1. Le Nigun de Hayim Naftalin de la Yéchiva de Lod
2. Le Nigun du Shneor Zalman Goshen de la Yéchiva de Lod
Pour écouter la version YouTube :
À l’approche du 11 Nissan 5783, marquant le 121e anniversaire de la naissance du Rabbi, plusieurs compositeurs publient leurs créations dédiées au Téhilim du Rabbi, que tous les hassidim récitent quotidiennement, le chapitre 122. Il est bien connu que le Rabbi encourageait la création de chants pour son anniversaire chaque année, et les « Nigunim » (chants) pour le chapitre sont devenus un élément précieux du patrimoine hassidique de Habad. Plusieurs années après le 3 Tamouz, la tradition de composer des chants dédiés au Rabbi est perpétuée par les hassidim jusqu’à aujourd’hui.
Les nigunim qui sont publiés ces jours-ci pour le public vise à renforcer les liens spirituels entre les hassidim et le Rabbi, et à perpétuer les enseignements et les valeurs du mouvement Habad-Loubavitch.
En créant de nouveaux chants pour le 11 Nissan, les compositeurs et les chanteurs expriment leur créativité et leur engagement envers la spiritualité et les valeurs hassidiques. Les nigunim servent également à inspirer et à élever les âmes, en offrant une expérience spirituelle profonde et un sentiment d’unité parmi les hassidim.
En récitant chaque jour le chapitre 122 des Psaumes et en chantant les nigunim dédiés, les hassidim renforcent leur attachement avec le Rabbi et ses enseignements, tout en approfondissant leur engagement envers la spiritualité et la croissance personnelle.
1. Le Nigun de Hayim Naftalin de la Yéchiva de Lod
2. Le Nigun du Shneor Zalman Goshen de la Yéchiva de Lod
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Its’hak Vaknin, un homme politique israélien né le 12 mai 1958, a servi en tant que membre de la Knesset pour le parti Shas de 1996 à 2019, et en tant que ministre des Services religieux en 2019 et 2020. Actuellement ministre du Néguev, de la Galilée et de la Résilience nationale, il est membre du parti politique « Puissance juive ». Vaknin a entamé sa visite officielle aux États-Unis en se rendant sous la tente du Rabbi à Queens, à New York. Cette première étape de sa visite a été marquée par une prière pour le succès de sa mission diplomatique.
Selon les informations rapportées, le ministre Its’hak Vaknin, accompagné de sa famille, a été accueilli par son conseiller, le rabbin Yossi Goldberg, et l’envoyé, le rabbin Moshe Shilat. Après avoir écrit et lu une lettre adressée au Rabbi, une réunion hassidique a été organisée sur place pour célébrer cet événement important.
Biographie : Its’hak Vaknin est né au sein d’une famille qui avait immigré du Maroc en 1954. Entre 1982 et 1987, il a été secrétaire du Gornot HaGalil, un établissement communal. En 1988, il est devenu président du comité de Ya’ara, un poste qu’il a occupé jusqu’en 1996. Entre 1988 et 1993, il a également été secrétaire du Conseil régional de Ma’ale Yosef et, de 1993 à 1996, chef de son conseil religieux.
Vaknin a été élu pour la première fois à la Knesset en 1996. Il a conservé son siège lors des élections de 1999 et a été nommé vice-ministre des Communications le 5 août 1999, un poste qu’il a occupé jusqu’au 11 juillet 2000, date à laquelle Shas a démissionné du gouvernement. Après la formation d’un nouveau gouvernement par Ariel Sharon, Vaknin a été nommé vice-ministre du Travail et des Affaires sociales le 2 mai 2001. Il a quitté ce poste le 20 mai 2002, mais y est revenu le 3 juin.
Il a conservé son siège lors des élections de 2003, 2006, 2009, 2013 et 2015. Il a été nommé ministre des Services religieux en janvier 2019, mais n’a pas été candidat aux élections d’avril 2019.
Vaknin est marié et père de cinq enfants. Il réside à Ya’ara.
Lors de sa visite aux États-Unis, le ministre Its’hak Vaknin souhaite renforcer les relations bilatérales entre Israël et les États-Unis, et promouvoir la coopération dans les domaines du développement régional, de la résilience nationale et de la lutte contre le terrorisme. Il est également prévu qu’il rencontre des représentants
du gouvernement américain, des leaders de la communauté juive et des organisations non gouvernementales.
La visite de Its’hak Vaknin intervient à un moment crucial pour les relations israélo-américaines, alors que les deux pays cherchent à renforcer leur alliance stratégique et à faire face aux défis régionaux et internationaux. La prière sous la tente du Rabbi marque un début spirituel et symbolique pour cette visite, soulignant l’importance des valeurs et de la tradition juive dans la diplomatie israélienne.
Après sa prière sous la tente du Rabbi à Queens, une réunion hassidique a été organisée sur place pour célébrer l’événement et partager les enseignements et les valeurs du mouvement hassidique. La réunion a rassemblé des membres de la communauté juive locale ainsi que des représentants du parti « Puissance juive ».
Au cours de sa visite, le ministre Vaknin espère que les discussions et les rencontres avec les responsables américains contribueront à approfondir les liens entre les deux pays et à promouvoir la paix, la stabilité et la prospérité dans la région. Les questions de sécurité, d’économie et d’éducation seront également abordées, ainsi que l’importance du dialogue interculturel et interreligieux.
La visite de Its’hak Vaknin met en lumière la longue histoire de coopération et d’amitié entre les États-Unis et Israël, ainsi que l’engagement continu des deux pays à travailler ensemble pour relever les défis communs. En commençant sa visite par une prière sous la tente du Rabbi, le ministre Vaknin souligne également l’importance de la spiritualité et des traditions dans les relations internationales et la politique israélienne.
Le succès de cette visite dépendra en grande partie de la capacité de Vaknin à nouer des relations solides avec les responsables américains et à trouver des terrains d’entente sur des questions clés. Toutefois, en commençant par un moment de prière et de recueillement, il envoie un message fort sur l’importance des valeurs partagées et de la compréhension mutuelle dans la poursuite de la paix et de la prospérité pour tous.
Chers amis,
Nous tenons à exprimer notre gratitude pour votre soutien sans faille depuis le décès le 5 Adar dernier, à l’âge de 38 ans, de notre chère Sarah. Les Rabbanim se joignent à la famille et aux amis de Sarah Lemel (Altabé) pour assurer que ses enfants ne manqueront de rien.
Sarah était une source d’inspiration pour tous ceux qui l’ont côtoyée grâce à son attention et sa gentillesse. Elle donnait régulièrement aux associations de Hessed et aux appels aux dons pour les institutions.
Elle laisse un mari dévasté et trois enfants adorables, âgés de 7, 5 et 2 ans seulement.
Il n’y a rien de plus important que de répondre aux besoins des orphelins, dont la vie ne sera plus jamais la même après le départ de leur mère. Nous vous remercions infiniment pour votre générosité et votre soutien financier, ainsi que pour l’attention que vous accorderez aux petits Tsadikim.
La campagne est supervisée par les Rabbanim et la famille Altabé en France, et elle s’ajoute à la campagne en Angleterre organisée par la communauté locale.
Que vous soyez bénis et Joyeux Pourim.
C’est avec une profonde tristesse que nous avions appris la disparition de Sarah Beya Ida (Altabé) Lemel, âgée de 38 ans survenue le 5 Adar à Londres, après une longue maladie. Sarah Beya Ida était une femme aimée et respectée de tous ceux qui avaient la chance de la connaître.
Sarah Beya Ida a’h laisse derrière elle son mari, Moché Yossef, ainsi que ses trois enfants, Nephtali Mendel et Mayan. Elle était également la fille bien-aimée de Dr Aharon et Tikva Altabé.
Sarah avait également des frères et sœurs, Rav Menahem Altabé (Nice), Rav Eliaou Altabé (Marseille), Mme Simha Nemni (Paris), Rav Haïm Altabé (Domont), Rav Itshak Altabé (S. Mande), Rav Israël Altabé (Paris 11), et Rav Meir Altabé (Frejus).
Sarah était une personne remarquable et aimante. Elle sera profondément regrettée par tous ceux qui ont eu la chance de la connaître et de l’aimer. Nous prions pour que la famille trouve réconfort et consolation en ces temps difficiles.
C’est avec trois instruments du service divin, l’amour de D.ieu, l’amour de la Torah et l’amour d’Israël, que les jeunes se consacrant à l’étude de la Torah doivent se présenter pour assumer la mission qui leur est confiée dans la vigne de l’Eternel, D.ieu des armées célestes.
Celle-ci consiste à rapprocher les coeurs de leurs frères de l’accomplissement des Préceptes matériels, à leur permettre de fixer un temps pour l’étude. Ils s’y consacreront sans tenir aucun compte de la douleur que provoque l’antagonisme entre les différentes factions.
La vérité incontournable est que le coeur juif est une source d’eau vive. Une ‘alliance’ a été conclue avec le travail et l’effort: ils ne se révèlent jamais inutiles.
En hébreu, les mots « Zman » (le temps) et « Hazmanah » (l’invitation) partagent la même racine, révélant un lien profond entre ces deux notions. Le mot « Hazmana » est composé de « zman » encadré par deux lettres « Hé », mettant en lumière que Dieu (symbolisé par le « Hé ») est le maître du temps, de son commencement à sa fin. Le « Hé » ayant une valeur numérique de 5 nous rappelle que, tout comme nous avons cinq doigts sur chaque main, Dieu nous invite à utiliser notre temps judicieusement tout au long de notre existence.
Cependant, l’homme a toujours tenté de maîtriser le temps. La capacité révolutionnaire de mesurer le temps a conduit l’homme à croire qu’il pouvait le dompter. Toutefois, mesurer le temps ne signifie pas nécessairement le comprendre. De nos jours, l’homme moderne cherche constamment à gagner du temps en étant plus rapide et efficace. Les avancées technologiques et les machines toujours plus performantes sont des moyens par lesquels l’homme cherche à économiser du temps.
Les mots « Zman » (temps) et « Elénou » (vers nous) ont la même valeur numérique, 97, ce qui semble indiquer que la Torah cherche à nous faire comprendre que l’homme tente de s’approprier le temps, souvent en le gaspillant. Le système actuel nous encourage à aspirer à devenir quelqu’un d’autre, plutôt que de nous concentrer sur l’accomplissement de nos propres objectifs et missions.
En conclusion, il est essentiel de prendre conscience de la valeur du temps et de l’utiliser à bon escient. Nous sommes définis par ce que nous accomplissons, et pour cela, il est nécessaire d’agir avec intention et discernement. Au lieu de chercher à maîtriser le temps dans le but de devenir quelqu’un d’autre, concentrons-nous sur l’accomplissement de notre propre mission et réalisons notre potentiel. En fin de compte, nous sommes avant tout définis par nos actions et nos réalisations. Il est donc crucial de passer à l’action et d’utiliser notre temps judicieusement.
C’était un événement historique, émouvant, inspirant et mémorable : sous la direction des membres du Beth Din Rabbinique ‘Habad, des émissaires et des personnalités influentes, une célébration a été organisée à l’auditorium Smolarz de Tel Aviv pour marquer le 2000ème numéro du journal « Kfar ‘Habad », le journal officiel de ‘Habad qui paraît chaque semaine depuis plus de 40 ans.
L’événement a débuté par une vidéo historique dans laquelle des anciens de la rédaction du journal « Kfar ‘Habad » tels que le rédacteur en chef, le Rav Aharon Dev Halperin, le Rav Moshe Marinovsky et le Rav Its’hak Holtzman, ainsi que le Rav Shlomo Levine, le Rav Natan Tzivin et le Rav Menahem Gurewitz, ont évoqué les années passées et le travail en coulisse qui a conduit à la publication du journal ainsi que les efforts déployés pour adapter le journal aux nouveaux publics et le faire évoluer au fil du temps.
À un moment donné, une rare lettre que le Rabbi avait envoyée au journal pour le 500ème numéro a été lue par le Rav Halperin. Tout le public s’est levé dans un tremblement sacré alors que le Rav Halperin lisait chaque mot de cette lettre où le Rabbi exprimait sa gratitude envers les membres de l’équipe et les lecteurs du journal « Kfar ‘Habad ».
À la fin de la lecture de la lettre sacrée, une autre vidéo historique a été présentée – « Le Rabbi et le journal ». Les membres les plus éminents de la rédaction du journal, ainsi que d’autres personnalités, dont le Rav Moshe Hevelin – membre du Beth Din Rabbinique de ‘Habad – et le Rav Tzvi Hirsh Raskin, ont raconté à quel point le journal « Kfar ‘Habad » était cher au Rabbi. Cette vidéo émouvante a suscité des émotions fortes chez les participants, qui ont été exposés pour la première fois de manière concrète à l’implication du Rabbi dans « Kfar ‘Habad » – son shofar personnel.
A ce stade de l’événement, la première partie du spectacle musical s’ouvre avec le chanteur hassidique Avraham Fried. Fried a interprété les meilleurs chants Hassidiques de Habad. Au sommet du spectacle musical, Fried a emporté la foule qui a commencé à descendre lentement vers la scène, dansant de joie pendant de longues minutes.
A la fin du spectacle musical, le célèbre communicateur Rav Yedidya Meir est apparu sur les écrans. Rav Yedidya, abonné depuis de nombreuses années au journal, a décrit à quel point le journal faisait partie intégrante de son expérience de lecture hebdomadaire et à quel point il appréciait les contenus du journal chaque semaine. Ses paroles ont fourni un échantillon à l’audience variée des lecteurs de « Kfar Habad » qui s’intéressent aux contenus hassidiques du journal.
Ensuite, le présentateur et animateur Rav Ephraim Kamsar est monté sur scène et a raconté son lien personnel avec le journal et a invité le public à regarder l’impact dramatique du journal sur des mondes diversifiés. Un film émouvant a été diffusé, montrant le Chalia’h du Rabbi à la mer Morte, le Rav Shimon Elharar, qui est parti en mission grâce à l’appel régulier de la série d’articles « Habad dans le monde » dans le journal « Kfar Habad », l’avocat Rav Ezriel Kravchov – qui a raconté comment il a trouvé son chemin vers Habad après avoir connu le journal « Kfar Habad » et le vétéran des médias, Rav Shaul Schiff, qui a décrit comment « Kfar Habad » a façonné son monde, ce qui l’a amené à porter une barbe aujourd’hui.
À la fin de son discours, un clip spécial a été diffusé, montrant quatre figures éminentes de Habad: le principal influent de la Yechiva centrale de Kfar Habad, le Rav Shneur Zalman Gopin, Machpia à Nahalat Har Habad, le Rav Mendel Kotter, Machpia à Kfar Habad, le Rav Mi’hael Taieb et le Chalia’h et conférencier renommé, Rav Shneur Ashkenazi. Chacun d’entre eux a décrit à quel point le journal « Kfar Habad » illumine les maisons et à quel point il est important pour chaque famille hassidique de s’abonner au journal.
Dans cette partie de l’événement, la nouvelle a été révélée : préparation pour l’édition anglaise de « Kfar Habad » – grâce à la mobilisation du leader hassidique et chaliah du Rabbi pour les affaires de l’intégrité de la terre, le Rav Yossef Its’hak Gutnick, qui a soutenu les événements du 2000ème numéro et l’expansion générale du magazine Kfar Habad, qui était cher au Rabbi.
Le présentateur Rav Ephraim Kamsar a salué le leader hassidique et Chalia’h du Rabbi, le Rav Its’hak Moshan, pour son engagement à droite de « Kfar Habad » et dans l’ensemble du mouvement hassidique. Il a également remercié le Rav Yossef Its’hak Gutnick, Chalia’h du Rabbi pour les affaires de la Terre sainte, pour son soutien aux célébrations du 2000ème numéro de « Kfar Habad ».
À l’occasion de cette célébration, une opération d’abonnement géante a été lancée, comprenant des tirages au sort de billets d’avion pour le Rabbi, des Sets de livres de Hassidout, des vacances organisées à Tibériade, et plus encore.
Enfin, la seconde partie musicale a commencé, avec la performance de Fried qui a entraîné la foule. Et dans cette ambiance exaltante, la célébration festive et émouvante s’est terminée.
L’action de Moché :
Dans les Parachiot Troumah et Tétsavé nous avons lu que l’Eternel ordonne à Moché de construire le Michkan, et dans les Parachiot Vayakhel et Pékoudei c’est Moché qui l’ordonne aux enfants d’Israël.
Le Rabbi nous fait remarquer que la Paracha Ki-Tissa dans laquelle il est raconté le péché du veau d’or sépare les Parachot Troumah et Tetsavé des Parachot Vayakhel et Pékoudei.
De ce fait, nous pouvons nous rendre compte qu’entre l’ordre de D.ieu à Moché et celui de Moché aux enfants d’Israël il y a une chose qui interrompt et perturbe l’ordre divin : le péché du veau d’or. Cependant, juste après que Moché eut ordonné aux enfants d’Israël de construire le Michkan (Paracha Vayakhel), son ordre fut exécuté immédiatement (Paracha Pékoudei).
Le Rabbi tire de cela l’enseignement suivant : bien que le mauvais penchant puisse s’immiscer dans le but de nous empêcher d’accomplir la volonté divine, l’action de Moché réduit à néant son influence malfaisante.
A la lumière de cet enseignement il apparait avec clarté que notre attachement au Rabbi nous permet de briser toutes les limites et de franchir tous les obstacles afin d’atteindre le but de notre mission de faire de ce monde une demeure pour L’Essence divine.
L’ensemble et ses particularités :
Le Rabbi explique dans le Dvar Mal’hout que la Paracha Vayakel met l’accent sur l’Assemblée d’Israël telle qu’elle est dans son ensemble, une unité non-composite : ‘Une grande Assemblée’, au singulier. En revanche, dans la Paracha Pékoudeï, l’accent est mis sur ‘le compte des enfants d’Israël’, c’est à dire sur l’importance de chaque Juif en particulier qui fait partie intégrante de cette ‘grande Assemblée’.
La différence entre le contenu profond de la Paracha Vayakel et celui de la Paracha Pékoudeï peut être comprise grâce à l’explication du Rabbi d’une Michnah de la fin du Traité Kidouchin dans laquelle il est écrit :’J’ai été créé pour servir mon Créateur’ et dans une autre Guirsa du Talmud Babli, il est écrit : ‘Je n’ai été créé que pour servir mon Créateur’.
Le Rabbi explique que lorsqu’il est écrit : ‘Je n’ai été créé que pour servir mon Créateur l’accent est mis sur l’Existence d’Hachem avant même qu’il ne soit question de notre propre existence. D’après cela, lorsque nous méditons au fait que Moché rassemble tout le Peuple pour lui donner l’ordre de construire le Michkan ainsi que cela est mis en évidence dans la Paracha Vayakel nous ressentirons par-dessus-tout ‘qu’il n’y a rien d’autre en dehors de D.ieu’ et que notre existence n’a pour seul but que celui de construire une demeure pour L’Eternel, comme il est écrit : ‘Et vous Me ferez un Sanctuaire’.
En revanche, le Rabbi explique que lorsqu’il est dit ‘Je n’aie été créé que pour servir mon Créateur’ l’accent est mis sur notre propre existence (‘Je n’aie’ ), conformément à l’enseignement selon lequel dans la Paracha Pékoudeï l’importance est mise sur les détails qui constituent un ensemble et non pas l’ensemble lui-même (‘le compte des enfants d’Israël’ et ‘l’énumération de tous les poids de l’offrande du Michkan, en argent et en or et en cuivre, et sont énumérés tous ses accessoires pour tout son service’.
Deux services divins, ‘Vayakel’ et ‘Pékoudeï’ :
Ainsi, le Rabbi nous enseigne que notre service divin qui correspond au contenu profond de ‘Pékoudeï’ consiste à attirer le Divin dans tous les éléments et dans tous les sujets de ce monde matériel (par l’accomplissement des Commandements divins que l’on accomplit au moyen d’objets matériels qui tirent leur vitalité de Klipat Noga, et que l’on sanctifie par le fait de réaliser la Volonté Supérieure du Saint béni soit-Il).
Le travail de Pékoudeï met donc l’accent sur le fait d’agir dans le monde afin d’y dévoiler un niveau du Divin qui s’accorde avec ses limites.
A l’opposé, le Rabbi décrit le travail de ‘Vayakhel’ comme un travail d’élévation : ‘élever tous les sujets de ce monde en y dévoilant le niveau du Divin qui est au-delà du monde’. De fait, le Rabbi souligne que chaque Juif a la possibilité de s’élever et d’élever le monde au-delà des limites au point d’atteindre le niveau de l’Essence divine.
D’une certaine manière nous pouvons expliquer que le niveau de ‘Vayakel’ correspond au niveau de l’Essence de l’âme Juive et que le niveau de ‘Pékoudeï’ représente les quatre degrés de Néfech Roua’h Néchama et ‘Haya du fait que ‘ces quatre catégories de Néfech Roua’h Néchama ‘Haya constituent chacune un degré particulier de l’âme alors que le niveau de l’Essence de l’âme transcende tous les aspects particuliers’.
Dans les notes ajoutées au chapitre 20 de l’ouvrage du Rabbi intitulé ‘Iniana chel Torat Ha ‘Hassidout’ le Rabbi nous enseigne que ‘seule l’Essence divine détient le pouvoir de créer un être physique. Cependant, l’effusion de ce pouvoir essentiel en un être indépendant ne se réalise qu’à travers la Lumière. La Lumière étant l’intermédiaire entre l’Existence ‘Vraie’ (Divine) et l’existence créée. Ainsi, par l’entremise de la Lumière, le pouvoir de l’Essence peut porter à l’existence un objet à partir du véritable néant (Maamar Ye’hayénou, 5694, chapitre 14. Sefer Ha Maamarim 5711, page 39. Voir également Igguéreth Ha Kodech, 20).
De façon similaire, dans le service de D.ieu, bien que la manifestation de l’Essence se produise à travers l’observance active des Mitsvoth, il demeure que l’effusion de l’Essence dans les actes accomplis est tributaire des ressources intérieures humaines (intellectuelles et émotionnelles). C’est pour cette raison que l’amour et la crainte sont appelés ‘les voies de D.ieu’ (Likouteï Si’hot 3, page 956).
‘L’effusion de l’Essence dans les actes accomplis’ représente le dévoilement de l’Essence de l’âme qui ne s’habille pas dans le corps (‘Vayakel’ : le niveau du Divin qui est au-delà du monde) dans les forces de l’âme Néfech Roua’h Néchama et ‘Haya qui sont liées avec le corps (‘Pékoudeï’ : le niveau du Divin qui est lié au monde).
*Notre mission de construire le Michkan implique d’agir dans ce monde avec toutes les forces qui nous ont été données, c’est à dire avec les 10 forces de l’âme qui s’habillent dans le corps : l’intellect, les sentiments et les actions. Ce travail est celui de ‘Pékoudeï’ ainsi qu’il a été expliqué précédemment : Le travail de ‘Pékoudeï ‘met donc l’accent sur le fait d’agir dans le monde et dans tous ses détails et de dévoiler un niveau du Divin qui est lié avec le monde.
*Par ailleurs le Rabbi décrit le travail de ‘Vayakel’ comme un travail d’élévation : ‘élever tous les sujets de ce monde en y dévoilant le niveau du Divin qui est au-delà du monde’.
La prière de ‘Modé Ani’ correspond d’une certaine façon au travail de ‘Vayakel’ car lorsque nous disons cette prière nous mettons en avant que ‘Je n’aie été créé que pour servir mon Créateur’ et l’accent est donc mis, d’abord, sur l’Existence d’Hachem avant même qu’il ne soit question de notre propre existence. Cette prière est le point de départ de notre service divin, le Rabbi l’a décrit comme étant ‘le fondement et le ferment de tout ce que chacun doit accomplir durant toute la journée, dans le domaine de la Torah. On doit dès le réveil considérer en présence de Qui on se tient : devant le suprême Roi des rois, le Saint béni soit-Il, et il convient d’en avoir conscience durant toute occupation ou loisir. C’est là un grand principe de la Torah, de même qu’une immense vertu des Justes qui marchent devant D.ieu, ainsi qu’il est dit : J’ai conscience de la Présence de L’Eternel en face de moi, constamment.
C’est ainsi que la journée entière doit être pénétrée de cette pensée. Tout ceci permet de comprendre le mot prononcé par Rabbi Chalom Dov-Ber de Loubavitch, lorsqu’il était jeune : Il convient, dit-il, de parsemer la journée entière du point qui suit le mot miséricorde (‘Bé Hèmela’) dans le Modé Ani. Il exprimait ainsi l’idée que le dévouement suggéré par le Modé Ani est requis à chaque moment de la journée’.
De fait, l’amour et la crainte d’Hachem désignent nos ‘ressources intérieures’ et dans ce cas ils représentent le travail de ‘Pékoudeï’ lequel s’accorde au sens du verset ‘J’ai été créé pour servir mon Créateur’ où l’accent est mis sur notre propre existence : J’ai : Ani.
Ainsi, dévoiler la force de l’Essence de notre âme qui est enracinée dans l’Essence divine dépend tout d’abord de notre propre travail et de nos propres forces, en exploitant tous les détails de tous les aspects de notre personnalité car ils sont les chemins qui nous conduisent vers D.ieu, vers le dévoilement de Son Essence, au point que celle-ci S’unisse aux forces de notre intellect, à nos sentiments et à nos actes. C’est précisément le contenu profond de la Paracha ‘Vayakel’ qui est celui de la A’hdout (l’Unité).
Vayakel-Pekoudeï : une allusion au prénom ‘Haya-Mouchka :
Il est intéressant de mentionner ici que la date de ce Chabbat est celle de l’anniversaire de la Rabbanite ‘Haya-Mouchka, l’épouse du Rabbi. Nous avons étudié dans le Dvar Mal’hout que le prénom de la Rabbanite ‘Haya-Mouchka est lui-même une allusion à l’union entre l’Essence de l’âme Juive (qui est enracinée dans l’Essence divine) et les forces de l’âme qui s’habillent dans le corps : Néfech Roua’h Néchama et ‘Haya. Dans ce cas le prénom de la Rabbanite, Haya-Mouchka, est lie de manière profonde aux contenus de ‘Vayakel’ et de ‘Pékoudeï’ qui comme il vient d’être expliqué représentent l’Essence de l’âme (‘Vayakel’) et les forces de l’âme (‘Pékoudeï’).
‘Haya désigne la ‘vitalité’ (‘Hayout) et fait donc allusion aux forces de l’âme qui s’habillent dans le corps, et Mouchka (qui est le nom d’un encens) représente l’Essence de l’âme qui ne s’habille pas dans le corps (Ko’hot ha makifim).
En guise de Resumé :
L’Admour Hazaken explique dans le Torah-Or sur la Paracha de cette semaine le sens profond de la déclaration des Sages selon laquelle ‘Celui qui se fatigue pendant la semaine mange le jour du Chabbat’.
‘La semaine’ représente le travail que l’on accomplit au moyen des forces de l’âme qui s’habillent dans le corps, et ‘le jour du Chabbat’ représente le dévoilement de l’Essence de l’âme.
Comme il a été dit précédemment ‘dévoiler la force de l’Essence de notre âme qui est enracinée dans l’Essence divine dépend tout d’abord de notre propre travail et de nos propres forces’. D.ieu dévoile la force divine de l’Essence de l’âme de celui qui se fatigue pendant la semaine pour servir D.ieu avec ses propres forces. Le prénom de la Rabbanite, ‘Haya-Mouchka, représente la perfection de notre service divin du fait qu’il exprime l’union entre l’Essence divine, le jour du Chabbat, et les forces de l’âme qui s’habillent dans le corps (l’intellect les sentiments et l’action). Nous parvenons à l’Unité et au dévoilement illimité de l’Essence divine en nous-mêmes par le fait de révéler et d’exploiter tous nos trésors personnels qui sont malgré tout limités. C’est en agissant en ce sens que nous aurons le mérite de susciter notre désir et le désir de D.ieu de résider en ce monde, avec le dévoilement de notre Juste Machia’h, très bientôt et de nos jours, avec l’aide d’Hachem.
Rubrique réalisée par Réouven Bennaïm
Beth Habad des enfants de Perpignan – « Tsivot Moshiah »
Léilouy Nishmat Rav MORDE’HAÏ (Mottel) a’h PEVZNER
Chalia’h du Rabbi à Perpignan pendant 17 ans
Вы можете начать менять наш мир к лучшему уже сегодня, и, неважно, насколько малы ваши действия. Бейт Хабад Детей Перпиньяна
Сокращенное изложение главы « Вайакгел-Пэкудэй »
Моше собрал всю общину сынов Израиля и сказал им: “Вот что Г-сподь повелел исполнять. Шесть дней можно делать работу, а седьмой день – свят, это суббота покоя Г-споду. Всякий, кто делает в этот день работу, должен быть предан смерти”.
И сказал Моше всему обществу сынов Израиля: “Вот что повелел Всевышний, сказав: делайте приношения Всевышнему, пусть всякий щедрый сердцем принесет золото, и серебро, и медь, и голубую шерсть, и багряницу, и червленицу, и лен, и козью шерсть, и окрашенные в красный цвет бараньи шкуры, и шкуры тахашей, и дерево акации, и масло для освещения, и благовонные снадобья для масла помазания и для ароматного воскурения, и камни ониксы, и драгоценные камни для эйфода и для хошена. И всякий мудрый сердцем среди вас пусть придет и сделает все, что повелел Всевышний: шатер, и покрытие, и, покрывало, и крючки, и балки, и засовы его, и столбы его, и подножия. Ковчег и шесты его, крышку и завесу; стол и шесты его, и все его принадлежности, и хлеб, который будете класть на него. И менору для освещения, и принадлежности ее, и светильники ее, и масло для освещения, и жертвенник для воскурения благовоний, и шесты его, и масло для помазания, и полог при входе в шатер; жертвенник всесожжения, и медную решетку, которая на нем, шесты его и все его принадлежности, умывальник и подножие его, занавесы для ограды двора, столбы его, и подножия для них, и полог при входе во двор шатра; колья для шатра, и колья для ограды двора, и веревки для них; служебные одежды для служения в святилище, священные одежды Аарону-коэну, и одежды сыновьям его для служения”.
И вышло все общество сынов Израиля от Моше. И принесли браслеты, и кольца, и перстни, и нательные украшения золотые. И голубую шерсть, и багряницу, и червленицу, и лен, и козьи и красные бараньи шкуры, и шкуры тахашей. И серебро, или медь, и дерево акации. А каждая женщина, мудрая сердцем, спряла своими руками и принесли пряжу, и голубую шерсть, и багряницу, и червленицу, и льняные нити, и козью шерсть. А вожди народа принесли ониксы, и драгоценные камни для эфода и для хошена, и благовония, и масло – для освещения, для помазания и для благовонного воскурения.
И сделал Бецалель ковчег, и покрыл его золотом, и сделал золотой венец вверху, и отлил четыре золотых кольца по два кольца на каждой стороне. И сделал шесты из акации и покрыл их золотом, и вставил шесты в кольца, чтобы переносить ковчег. И сделал крышку из золота, и двух крувов выковал вместе с крышкой. И сделали стол из акации, и покрыли его золотом, и сделали вокруг него золотой венец. И сделали все принадлежности: формы для хлеба, и чашечки, и стержни, и прокладки, чтобы класть их между хлебами, все из золота. И сделали менору из цельного слитка золота: шесть ветвей выходят из ствола: три ветви с одной стороны и три ветви с другой стороны ее. И сделали жертвенник из акации для воскурения благовоний, и покрыли его золотом. И сделали жертвенник из акации для принесения жертв всесожжения, и все принадлежности жертвенника: сосуды, и ковши, и чаши, вилы и совки – все из меди. И сделали умывальник из меди – из зеркал женщин, которые по своей доброй воле принесли их к входу в шатер откровения.
Вот итоги сооружения шатра откровения, подведенные по приказу Моше левитами, руководимыми Итамаром, сыном Аарона-коэна. Всего золота – двадцать девять кикаров и семьсот тридцать шекелей. Серебра – сто кикаров и тысяча семьсот семьдесят пять шекелей (сто кикаров – на подножия балок и подножий столбов, тысяча семисот семидесяти пять шекелей – на крюки для столбов, покрытия их вершин и нити, которыми обвили столбы). Меди – семьдесят кикаров и две тысячи четыреста шекелей (на подножия колонн, медный жертвенник и решетку на нем, и все принадлежности жертвенника, на подножия столбов).
А из голубой шерсти, багряницы и червленицы сделали служебные одежды для служения в святилище, и сделали священные одежды Аарону – как Всевышний повелел Моше.
И завершилась вся работа по сооружению шатра откровения. И доставили шатер к Моше. И осмотрел Моше все сделанное, и увидел, что всю работу исполнили так, как Всевышний повелел, и благословил их Моше.
И говорил Всевышний, обращаясь к Моше: “В день новолуния первого месяца, в первый день месяца, воздвигни шатер откровения: поставь там ковчег свидетельства и закрой крышкой ковчег; внеси стол и разложи на нем хлеб в установленном порядке, внеси менору и зажги светильники ее; поставь золотой жертвенник для воскурения благовоний напротив ковчега свидетельства и повесь полог, закрывающий вход в шатер; поставь жертвенник для принесения жертв всесожжения перед входом в шатер откровения; поставь умывальник между шатром откровения и жертвенником и налей в него воды; поставь ограду двора вокруг шатра и повесь занавес, закрывающий вход во двор шатра; возьми масло для помазания, и помажь шатер и все, что в нем, и освяти его и все его принадлежности, и станет это святыней. Помажь жертвенник для принесения жертв всесожжения и все его принадлежности и освяти жертвенник, и станет жертвенник святая святых; помажь умывальник и его основание и освяти его.
И приведи Аарона и его сыновей ко входу в шатер откровения, и омой их водою; и одень Аарона в его священные одежды, и помажь его, освятив его, и будет он мне служить. И сыновей его приблизь, и одень их в хитоны, и помажь их, как помазал ты их отца, и будут они мне служить, и даст им их помазание право быть моими служителями навеки, во всех поколениях их”.
И воздвиг Моше шатер, и взял скрижали свидетельства, и положил их в ковчег. И закрыло облако шатер откровения, и не мог Моше войти в шатер, ибо облако пребывало на нем. И когда поднималось облако над шатром – отправлялись сыны Израиля в путь, а если не поднималось облако, стояли станом.
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HAYOM YOM
Rabbi Hillel de Paritch a demandé à l’Admour Haemtsahi s’il devait expliquer la Hassidout dans les petits villages où les habitants ne connaissaient pas ces concepts. Le Rabbi a répondu que l’âme peut comprendre les mots de la Hassidout. En citant un verset de la Torah, il a expliqué que le Liban représente les deux attributs intellectuels de l’âme : la sagesse (Ho’hma) et la compréhension (Bina). Quand l’âme comprend, elle produit une sorte de nuage qui aide à renforcer les bonnes actions et à éviter les mauvaises.
Illustration du Hayom Yom : [email protected]
Dans la bénédiction « Boré Nefachot » récitée après le repas, on dit « Al Kol Ma Chebarata » pour remercier Dieu pour tout ce qu’il a créé. Dans cette expression, le mot « Kol » est ponctué avec un « Holam » et non avec un « Kamatz ».
Pour vraiment se connecter au Rabbi, il faut étudier ses discours hassidiques plutôt que de se contenter de le voir en personne.
HOUMACH
Le texte parle de la fabrication des vêtements et des accessoires pour le Tabernacle, une sorte de sanctuaire mobile utilisé par les enfants d’Israël dans le désert.
Les vêtements pour les prêtres, y compris une robe, des tuniques et des couvre-chefs, étaient faits de lin et de laine colorée.
Il y avait aussi une plaque d’or portée sur le front du grand prêtre, avec les mots « saint pour l’Éternel » gravés dessus.
Les enfants d’Israël ont apporté tout ce qui était nécessaire pour construire le Tabernacle, y compris l’Arche du Témoignage et l’autel.
Moïse a béni les travailleurs pour leur travail bien fait et a prié pour que la présence de Dieu se pose sur leur travail.
TEHILIM 113 – 118
Le Psaume 113 commence par un appel à louer le Seigneur et reconnaît sa nature transcendante. Le psalmiste s’émerveille de la façon dont Dieu, qui habite en haut, regarde aussi vers le bas sur le ciel et la terre, relevant les pauvres et les nécessiteux et transformant la femme stérile en une mère joyeuse.
Le Psaume 114 décrit comment la tribu de Juda a mérité le royaume en raison de sa fidélité à Dieu lors de l’Exode. Le psalmiste utilise une imagerie poétique pour décrire les événements miraculeux qui ont eu lieu lors de la traversée de la mer Rouge et du Jourdain.
Le Psaume 115 est une prière demandant à Dieu de mettre fin à l’exil actuel et de restaurer la gloire d’Israël pour le bien de son Nom, afin que les nations ne questionnent pas où est Dieu. Le psalmiste oppose l’impuissance des idoles fabriquées par des mains humaines avec le Dieu qui veille sur son peuple et pourvoit à ses besoins.
Le Psaume 116 est un psaume de reconnaissance qui exprime l’amour de David pour Dieu et sa confiance en Lui. David relate les miracles que Dieu a accomplis pour lui et déclare qu’il ne peut pas rendre à Dieu ce qu’Il lui a donné. Il proclame sa foi et son engagement à servir le Seigneur et s’engage à payer ses vœux et à offrir des remerciements en présence de tout le peuple de Dieu.
Le Psaume 117 est le plus court chapitre du Livre des Psaumes, ne comprenant que deux versets. Il fait allusion à l’ère messianique, où toutes les nations loueront Dieu et appelleront Son Nom.
Le Psaume 118 est un psaume de louange et de reconnaissance, et l’un des psaumes les plus connus dans la tradition juive et chrétienne. Le psalmiste offre des louanges à Dieu pour sa bonté éternelle et pour avoir exaucé ses prières. Il déclare sa confiance en la protection et la délivrance de Dieu, même face à ses ennemis. Le psaume contient également une référence prophétique au Messie, qui deviendra la pierre angulaire, ainsi qu’une supplication pour la délivrance et le succès de Dieu.
En résumé, ces psaumes expriment des thèmes de louange, de reconnaissance, de confiance et de foi en la puissance et la providence de Dieu. Ils nous rappellent les merveilles que Dieu a accomplies pour Son peuple dans le passé et offrent l’espoir d’une rédemption et d’une restauration futures.
TANYA Likutei Amarim Chapitre 37
Ce chapitre explique comment la pratique des mitsvot (commandements) et l’étude de la Torah permettent l’élévation de l’âme vitale. Cette dernière se manifeste dans les lettres de la parole dans l’étude de la Torah, la prière ou l’accomplissement des mitsvot pratiques.
L’âme vitale qui s’habille dans ces actes est alimentée par le sang, qui relève de la klipat noga (l’enveloppe de la sainteté). Les aliments et boissons consommés ont leur vitalité provenant de cette klipat noga.
Cependant, lorsque l’on étudie la Torah, prie ou accomplit une mitsva, la klipat noga est transformée de mal en bien et absorbée dans la sainteté, grâce à la force de l’âme vitale qui s’est développée à partir des aliments et boissons qui dérivent de la klipat noga.
De plus, la vitalité dans l’action des mitsvot est absorbée dans la lumière du Ein Sof (le « Sans-Fin » ou l’Infini), qui est la Volonté divine. Par conséquent, l’élévation de l’ensemble de la klipat noga, qui constitue la vitalité générale de ce monde matériel, se produit lorsque toutes les âmes d’Israël accomplissent les 613 mitsvot de la Torah.
Il est essentiel que chaque âme individuelle se garde de transgresser les 365 interdits de la Torah, pour séparer les 365 vaisseaux sanguins de l’âme animale dans le corps. La transgression de l’un de ces interdits rendrait impossible l’élévation de l’aspect particulier de l’âme vitale employé dans l’acte interdit. L’observance de ces 365 interdits est donc indispensable à l’élévation de l’âme vitale dans son ensemble.
Chaque âme individuelle doit également accomplir les 248 commandements positifs de la Torah pour attirer la lumière du Ein Sof ici-bas, élever l’ensemble de l’âme vitale et l’attacher à Lui dans une parfaite unité. Les membres du corps avec la vitalité de l’âme vitale investie en eux deviennent ainsi un char pour la Volonté divine, tout comme cela fut le cas pour les Patriarches.
SEFER HAMITSVOT
Le commandement positif numéro 198 consiste à exiger de l’intérêt d’un non-juif auquel nous prêtons de l’argent, de manière à ne pas l’aider mais plutôt à lui nuire. Il nous est interdit d’exiger un tel intérêt d’un juif, conformément au verset biblique « Tu pourras prêter à intérêt à l’étranger » (Deutéronome 23:20). Selon l’interprétation traditionnelle, il s’agit d’un ordre plutôt que d’une simple permission. Le Sifri explique : « Tu pourras prêter à intérêt à l’étranger » est un commandement positif, tandis que « Tu ne pourras pas prêter à intérêt à ton frère » est un commandement négatif.
Les conditions pour l’application de ce commandement sont également énoncées par nos Maîtres dans le traité Baba Metsia.
LES DOUZE PSOUKIM (à apprendre par coeur)
1 – Torah TORAH TSIVA LANOU MOCHÉMORACHA KÉHILAT YAAKOV.
תּוֹרָה צִוָּה לָנוּ מֹשֶׁה מוֹרָשָׁה קְהִלַּת יַעֲקֹב
“La Torah que Moïse nous a ordonnée est l’héritage de la Communauté de Jacob” (Deut. 33:4)
C’est Moïse, le fidèle serviteur de D.ieu qui nous a transmis la Torah. Et chaque Juif, garçon ou fille, la reçoit pour lui-même. Qu’il l’ait étudiée durant des années ou qu’il n’en connaisse qu’un tout petit peu, Elle lui appartient, pour l’apprendre et la mettre en pratique. C’est le plus beau cadeau que D.ieu pouvait nous faire.
2 – Chéma Israël CHEMA Israël ADO-NAY ELO-HÉNOU ADO-NAY É’HAD..
שְׁמַע יִשְׂרָאֵל ה’ אֱ־לֹהֵינוּ ה’ אֶחָד
Ecoute Israël, l’Eternel est notre D.ieu, l’Eternel est Un.
C’est Moïse, le fidèle serviteur de D.ieu qui nous a transmis la Torah. Et chaque Juif, garçon ou fille, la reçoit pour lui-même. Qu’il l’ait étudiée durant des années ou qu’il n’en connaisse qu’un tout petit peu, Elle lui appartient, pour l’appr-endre et la mettre en pratique. C’est le plus beau cadeau que D.ieu pouvait nous faire.
3 – Bé’hol Dor Vador BÉ’HOL DOR VADOR ‘HAYAV ADAM LIROT ETE ATSMO KE-ILOU HOU YATSA MIMITSRAYIM
בְּכָל דּוֹר וָדוֹר חַיָּב אָדָם לִרְאוֹת אֶת עַצְמוֹ כְּאִלּוּ הוּא יָצָא מִמִּצְרַיִם
“Dans chaque génération, il faut se considérer comme sorti soi-même d’Egypte.
Il y a quelques 3500 ans, Hachem nous a fait sortir d’Egypte. Il nous a fait passer de l’esclavage à la liberté. Et, si Hachem ne l’avait pas fait, nous serions encore des esclaves aujourd’hui. Aussi, chaque jour, nous remercions D.ieu de nous avoir libérés. Et, dans notre cœur, nous promettons d’utiliser notre liberté du mieux possible, comme les serviteurs choisis du Roi des rois.
4 – Kol Israël KOL ISRAEL YECH LAHEM ‘HÉLEK LÉOLAM HABA CHÉNÉÉMAR VÉAMÈ’H KOULAM TSADIKIM LÉOLAM YIRCHOU ARETS NÉTSER MATAAÏ MAASSÉ YADAÏ LEHITPAERE.
בכָּל יִשְׂרָאֵל יֵשׁ לָהֶם חֵלֶק לְעוֹלָם הַבָּא, שֶׁנֶּאֱמַר: וְעַמֵּךְ כֻּלָּם צַדִּיקִים לְעוֹלָם יִירְשׁוּ אָרֶץ, נֵצֶר מַטָּעַי מַעֲשֵׂה יָדַי לְהִתְפָּאֵר
Tous les Juifs ont une part dans le monde futur, comme il est dit : « Dans Ton peuple, il n’y a que des Justes. Ils hériteront de la terre pour toujours. Ils sont le produit de Mes plantations, l’œuvre de Mes mains. Et, J’en suis fier. «
D.ieu est particulièrement fier de chaque Juif. Il nous a créés et Il prend soin de nous comme un jardinier prend soin d’une jeune plante. Et, comme nous grandissons, en étudiant Sa Torah, en faisant Ses Mitsvot extraordinaires, alors D.ieu nous prépare une place dans le Monde Futur, à côté d’Avraham, d’Its’hak, de Yaakov, de Moché, du roi David et de tous les grands hommes de notre histoire.
5 – Ki Karov KI KAROV ÉLÉ’HA HADAVAR MÉOD BÉFI’HA OUVILVAV’HA LAASSOTO.
כִּי קָרוֹב אֵלֶיךָ הַדָּבָר מְאֹד בְּפִיךָ וּבִלְבָבְךָ לַעֲשׂוֹתוֹ
Obéir à la Torah en paroles, en pensée et en action, tout cela est à ta portée.
Tu sais, la Torah n’est pas dans le ciel. Elle est ici, sur terre, toute proche, facile à étudier et à pratiquer. Elle est à ta portée, aussi proche que la synagogue du coin de la rue, aussi proche que le livre que je tiens dans la main ou la phrase de Torah que je connais par cœur, ou encore que le bonheur que je ressens au fond de moi. En fait, la Torah, c’est tout ce que je veux vraiment. C’est comme cela que Hachem m’a fait.
6 – Véhiné Hachem VÉHINÉ Hachem NITSAV ALAV OUMELO KOL HAARETS KEVODO OUMAVIT ALAV OUVO’HEN KÉLAYOT VALEV IM OVDO KARAOUÏ.
וְהִנֵּה ה’ נִצָּב עָלָיו וּמְלֹא כָּל הָאָרֶץ כְּבוֹדוֹ וּמַבִּיט עָלָיו וּבוֹחֵן כְּלָיוֹת וָלֵב, אִם עוֹבְדוֹ כָּרָאוּי
D.ieu se tient au-dessus de lui, et toute la terre est pleine de Sa gloire. Il regarde au fond de son esprit et de son cœur pour voir s’il Le sert comme il convient.
Imagine que tu sois dans le palais d’un roi. Autour de toi, tout est magnifique : les pièces, les murs, les meubles. Des princes et des gouverneurs, habillés d’or et d’argent, se tiennent debout avec respect, attendant d’obéir à l’ordre du roi ou simplement de le voir. Imagine que tu passes au milieu d’eux et, tout à coup, tu te trouves devant le roi. Personne ne dit un mot. Comme tu approches, il te regarde avec un grand intérêt. Imagine l’effet que cela ferait ! Eh bien, c’est exactement ainsi que nous nous tenons à tout instant devant Hachem, le Roi du monde entier.
7 – Béréchit BERECHIT BARA ELO-HIM ETE HACHAMAYIM VEETE HAARETS.
בְּרֵאשִׁית בָּרָא אֱ-לֹהִים אֵת הַשָּׁמַיִם וְאֵת הָאָרֶץ
Au commencement, D.ieu créa le ciel et la terre.
D.ieu a créé tout l’univers : les cieux et tout ce qui s’y trouve, la terre et tout ce qui y vit. C’est la toute première chose que la Torah nous dit. Aussi, si jamais nous avons peur du noir, de la tempête, du froid, des gens et si rien ne semble aller comme cela devrait, la Torah nous dit de ne pas en être effrayé. Hachem a créé l’univers et Il en prend soin. Et, Il nous a donné la Torah pour faire que les choses soient comme elles doivent être. La Torah nous dit ce que nous devons faire et comment nous pouvons rendre, la terre meilleure et plus sainte. Et quand D.ieu voit que nous nous conduisons bien, alors Il nous donne la réussite et Sa bénédiction.
8 – Véchinanetam Lévané’ha VÉCHINANETAM LÉVANÉ’HA VÉDIBARTA BAM BÉCHIVTÉ’HA BÉVÉTÉ’HA OUVLE’HTÉ’HA VADÉRÈH OUVCHO’HVÉ’HA OUVKOUMÉ’HA.
וְשִׁנַּנְתָּם לְבָנֶיךָ וְדִבַּרְתָּ בָּם בְּשִׁבְתְּךָ בְּבֵיתֶךָ וּבְלֶכְתְּךָ בַדֶּרֶךְ וּבְשָׁכְבְּךָ וּבְקוּמֶךָ
Et tu enseigneras la Torah à tes enfants, et tu en parleras chez toi et en voyage, avant de te coucher et quand tu te lèveras.
La Torah s’adresse à nos parents. Elle leur dit : « Papa, maman, enseignez-moi à vos enfants. Je veux qu’ils connaissent mes saints mots ». Nous aussi, il faut que nous disions à nos parents : « Papa, maman, faites la meilleure chose que vous puissiez faire pour moi: apprenez-moi la Torah. Apprenez-moi les phrases de la Torah avec soin jusqu’à ce que je m’en souvienne toujours, à la maison ou sur le chemin, en allant dormir ou en me levant ». Si nous le demandons du fond du cœur, de la manière que l’on utilise pour demander les choses que l’on veut vraiment, nos parents nous écouteront. Ils nous enverront dans une colonie de vacances dirigée selon la Torah et dans une école où nous apprendrons la Torah, les Mitsvot et tout le Judaïsme.
9 – Yagati Oumatsati YAGATI VÉLO MATSATI AL TAAMINE. LO YAGATI OUMATSATI AL TAAMINE. YAGATI OUMATSATI TAAMINE.
ויָגַעְתִּי וְלֹא מָצָאתִי – אַל תַּאֲמִין, לֹא יָגַעְתִּי וּמָצָאתִי – אַל תַּאֲמִין, יָגַעְתִּי וּמָצָאתִי – תַּאֲמִין
Si l’on te dit: « j’ai travaillé dur, mais je n’ai pas réussi », ne le crois pas. Si l’on te dit: « je n’ai pas travaillé dur, mais j’ai réussi », ne le crois pas. Si l’on te dit : « j’ai travaillé dur et j’ai réussi », tu peux le croire.
S’il arrive qu’un jour on n’agisse pas exactement comme il faudrait et que l’on ne se sente pas assez fort pour continuer d’étudier la Torah et de pratiquer les Mitsvot, alors il faudra se souvenir de la promesse de Hachem : Si nous essayons encore et encore plus, le mieux possible, alors finalement nous réussirons. Et ce que nous obtiendrons à ce moment-là dépassera tout ce que nous avions imaginé.
1 0 – Véahavta VÉAHAVTA LÉRÉA’HA KAMO’HA. RABBI AKIVA OMER: ZÉ KLAL GADOL BATORAH.
וְאָהַבְתָּ לְרֵעֲךָ כָּמוֹךָ – רַבִּי עֲקִיבָא אוֹמֵר, זֶה כְּלָל גָּדוֹל בַּתּוֹרָה
Rabbi Akiva dit que « tu aimeras ton prochain comme toi-même » est un principe de base de la Torah.
Quand nous travaillons dur pour nous améliorer, il ne faut pas oublier nos amis et nos voisins. Comme l’a dit Rabbi Akiva, il faut aimer son prochain exactement comme on s’aime soi-même. C’est le plus important de tout ce que nous apprenons. Aussi, si nous avons la chance d’étudier la Torah, nous devons travailler dur pour aider nos amis juifs à la pratiquer eux aussi.
11 – Vézé Kol Haadam VÉZÉH KOL HAADAM VÉTA’HLIT BRIATO OUVRIAT KOL HAOLAMOT ÉLYONIM VETA’HTONIM LIHYOT LO ITBARE’H DIRA BETA’HTONIME.
וְזֶה כָּל הָאָדָם וְתַכְלִית בְּרִיאָתוֹ וּבְרִיאַת כָּל הָעוֹלָמוֹת, עֶלְיוֹנִים וְתַחְתּוֹנִים, לִהְיוֹת לוֹ יִתְבָּרֵךְ דִּירָה בְּתַחְתּוֹנִים
Rabbi Akiva dit que « tu aimeras ton prochain comme toi-même » est un principe de base de la Torah.
Pourquoi D.ieu a-t-il créé chacun d’entre nous et l’univers tout entier ? Pour qu’en respectant la Torah et les Mitsvot, nous puissions faire de nous-mêmes, de nos maisons et du monde qui nous entoure un endroit où D.ieu puisse résider, un endroit où Il vivra exactement comme nous vivons dans nos maisons
12 – Yisma’h Israël YISMA’H ISRAEL BÉOSSAV PÉROUCH CHÉKOL MI CHÉHOU MIZÉRA ISRAEL YECH LO LISMOA’H BESIM’HAT Hachem ACHER SAS VÉSAMEA’H BÉDIRATO BÉTA’HTONIM.
יִשְׂמַח יִשְׂרָאֵל בְּעוֹשָׂיו, פֵּרוּשׁ שֶׁכָּל מִי שֶׁהוּא מִזֶּרַע יִשְׂרָאֵל יֵשׁ לוֹ לִשְׂמֹחַ בְּשִׂמְחַת ה’, אֲשֶׁר שָׂשׂ וְשָׂמֵחַ בְּדִירָתוֹ בְּתַחְתּוֹנִים
« Les Juifs doivent se réjouir de leur Créateur ». Cela signifie que chaque Juif doit partager la joie de D.ieu, qui est heureux de Sa demeure dans ce monde.
Chaque Juif, quoi qu’il ait étudié jusqu’à présent, où qu’il ait vécu jusqu’ici, reste toujours un membre de notre peuple. Et il doit être heureux et fier que Hachem lui ait donné la plus grande mission du Monde : faire une Maison où D.ieu puisse habiter.
PARENTS !
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POUR QU’ILS FASSENT PARTIE DE TSIVOT MOSHIAH !
par mail: [email protected]
Je fais réponse à votre lettre dans laquelle vous m’interrogez sur le moyen de réparer ce qui s’est passé et de lutter contre tout cela à l’avenir, car vous êtes saisi par le désespoir.
Il est important de noter que, selon divers textes, le désespoir peut être perçu comme un stratagème du mauvais penchant, un moyen qu’il utilise pour faire tomber l’homme dans ses pièges. Le mauvais penchant tente alors de convaincre l’individu qu’il est incapable de maîtriser son attirance pour le mal et qu’il n’a plus aucune raison de la combattre, ni aucun intérêt à le faire.
Ce sentiment est en réalité contraire à la foi, qui nous enseigne que Dieu a créé l’ensemble du monde, y compris l’homme. Comme il est dit, « nul endroit n’est vidé de Sa Présence ». Dieu, dans Sa sainte Torah, affirme : « J’ai créé le mauvais penchant et J’ai conçu la Torah comme son antidote ».
En vous engageant dans l’étude de la Torah et en appliquant ses enseignements, vous réussirez progressivement à chasser le mauvais penchant de votre vie. Gardez la foi en la capacité de la Torah à vous guider sur le chemin du bien et sachez que vous avez en vous la force de surmonter les défis et de vous améliorer.
Source : Lettre 3486
À l’initiative du Beth Loubavitch et du Mak’hon Or Ha’Hassidout
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