Hayom Yom du 28 Adar: Donner, le jour de la Brit Mila, une avance sur les frais de scolarité de l’enfant

Hayom Yom du 28 Adar: Donner, le jour de la Brit Mila, une avance sur les frais de scolarité de l’enfant

ליום כ’ח אדר א’

בקריאת שמע שעל המטה: ‘רבוש’ע הריני מוחל’ וכן ‘למנצח גו’ בבוא’ – אין אומרים בשבת ויו’ט, אבל צ’ל בשאר ימים שאין אומרים בהם תחנון. בסיום הג’ פרשיות אומרים תיבת ‘אמת’. ‘יעלזו חסידים’ – פעם אחת; ‘הנה מטתו’ – ג’ פעמים; ‘יברכך’ – ג’ פעמים. בתקון חצות אין אומרים ‘למנצח גו’ בבוא’ בימים שאין אומרים בהם תחנון.

Dans le Chema Israël précédant le coucher (Sidour p.118):
. Ribono Chel Olam (Maître du monde) et Lamnatsea’h (au chef des Chantres) ne sont pas dits pendant le Chabbat et le Yom Tov (Sidour p.122). Mais, on doit les dire, durant les autres jours, même si le Ta’hanoun n’est pas récité.
. A la fin des trois paragraphes du Chema (Sidour p.120), on dit ‘Emet’ (vrai).
. ‘Yaalezou ‘Hassidim’, que ceux qui sont vertueux se réjouissent, n’est dit qu’une seule fois. ‘Hiné Mitato’ (voici la couche) et Yevare’he’ha (qu’Il te bénisse) sont récités trois fois.
. Dans le Tikoun ‘Hatsot (prière récitée au milieu de la nuit), on ne dit pas Lamnatsea’h lorsque le Ta’hanoun est omis.

 

ליום כ’ח אדר ב’

הרחמן דברית מילה – אומרים.

(משיחה בסעודת ברית מילה): בברית מילה אומרים כשם שנכנס לברית כן יכנס לתורה ולחופה ולמעשים טובים. ונוהגים אצלנו שנותנים דמי-קדימה לשכר הלימוד של הילד – (ונתן כ’ק אדמו’ר שליט’א [הריי’צ נ’ע] סכום מסוים באמרו): זה עבור הישיבה.

(Extrait d’une explication donnée lors d’un repas suivant une circoncision:)
«Lors de la circoncision, nous disons: ‘tout comme il est entré dans l’alliance, il entrera dans la Torah, sous le dais nuptial et dans les bonnes actions’ (Sidour p.141). Notre coutume consiste à donner, en ce jour, une avance sur les frais de scolarité de l’enfant.

Le journal de la journée du 27 Adar Rishon 5752-1992

Le journal de la journée du 27 Adar Rishon 5752-1992

Pour les prières du matin, le Rabbi entra dans la grande synagogue à 10h15.

Lorsqu’il sortit, les Hassidim qui devaient voyager se tenaient sur le passage du Rabbi. Parmi les Hassidim, le Rav Eliezer Shnees, dit au Rabbi qu’il se rendait à Jérusalem, et le Rabbi lui répondit : « dans un bon et fructueux moment ».

En ces jours, une brochure des Sihot apres la Tefilaf du 7, 11 et 11 Adar Rishon fut publiée, datée « Petit Pourim 5752 ».

Avant de se rendre au Ohel à 14h25, le Rabbi donna son Siddour à un Hatan et le bénit de la manière habituelle, ajoutant : « בשעה טובה ומוצלחת. בנין עדי עד » puis, il lui donna une pièce de Tsedaka ainsi qu’à la famille présente.

À l’extérieur, près de la voiture, le Rabbi salua les présents et leur distribua des pièces de Tsedaka. Avant de monter dans la voiture, il les salua à nouveau.

Vers 17h, on apprit au 770, que quelque chose était arrivé au Rabbi qui se trouvait au Ohel à ce moment-là. La nouvelle se répandit rapidement et, spontanément, un public immense, hommes, femmes et enfants, commençaient à affluer au 770. Tout le monde eu peur et  commencèrent à réciter des Psaumes.

Plus tard, il s’est avéré qu’il s’agissait d’une hémorragie cérébrale. Beaucoup se sont souvenus que la distribution des dollars, la veille, avait été particulièrement longue et s’était terminée à 19h30…

Environ deux heures se sont écoulées et la foule se rassemblait de plus en plus à l’intérieur et à l’extérieur de la synagogue. Enfin, une ambulance arriva en marche arrière devant l’entrée du 770 et attendit quelques instants.

Le service d’ordre du 770 avait entre temps construit un long couloir avec des bâches et des planches depuis la porte du 770 jusqu’au trottoir.

Un rideau recouvrait également le pare-brise de l’ambulance. Puis, sans que personne ne puisse le voir, le Rabbi sortit de l’ambulance dans une chaise roulante.

Plus tard, on appris que le Rabbi portait son chapeau et son Sirtouk. À ce moment, tous les étages supérieurs du 770 étaient fermés au public.

La réaction du public était naturellement effrayée et confuse. Tous les visages étaient visiblement préoccupés par l’état de santé du Rabbi et, à ce moment, la majorité d’entre eux ne savaient pas encore ce qui s’était passé et quelle était la situation.

Parallèlement, les plus grands et les plus renommés experts et professeurs, sont venus des États-Unis pour apporter l’aide nécessaire, ordonner le traitement approprié et entamer une longue série d’examens.

Vers 21h30, une « clinique mobile » est arrivé doté de l’équipement nécessaire pour effectuer les tests nécessaires et le Rabbi a été examiné dans cette clinique mobile.

Peu de temps après les examens, qui ont duré environ 20 minutes, le public a commencé à se calmer, à prendre confiance en lui et à espérer une amélioration de la situation. Des informations circulaient sur les résultats des examens selon lesquels tous les éléments importants et vitaux du Rabbi n’ont pas été lésés.

Au fil du temps, la foule grandit en 770. Les gens qui revenaient du travail, ainsi que parmi les Chlouhim et les habitants des villes de province, estimaient qu’ils devaient se dépêcher de se rendre au 770, et des groupes de personnes recitaient les Tehillim  et essayaient d’obtenir d’autre informations. Un message spécial du Rav Leibel Groner a été transmis par haut-parleur et immédiatement diffusé dans le monde entier via le système de radiodiffusion WLCC, qui était la principale source d’informations fiables et rapides depuis l’événement.

Au cours de la soirée qui suivirent, des congrégations de la Torah furent organisées, et des danses comme il convient pendant les jours d’Adar lors desquels le chant « Der Rebbe Iz Gezont » était chanté.

Le 770 était plein de monde en cette nuit jusqu’au matin de mardi. Même après minuit, la foule continuait de couler de près et de loin.

 

Israël : Un projet de rénovation urbaine prévu pour le quartier Nachalat Har Habad à Kiryat Malakhi

Israël : Un projet de rénovation urbaine prévu pour le quartier Nachalat Har Habad à Kiryat Malakhi

 

Grande nouvelle pour la communauté du quartier historique de Habad : Le comité régional sud a décidé de soumettre un plan de rénovation urbaine pour le quartier Habad Nachalat Har Habad à Kiryat Malakhi.

 

Le plan comprend 636 logements, 1 550 mètres carrés pour les bâtiments publics, 4 090 mètres carrés pour les espaces commerciaux et de travail et 5,2 hectares d’espaces ouverts. Le ministre de la Construction et du Logement, Yitzhak Goldknopf, a déclaré : « Le plan entraînera une revitalisation totale du quartier, élargira l’offre de logements pour la communauté hassidique Habad et permettra l’intégration de nouveaux résidents. Les résidents bénéficieront d’une amélioration de l’apparence du quartier et de la qualité de vie. »

Le comité régional de planification et de construction du Sud, dirigé par Oded Plus, a décidé de soumettre un plan de rénovation urbaine pour le quartier Nachalat Har Habad à Kiryat Malakhi.

Le plan, initié par le ministère de la Construction et du Logement, couvre une superficie totale d’environ 30 hectares et est situé à l’intersection des rues Ben Gurion et Yigal Horowitz.

Le plan comprend 636 logements qui seront construits dans 7 nouveaux bâtiments : une tour de 27 étages et six autres bâtiments de 10 étages. Parmi les logements, environ 127 seront construits pour des appartements plus petits.

En plus des logements, le plan comprend 1 550 mètres carrés pour les bâtiments publics, 4 090 mètres carrés pour les espaces commerciaux et de travail, et 5,2 hectares d’espaces ouverts.

De plus, le plan renforce le réseau urbain et la mobilité piétonne en reliant la rue Jérusalem à la rue Ben Gurion, en ajoutant une façade commerciale au rez-de-chaussée le long de la rue Ben Gurion, en établissant une construction en bordure de rue dans le complexe et en ajoutant un chemin piétonnier.

En outre, la commission a décidé qu’un sondage social et un accompagnement social des résidents existants devaient être effectués.

Actuellement, 153 logements sont situés sur le site, répartis dans six immeubles résidentiels de quatre étages, qui seront rénovés pour le nouveau projet.

Le plan de rénovation urbaine a été préparé par le bureau d’architecture Leah Schneor.

 

Hassidout pour les enfants – Vayikra #2: «Vous pouvez commencer à changer notre monde pour le meilleur !»

Hassidout pour les enfants – Vayikra #2: «Vous pouvez commencer à changer notre monde pour le meilleur !»

Rubrique réalisée par Réouven Bennaïm
Beth Habad des enfants de Perpignan – « Tsivot Moshiah »

Léilouy Nishmat Rav MORDE’HAÏ (Mottel) a’h PEVZNER
Chalia’h du Rabbi à Perpignan pendant 17 ans

 

РУССКИЙ 🇷🇺

Вы можете начать менять наш мир к лучшему уже сегодня, и, неважно, насколько малы ваши действия. Бейт Хабад Детей Перпиньяна

К чему мне жертвы ваши? Заповедь о жертвоприношении как пробный камень понимания духа иудаизма Р-н Александр Фейгин

Мы склонны считать эпоху, в которую живем, пиком здравомыслия и просвещения. Это забавно, но простительно: так думали о своем времени все поколения. К примеру, мы морщим нос, читая о жертвоприношениях. Это не для нас, это из примитивной древности! А вот и голоса из древности: « Неужели всесожжения и жертвы желанны Всевышнему, как и послушание гласу Всевышнего? « К чему Мне множество жертв ваших? – говорит Всевышний ». Это не цитаты из интервью современного гуманиста, это слова пророков Шмуэля и Йешаягу.

Стало быть, подобное отношение к жертвам – не наше изобретение. И для великих мудрецов прошлого этот вопрос был куда как непрост: Рамбам в « Мишне Тора » говорит о том, что в будущем, с приходом Машиаха, будут возобновлены жертвоприношения. А в « Путеводителе заблудших » он же говорит о жертвоприношениях как об уступке Торы человеческим слабостям.

Именно эта неоднозначность « кровавого » служения в Храме (Розанов пишет: « Если израильский Б-г любит « обонять запах жертв », то евреи неужели же этого не любят? Всем им хочется крови ягненка ли, Ющинского ли ») должна заставить нас глубже разобраться в теме главы Торы « Вайикра ».

« …Когда человек [пожелает] принести от вас жертву Б-гу… » (Вайикра, 1:2). Человек должен приносить в жертву « от себя », часть себя. Часть своего ли горячо любимого имущества (ох, как больно!), часть ли своего « Я ». И если пролитие крови жертв в Храме оказывается просто ритуалом и не отрывает « с мясом » от нас, любимых, куски гордыни и самодовольства, тогда и звучат слова пророка: « К чему Мне множество жертв ваших? – говорит Всевышний ».

Но здесь, может быть, стоит остановиться и подумать. Только ли о жертвах мы говорим? Скажем, молитва многим представляется более совершенным, духовным, нежели жертвоприношение. Но что, если она превращается в автоматическое бормотание? Или благотворительность, великое дело: а если человек дает деньги бедным, чтобы прославиться своими добродетелями? Что, если возложение тфилин превращается в бессмысленное наматывание ремешков? А соблюдение субботы – в томительное ничегонеделанье?

Первое побуждение – ответить на поставленный вопрос так: любой акт праведности, любой путь служения должен быть основан на глубоком внутреннем настрое души (кавана). Иначе и молитва, и благотворительность, и жертвы – все превращается в механическое бездуховное действие. И тогда Всевышний говорит вместо « К чему Мне множество жертв ваших? » – « К чему Мне множество молитв ваших? »

Сказанное более чем тривиально. Более того, рассуждения о необходимости каваны можно встретить (в других терминах) и вне иудаизма.

Рассуждения эти верны, но недостаточны: некоторые могут плавно развить их в совсем уж нееврейскую идею о том, что лучше искренне ничего не делать, чем автоматически или неискренне делать нечто. Недаром у евреев бытует ироничная пословица: « Лучше быть здоровым и богатым, чем бедным и больным ». Действительно, лучше с рвением соблюдать заповеди, чем без рвения ими пренебрегать. Но жизнь не вписывается в черно-белый расклад. Она сложнее и часто задает вопросы вроде: « Каваны нет, желания тоже нет. Исполнить заповедь или ну ее? » Иудаизм однозначно отдает предпочтение действию. Сопровождается оно каваной – отлично. Нет – есть надежда, что за действием придет и понимание, и желание, и радость.

Все это напрямую не связано с жертвоприношениями, Но именно заповедь о принесении жертв может служить пробным камнем понимания духа иудаизма. Тот, кто принимает заповеди как указание к действию, понятны ли они ему или нет, вызывают ли отклик в сердце или нет, – тот и к жертвам Храме отнесется, как к должному. Тот, кто привык сортировать заповеди на симпатичные ему лично и не симпатичные, а значит, необязательные, первым делом отреагирует на « маргинальность » жертвоприношений. Потому-то первым, что удалили реформисты из молитвенника, были именно тексты о жертвоприношениях. Вот только из Торы их удалить не удалось.

« Vous pouvez commencer à changer notre monde, chaque jour, pour le MEILLEUR, même avec une petite action ! »

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HAYOM YOM


27 ADAR 1
Le Rabbi Rachab nous enseigne que la vérité se trouve sur un chemin équilibré. Imaginons que nous marchions sur un fil. Si nous penchons trop d’un côté, nous risquons de tomber. La même chose se produit si nous penchons trop de l’autre côté. Nous devons donc rester au milieu pour garder notre équilibre.

Dans notre vie, cela signifie que nous ne devons pas être trop durs avec nous-mêmes et toujours penser que nous faisons tout mal. Mais en même temps, nous ne devons pas être trop indulgents et ignorer les choses sur lesquelles nous devons travailler pour être de meilleures personnes.

En résumé, il est important de rester au milieu, en équilibre, et de reconnaître nos qualités tout en travaillant sur nos défauts. De cette manière, nous pouvons grandir et mieux servir D.ieu avec amour et respect pour nous-mêmes.

 

27 ADAR 2
Les fils d’Aharon se sont approchés de D.ieu, mais ils ont oublié de revenir dans le monde. Pour être près de D.ieu, il faut d’abord se purifier et être clairs. Quand on se rapproche de D.ieu, cela doit nous aider à agir mieux dans notre vie quotidienne.

Moché a donné un conseil à Aharon pour bien se rapprocher de D.ieu. Il lui a dit qu’il y a un couvercle caché sur l’Arche Sainte qui nous rappelle de ne pas seulement s’élever, mais aussi de revenir dans le monde. Car le but de se rapprocher de D.ieu est de révéler la lumière divine dans notre vie.

Pour y arriver, on doit suivre les enseignements de la ‘Hassidout et ne pas simplement écouter notre propre logique. En faisant cela, nous pourrons nous approcher du domaine sacré de la bonne manière.


HOUMACH PARACHAT VAYIKRA SECONDE MONTEE


Dans le Houmach d’aujourd’hui, Hachem s’adresse encore à Moshé Rabbeinou, lui expliquant les korbanos que les Yidden apporteront dans le Mishkan.

Hachem dit à Moshé que parfois, une personne veut donner à Hachem un korban comme cadeau (nedavah). L’une des façons de le faire est de donner un Korban Olah, un korban qui est entièrement brûlé sur le Mizbeiach, sans qu’il ne reste aucune partie que la personne ou le Cohen puisse manger (c’est pourquoi on l’appelle « olah », parce que le korban entier « monte » vers Hachem).

Dans le Houmach d’hier, Hachem a dit à Moshé d’apporter un animal comme Korban Olah.

Aujourd’hui, Hachem dit à Moshé Rabbeinu que si une personne n’a pas les moyens d’apporter un animal comme cadeau, elle peut apporter un OISEAU comme Korban Olah à la place. Même si les oiseaux sont plus petits que les animaux, si la personne les a donnés avec une bonne kavana, ils apportent à Hachem le même nachas qu’un plus grand korban !

Après que le Cohen a fait la mue de l’oiseau, il doit retirer les parties intérieures de l’oiseau, qui sont utilisées pour manger de la nourriture (le système digestif). Dans le cas d’un korban d’animal, nous prenons ces parties et les lavons, mais dans le cas de l’oiseau, nous les jetons.

Rachi nous dit que c’est à cause du type de nourriture que les oiseaux mangent ! Un animal qui peut être apporté comme korban est une sorte d’animal qui vit dans une ferme et qui ne mange que ce que son propriétaire lui donne. Mais un oiseau vole et mange tout ce qu’il trouve, ce qui équivaut à du vol. Nous jetons ces parties pour que notre korban n’ait pas de lien avec le vol.

Hachem dit à Moshé qu’après avoir retiré ces parties, l’oiseau doit être brûlé sur le Mizbeiach. Même si les plumes sont très odorantes lorsqu’elles sont brûlées, il ne faut pas les enlever ! Hachem veut que les korbanos des pauvres aient l’air aussi grands et importants que possible.

Cependant, pour certaines personnes très pauvres, même un oiseau peut être trop cher ! Hachem dit à Moshé qu’il existe un autre korban, moins cher, qui peut être apporté en cadeau à Hachem. Ce korban est fait de farine et est appelé « Korban Mincha ».

Lorsqu’Hachem a parlé à Moché du Korban Mincha, il n’a pas utilisé le même mot que d’habitude pour désigner la personne qui apporte le korban. Au lieu de dire « Adam » (une personne), Hachem a dit « Nefesh » – une neshama ! Hachem voulait que Moshé sache que lorsqu’une personne est très pauvre, mais qu’elle veut tout de même offrir un cadeau à Hachem, son korban est très précieux ! Hachem le compte comme s’il donnait tout son nefesh en cadeau !

Hachem a expliqué à Moshé les différentes façons d’utiliser la farine comme korban. (Trois de ces façons sont mentionnées dans le Chumash d’aujourd’hui).

Un type de korban de farine est en fait de la farine crue. La personne apporte de la farine fine, et le Cohen doit verser de l’huile et des épices sur le dessus. Une poignée doit être brûlée sur le Mizbeiach, et les kohanim sont autorisés à emporter le reste chez eux et à le manger.

Pour un autre type de Mincha, le Cohen doit faire cuire la farine. Cette Mincha cuite est de deux types : L’une est appelée « Challos Matzos », où le Cohen mélange la farine avec l’huile et la fait cuire. L’autre est appelée « Rekikei Matzos », où le Cohen dépose l’huile sur la Mincha cuite.

Il existe également une sorte de Mincha qui doit être frite dans une poêle jusqu’à ce qu’elle devienne croustillante.

Hachem a dit à Moshé que pour toutes les sortes de Mincha où la farine est déjà cuite, le Cohen doit la briser en morceaux et y verser de l’huile.


TEHILIM 120 – 134


Aujourd’hui, nous disons les 15 Shir Hamaalot ! Chaque chapitre dans les Tehilim d’aujourd’hui (15 chapitres) commence par les mots « Shir Hamaalot » ou « Shir Lamaalot ».

MaaloT signifie des marches, une montée ! Elles nous amènent plus haut et plus près d’Hachem !

Ces quinze Tehilim ont été dit pour la première fois par Yaakov Avinou lorsqu’il se trouvait dans la maison de Lavan.

ILS ont également été dit par DAvid Hamele’h lorsqu’il creusait un ruisseau sous la place du Beis Hamikdash, et que l’eau souterraine était sur le point de provoquer une grande inondation ! Dovid demanda à un Rav s’il pouvait écrire le nom d’Hachem sur un morceau d’argile, et lorsque A’hitofel répondit par l’affirmative, il le fit. L’eau est redescendue, mais trop loin ! Alors DAvid Hamele’h dit les 15 Shir Hamaalot, et l’eau remonta de 15 000 amoT, afin que le sol ne soit pas trop sec pour faire pousser des choses.

Savez-vous quels sont les autres 15 dans le judaïsme ? En voici quelques-uns !

– Il y a 15 étapes dans le Seder de Pessa’h.
– Il y a 15 choses qui sont faites chaque jour dans le Beth Hamikdash (nous les disons dans la prière, dans un paragraphe qui commence par « Abaye »).
– Il y a 15 marches pour entrer dans le Beth Hamikdash.
– Il y a eu 15 années où tous les Avot étaient en vie en même temps !
– Il y a eu 15 années où tous les Avot de Hassidout étaient vivants en même temps – le Baal Shem Tov, le Maggid et le Alter Rebbe !


TANYA – 27 Adar 5783 – Likoutei Amarim Chapitre 37


Et à la lumière de ce qui a été dit, on comprendra le fait que nos Sages ont si grandement exalté la vertu de la charité, en disant qu’elle équivaut à toutes les Mitsvot ; et dans tout le Talmud de Jérusalem, [la charité] est désignée par l’appellation « le commandement » sans autre précision, car tel était l’usage parlé, d’appeler la charité « le commandement » tout court, parce que la charité est l’essence des Mitsvot pratiques et elle les surpasse toutes.

Car toutes les Mitsvot ont pour seul but d’élever l’âme animale vers D.ieu, puisque c’est cette [âme vitale] qui accomplit les Mitsvot et qui s’en revêt, pour être absorbée dans la lumière du Ein Sof revêtue de ces Mitsvot. Or, il n’y a pas d’autre mitsva dans laquelle l’âme animale se revêt tellement, comme dans la mitsva de charité. Car dans toutes les [autres] Mitsvot, seule une faculté de l’âme vitale se revêt de la mitsva – par exemple, la faculté de la main qui pose les Téfilines ou qui tient un étrog – et ce, au moment de l’accomplissement de la mitsva uniquement, alors que dans le cas de la charité, qu’un homme donne du labeur de ses mains, toute la force de son âme vitale est revêtue (c’est-à-dire impliquée) dans l’exécution de son travail ou autre occupation par laquelle il a gagné cette somme d’argent, et quand il donne cet argent pour lequel il a appliqué toutes ses forces à la charité, toute son âme vitale s’élève vers D.ieu.

C’est en cela que réside la supériorité de la mitsva de la Tsédaka, qui implique toutes les forces de l’âme vitale animale et permet ainsi leur élévation. Qu’en est-il, cependant, du don à la Tsédaka d’une somme d’argent qui n’est pas le résultat d’un travail ?

Et même celui qui ne gagne pas sa vie au prix de son labeur, néanmoins, dès lors qu’il aurait pu acheter avec cette somme d’argent dont il fait don [les besoins de] la vie de son âme vitale, voilà que par le don de cette somme à la charité, il donne la vie de son âme à D.ieu.

La charité empreint donc, en tout état de cause, l’âme vitale plus que toute autre mitsva pratique. Et c’est pourquoi nos Sages ont dit que la charité rapproche la Rédemption [messianique]. Car par un seul acte de charité, on élève beaucoup de l’âme vitale ; autant de forces et de facultés que l’on n’aurait pas pu élever par l’accomplissement de multiples autres Mitsvot pratiques.

Comme expliqué précédemment dans ce chapitre, l’ère messianique dépend de l’aboutissement du travail spirituel d’Israël, plus précisément de l’élévation de l’âme vitale d’Israël par les Mitsvot qui relèvent de l’action. La charité, qui conduit à une telle élévation plus que toute autre mitsva pratique, hâte donc l’avènement de la Rédemption.

La charité dépasse ainsi toutes les autres Mitsvot, y compris l’étude de la Torah. Un autre enseignement de la Michna semble pourtant affirmer le contraire.


SEFER HAMitsvot


Mitsva positive N° 246 :
C’est le commandement nous incombant au sujet des plaignants et des lésés, selon le verset: « Quelque soit l’objet du délit… qu’on affirme être le sien ». La Mekhilta dit à ce sujet: « Qu’on affirme être le sien: [cela nous enseigne que le défenseur ne pourra prêter serment] jusqu’à ce qu’il reconnaisse une partie [de la prétention] ».

 

 

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LES DOUZE PSOUKIM (à apprendre par coeur)


1 – Torah TORAH TSIVA LANOU MOCHÉMORACHA KÉHILAT YAAKOV.

תּוֹרָה צִוָּה לָנוּ מֹשֶׁה מוֹרָשָׁה קְהִלַּת יַעֲקֹב

“La Torah que Moïse nous a ordonnée est l’héritage de la Communauté de Jacob” (Deut. 33:4)

C’est Moïse, le fidèle serviteur de D.ieu qui nous a transmis la Torah. Et chaque Juif, garçon ou fille, la reçoit pour lui-même. Qu’il l’ait étudiée durant des années ou qu’il n’en connaisse qu’un tout petit peu, Elle lui appartient, pour l’apprendre et la mettre en pratique. C’est le plus beau cadeau que D.ieu pouvait nous faire.


2 – Chéma Israël CHEMA Israël ADO-NAY ELO-HÉNOU ADO-NAY É’HAD..

שְׁמַע יִשְׂרָאֵל ה’ אֱ־לֹהֵינוּ ה’ אֶחָד

Ecoute Israël, l’Eternel est notre D.ieu, l’Eternel est Un.

C’est Moïse, le fidèle serviteur de D.ieu qui nous a transmis la Torah. Et chaque Juif, garçon ou fille, la reçoit pour lui-même. Qu’il l’ait étudiée durant des années ou qu’il n’en connaisse qu’un tout petit peu, Elle lui appartient, pour l’appr-endre et la mettre en pratique. C’est le plus beau cadeau que D.ieu pouvait nous faire.


3 – Bé’hol Dor Vador BÉ’HOL DOR VADOR ‘HAYAV ADAM LIROT ETE ATSMO KE-ILOU HOU YATSA MIMITSRAYIM

בְּכָל דּוֹר וָדוֹר חַיָּב אָדָם לִרְאוֹת אֶת עַצְמוֹ כְּאִלּוּ הוּא יָצָא מִמִּצְרַיִם

“Dans chaque génération, il faut se considérer comme sorti soi-même d’Egypte.

Il y a quelques 3500 ans, Hachem nous a fait sortir d’Egypte. Il nous a fait passer de l’esclavage à la liberté. Et, si Hachem ne l’avait pas fait, nous serions encore des esclaves aujourd’hui. Aussi, chaque jour, nous remercions D.ieu de nous avoir libérés. Et, dans notre cœur, nous promettons d’utiliser notre liberté du mieux possible, comme les serviteurs choisis du Roi des rois.


4 – Kol Israël KOL ISRAEL YECH LAHEM ‘HÉLEK LÉOLAM HABA CHÉNÉÉMAR VÉAMÈ’H KOULAM TSADIKIM LÉOLAM YIRCHOU ARETS NÉTSER MATAAÏ MAASSÉ YADAÏ LEHITPAERE.

בכָּל יִשְׂרָאֵל יֵשׁ לָהֶם חֵלֶק לְעוֹלָם הַבָּא, שֶׁנֶּאֱמַר: וְעַמֵּךְ כֻּלָּם צַדִּיקִים לְעוֹלָם יִירְשׁוּ אָרֶץ, נֵצֶר מַטָּעַי מַעֲשֵׂה יָדַי לְהִתְפָּאֵר

Tous les Juifs ont une part dans le monde futur, comme il est dit : « Dans Ton peuple, il n’y a que des Justes. Ils hériteront de la terre pour toujours. Ils sont le produit de Mes plantations, l’œuvre de Mes mains. Et, J’en suis fier. «

D.ieu est particulièrement fier de chaque Juif. Il nous a créés et Il prend soin de nous comme un jardinier prend soin d’une jeune plante. Et, comme nous grandissons, en étudiant Sa Torah, en faisant Ses Mitsvot extraordinaires, alors D.ieu nous prépare une place dans le Monde Futur, à côté d’Avraham, d’Its’hak, de Yaakov, de Moché, du roi David et de tous les grands hommes de notre histoire.


5 – Ki Karov KI KAROV ÉLÉ’HA HADAVAR MÉOD BÉFI’HA OUVILVAV’HA LAASSOTO.

כִּי קָרוֹב אֵלֶיךָ הַדָּבָר מְאֹד בְּפִיךָ וּבִלְבָבְךָ לַעֲשׂוֹתוֹ

Obéir à la Torah en paroles, en pensée et en action, tout cela est à ta portée.

Tu sais, la Torah n’est pas dans le ciel. Elle est ici, sur terre, toute proche, facile à étudier et à pratiquer. Elle est à ta portée, aussi proche que la synagogue du coin de la rue, aussi proche que le livre que je tiens dans la main ou la phrase de Torah que je connais par cœur, ou encore que le bonheur que je ressens au fond de moi. En fait, la Torah, c’est tout ce que je veux vraiment. C’est comme cela que Hachem m’a fait.


6 – Véhiné Hachem VÉHINÉ Hachem NITSAV ALAV OUMELO KOL HAARETS KEVODO OUMAVIT ALAV OUVO’HEN KÉLAYOT VALEV IM OVDO KARAOUÏ.

וְהִנֵּה ה’ נִצָּב עָלָיו וּמְלֹא כָּל הָאָרֶץ כְּבוֹדוֹ וּמַבִּיט עָלָיו וּבוֹחֵן כְּלָיוֹת וָלֵב, אִם עוֹבְדוֹ כָּרָאוּי

D.ieu se tient au-dessus de lui, et toute la terre est pleine de Sa gloire. Il regarde au fond de son esprit et de son cœur pour voir s’il Le sert comme il convient.

Imagine que tu sois dans le palais d’un roi. Autour de toi, tout est magnifique : les pièces, les murs, les meubles. Des princes et des gouverneurs, habillés d’or et d’argent, se tiennent debout avec respect, attendant d’obéir à l’ordre du roi ou simplement de le voir. Imagine que tu passes au milieu d’eux et, tout à coup, tu te trouves devant le roi. Personne ne dit un mot. Comme tu approches, il te regarde avec un grand intérêt. Imagine l’effet que cela ferait ! Eh bien, c’est exactement ainsi que nous nous tenons à tout instant devant Hachem, le Roi du monde entier.


7 – Béréchit BERECHIT BARA ELO-HIM ETE HACHAMAYIM VEETE HAARETS.

בְּרֵאשִׁית בָּרָא אֱ-לֹהִים אֵת הַשָּׁמַיִם וְאֵת הָאָרֶץ

Au commencement, D.ieu créa le ciel et la terre.

D.ieu a créé tout l’univers : les cieux et tout ce qui s’y trouve, la terre et tout ce qui y vit. C’est la toute première chose que la Torah nous dit. Aussi, si jamais nous avons peur du noir, de la tempête, du froid, des gens et si rien ne semble aller comme cela devrait, la Torah nous dit de ne pas en être effrayé. Hachem a créé l’univers et Il en prend soin. Et, Il nous a donné la Torah pour faire que les choses soient comme elles doivent être. La Torah nous dit ce que nous devons faire et comment nous pouvons rendre, la terre meilleure et plus sainte. Et quand D.ieu voit que nous nous conduisons bien, alors Il nous donne la réussite et Sa bénédiction.


8 – Véchinanetam Lévané’ha VÉCHINANETAM LÉVANÉ’HA VÉDIBARTA BAM BÉCHIVTÉ’HA BÉVÉTÉ’HA OUVLE’HTÉ’HA VADÉRÈH OUVCHO’HVÉ’HA OUVKOUMÉ’HA.

וְשִׁנַּנְתָּם לְבָנֶיךָ וְדִבַּרְתָּ בָּם בְּשִׁבְתְּךָ בְּבֵיתֶךָ וּבְלֶכְתְּךָ בַדֶּרֶךְ וּבְשָׁכְבְּךָ וּבְקוּמֶךָ

Et tu enseigneras la Torah à tes enfants, et tu en parleras chez toi et en voyage, avant de te coucher et quand tu te lèveras.

La Torah s’adresse à nos parents. Elle leur dit : « Papa, maman, enseignez-moi à vos enfants. Je veux qu’ils connaissent mes saints mots ». Nous aussi, il faut que nous disions à nos parents : « Papa, maman, faites la meilleure chose que vous puissiez faire pour moi: apprenez-moi la Torah. Apprenez-moi les phrases de la Torah avec soin jusqu’à ce que je m’en souvienne toujours, à la maison ou sur le chemin, en allant dormir ou en me levant ». Si nous le demandons du fond du cœur, de la manière que l’on utilise pour demander les choses que l’on veut vraiment, nos parents nous écouteront. Ils nous enverront dans une colonie de vacances dirigée selon la Torah et dans une école où nous apprendrons la Torah, les Mitsvot et tout le Judaïsme.


9 – Yagati Oumatsati YAGATI VÉLO MATSATI AL TAAMINE. LO YAGATI OUMATSATI AL TAAMINE. YAGATI OUMATSATI TAAMINE.

ויָגַעְתִּי וְלֹא מָצָאתִי – אַל תַּאֲמִין, לֹא יָגַעְתִּי וּמָצָאתִי – אַל תַּאֲמִין, יָגַעְתִּי וּמָצָאתִי – תַּאֲמִין

Si l’on te dit: « j’ai travaillé dur, mais je n’ai pas réussi », ne le crois pas. Si l’on te dit: « je n’ai pas travaillé dur, mais j’ai réussi », ne le crois pas. Si l’on te dit : « j’ai travaillé dur et j’ai réussi », tu peux le croire.

S’il arrive qu’un jour on n’agisse pas exactement comme il faudrait et que l’on ne se sente pas assez fort pour continuer d’étudier la Torah et de pratiquer les Mitsvot, alors il faudra se souvenir de la promesse de Hachem : Si nous essayons encore et encore plus, le mieux possible, alors finalement nous réussirons. Et ce que nous obtiendrons à ce moment-là dépassera tout ce que nous avions imaginé.


1 0 – Véahavta VÉAHAVTA LÉRÉA’HA KAMO’HA. RABBI AKIVA OMER: ZÉ KLAL GADOL BATORAH.

וְאָהַבְתָּ לְרֵעֲךָ כָּמוֹךָ – רַבִּי עֲקִיבָא אוֹמֵר, זֶה כְּלָל גָּדוֹל בַּתּוֹרָה

Rabbi Akiva dit que « tu aimeras ton prochain comme toi-même » est un principe de base de la Torah.

Quand nous travaillons dur pour nous améliorer, il ne faut pas oublier nos amis et nos voisins. Comme l’a dit Rabbi Akiva, il faut aimer son prochain exactement comme on s’aime soi-même. C’est le plus important de tout ce que nous apprenons. Aussi, si nous avons la chance d’étudier la Torah, nous devons travailler dur pour aider nos amis juifs à la pratiquer eux aussi.


11 – Vézé Kol Haadam VÉZÉH KOL HAADAM VÉTA’HLIT BRIATO OUVRIAT KOL HAOLAMOT ÉLYONIM VETA’HTONIM LIHYOT LO ITBARE’H DIRA BETA’HTONIME.

וְזֶה כָּל הָאָדָם וְתַכְלִית בְּרִיאָתוֹ וּבְרִיאַת כָּל הָעוֹלָמוֹת, עֶלְיוֹנִים וְתַחְתּוֹנִים, לִהְיוֹת לוֹ יִתְבָּרֵךְ דִּירָה בְּתַחְתּוֹנִים

Rabbi Akiva dit que « tu aimeras ton prochain comme toi-même » est un principe de base de la Torah.

Pourquoi D.ieu a-t-il créé chacun d’entre nous et l’univers tout entier ? Pour qu’en respectant la Torah et les Mitsvot, nous puissions faire de nous-mêmes, de nos maisons et du monde qui nous entoure un endroit où D.ieu puisse résider, un endroit où Il vivra exactement comme nous vivons dans nos maisons


12 – Yisma’h Israël YISMA’H ISRAEL BÉOSSAV PÉROUCH CHÉKOL MI CHÉHOU MIZÉRA ISRAEL YECH LO LISMOA’H BESIM’HAT Hachem ACHER SAS VÉSAMEA’H BÉDIRATO BÉTA’HTONIM.

יִשְׂמַח יִשְׂרָאֵל בְּעוֹשָׂיו, פֵּרוּשׁ שֶׁכָּל מִי שֶׁהוּא מִזֶּרַע יִשְׂרָאֵל יֵשׁ לוֹ לִשְׂמֹחַ בְּשִׂמְחַת ה’, אֲשֶׁר שָׂשׂ וְשָׂמֵחַ בְּדִירָתוֹ בְּתַחְתּוֹנִים

« Les Juifs doivent se réjouir de leur Créateur ». Cela signifie que chaque Juif doit partager la joie de D.ieu, qui est heureux de Sa demeure dans ce monde.

Chaque Juif, quoi qu’il ait étudié jusqu’à présent, où qu’il ait vécu jusqu’ici, reste toujours un membre de notre peuple. Et il doit être heureux et fier que Hachem lui ait donné la plus grande mission du Monde : faire une Maison où D.ieu puisse habiter.



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Or Ashkar, blessé lors de l’attentat du 9 mars à Tel Aviv, succombe finalement à ses blessures

Or Ashkar, blessé lors de l’attentat du 9 mars à Tel Aviv, succombe finalement à ses blessures

 

Un homme blessé lors de l’attaque terroriste perpétrée à Tel-Aviv plus tôt ce mois-ci est décédé des suites de ses blessures lundi à l’hôpital Ichilov.

Les responsables de l’hôpital ont annoncé lundi après-midi qu’Or Ashkar, un athlète qui avait récemment participé au triathlon Iron Man, est décédé onze jours après avoir été grièvement blessé par un terroriste du Hamas alors qu’il se rendait à un mariage à Tel-Aviv.

« Or est arrivé chez nous après de nombreuses tentatives de réanimation sur le terrain, qui se sont poursuivies à l’hôpital, et il a été immédiatement emmené au bloc opératoire où, contre toute attente, les médecins ont réussi à stabiliser son état », a déclaré Roni Gamzu, directeur de l’hôpital.

« Malheureusement, la gravité des blessures a été fatale et, après une longue lutte pendant plusieurs jours… nous avons été contraints aujourd’hui de déclarer son décès. »

Le soir du 9 mars, Or Ashkar, Rotem Mansano et Michael Osdon ont été blessés lorsque le terroriste affilié au Hamas, Mutaz Salah al-Khawaja, un résident de Ni’lin âgé de 23 ans, a ouvert le feu sur eux à l’extérieur d’un café situé dans la rue Dizengoff à Tel-Aviv, avant d’être abattu par les forces de sécurité.

Ashkar et Mansano ont été grièvement blessés lors de l’attaque, tandis qu’Odson a subi des blessures légères à modérées.

« Attaque terroriste de Tel-Aviv : une victime succombe à ses blessures »

Un homme blessé lors de l’attaque terroriste perpétrée à Tel-Aviv plus tôt ce mois-ci est décédé des suites de ses blessures lundi à l’hôpital médical Ichilov.

Les responsables de l’hôpital ont annoncé lundi après-midi qu’Or Ashkar, un athlète qui avait récemment participé au triathlon Iron Man, est décédé onze jours après avoir été grièvement blessé par un terroriste du Hamas alors qu’il se rendait à un mariage à Tel-Aviv.

« Or est arrivé chez nous après de nombreuses tentatives de réanimation sur le terrain, qui se sont poursuivies à l’hôpital, et il a été immédiatement emmené au bloc opératoire où, contre toute attente, les médecins ont réussi à stabiliser son état », a déclaré Roni Gamzu, directeur de l’hôpital.

« Malheureusement, la gravité des blessures a été fatale et, après une longue lutte pendant plusieurs jours… nous avons été contraints aujourd’hui de déclarer son décès. »

Le soir du 9 mars, Or Ashkar, Rotem Mansano et Michael Osdon ont été blessés lorsque le terroriste affilié au Hamas, Mutaz Salah al-Khawaja, un résident de Ni’lin âgé de 23 ans, a ouvert le feu sur eux à l’extérieur d’un café situé dans la rue Dizengoff à Tel-Aviv, avant d’être abattu par les forces de sécurité.

Or Ashkar et Rotem Mansano ont été grièvement blessés lors de l’attaque, tandis qu’Odson a subi des blessures légères à modérées.

Itamar Ben Gvir met fin à ‘Kol Palestine’ : la lutte contre l’incitation au terrorisme s’intensifie

Itamar Ben Gvir met fin à ‘Kol Palestine’ : la lutte contre l’incitation au terrorisme s’intensifie

« Incitation et soutien au terrorisme » : Ben Gvir signe la fermeture de la radio « Kol Palestine » Le ministre de la Sécurité nationale, Itamar Ben Gvir, a signé aujourd’hui (lundi) un ordre de fermeture de la station de radio « Kol Palestine », le canal officiel de l’Autorité palestinienne. Ben Gvir a déclaré : « Je n’accepterai ni ne permettrai des activités d’incitation et de soutien au terrorisme et aux terroristes ». Ben Gvir a réagi à la décision du juge en chef d’empêcher de donner des instructions à la police concernant les manifestations : « Cette décision souligne l’importance de la réforme judiciaire ».

Le ministre de la Sécurité nationale, Itamar Ben Gvir, a signé aujourd’hui (lundi) un ordre de fermeture de la station de radio « Kol Palestine », le canal officiel de l’Autorité palestinienne.

La station est située à Ramallah et peut également être captée sur le territoire d’Israël. La station de radio est gérée par la société ‘Marsel’, située à Beit Hanina et servant de succursale à la station officielle de Ramallah.

Les forces de police sont arrivées sur les lieux et ont informé le personnel de la station de l’ordre de fermeture.

Dans l’ordre signé par le ministre Ben Gvir, il est écrit : « En vertu de mon autorité en vertu de la loi, je donne l’ordre de mettre fin à l’activité en tout lieu sur le territoire de l’État d’Israël. J’ordonne au détenteur des lieux et à toute autre personne qui gère, exploite ou travaille dans le cadre de l’activité de ne pas permettre l’activité sur le territoire de l’État d’Israël ».

Le ministre Ben Gvir a déclaré : « Je n’accepterai ni ne permettrai des activités d’incitation et de soutien au terrorisme et aux terroristes, ni de l’Autorité palestinienne ni d’aucun autre organisme. L’État d’Israël est souverain et tous ceux qui tenteront de lutter contre nous se retrouveront à l’extérieur ».

Dans l’ombre de la lutte pour la législation de la réforme du système judiciaire, le ministre de la Sécurité nationale, Itamar Ben Gvir, est critiqué par la Cour. Le juge en chef Yitzhak Amit a statué que le ministre ne pourrait pas donner d’instructions à la police concernant les manifestations.

Le ministre Ben Gvir a réagi avec véhémence :

« Aujourd’hui, le juge en chef Yitzhak Amit a établi, dans une décision sans précédent de demi-page, qu’il m’est interdit en tant que ministre de la Sécurité nationale de donner des instructions à la police concernant les manifestations, et a effectivement annulé l’autorité exécutive en Israël. La signification de cette décision est révolutionnaire.

« Cette décision souligne simplement l’importance de la réforme judiciaire que nous devons mettre en œuvre pleinement et sans délai. »

Le ministre israélien du Patrimoine, entame sa visite officielle aux États-Unis par un moment de recueillement au Ohel du Rabbi

Le ministre israélien du Patrimoine, entame sa visite officielle aux États-Unis par un moment de recueillement au Ohel du Rabbi

Le ministre du Patrimoine, le Rav Ami’haï Elyahou, a entamé sa visite officielle aux États-Unis par une prière émouvante au Ohel du Rabbi, un lieu de culte et de pèlerinage pour les membres de la communauté hassidique. Le Rav Elyahou est à la tête de l’organisation des Rabbanim communautaires, un groupe Rabbinique influent. Il est également le petit-fils du Rav Mordechai Elyahou, ancien grand Rabbin séfarade d’Israël, et le fils du Rav Chmouel Elyahou, figure éminente du mouvement national-religieux qui officie à Safed.

Le père du Rav Mami’haï Elyahou, le Rav Chmouel Elyahou, est connu pour ses déclarations et ses jugements sur la loi juive. Il a notamment interdit la location ou la vente de biens immobiliers appartenant à des Juifs aux Arabes à Safed, une ville du nord d’Israël. Il a également critiqué le mouvement réformé, la communauté LGBT et la présence des femmes dans les unités de combat de Tsahal.

L’objectif de la visite du Rav Ami’haï Elyahou aux États-Unis est de renforcer les liens entre Israël et les communautés juives de la diaspora, en particulier aux États-Unis, où vit la plus grande communauté juive en dehors d’Israël. Après sa prière au Ohel du Rabbi, le ministre Elyahou a visité plusieurs lieux emblématiques de la communauté juive, dont la synagogue du Rabbi, la bibliothèque mondiale de Habad, le Musée des Enfants Juifs et la Yeshiva Talmud Torah Oholei Torah à Crown Heights.

Le ministre Elyahou a souligné l’importance de renforcer les liens entre Israël et les communautés juives de la diaspora, en particulier aux États-Unis. La visite marque le début de la « Semaine du renforcement des liens avec la diaspora », un événement qui vise à promouvoir l’unité et la coopération entre Israël et les communautés juives du monde entier.

Les actions et les convictions du père du Rav Elyahou, bien que controversées, ne semblent pas avoir d’impact direct sur la mission et les objectifs de la visite du ministre aux États-Unis. Cette visite met en lumière les efforts déployés par les dirigeants juifs pour renforcer les liens avec la diaspora et promouvoir l’unité et la coopération entre les différentes communautés juives à travers le monde.

 

 

La communauté Habad de Los Angeles célèbre le 80e anniversaire du Rosh Yeshiva

La communauté Habad de Los Angeles célèbre le 80e anniversaire du Rosh Yeshiva

La communauté Habad de Los Angeles a récemment célébré le 80e anniversaire du Rav Ezra Binyamin Sho’hat, le Rosh Yeshiva de la Yeshiva Ohr Elhanan, mettant en lumière son influence durable sur l’éducation et la vie spirituelle de la communauté.

La communauté Habad de Los Angeles a récemment célébré un événement marquant : le 80e anniversaire du Rosh Yeshiva de la Yeshiva Ohr Elhanan, le Rav Ezra Binyamin Sho’hat, surnommé le « Rosh ». Le Rav Sho’hat est un érudit respecté dans le mouvement Habad et a joué un rôle crucial dans le développement et la croissance de la Yeshiva Ohr Elhanan et de la communauté Habad de Los Angeles.

Né le 20 juillet 1943 à Téhéran, en Iran, le Rav Sho’hat est le fils d’Aharon et Chana Sho’hat. En 1950, la famille Sho’hat a émigré en Israël, où Ezra a étudié à la Yeshiva Habad à Lod. Par la suite, il a rejoint la Yeshiva Tomchei Temimim à Kfar Habad et la Yeshiva centrale Tomchei Temimim de 770 Eastern Parkway à Brooklyn, New York. Là-bas, il a reçu la bénédiction et l’approbation du Rabbi de Loubavitch, Rabbi Menachem Mendel Schneerson.

En 1970, le Rav Sho’hat a épousé Rahel Leah Lipsker, et ensemble, ils ont eu six enfants. Après son mariage, il a commencé à enseigner à la Yeshiva Habad de Los Angeles, appelée Yeshiva Ohr Elhanan, où il est devenu le Rosh Yeshiva. Il est également connu sous le nom de « Rosh ».

Célébration du 80e anniversaire

L’anniversaire du Rav Sho’hat a été célébré lors d’une réunion spéciale organisée par la communauté Habad de Los Angeles. Les élèves de la Yeshiva Ohr Elhanan et les membres de la communauté Habad de la ville ont participé à cette réunion. Au cours de la célébration, la foule a éclaté en danses pour marquer l’événement et honorer le Rav Sho’hat pour son dévouement à la communauté et son érudition.

Impact sur la communauté Habad

Le Rav Sho’hat a consacré sa vie à l’étude et à l’enseignement du Talmud et de la Hassidout. Ses compétences académiques et pédagogiques ont contribué à la croissance et au développement de la Yeshiva Ohr Elhanan et de la communauté Habad de Los Angeles. En tant qu’éminent érudit du mouvement Habad, le Rav Sho’hat a également écrit plusieurs ouvrages sur le Talmud et la Hassidout, laissant un héritage durable pour les générations futures.

Bar Mitsva émouvante pour 10 garçons issus de milieux défavorisés au Mur des Lamentations »

Bar Mitsva émouvante pour 10 garçons issus de milieux défavorisés au Mur des Lamentations »

Dans le cadre de la « Journée des bonnes actions » à Kiryat Ata, une célébration de Bar Mitsva communautaire émouvante a été organisée pour dix garçons issus de familles défavorisées.

Dans le cadre de la « Journée des bonnes actions » à Kiryat Ata, une célébration de Bar Mitsva communautaire émouvante a été organisée pour dix garçons issus de familles défavorisées, en partenariat avec la maison Chabad locale.

Le département jeunesse municipal a organisé une célébration de Bar Mitsva à Jérusalem pour dix garçons. La célébration a eu lieu dans le cadre du programme « Année de la Bar Mitsva » qui fonctionne tout au long de l’année en collaboration avec la maison Chabad.

Les garçons ont lu la Torah au Mur des Lamentations puis ont été accueillis au Centre du patrimoine Begin pour une activité éducative, expérientielle et enrichissante.

Dans le cadre de la Journée des bonnes actions, le département jeunesse a organisé diverses activités dans toute la ville. Parmi les activités : bénévolat dans les auberges, les logements protégés et les clubs pour personnes âgées, collecte et emballage de nourriture pour les familles nécessiteuses, nettoyage des parcs par le groupe vert, aide aux personnes âgées isolées et réduction de leur solitude, bénévolat dans les clubs et les maisons de jour du département des services sociaux, célébration de la Bar Mitsva pour dix garçons issus de familles défavorisées et bien plus encore.