Barouh Dayan Haemet : Yehouda Leib Shomer a’h, 32 ans, a quitté ce monde Roch Hodech Nissan 5783

Barouh Dayan Haemet : Yehouda Leib Shomer a’h, 32 ans, a quitté ce monde Roch Hodech Nissan 5783

C’est avec une grande tristesse que nous avons appris le décès prématuré de l’enseignant Yehouda Leib Shomer, âgé de seulement 32 ans lors de son décès.

Yehouda Leib Shomer était un éducateur dévoué dans la communauté Habad de Pittsburgh, en Pennsylvanie.

Il laisse derrière lui son épouse et ses deux filles.

Le défunt, originaire de Toronto, Canada, a enseigné dans des Yéchivot et des écoles Habad à Pittsburgh, Pennsylvanie. Il était connu pour son engagement envers l’éducation et pour donner ses cours de manière créative et captivante.

A l’approche de Pessa’h: 800 Temimim au ‘jour de réflexion’ du ‘Merkaz Chli’hout’

A l’approche de Pessa’h: 800 Temimim au ‘jour de réflexion’ du ‘Merkaz Chli’hout’

A l’approche de Pessa’h, un jour de réflexion a eu lieu auquel ont participé environ 800 « Temimim » avant de partir pour diriger les Seder de Pessa’h dans le monde entier. Le Rav Moshe Kotler, directeur du « Centre pour les affaires d’éducation », a déclaré: « Le Rabbi nous a confié la responsabilité d’apporter Pessa’h à tout Juif ».

A l’approche de Pessa’h, un jour de réflexion a eu lieu auquel ont participé environ 800 « Temimim » avant de partir pour diriger les Seder de Pessa’h dans le monde entier. Les jeunes ont été invités à remplir un questionnaire approfondi et à passer un entretien personnel avec le Rav Moses Kotler, directeur du « Centre pour les affaires d’éducation ».

Au cours de l’entretien, les jeunes devaient révéler leur connaissance des questions halakhiques de base et de la formation de cuisinier. Dans les Beth Habad du monde entier, il est rapporté qu’ils s’attendent à ce que cette année soit la plus importante en termes de participation aux Seder de Pessa’h, et les jeunes Chlou’him apporteront une réponse et aideront les Chlou’him dans la gestion des Sedarim de Pessa’h. Un emplacement important est Habad en Thaïlande, connu pour son grand « ordre », où il est prévu de participer à un ordre proche de 7 000 Juifs cette année.

En plus de la Thaïlande, les jeunes seront envoyés aux destinations telles que le Brésil, le Nigéria, le Zambie et l’Europe. Dans le cadre de la guerre, de nombreux envoyés en Europe hébergeront des milliers de réfugiés ukrainiens pendant ce Pessa’h.

Du point de vue de la logistique et de la coordination avec des centaines de jeunes voyageant vers des endroits différents dans le monde, il s’agit d’une tâche de grande ampleur. Cependant, comme l’explique le Rav Kotler, « Le Rabbi nous a confié la responsabilité d’apporter Pessa’h à tout Juif. Si même une seule personne ne pouvait pas célébrer Pessa’h comme il se doit, il y aura un Seder de Pessa’h conforme à la Halakha, tout vaut la peine ».

L’équipe du « Merkaz Chli’hout » travaille jour et nuit pour organiser la logistique et la préparation pour cette opération.

 

Le Rav Meir Porush, ministre des Affaires de Jérusalem et de la Tradition juive, s’est rendu au Ohel du Rabbi

Le Rav Meir Porush, ministre des Affaires de Jérusalem et de la Tradition juive, s’est rendu au Ohel du Rabbi

Le Rav Meir Porush, ministre des Affaires de Jérusalem et de la Tradition juive et homme politique israélien, a récemment effectué une visite spéciale au Ohel du Rabbi de Loubavitch à Queens, New York. Membre de la coalition Judaïsme unifié de la Torah, le Rav Porush est une figure importante dans la politique israélienne et la communauté religieuse.

Né le 15 juin 1955 à Jérusalem, le Rav Meir Porush est issu d’une lignée de Ravs et d’hommes politiques. Son père, le Rav Menachem Porush (1916-2010), a été membre de la Knesset. Éduqué dans une yeshiva, le Rav Meir Porush a travaillé pour la commune de Jérusalem avant de se lancer dans la politique.

Élu à la Knesset en 1996, le Rav Porush a occupé plusieurs postes ministériels au cours de sa carrière, notamment dans les gouvernements de Benyamin Netanyahu et d’Ariel Sharon. Il a travaillé au ministère du Logement durant le gouvernement de Netanyahu et au ministère du Logement et de la Construction durant le gouvernement d’Ariel Sharon. Il a conservé son siège aux élections de 2003 et 2006, mais n’a pas servi dans le cabinet depuis 2003.

En 2005, Porush a suscité une controverse en déclarant que le Premier ministre Ariel Sharon lui rappelait Benito Mussolini. Il a également appelé Israël à renoncer à ses armes nucléaires.

Porush a été candidat à la mairie de Jérusalem en 2008, mais a perdu l’élection face au laïc Nir Barkat. Il a conservé son siège de député aux élections de 2009 et a été nommé au ministère de l’Éducation. Toutefois, il en a démissionné le 6 février 2011 dans le cadre d’un accord de rotation du siège.

Élu à la 20e Knesset en mars 2015, le Rav Meir Porush a dû laisser sa place à Ya’akov Asher en mai 2016 en raison d’un accord au sein de la coalition Judaïsme unifié de la Torah. Il a ensuite été nommé ministre délégué à l’Éducation de 2015 à 2021. En décembre 2022, il a été nommé ministre des Affaires de Jérusalem et de la Tradition juive.

Visite au Ohel du Rabbi à Queens

En tant que ministre des Affaires de Jérusalem et de la Tradition juive et ministre des Affaires de Jérusalem et de la Tradition juive, la visite de Le Rav Meir Porush au Ohel du Rabbi de Loubavitch à Queens revêt une importance particulière. La prière qu’il a prononcée sur place témoigne de son engagement envers la préservation et la promotion de la tradition et de l’héritage juifs, ainsi que de son rôle de leader au sein de la communauté religieuse.

Le Rav Meir Porush vit à Jérusalem avec sa femme et leurs douze enfants. Fidèle à ses racines et à sa foi, il continue d’œuvrer pour la préservation et la transmission des valeurs juives à travers ses responsabilités politiques et religieuses.

Le Rav Meir Porush est une personnalité marquante de la politique et de la vie religieuse en Israël. Sa carrière politique, jalonnée de divers postes ministériels, témoigne de son engagement en faveur de la tradition juive et de l’éducation. Sa récente visite au Ohel du Rabbi de Loubavitch à Queens souligne l’importance qu’il accorde à la préservation de l’héritage juif et à son rôle de leader au sein de la communauté religieuse. En tant que ministre des Affaires de Jérusalem et de la Tradition juive et ministre des Affaires de Jérusalem et de la Tradition juive, le Rav Porush continue de contribuer au rayonnement de la culture et de la foi juives en Israël et dans le monde.

Hassidout pour les enfants – Vayikra #5: «Vous pouvez commencer à changer notre monde pour le meilleur !»

Hassidout pour les enfants – Vayikra #5: «Vous pouvez commencer à changer notre monde pour le meilleur !»

Rubrique réalisée par Réouven Bennaïm
Beth Habad des enfants de Perpignan – « Tsivot Moshiah »

Léilouy Nishmat Rav MORDE’HAÏ (Mottel) a’h PEVZNER
Chalia’h du Rabbi à Perpignan pendant 17 ans

 

РУССКИЙ 🇷🇺

Вы можете начать менять наш мир к лучшему уже сегодня, и, неважно, насколько малы ваши действия. Бейт Хабад Детей Перпиньяна

К чему мне жертвы ваши? Заповедь о жертвоприношении как пробный камень понимания духа иудаизма Р-н Александр Фейгин

Мы склонны считать эпоху, в которую живем, пиком здравомыслия и просвещения. Это забавно, но простительно: так думали о своем времени все поколения. К примеру, мы морщим нос, читая о жертвоприношениях. Это не для нас, это из примитивной древности! А вот и голоса из древности: « Неужели всесожжения и жертвы желанны Всевышнему, как и послушание гласу Всевышнего? « К чему Мне множество жертв ваших? – говорит Всевышний ». Это не цитаты из интервью современного гуманиста, это слова пророков Шмуэля и Йешаягу.

Стало быть, подобное отношение к жертвам – не наше изобретение. И для великих мудрецов прошлого этот вопрос был куда как непрост: Рамбам в « Мишне Тора » говорит о том, что в будущем, с приходом Машиаха, будут возобновлены жертвоприношения. А в « Путеводителе заблудших » он же говорит о жертвоприношениях как об уступке Торы человеческим слабостям.

Именно эта неоднозначность « кровавого » служения в Храме (Розанов пишет: « Если израильский Б-г любит « обонять запах жертв », то евреи неужели же этого не любят? Всем им хочется крови ягненка ли, Ющинского ли ») должна заставить нас глубже разобраться в теме главы Торы « Вайикра ».

« …Когда человек [пожелает] принести от вас жертву Б-гу… » (Вайикра, 1:2). Человек должен приносить в жертву « от себя », часть себя. Часть своего ли горячо любимого имущества (ох, как больно!), часть ли своего « Я ». И если пролитие крови жертв в Храме оказывается просто ритуалом и не отрывает « с мясом » от нас, любимых, куски гордыни и самодовольства, тогда и звучат слова пророка: « К чему Мне множество жертв ваших? – говорит Всевышний ».

Но здесь, может быть, стоит остановиться и подумать. Только ли о жертвах мы говорим? Скажем, молитва многим представляется более совершенным, духовным, нежели жертвоприношение. Но что, если она превращается в автоматическое бормотание? Или благотворительность, великое дело: а если человек дает деньги бедным, чтобы прославиться своими добродетелями? Что, если возложение тфилин превращается в бессмысленное наматывание ремешков? А соблюдение субботы – в томительное ничегонеделанье?

Первое побуждение – ответить на поставленный вопрос так: любой акт праведности, любой путь служения должен быть основан на глубоком внутреннем настрое души (кавана). Иначе и молитва, и благотворительность, и жертвы – все превращается в механическое бездуховное действие. И тогда Всевышний говорит вместо « К чему Мне множество жертв ваших? » – « К чему Мне множество молитв ваших? »

Сказанное более чем тривиально. Более того, рассуждения о необходимости каваны можно встретить (в других терминах) и вне иудаизма.

Рассуждения эти верны, но недостаточны: некоторые могут плавно развить их в совсем уж нееврейскую идею о том, что лучше искренне ничего не делать, чем автоматически или неискренне делать нечто. Недаром у евреев бытует ироничная пословица: « Лучше быть здоровым и богатым, чем бедным и больным ». Действительно, лучше с рвением соблюдать заповеди, чем без рвения ими пренебрегать. Но жизнь не вписывается в черно-белый расклад. Она сложнее и часто задает вопросы вроде: « Каваны нет, желания тоже нет. Исполнить заповедь или ну ее? » Иудаизм однозначно отдает предпочтение действию. Сопровождается оно каваной – отлично. Нет – есть надежда, что за действием придет и понимание, и желание, и радость.

Все это напрямую не связано с жертвоприношениями, Но именно заповедь о принесении жертв может служить пробным камнем понимания духа иудаизма. Тот, кто принимает заповеди как указание к действию, понятны ли они ему или нет, вызывают ли отклик в сердце или нет, – тот и к жертвам Храме отнесется, как к должному. Тот, кто привык сортировать заповеди на симпатичные ему лично и не симпатичные, а значит, необязательные, первым делом отреагирует на « маргинальность » жертвоприношений. Потому-то первым, что удалили реформисты из молитвенника, были именно тексты о жертвоприношениях. Вот только из Торы их удалить не удалось.

« Vous pouvez commencer à changer notre monde, chaque jour, pour le MEILLEUR, même avec une petite action ! »

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HAYOM YOM de ROCH HODECH NISSAN


On ne fait pas ta hanoun de tout le mois de Nissan !

Pendant les deux premières semaines de Nissan, on lit le « nassi » chaque jour.

Un nassi est un prince, le chef d’un chevet. Chaque nassi était le chef de son propre chevet. Pour le ‘hanoukat hamichkan, chaque nassi amenait des cadeaux au michkan. Chaque nassi avait son tour lors d’un jour de Nissan, et ce jour-là on lit son korban. Chevet Levi navait pas part à ces korbanot.

Après avoir lu le nassi, on fait un yehi ratson qui dit : « Si je suis de cette chevet, je dois recevoir toute la kedoucha qui était amenée par ce korban ».

Le Rabbi Rachab a dit à son beau-frère Reb Moché Horenstein, qui était

un cohen, de faire le yehi ratson dans tous les cas, bien qu’un cohen SACHE qu’il provient de la chevet Levi ne faisant pas ces korbanot ! En effet, chaque Juif est lié par quelque chose qu’on appelle « ibour ». Même si tu n’es pas de cette chevet, tu peux tout de même en recevoir la kedoucha !



Illustration du Hayom Yom : [email protected]

 


HOUMACH


Le Houmach d’aujourd’hui nous parle d’un autre type de Korban Nedava que les personnes peuvent offrir à Hashem. Il s’agit d’un Korban Shelamim. Rashi dit que ce korban est appelé Shelamim de la parole Shalom, car quelqu’un qui apporte ce korban apporte le Shalom dans le monde. Il est appelé Shelamim, de nombreux Shaloms, car il apporte le Shalom à tout et à tous impliqués dans le korban. Le Mizbea’h en reçoit une partie, le kohen en reçoit une partie et les personnes qui apportent le korban en reçoivent également une partie.

Les personnes peuvent apporter un Korban Shelamim à partir de 3 types d’animaux: n’importe quelle sorte de vache, ou un mouton ou une chèvre. Bien sûr, aucun d’entre eux ne peut avoir de mum, aucune blessure ou quoi que ce soit de mal.

Une partie de l’animal est brûlée sur le Mizbea’h, y compris tout le cheilev, une certaine sorte de graisse qui se trouve à l’intérieur d’un animal.

La Torah nous rappelle que même si le ‘Helev, la graisse est apporté en tant que partie d’un Korban, les Juifs ne sont pas autorisés à manger du ‘Helev ou du sang!


TEHILIM


Lors des farbrengens, le Rebbe parlait souvent de choses qui devaient être corrigées à notre époque.

Lors d’un farbrengen de Chai Elul, le Rebbe a parlé de la Minhag des Juifs de dire Tehilim en cas de difficulté. Comme nous l’avons appris hier, en plus de dire Tehilim en de telles circonstances, nous devrions également faire de la Tsedaka en même temps.

Mais pourquoi cela n’était-il pas inclus dans la minhag auparavant ?

Le Rabbi explique que, à de nombreuses époques passées, beaucoup de Juifs étaient extrêmement pauvres. Ils avaient à peine assez de pain pour manger ou une chemise qui n’était pas déchirée. Ils n’avaient même pas un sou de plus à donner en Tsedaka !

De nos jours, nous ne sommes pas tous riches. Mais chacun peut donner au moins QUELQUE CHOSE en Tsedaka.

Ainsi, de nos jours, nous ne devrions pas seulement dire Tehilim en cas de difficulté, nous devrions également faire de la Tsedaka, en demandant à D. de nous éloigner de nos difficultés et de nous apporter une yeshuah !


TANYA


Dans la Tanya d’hier, nous avons appris sur les bénéfices de l’apprentissage de la Torah, qui est plus important que TOUTES les Mitsvot! Cependant, si une Mitsva doit être accomplie et qu’il n’y a personne d’autre pour la faire, la Hala’ha est qu’une personne doit arrêter d’apprendre la Torah et aller accomplir la Mitsva.

C’est parce que les Mitsvot transforment le monde en une Dira Betachtonim et c’est la raison pour laquelle l’âme est entrée dans le monde! Si personne d’autre ne peut accomplir cette Mitsva, nous devons arrêter d’apprendre et nous assurer que le monde peut devenir une Dira Betachtonim!

Mais si quelqu’un d’autre peut accomplir la Mitsva, nous ne devrions pas arrêter d’apprendre, en raison de la bénédiction de la Torah. La Torah fait briller la lumière de Hashem dans l’âme de manière encore plus élevée que les Mitsvot ne peuvent le faire!

Le Rebbe a une fois utilisé cette Hala’ha dans une lettre pour expliquer pourquoi les Hassidim de Lubavitch ne restent pas en kollel pendant de nombreuses années après leur mariage. Au lieu de cela, ils partent en mission. Comme il n’y a pas assez de personnes accomplissant l’importante Mitsva de rappeler les Juifs à leur judaïsme, ils ne peuvent pas simplement s’asseoir et apprendre la Torah – il y a une Mitsva importante en attente et pas assez de personnes pour la faire!


SEFER HAMITSVOT


Mitsva positive #246
Dans la Mitsva d’aujourd’hui, nous apprenons (comme ces derniers jours) que si des personnes ont un litige concernant de l’argent ou des biens, alors le Beis Din a une Mitsva de décider ce qui doit être fait, selon les règles de la Torah.

 

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LES DOUZE PSOUKIM (à apprendre par coeur)


1 – Torah TORAH TSIVA LANOU MOCHÉMORACHA KÉHILAT YAAKOV.

תּוֹרָה צִוָּה לָנוּ מֹשֶׁה מוֹרָשָׁה קְהִלַּת יַעֲקֹב

“La Torah que Moïse nous a ordonnée est l’héritage de la Communauté de Jacob” (Deut. 33:4)

C’est Moïse, le fidèle serviteur de D.ieu qui nous a transmis la Torah. Et chaque Juif, garçon ou fille, la reçoit pour lui-même. Qu’il l’ait étudiée durant des années ou qu’il n’en connaisse qu’un tout petit peu, Elle lui appartient, pour l’apprendre et la mettre en pratique. C’est le plus beau cadeau que D.ieu pouvait nous faire.


2 – Chéma Israël CHEMA Israël ADO-NAY ELO-HÉNOU ADO-NAY É’HAD..

שְׁמַע יִשְׂרָאֵל ה’ אֱ־לֹהֵינוּ ה’ אֶחָד

Ecoute Israël, l’Eternel est notre D.ieu, l’Eternel est Un.

C’est Moïse, le fidèle serviteur de D.ieu qui nous a transmis la Torah. Et chaque Juif, garçon ou fille, la reçoit pour lui-même. Qu’il l’ait étudiée durant des années ou qu’il n’en connaisse qu’un tout petit peu, Elle lui appartient, pour l’appr-endre et la mettre en pratique. C’est le plus beau cadeau que D.ieu pouvait nous faire.


3 – Bé’hol Dor Vador BÉ’HOL DOR VADOR ‘HAYAV ADAM LIROT ETE ATSMO KE-ILOU HOU YATSA MIMITSRAYIM

בְּכָל דּוֹר וָדוֹר חַיָּב אָדָם לִרְאוֹת אֶת עַצְמוֹ כְּאִלּוּ הוּא יָצָא מִמִּצְרַיִם

“Dans chaque génération, il faut se considérer comme sorti soi-même d’Egypte.

Il y a quelques 3500 ans, Hachem nous a fait sortir d’Egypte. Il nous a fait passer de l’esclavage à la liberté. Et, si Hachem ne l’avait pas fait, nous serions encore des esclaves aujourd’hui. Aussi, chaque jour, nous remercions D.ieu de nous avoir libérés. Et, dans notre cœur, nous promettons d’utiliser notre liberté du mieux possible, comme les serviteurs choisis du Roi des rois.


4 – Kol Israël KOL ISRAEL YECH LAHEM ‘HÉLEK LÉOLAM HABA CHÉNÉÉMAR VÉAMÈ’H KOULAM TSADIKIM LÉOLAM YIRCHOU ARETS NÉTSER MATAAÏ MAASSÉ YADAÏ LEHITPAERE.

בכָּל יִשְׂרָאֵל יֵשׁ לָהֶם חֵלֶק לְעוֹלָם הַבָּא, שֶׁנֶּאֱמַר: וְעַמֵּךְ כֻּלָּם צַדִּיקִים לְעוֹלָם יִירְשׁוּ אָרֶץ, נֵצֶר מַטָּעַי מַעֲשֵׂה יָדַי לְהִתְפָּאֵר

Tous les Juifs ont une part dans le monde futur, comme il est dit : « Dans Ton peuple, il n’y a que des Justes. Ils hériteront de la terre pour toujours. Ils sont le produit de Mes plantations, l’œuvre de Mes mains. Et, J’en suis fier. «

D.ieu est particulièrement fier de chaque Juif. Il nous a créés et Il prend soin de nous comme un jardinier prend soin d’une jeune plante. Et, comme nous grandissons, en étudiant Sa Torah, en faisant Ses Mitsvot extraordinaires, alors D.ieu nous prépare une place dans le Monde Futur, à côté d’Avraham, d’Its’hak, de Yaakov, de Moché, du roi David et de tous les grands hommes de notre histoire.


5 – Ki Karov KI KAROV ÉLÉ’HA HADAVAR MÉOD BÉFI’HA OUVILVAV’HA LAASSOTO.

כִּי קָרוֹב אֵלֶיךָ הַדָּבָר מְאֹד בְּפִיךָ וּבִלְבָבְךָ לַעֲשׂוֹתוֹ

Obéir à la Torah en paroles, en pensée et en action, tout cela est à ta portée.

Tu sais, la Torah n’est pas dans le ciel. Elle est ici, sur terre, toute proche, facile à étudier et à pratiquer. Elle est à ta portée, aussi proche que la synagogue du coin de la rue, aussi proche que le livre que je tiens dans la main ou la phrase de Torah que je connais par cœur, ou encore que le bonheur que je ressens au fond de moi. En fait, la Torah, c’est tout ce que je veux vraiment. C’est comme cela que Hachem m’a fait.


6 – Véhiné Hachem VÉHINÉ Hachem NITSAV ALAV OUMELO KOL HAARETS KEVODO OUMAVIT ALAV OUVO’HEN KÉLAYOT VALEV IM OVDO KARAOUÏ.

וְהִנֵּה ה’ נִצָּב עָלָיו וּמְלֹא כָּל הָאָרֶץ כְּבוֹדוֹ וּמַבִּיט עָלָיו וּבוֹחֵן כְּלָיוֹת וָלֵב, אִם עוֹבְדוֹ כָּרָאוּי

D.ieu se tient au-dessus de lui, et toute la terre est pleine de Sa gloire. Il regarde au fond de son esprit et de son cœur pour voir s’il Le sert comme il convient.

Imagine que tu sois dans le palais d’un roi. Autour de toi, tout est magnifique : les pièces, les murs, les meubles. Des princes et des gouverneurs, habillés d’or et d’argent, se tiennent debout avec respect, attendant d’obéir à l’ordre du roi ou simplement de le voir. Imagine que tu passes au milieu d’eux et, tout à coup, tu te trouves devant le roi. Personne ne dit un mot. Comme tu approches, il te regarde avec un grand intérêt. Imagine l’effet que cela ferait ! Eh bien, c’est exactement ainsi que nous nous tenons à tout instant devant Hachem, le Roi du monde entier.


7 – Béréchit BERECHIT BARA ELO-HIM ETE HACHAMAYIM VEETE HAARETS.

בְּרֵאשִׁית בָּרָא אֱ-לֹהִים אֵת הַשָּׁמַיִם וְאֵת הָאָרֶץ

Au commencement, D.ieu créa le ciel et la terre.

D.ieu a créé tout l’univers : les cieux et tout ce qui s’y trouve, la terre et tout ce qui y vit. C’est la toute première chose que la Torah nous dit. Aussi, si jamais nous avons peur du noir, de la tempête, du froid, des gens et si rien ne semble aller comme cela devrait, la Torah nous dit de ne pas en être effrayé. Hachem a créé l’univers et Il en prend soin. Et, Il nous a donné la Torah pour faire que les choses soient comme elles doivent être. La Torah nous dit ce que nous devons faire et comment nous pouvons rendre, la terre meilleure et plus sainte. Et quand D.ieu voit que nous nous conduisons bien, alors Il nous donne la réussite et Sa bénédiction.


8 – Véchinanetam Lévané’ha VÉCHINANETAM LÉVANÉ’HA VÉDIBARTA BAM BÉCHIVTÉ’HA BÉVÉTÉ’HA OUVLE’HTÉ’HA VADÉRÈH OUVCHO’HVÉ’HA OUVKOUMÉ’HA.

וְשִׁנַּנְתָּם לְבָנֶיךָ וְדִבַּרְתָּ בָּם בְּשִׁבְתְּךָ בְּבֵיתֶךָ וּבְלֶכְתְּךָ בַדֶּרֶךְ וּבְשָׁכְבְּךָ וּבְקוּמֶךָ

Et tu enseigneras la Torah à tes enfants, et tu en parleras chez toi et en voyage, avant de te coucher et quand tu te lèveras.

La Torah s’adresse à nos parents. Elle leur dit : « Papa, maman, enseignez-moi à vos enfants. Je veux qu’ils connaissent mes saints mots ». Nous aussi, il faut que nous disions à nos parents : « Papa, maman, faites la meilleure chose que vous puissiez faire pour moi: apprenez-moi la Torah. Apprenez-moi les phrases de la Torah avec soin jusqu’à ce que je m’en souvienne toujours, à la maison ou sur le chemin, en allant dormir ou en me levant ». Si nous le demandons du fond du cœur, de la manière que l’on utilise pour demander les choses que l’on veut vraiment, nos parents nous écouteront. Ils nous enverront dans une colonie de vacances dirigée selon la Torah et dans une école où nous apprendrons la Torah, les Mitsvot et tout le Judaïsme.


9 – Yagati Oumatsati YAGATI VÉLO MATSATI AL TAAMINE. LO YAGATI OUMATSATI AL TAAMINE. YAGATI OUMATSATI TAAMINE.

ויָגַעְתִּי וְלֹא מָצָאתִי – אַל תַּאֲמִין, לֹא יָגַעְתִּי וּמָצָאתִי – אַל תַּאֲמִין, יָגַעְתִּי וּמָצָאתִי – תַּאֲמִין

Si l’on te dit: « j’ai travaillé dur, mais je n’ai pas réussi », ne le crois pas. Si l’on te dit: « je n’ai pas travaillé dur, mais j’ai réussi », ne le crois pas. Si l’on te dit : « j’ai travaillé dur et j’ai réussi », tu peux le croire.

S’il arrive qu’un jour on n’agisse pas exactement comme il faudrait et que l’on ne se sente pas assez fort pour continuer d’étudier la Torah et de pratiquer les Mitsvot, alors il faudra se souvenir de la promesse de Hachem : Si nous essayons encore et encore plus, le mieux possible, alors finalement nous réussirons. Et ce que nous obtiendrons à ce moment-là dépassera tout ce que nous avions imaginé.


1 0 – Véahavta VÉAHAVTA LÉRÉA’HA KAMO’HA. RABBI AKIVA OMER: ZÉ KLAL GADOL BATORAH.

וְאָהַבְתָּ לְרֵעֲךָ כָּמוֹךָ – רַבִּי עֲקִיבָא אוֹמֵר, זֶה כְּלָל גָּדוֹל בַּתּוֹרָה

Rabbi Akiva dit que « tu aimeras ton prochain comme toi-même » est un principe de base de la Torah.

Quand nous travaillons dur pour nous améliorer, il ne faut pas oublier nos amis et nos voisins. Comme l’a dit Rabbi Akiva, il faut aimer son prochain exactement comme on s’aime soi-même. C’est le plus important de tout ce que nous apprenons. Aussi, si nous avons la chance d’étudier la Torah, nous devons travailler dur pour aider nos amis juifs à la pratiquer eux aussi.


11 – Vézé Kol Haadam VÉZÉH KOL HAADAM VÉTA’HLIT BRIATO OUVRIAT KOL HAOLAMOT ÉLYONIM VETA’HTONIM LIHYOT LO ITBARE’H DIRA BETA’HTONIME.

וְזֶה כָּל הָאָדָם וְתַכְלִית בְּרִיאָתוֹ וּבְרִיאַת כָּל הָעוֹלָמוֹת, עֶלְיוֹנִים וְתַחְתּוֹנִים, לִהְיוֹת לוֹ יִתְבָּרֵךְ דִּירָה בְּתַחְתּוֹנִים

Rabbi Akiva dit que « tu aimeras ton prochain comme toi-même » est un principe de base de la Torah.

Pourquoi D.ieu a-t-il créé chacun d’entre nous et l’univers tout entier ? Pour qu’en respectant la Torah et les Mitsvot, nous puissions faire de nous-mêmes, de nos maisons et du monde qui nous entoure un endroit où D.ieu puisse résider, un endroit où Il vivra exactement comme nous vivons dans nos maisons


12 – Yisma’h Israël YISMA’H ISRAEL BÉOSSAV PÉROUCH CHÉKOL MI CHÉHOU MIZÉRA ISRAEL YECH LO LISMOA’H BESIM’HAT Hachem ACHER SAS VÉSAMEA’H BÉDIRATO BÉTA’HTONIM.

יִשְׂמַח יִשְׂרָאֵל בְּעוֹשָׂיו, פֵּרוּשׁ שֶׁכָּל מִי שֶׁהוּא מִזֶּרַע יִשְׂרָאֵל יֵשׁ לוֹ לִשְׂמֹחַ בְּשִׂמְחַת ה’, אֲשֶׁר שָׂשׂ וְשָׂמֵחַ בְּדִירָתוֹ בְּתַחְתּוֹנִים

« Les Juifs doivent se réjouir de leur Créateur ». Cela signifie que chaque Juif doit partager la joie de D.ieu, qui est heureux de Sa demeure dans ce monde.

Chaque Juif, quoi qu’il ait étudié jusqu’à présent, où qu’il ait vécu jusqu’ici, reste toujours un membre de notre peuple. Et il doit être heureux et fier que Hachem lui ait donné la plus grande mission du Monde : faire une Maison où D.ieu puisse habiter.



PARENTS ! 
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Hayom Yom du 1er Nissan : dire le « Yehi Ratson » suivant la lecture du Nassi

Hayom Yom du 1er Nissan : dire le « Yehi Ratson » suivant la lecture du Nassi

אאמו »ר [הרש »ב] ציוה לגיסו הרמ »ה [הר’ משה הורנשטיין] הכהן לאמר ה »יהי רצון » שאחר ה »נשיא », ואמר לו כי אפילו כהן ולוי [שהינו ודאי משבט לוי] צריך לאומרו, [אף שמוזכר שם « ואם אני משבט (פלוני).. » המשתנה בכל יום ומתייחס לשבטו של הנשיא של אותו יום – ] כי זה שייך לעיבור [=נשמה משבט אחר המתעברת בנשמתו].

 

ROCH ‘HODECH

Mon père (le Rabbi Rachab) demanda à son beau-frère, Rabbi Moché Horenstein, qui était un Cohen, de dire le « Yehi Ratson » suivant le Nassi. Il lui expliqua qu’un Cohen ou un Lévi doivent également le dire car du fait de la gestation d’une âme à l’intérieur d’une autre.