et neutraliser le suspect. Grâce à leur intervention, nous avons réussi à éviter un incident potentiellement catastrophique pour les citoyens de Netanya. La coopération entre les différentes unités de la police a été essentielle pour mener à bien cette opération. »

L’enquête se poursuit pour déterminer les motivations du suspect et s’il a agi seul ou en lien avec d’autres personnes ou organisations terroristes. Les autorités appellent les citoyens à rester vigilants et à signaler toute activité suspecte à la police.

La sécurité dans la région a été renforcée à la suite de cet incident, et les forces de sécurité continueront de travailler sans relâche pour protéger la population et prévenir de futures attaques terroristes. Cette arrestation souligne l’importance d’une réponse rapide et coordonnée des forces de l’ordre face à la menace terroriste.

 

 

 

 

 

 

 

« Le Rabbi a demandé de donner du travail aux Anash » : Un documentaire sur une journée dans la vie de Rav Yona Levenhartz a’h

« Le Rabbi a demandé de donner du travail aux Anash » : Un documentaire sur une journée dans la vie de Rav Yona Levenhartz a’h

Rav Yona est né vers 1932 à Moscou, fils du Rav Avraham Shmuel Levenhartz. Dans son enfance, il a étudié dans une école Habad clandestine et, à l’adolescence, il a fréquenté diverses Yechivot Tomchei Temimim à travers la Russie.

Lorsque son père a obtenu l’autorisation de quitter la Russie en 1936, il est monté en Israël et s’est installé à Tel Aviv, mais lorsqu’il a vu ce que les mouvements de jeunesse faisaient aux enfants d’Israël et comment ils les prenaient dans leurs filets, il a choisi de retourner en Russie avec sa famille.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, sa famille s’est réfugiée à Tachkent, où ils ont poursuivi leur tradition d’accueillir des invités et d’aider Anash.

En 1947, son père, Rav Avraham Shmuel, a tenté de rejoindre ceux qui partaient lors de la grande évasion, mais sa famille a manqué l’occasion et s’est installée à Tchernivtsi. En 1966, sa famille a réussi à obtenir l’autorisation de quitter la Russie et s’est installée à Kfar Habad.

Rav Yona travaillait pour subvenir aux besoins de sa famille en tant que l’un des directeurs de l’usine textile Golgoteks à Kiryat Malachi et était considéré comme un industriel exceptionnel. Malgré son travail acharné, Rav Yona n’a jamais manqué une prière du matin avec le Minyan et l’étude de la Hassidout avant la prière. Bien qu’il soit un haut dirigeant dans l’usine textile, il menait une vie simple et hassidique, et il n’y avait pas d’ordinateur ou autre objet informatisé dans son bureau à l’usine ; il faisait son travail sur des feuilles de papier ordinaires.

Tout son temps libre était consacré aux choses saintes, et même lorsqu’il attendait le bus, il avait l’habitude de réciter des chapitres des Psaumes.

Le jeudi 28 Adar 2018, il est décédé et a été enterré dans la section Habad du Mont des Oliviers.

Regardez le film « Une journée dans la vie de Rav Yona Levenhartz » z »l, qui était l’un des directeurs de Golgoteks à Kiryat Malachi, une usine fondée sur l’ordre du Rabbi pour le bénéfice des lieux de travail pour les résidents de Nahalat Har Habad, à partir d’un reportage diffusé sur la chaîne 10 par Kobi Sela.

Dans le film, on voit également les anciens employés de l’usine, les cousins : Rav Moshe Goldschmidt z »l, l’un des directeurs de l’usine, Rav Zev Serota, Rav Moshe Serota et le frère de Rav Yona, Rav Yossef Levenhartz z »l, partenaire de l’usine. L’usine s’appelle Golgoteks, d’après les fondateurs et directeurs de l’usine : Rav Mordechai Gorodetzky, Rav Yona Levenhartz, Rav Zalman Levenhartz et Rav Moshe Goldschmidt.

Photographie et montage : Amatzia Eitan « Un film commémoratif » – Production : ‘Kobis’

 

 

Plus de 1000 jeunes filles Habad de tout le pays réunies lors du congrès annuel national à Tel-Aviv

Plus de 1000 jeunes filles Habad de tout le pays réunies lors du congrès annuel national à Tel-Aviv

Le 27 Adar a été marqué par un événement spécial et rassembleur pour les filles Habad en Israël. Plus de 1000 d’entre elles, provenant de tout le pays, se sont réunies lors du congrès annuel national de l’Organisation Bnot Habad. Cet événement incontournable a eu lieu dans la prestigieuse salle Smolarz à Tel-Aviv.

Ce congrès est une occasion pour les filles Habad de renforcer leurs liens avec la communauté, d’échanger des idées et d’approfondir leur connaissance et leur engagement envers les enseignements du mouvement hassidique Habad-Loubavitch. Les participantes ont été inspirées et encouragées à poursuivre leur croissance spirituelle et leur implication dans les activités communautaires.

L’événement a été marqué par des discours inspirants, des ateliers et des sessions de réflexion, ainsi que des moments de prière et de méditation. Les intervenants ont abordé divers sujets liés à la vie juive, à l’éducation et au rôle des femmes dans la communauté Habad. Les filles ont également eu l’occasion de se divertir avec de la musique et des spectacles.

Le succès de cette année témoigne de l’engagement continu de l’Organisation Bnot Habad à soutenir et à promouvoir le bien-être spirituel et émotionnel des filles Habad en Israël. Un rapport détaillé sur l’événement sera publié prochainement, mettant en lumière les moments forts et les enseignements tirés de cette journée mémorable.

L’Organisation Bnot Habad continue de jouer un rôle crucial dans la vie des jeunes filles Habad en Israël, en les aidant à développer leur identité juive et à s’épanouir en tant que membres actifs et engagés de la communauté.

L’Organisation Bnot Habad, une division de l’organisation de jeunesse Habad, est dédiée aux filles des écoles élémentaires et des séminaires Habad. Son objectif principal est de former des filles Habad fidèles et connectées au Rabbi, protégées et heureuses, afin de préparer le monde à accueillir le Messie très prochainement.

La vitalité et l’atmosphère unique des filles Habad ne se retrouvent nulle part ailleurs. Les activités organisées tout au long de l’année laissent une empreinte profonde dans l’âme des jeunes filles, couvrant chaque jour du calendrier juif et hassidique. Des groupes de voyage pour rendre visite au Rabbi, des opérations lors des dates hassidiques, des événements lors des fêtes, des activités pendant les vacances, des rencontres régulières dans les centres locaux et des congrès nationaux (et internationaux !) ne sont qu’un petit aperçu du programme dynamique proposé par Bnot Habad.

L’organisation accorde également une attention particulière à l’aspect émotionnel et propose des conférences et des ateliers adaptés aux sujets d’actualité qui préoccupent les jeunes filles.

Aujourd’hui, plus de 2000 participantes appartenant à environ 50 centres locaux profitent d’une expérience hassidique fascinante et joyeuse à chaque occasion. Rejoignez le mouvement dès maintenant et assurez-vous une année remplie de lumière et de vitalité.

En réunissant plus de 1000 filles lors de son congrès annuel national à Tel-Aviv, l’Organisation Bnot Habad continue de jouer un rôle essentiel dans la vie des jeunes filles Habad en Israël.

Yitzik Crombie : L’entrepreneur Habad qui révolutionne le monde des affaires HiTech

Yitzik Crombie : L’entrepreneur Habad qui révolutionne le monde des affaires HiTech

L’entrepreneur high-tech Habad, Itzik Krombi, et le maire de Jérusalem, Moshe Lion, rencontrent des entrepreneurs ultra-orthodoxes lors d’un événement d’affaires à Londres

 

Le fondateur high-tech hassidique, Itzik Krombi, et le maire de Jérusalem, Moshe Lion, ont récemment participé à un dîner d’affaires à Londres en compagnie de membres d’une délégation d’entrepreneurs ultra-orthodoxes de la capitale israélienne. Cet événement avait pour objectif de favoriser les échanges et les collaborations entre les startups ultra-orthodoxes et les entreprises internationales.

La rencontre a eu lieu dans un cadre convivial et a permis aux participants d’échanger sur les défis et les opportunités auxquels sont confrontés les entrepreneurs ultra-orthodoxes dans le domaine de la technologie. Les discussions ont également porté sur les moyens de soutenir et de promouvoir ces startups, ainsi que sur l’importance de la coopération entre les communautés religieuses et les entreprises de haute technologie.

Itzik Krombi, un entrepreneur de renom dans le secteur high-tech et un hassid de la communauté Habad, a souligné l’importance de l’innovation et de l’esprit d’entreprise dans le monde ultra-orthodoxe. Il a encouragé les membres de la délégation à poursuivre leurs efforts pour développer des solutions technologiques innovantes et à promouvoir leurs entreprises sur la scène internationale.

De son côté, le maire de Jérusalem, Moshe Lion, a exprimé son soutien aux entrepreneurs ultra-orthodoxes et a souligné les efforts déployés par la municipalité pour encourager la croissance et le développement des startups dans la ville. Il a également évoqué les initiatives visant à créer des opportunités d’emploi pour les membres de la communauté ultra-orthodoxe et à renforcer la coopération entre les différents acteurs du secteur technologique.

Yitzik Crombie est un entrepreneur Haredi HiTech. Il vit avec son épouse Efrat et leurs cinq enfants à Kfar Chabad, un petit village situé à proximité de l’aéroport Ben Gourion. En 2017, Yitzik a créé Bizmax, un centre d’affaires novateur pour les hommes Haredi à Jérusalem. Ce centre est géré en collaboration avec la Fondation Kemach, l’Autorité de développement de Jérusalem et la Fondation Achim.

Le centre d’affaires Bizmax sert de communauté et de centre d’affaires dédié à la communauté Haredi. Son objectif est de cultiver et de soutenir les travailleurs indépendants, les propriétaires d’entreprises et les entrepreneurs, et de les aider à faire passer leurs entreprises au niveau supérieur de succès et de productivité.

Avant de fonder Bizmax, Yitzik était le fondateur et PDG d’iSale, une start-up qui fournissait une plateforme de vente guidée mobile, alignant les ventes sur le terrain avec les objectifs de l’entreprise en fournissant aux vendeurs des informations cruciales liées aux ventes et un soutien aux transactions, augmentant ainsi l’efficacité et les taux de clôture des ventes. iSale a été acquise par ExecuTech en 2016.

Avant iSale, Yitzik a travaillé en tant que manager dans plusieurs entreprises Hi-Tech et a été le cofondateur du forum Haredi Hi-Tech, ainsi que le cofondateur et associé directeur de l’incubateur de Beney-Braq. Ces expériences témoignent de son engagement envers l’innovation et le soutien aux entrepreneurs de la communauté Haredi dans le secteur de la technologie.

 

La famille Futerfas commence la rédaction d’un livre complet sur le Rav Mendel Futerfas

La famille Futerfas commence la rédaction d’un livre complet sur le Rav Mendel Futerfas

 

 

Selon les instructions du Rabbi à l’influent Rav Mendel Futerfas de publier un livre sur le récit de sa vie, un projet qu’il a commencé mais n’a jamais achevé, la famille élargie Futerfas, dirigée par son fils Rav Berel Futerfas, a décidé de publier un livre complet sur sa vie et ses Farbrenguen. Au fil des années, plusieurs livres ont été publiés, mais aucun livre complet n’a encore été publié reflétant le récit de sa vie, rempli de dévouement et d’activités pour renforcer le judaïsme.

La famille invite ses nombreux étudiants à envoyer du matériel, des histoires et des souvenirs pour le livre, ainsi que des enregistrements de ses nombreux rassemblements, si disponibles.

Le livre couvrira la vie de Rav Mendel Futerfas, incluant son enfance à Kharkov et Ekaterinoslav, ses visites chez les précédents Rebbes, ses études dans les Yéchivot clandestines, ses activités pour soutenir les Yéchiva, la période de la Seconde Guerre mondiale, l’évasion célèbre de Lvov, son emprisonnement et interrogatoires, son séjour dans le camp du Goulag en Sibérie, les années après sa libération et la continuation de son combat pour renforcer le judaïsme à Tchernovits et Samarkand, ses efforts pour quitter la Russie, son arrivée chez le Rabbi, ses activités en Angleterre pour l’éducation juive et les Juifs de Russie, son voyage annuel avec Rabbi Shmuel Dovid Raichik, l’instruction surprenante de devenir un mentor à Kfar Chabad, plus de 20 ans d’influence dans la yeshiva, son engagement dans les affaires concernant la Terre Sainte selon les instructions du Rabbi et sa dernière année en Angleterre.

Les années de vie de Rabbi Mendel, dont le Rabbi a écrit qu’il était l’un des meilleurs liés aux Rebbes de Habad, ainsi que ses rassemblements, histoires et paraboles, sont une source d’inspiration et d’éducation pour l’ensemble de la nation juive, en particulier pour les hassidim de Habad et les étudiants de la yeshiva.

Le projet de publication du livre est dirigé par la famille par Rabbi Yosef Yitzchak Kretz et le centre de coordination est dirigé par Rabbi Israël Elfenbein.

La famille demande aux nombreux étudiants d’envoyer des documents pour le livre et des enregistrements de ses rassemblements, le cas échéant, à l’adresse e-mail suivante : [email protected]

Vous pouvez également envoyer des messages au numéro WhatsApp : +1 718 8994 316

Biographie du Rav Mendel Futerfas

Reb Menachem Mendel Futerfas (1906-1995) était un Hassid renommé, disciple du Rabbi précédent et du Rabbi actuel. Il se distinguait comme l’un des meilleurs étudiants du célèbre Mashpia, Reb Zalman Moishe HaYitzchaki. Ayant ouvert des Talmud Torah en URSS, il fut incarcéré pendant 14 ans dans les goulags de Sibérie.

Une fois libéré et sorti de Russie, le Rabbi de Loubavitch, Menachem Mendel Schneerson, lui demanda de servir de Mashpia à la Yeshiva de Tomchei Temimim, située à Kfar Chabad en Israël. Arrivé à l’été 1973, ses Farbrengens étaient célèbres et il devint une figure légendaire du village.

Malgré les conditions épouvantables de sa détention, Reb Mendel trouvait des solutions pour respecter la cacherout et le Chabbat. Il avait réussi à ne jamais travailler le Chabbat et avait toujours au moins trente grammes de Matsa Chmoura pour le premier jour de Pessa’h.

Après avoir rejoint sa famille à Londres, il s’installa en Israël où il enseignait à la Yechiva Loubavitch de Kfar Habad. Il encourageait chacun à développer des sentiments ‘hassidiques, qui lui avaient permis de survivre dans les pires conditions.

Reb Mendel participa activement à la campagne des Téfilines lancée par le Rabbi en 1967. Malgré son âge avancé et sa difficulté à marcher, il s’engageait avec ferveur pour mettre les Téfilines à d’autres Juifs, compensant ainsi les occasions manquées lors de sa captivité et affirmant son attachement au Rabbi.

En plus d’ouvrir des écoles juives clandestines en URSS, Reb Mendel fut également Machpia dans la Yechiva Tom’hei Temimim de Kfar Chabad. Il quitta ce monde le 4 Tamouz 5755, soit le 2 juillet 1995, et fut enterré à Londres.

Il était connu pour raconter des histoires, notamment de son incarcération, et tirer des leçons de tout ce qu’il avait vécu. Il raconta une fois l’histoire des prisonniers qui jouaient aux cartes et cachaient ces dernières dans la poche du gardien lorsqu’il entrait. Le Rav Futerfas en tira la leçon que souvent nous cherchons loin ce que nous voulons, alors qu’il se trouve dans notre poche.