Regardez : Ne mettez pas au défi un ‘Habad pour qu’il vous mette les Téfilines !

Regardez : Ne mettez pas au défi un ‘Habad pour qu’il vous mette les Téfilines !

Un jeune israélien qui passait devant un stand de Tefilines lança un défi au jeune Habad, persuadé de gagner le pari :  » J’accepte de mettre les Tefilines à la condition que tu fasses deux fois plus de barres de traction que moi »

Après avoir fait 13 tractions sur la barre de la station de bus, le jeune Habad s’élança sur la barre de la station de bus et, en quelques instants, doubla allègrement le score du jeune homme qui n’avait plus d’autre choix que de mettre les Tefilines !

 

Les dernières paroles d’Esther Pollard : « Maintenant que j’ai accompli ma mission, je peux rentrer chez moi. »

Les dernières paroles d’Esther Pollard : « Maintenant que j’ai accompli ma mission, je peux rentrer chez moi. »

Jonathan Pollard a terminé sa semaine de shiva en se rendant sur la tombe de sa femme Esther, décédée la semaine dernière après une longue bataille contre le cancer et contaminée par le coronavirus.

 

Jonathan Pollard a également visité la tombe de Yehuda Dimentman, l’étudiant de la yeshiva qui a été assassiné lors d’une fusillade terroriste à Samarie en décembre, et qui est également enterré au cimetière Har Hamenuhot à Jérusalem.

À la fin de la shiva, Jonathan Pollard a déclaré « Esther m’a emmené dans le quartier de Geoula et à Mea Shearim, puis à Tel-Aviv et m’a dit – dans les deux endroits, tu as vu des gens qui ne te ressemblent pas, mais ils sont tous tes frères. Ce n’est que dans l’unité que nous pouvons faire face à tous les défis qui nous attendent. S’il vous plaît, souvenez-vous d’Esther et souvenez-vous de ce message : unité, unité, unité! »

Dans une conversation avec Natan Sharansky et l’ancien ambassadeur Ron Dermer venu le réconforter, Jonathan Pollard a décrit les derniers mots de sa femme :
« Elle était en train de mourir. Tout d’un coup, ses yeux se sont ouverts… Je lui tenais la main. Je ne sais pas où elle était. Mais elle levait juste les yeux. Et elle a dit d’une toute petite voix : « Ma néchama [âme] s’est portée volontaire pour deux missions : l’une des missions était de te ramener à la maison. L’autre mission était de te ramener à la maison en tant que Juif et non en tant que goy ».

Elle a dit : ‘ »Ma première mission a été la plus facile de toutes ». Je ne savais pas si je devais rire ou pleurer, mais elle a dit : « Ma mission la plus difficile était de m’assurer que tu rentres chez toi en tant que Juif. »

« Puis elle a dit : « Maintenant que j’ai accompli ma mission, je peux rentrer chez moi. » Puis elle rendit son âme au Créateur.

« Je ne sais pas qui elle était. Je suppose que je ne le saurai jamais. Mais je sais une chose : elle avait autant d’amour pour vous tous et cette terre qu’elle en avait pour moi. »

 

Le guide des usages hassidiques : #8 Pessoukeï de Zimra de la Tefila de Cha’harit

Le guide des usages hassidiques : #8 Pessoukeï de Zimra de la Tefila de Cha’harit

 

Les Pessoukeï de Zimra sont la partie de la prière du matin qui est comprise entre les bénédictions Barou’h Ché Amar, « Béni soit Celui Qui a créé le monde par Sa Parole » et Yichtaba’h, « Que Ton Nom soit loué ».

Hala’ha

En disant Barou’h Ché Amar, « béni soit Celui Qui a créé le monde par Sa Parole », on tient les deux Tsitsit de devant dans sa main gauche, puis, à la fin de la bénédiction, on les passe sur ses yeux et on les embrasse.

Durant la lecture du paragraphe Barou’h Ché Amar, on marque un temps d’arrêt entre les mots Méle’h, « Roi » et Mechouba’h,
« digne d’éloge ». En effet, Méle’h se rapporte à ce qui est dit au préalable, non à ce qui suit.

En lisant les mots Potéa’h Et Yadé’ha, « Ouvre Ta main », dans la prière Achreï, « heureux sont ceux qui résident dans Ta maison », on touche les Tefillin du bras.

En lisant les mots Oumassbya Le ‘Hol ‘Haï Ratson, « Rassasie tout être vivant par Ton bon vouloir », la suite de ce même verset, on touche les Tefillin de la tête.

(Séfer Ha Minhaguim, page 9)

interruptions

Pour ce qui est des interruptions qui sont permises, pendant les Pessoukeï De Zimra, de manière pratique, j’ai interrogé mon beau-père et maître, le Rabbi. Il m’a répondu que l’on peut dire
pessoukeï de zimra

l’intégralité de la Kedoucha et du Modim. En revanche, on ne peut pas répondre aux Amen du Kaddish à partir de Titkabel.

(Lettre du Rabbi, Iguerot Kodech, tome 3, page 148)

*

Y a-t-il lieu de s’interrompre, pendant les Pessoukeï de Zimra, pour lire la prière Beri’h Chemé, « que Son Nom soit béni », qui est récitée lors de l’ouverture de l’arche sainte, avant la lecture de la Torah et, de même, Ve Zot Ha Torah, « ceci est la Torah », la phrase qui est dite lors de la levée de la Torah, après sa lecture ? Je n’ai pas vu le Knesset Israël et les responsa Péri Ha Sadé, les ouvrages que vous citez.

En tout état de cause, l’Admour Hazaken ne fait pas mention de ces interruptions et il est donc bien clair que nous autres, ‘Hassidim ‘Habad, nous ne devons pas nous les permettre.

L’un des élèves de la Yechiva Tom’heï Temimim m’a dit avoir entendu, au nom du Rabbi Rachab, dont l’âme est en Eden, que l’on peut effectivement s’interrompre pour Beri’h Chemé.

J’ai interrogé hier mon beau-père et maître, le Rabbi, à ce sujet. Il m’a répondu que ce n’est nullement le cas et qu’il n’y a pas lieu de s’interrompre, pour cela.

(Lettre du Rabbi, Iguerot Kodech, tome 3, page 149)

*

Il ne faut pas s’interrompre, au milieu des Pessoukeï de Zimra, pour lire les passages Beri’h Chemé et Ve Zot Ha Torah.

(Séfer Ha Minhaguim, page 10)

*

Vous récitez le Kaddish de Rabanan qui précède Hodou et, à ce sujet, vous me posez la question suivante. Est-il permis de s’interrompre, au milieu des Pessoukeï de Zimra, pour réciter ce Kaddish ?

Le temps dont je dispose ne me permet pas d’effectuer des recherches, à ce propos. Mais, en outre, la réponse me paraît bien évidente. A mon avis, ce Kaddish n’étant pas votre obligation personnelle, mais celle de la communauté, rien ne vous permet de vous interrompre pour le dire, dans un passage en lequel on ne s’interrompt pas.

(Lettre du Rabbi, Iguerot Kodech, tome 7, page 139)

traduction

Je ne suis pas satisfait par les interruptions de la prière en y introduisant la traduction de certains mots dans une autre langue.

(Séfer Ha Minhaguim, page 10) le chema israël et ses bénédictions

 


Le Guide des Usages Hassidiques – Rav Haïm Mellul / Editions du Beth Loubavitch


 

 

Une voiture volante? Vous en avez rêvé… Stefan Klein l’a réalisé !

Une voiture volante? Vous en avez rêvé… Stefan Klein l’a réalisé !

 

La Klein Vision AirCar est une voiture volante à deux places conçue par Štefan Klein et fabriquée en Slovaquie . Il a été certifié de type en tant qu’avion en janvier 2022.

Le designer slovaque, le professeur Štefan Klein a commencé à travailler sur les voitures volantes à la fin des années 1980. Après avoir développé l’ AeroMobil , il quitte l’entreprise pour développer une nouvelle idée sous le nom d’AirCar, et crée Klein Vision avec son collègue Anton Zajac.

Le fuselage principal de l’AirCar se double d’une voiture de route à deux places avec quatre grandes roues de route. Conçu comme un coupé sport, il contribue de 30 à 40 % à la portance totale lorsqu’il est en l’air. Pour le vol, il est équipé d’ailes dépliables et de poutres arrière extensibles portant une queue haute. Une hélice propulsive est installée en permanence entre le fuselage et la queue, et un parachute de sécurité est installé. La construction est principalement une semi-monocoque en composite de fibre de carbone sur un sous-châssis en acier. Plus de 20 servomoteurs programmables sont utilisés pour effectuer la transition entre les configurations routière et aérienne. [4] [5] Sur la route, la surface arrière rétractée crée une force d’appui similaire aux ailerons arrière conventionnels.

La puissance est fournie par un moteur de voiture de route BMW de 1,6 litre, fonctionnant à l’essence automobile ou à l’essence et délivrant 104 kilowatts (139 ch).

Le prototype AirCar est d’une longueur comparable à une berline Mercedes Classe S , à 5,2 mètres (17 pieds 1 pouces) et environ 2 cm (1 pouces) plus étroit. Le poids total est de 1 100 kilogrammes (2 400 lb).

Un deuxième prototype de pré-production devrait avoir un fuselage monocoque avec un moteur plus puissant de 220 kilowatts (300 ch).

La conception a été certifiée de type en tant qu’avion en janvier 2022 en Slovaquie. Il doit également être homologué en tant que véhicule routier avant de pouvoir être utilisé comme tel.

Performance
Le prototype décolle à environ 120 kilomètres par heure (75 mph), après une course de 300 mètres (980 pieds). [4] On dit que la vitesse de croisière dans l’air est de 170 kilomètres par heure (92 nœuds) La portée est estimée à 1 000 kilomètres (620 mi), à une hauteur de 2 500 mètres (8 200 pieds). La version actuelle de la voiture peut atteindre des hauteurs de 4 572 mètres (15 000 pieds). On dit qu’il faut deux minutes et 15 secondes pour se transformer d’une voiture en avion.

Historique opérationnel
Le prototype a volé pour la première fois le 22 ou le 27 octobre 2020.

En juin 2021, le prototype AirCar a effectué un vol de 35 milles entre les aéroports de Nitra et de Bratislava . wikipedia

EN IMAGES. Etude du Likoutei Si’hot – Si’ha de Tetsavé au Beth Haya Mouchka, samedi soir 5 février

EN IMAGES. Etude du Likoutei Si’hot – Si’ha de Tetsavé au Beth Haya Mouchka, samedi soir 5 février


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6-7 février 2022 : Campagne allodons au profit des oeuvres de Rav Rozenberg zal

6-7 février 2022 : Campagne allodons au profit des oeuvres de Rav Rozenberg zal

 

« Y-a pas de secrets il faut bosser »

Par Yossef Rozenberg

Tout le monde le savait c’était la devise du Rav, son leitmotiv, sa phrase éternelle. Oh combien il bossait, je ne le connaissais que rarement autrement que le visage plongé dans la Guémara, et quand il faisait autre chose c’était forcément pour une autre de ses missions de H’essed. Aider un malade, une veuve ou un jeune homme qui avait besoin d’un conseil.

Ses connaissances phénoménales faisaient rêver tous les étudiants ou sympathisants de l’étude, il connaissait absolument tout sur tout qui touchait de près ou de loin le Limoud Torah. Depuis le Talmud dans tous ses recoins jusqu’aux moindre détails de la vie de chaque grand de notre peuple – Achkénaze, Séfarade, Admor H’assidique ou Gadol Mitnagéd, en passant par ses connaissances impressionnantes dans les livres de H’assidout et de Kabbala de toute époque ou de tout niveau. Il disait à 15 ou 16 ans que pour lui l’étude de la Torah était un désir comme d’autres peuvent désirer différents plaisir profanes de ce bas monde, ce qui expliquait comment il pouvait rester rivé sur ses livres toutes les nuits jusqu’au petit matin.

Et quand les étudiants lui demandaient – Rav quel est votre secret ? Il répondait simplement et sincèrement : Y-a pas de secret, il faut bosser !

 

 

Ecrire un article pour résumer la personnalité de mon père n’a aucun sens, un livre entier ne saura cerner sa personnalité, son génie, sa noblesse, sa simplicité, son amour d’autrui, sa sagesse et sa présence pour chaque personne qui le sollicitait.

Ceci dit, il ne fallait pas dire de sottises près de lui, il était allergique à toute forme de pensée tordue ou idée qui déviait de la volonté d’Hachem. Celui qui disait une bêtise ou suggérait une sottise savait qu’il allait le payer cher, le Rav ne faisait pas de cadeau ni de réduction et remettait élégamment et fermement à sa place toute pensée déviant du droit chemin. Une main de fer dans un gant de velours, à l’instar du Midrach décrivant les anges qui frappent chaque herbe en lui ordonnant de grandir.

Pas plus tard qu’aujourd’hui quelqu’un m’a dit :

« Vous savez chaque fois qu’on est dans une situation compliqué je me demande qu’est-ce que nous conseillerai le Rav , je trouve jamais car chaque fois qu’il nous conseillait il nous surprenait et il mêlait son intelligence, son daat Torah et sa douceur, sa sensibilité comme si qu’il était dans la même galère que nous à ce moment même où on lui parlait … Depuis 3 ans on est des orphelins du Rav comme vous »

C’est incroyable de réaliser comment un tel Gadol était tellement présent pour nos petits problèmes nos petits soucis, et il nous donnait l’impression qu’il n’avait que ça à faire, alors que c’était tellement loin de la réalité.

Cela fait trois ans que mon père nous a quitté pour un monde meilleur, il reste avec nous à travers la diffusion de sa Torah, ses actions de H’éssed qui continuent de se développer et à présent à travers le nouveau centre pour jeunes Français en Erets Israël.

Ce centre abrite un Colel de haut niveau et une maison chaleureuse offrant un toit de qualité à de jeunes Français célibataires démarrant leurs vies active ou étudiant à l’université. Ces jeunes résidants obtiennent un loyer réduit dans nos beaux locaux en plein centre de Jérusalem en contrepartie d’un engagement de leurs parts d’étudier au sein du Colel pour une partie de la journée.

Avec l’aide d’Hachem et grâce à vous nous avons aujourd’hui onze résidants et huit Avréh’im dans le centre et espérons continuer de développer toutes les actions du Rav Rozenberg Zatsal jusqu’à la proche venue du Machiah’ et de Th’iat Hamétim.

Le Yarseit du Rav aura lieu cette semaine le 6 Adar Alef 5782

Visitez notre site pour profiter de cours en ligne : www.ahavatorah.fr

Retrouvons nous les 6 et 7 février prochains sur :

CAMPAGNE ALLODONS