Texte et Audio :  A la lumière du Dvar Mal’hout Vayé’hi, par le Rav Yaacov Abergel

Texte et Audio : A la lumière du Dvar Mal’hout Vayé’hi, par le Rav Yaacov Abergel

 

 

Dans le Dvar Mal’hout sur la Paracha Vayé’hi le Rabbi mentionne un enseignement au sujet du mois de Tévet qui est le mois le plus froid de l’année selon lequel : ‘Le corps a du plaisir du corps’.

La ‘Hassidout nous enseigne que la lumière du soleil est une allusion à la lumière divine de l’âme.

Chaque Juif doit dévoiler la lumière qui provient des forces de son âme et du fait que l’âme se dévoile dans le corps (et par son intermédiaire) nous devons accomplir un travail de raffinement et de purification du corps afin que celui-ci perde sa grossièreté et devienne un bon réceptacle pour la lumière de l’âme.

A l’exemple du soleil qui brille avec force pendant les mois d’été, notre service divin pendant cette saison consiste essentiellement à dévoiler la lumière des forces de notre âme. Pour se faire nous devons purifier le corps afin que celui-ci ne constitue pas un obstacle à ce dévoilement. Cependant l’essentiel de notre travail consistera à dévoiler la force de la lumière de l’âme.

A l’opposé pendant les mois d’hiver (et tout particulièrement pendant le mois Tévet) le soleil se fait beaucoup moins influent et le froid est alors dominant. De manière profonde cela signifie que la lumière de l’âme ne brille pas avec la même force que pendant les mois d’été et c’est la raison pour laquelle l’essentiel de notre travail sera alors de purifier notre corps précisément au moyen du corps lui-même et non pas au moyen de la lumière de l’âme. Purifier le corps, c’est agir sur l’âme animale afin de la raffiner, de la purifier, de ‘transformer l’obscurité en lumière’ c’est-à-dire de transformer sa grossièreté afin qu’elle-même éclaire.

Le Rabbi illustre ce principe au moyen d’une histoire du Baal Chem Tov que son beau-père le Rabbi Rayats lui rapporta au nom du Tséma’h Tsédek : ‘Un jour, alors qu’il n’y avait pas suffisamment de lumière dans le Beïth Ha Midrache, les élèves du Baal Chem Tov demandèrent à leur Maitre ce qu’ils devaient faire.
Le Baal Chem Tov leur répondit de détacher quelques stalactites de glace qui étaient accrochées sur le bord du toit du Beïth-Ha- Midrache. Les élèves partirent alors en chercher et lorsqu’ils les déposèrent sur les tables du Beïth-Ha-Midrache elles se mirent à briller et le Beït-Ha-Midrache fut alors inondé de lumière.

Cette histoire met en évidence une des deux façons de transformer l’obscurité en lumière. Une première façon consiste à amener de la lumière et dans ce cas la lumière va remplacer l’obscurité. Une deuxième façon consiste à ce que l’obscurité elle-même (‘les stalactites’) se mette à éclairer, ainsi qu’il est dit : ‘Dans les temps futurs la nuit brillera comme le jour’.

Le Rabbi nous explique que la raison pour laquelle on parvient à transformer un corps grossier en un corps saint précisément au moyen du corps lui-même (et non pas au moyen de la lumière de l’âme) vient du fait que l’origine du corps est supérieure à celle de l’âme. Et au Rabbi de nous enseigner que ‘la force de l’Essence divine qui est dans le corps se dévoile précisément lorsque la lumière de l’âme ne brille pas de façon manifeste. A l’exemple de la force de Messirout-néfèch qui se dévoile davantage dans le talon du pied que dans la tête’.

Comme il a été dit précédemment, l’été est une période propice pour dévoiler la lumière de l’âme et l’hiver est lui-même une période propice pour dévoiler l’Essence divine qui se cache dans le corps. C’est à ce sujet qu’il est dit : ‘Le corps a du plaisir du corps’ car le Rabbi nous enseigne que le ‘corps’ désigne ici Atsmout (‘le corps du Roi’ : l’Essence divine), et cette déclaration signifie que le plaisir de D.ieu n’est pas provoqué par le fait ‘d’annuler’ l’obscurité du corps afin qu’il ne s’oppose plus au dévoilement de l’âme mais par le fait d’agir dans le but que le corps lui-même se mette à éclairer.

Le Rabbi Rachab nous donne à ce sujet l’exemple de l’encens (voir ‘Bé chaa ché hikdimou’, Hélek guimel, page 1326). L’odeur de l’encens n’est plus la même lorsqu’on la brûle et ce passage de l’amertume à la douceur est comparable au travail que l’on doit accomplir sur notre âme animale afin de transformer son obscurité en lumière :

Il est possible d’élever l’âme animale grâce à la lumière de l’âme divine, cela est allusionné par le fait que pendant les jours de l’année on allumait la Ménorah du Temple, laquelle symbolise la lumière de l’âme divine, en même temps que l’on brûlait les encens. Nous voyons donc dans ce cas que la transformation de l’âme animale est réalisée au moyen de l’âme divine.

Il n’en est pas ainsi le Jour de Yom Kippour, car en ce jour l’âme animale s’élève d’elle-même. En effet nous pouvons nous rendre compte que même celui qui est totalement détaché du Divin pendant tous les jours de l’année revient vers D.ieu au moment de la prière de la Neïla. Et cela, même si ses nombreux péchés ont complètement obscurci la lumière de son âme divine.

Ce sujet est aussi celui du son du grand Choffar dont le pouvoir est de ramener tous ceux qui se sont égarés au point qu’ils sont véritablement incapables de retrouver leur chemin. Ce sujet est également celui des enfants d’Israël lorsqu’ils étaient esclaves en Egypte. Comme il est enseigné dans la ‘Hassidout, la matière n’a pas été créée selon le processus de l’enchaînement des mondes mais elle provient de l’Essence divine, c’est pourquoi L’Eternel a entendu le cri de Ses enfants, car ce cri provenait de l’âme animale et du corps qui ne pouvait plus supporter les terribles souffrances qu’on lui infligeait. Hachem ne pouvait pas supporter que l’on touche à Son Essence, laquelle est cachée dans le corps de Ses enfants.

Aussi, le Rabbi Rachab nous enseigne que dans notre service divin cela correspond précisément au cri de l’âme animale qui a pour effet de révéler ici-bas la force de l’Essence divine. A l’exemple du son du Choffar (fait à partir de la corne du bélier : d’un animal : allusion au cri de l’âme animale) qui est lui-même un cri qui vient de la profondeur du cœur.

Ainsi, à la lumière de ces enseignements, le Rabbi nous enseigne qu’à partir de l’obscurité la plus profonde la possibilité nous est donnée de faire de ce monde une demeure pour l’Essence divine. De fait, la force de l’Essence divine qui est dans le corps se dévoile dans l’obscurité, c’est à dire lorsque la lumière de l’âme divine ne brille pas manifestement en nous-mêmes, dans ce cas précisément se révèle la force de Atsmout.

L’exemple de ‘la force de messirout néfech qui se dévoile davantage dans le talon que dans la tête’ exprime cette idée. Notre génération est celle du ‘talon’, cela signifie que nous sommes capables d’agir avec la plus totale soumission (messirout néfech) en accomplissant un service divin basé davantage sur notre acceptation du joug divin que sur le dévoilement des forces de l’intellect.

Comme il a été dit précédemment : ‘le plaisir de D.ieu n’est pas provoqué par le fait ‘d’annuler’ l’obscurité du corps afin qu’il ne s’oppose plus au dévoilement de l’âme mais par le fait d’agir dans le but que le corps lui-même se mette à éclairer’. Conformément à cette déclaration le Rabbi mentionne un enseignement du Rabbi Rachab (‘Yom Tov chel Roch-ha-Chana’, Page 210) dans lequel il est expliqué qu’il existe ‘ceux qui servent Hachem avec leurs âmes’ et ‘ceux qui servent Hachem’ avec leurs corps’.

Ceux qui ont ‘le cœur brisé’, c’est à dire ceux qui s’attachent à briser la matérialité du cœur pour faire disparaître sa grossièreté sont ‘ceux qui servent D.ieu avec leurs corps’. Ils accomplissent les Mitsvoth avec la Emouna sans vraiment éveiller l’amour et la crainte de D.ieu qui naissent de l’intellect, mais en éveillant l’amour et la crainte de D.ieu naturels en chaque Juif. L’essentiel de ce travail est le niveau appelé ‘Bitoul ha Yèch’.
‘L’acte est essentiel’ et le Rabbi déclare dans le ‘Likouteï Sihot’ (11, Chemot, page 326-327) que ‘Le corps a du plaisir du corps’ du fait que l’intention divine est véritablement réalisée au moyen des Mitsvoth maassiot.

A l’évidence c’est par l’action des Mitsvoth accomplie avec le corps et en ayant conscience que le corps est lui-même lié à l’Essence divine, que nous aurons le mérite de’faire de ce monde une demeure pour l’Essence divine’ avec le dévoilement de notre Juste Machia’h, très bientôt et de nos jours, avec l’aide de D.ieu.

Etude d’un commentaire du Rabbi sur la Paracha de Vayé’hi par le Grand Rabbin de Paris, Rav Michel Guggenheim

Etude d’un commentaire du Rabbi sur la Paracha de Vayé’hi par le Grand Rabbin de Paris, Rav Michel Guggenheim

LIKOUTEI SI’HOT ‘HELEK 10 – BERECHIT – PARACHAT VAYE’HI – SI’HA 2

 Michel Gugenheim, né en 1950, à Paris, est un des six enfants du grand-rabbin Ernest Gugenheim et de Claude-Annie Dalsace (décédée le 20 juin 2014 en Israël), pédagogue, directrice de la revue pédagogique juive HaMoré. Il descend d’une longue lignée de rabbins depuis Samuel Sanvil Weil, rabbin de Haute-Alsace de 1711 à 1754, incluant son grand-père, le grand rabbin Max Gugenheim et son arrière-grand-père, le grand-rabbin Isaac Gugenheim6. Il grandit rue Vauquelin, dans le 5e arrondissement de Paris au Séminaire israélite de France, où son père enseigne et où la famille réside. Ce dernier est directeur du SIF en 1977, Mais il est alors atteint d’une tumeur du cerveau, dont il ne se remet pas.

Michel Gugenheim étudie à l’École Yabné où son père enseigne. Après l’obtention de son baccalauréat, il entreprend des études talmudiques dans des yechivot israéliennes. Il étudie à la yechiva de Beer Yaakov et à celle de Brisk, et s’attache à de prestigieux rabbins, entre autres le rabbin Shlomo Wolbe, le rabbin Moshe Shmuel Shapiro et le rabbin Yitzchok Hutner.

En 1977, il revient à Paris pour donner les cours de Talmud au SIF que son père malade ne peut plus assurer. Après le décès de celui-ci, en mars 1977, il y poursuit son enseignement et passe les examens de sortie par dérogation sans avoir suivi les études du Séminaire Israélite de France. Il entreprend également des études universitaires, spécialisant ses recherches sur la Halakha et la bioéthique.

Depuis les années 1980, il est rabbin de la synagogue Michkenot Israël, dans le 19e arrondissement parisien. Il devient directeur du SIF en 1992, poste qu’il occupe jusqu’à son élection comme Grand-rabbin de Paris, en 2012.

Michel Gugenheim est membre consultant au Comité consultatif national d’éthique de 2002 à 2006 et a été fait chevalier de la Légion d’honneur.

Il publie en 2009 Et tu marcheras dans ses voies, un ouvrage sur l’éthique juive9.

Le 28 mars 2012, il est élu grand-rabbin de Paris.

Vendredi 17 décembre 2021 à 10h30 : Etude en direct du Kovets de Vaye’hi, avec le Rav Levi Azimov

Vendredi 17 décembre 2021 à 10h30 : Etude en direct du Kovets de Vaye’hi, avec le Rav Levi Azimov

Chaque vendredi, étude du Likoutei Si’hot avec le Rav Levi Azimov 10h30 – 11h30
Tél. : +33 0756753993 – code : 33 41 593#
Egalement EN DIRECT  sur
RADIO HASSIDOUT

Vaye’hi – Bénédictions individuelles et collectives
Source : Likouté Si’hot volume 25, troisième Si’ha sur Vaye’hi

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Parachat Vaye’hi – « Toujours en vie », par le Rav Yaacov Spitezki

Parachat Vaye’hi – « Toujours en vie », par le Rav Yaacov Spitezki

A la mémoire de mon père z »l décédé alors qu’il disait le Kidoush un Chabbat Vayehi et de ma mère a »h décédée des années plus tard dans la semaine d’une Parchat Vayehi

 

Le chabbat, nous terminerons la lecture du Sefer Béréchit, Au sujet du Livre de la Genèse, il est écrit : « Maassé avot siman labanim », « le comportement de nos pères » – les patriarches Avraham, Yitzhak et Yaacov – est un enseignement pour leurs enfants, c’est-àdire pour nous-mêmes aujourd’hui.

Commentant le décès de Yaacov, le Talmud rapporte une curieuse discussion. Rabbi Yo’hanane affirme que ce patriarche n’est pas mort. Et pourquoi donc ? La réponse nous interpelle : « Si la descendance de Yaacov est en vie, alors Yaacov, lui aussi, reste en vie ! ». Normalement c’est le père qui donne la vie, alors qu’ici, ce sont les enfants qui, pour ainsi dire, donnent la vie à leurs parents.

Mais pourquoi donc ce principe ne se retrouve que chez Yaacov et pas chez Avraham ou Yitzhak ?

En fait, on ne peut parler de descendance véritable pour Avraham et Yitzhak car chacun de ces deux patriarches eut également un autre fils qui prit un mauvais chemin. De là, on peut déduire un principe fondamental. La descendance n’est pas uniquement biologique. Encore faut-il que les enfants suivent l’exemple de vie que leur ont légué leurs parents.

Le fils (vivant) prend la place du père (disparu) et lui donne pour ainsi dire la vie lorsqu’il suit pleinement l’enseignement de ses ancêtres. Soulignons que ceci n’exclut pas l’épanouissement individuel de chacun.

C’est pourquoi il est dit que « la Torah que Moché nous a donnée est l’héritage de la communauté de Yaacov ».

Allons plus loin dans notre réflexion sur la paracha. Pourquoi le texte du Talmud emploie-t-il l’expression « sa descendance » et non « ses enfants » ? Sa descendance se dit en hébreu «zaro», littéralement, ce terme signifie : «sa graine».

En effet, la descendance de Yaacov est aussi une graine. C’est-à-dire qu’il ne suffit pas que les enfants suivent pieusement ses enseignements, il faut aussi qu’ils soient des graines qui donneront d’autres fruits, qui à leur tour produiront d’autres fruits et cela à l’infini.

Nous avons tous des parents et la plupart d’entre nous aurons des enfants. La plus grande des bénédictions est d’intégrer l’enseignement et l’exemple de vie de nos pa- rents et de transmettre ainsi les valeurs universelles du Judaïsme à nos enfants ainsi qu’à toutes les personnes que nous côtoyons.

Abraham, Yitzhak et Yaacov représentent pour nous tous des idéaux. Ils incarnent différentes façons d’affronter les difficultés que chaque être humain traverse dans sa vie. Ils sont des exemples de résilience.

Oui, l’existence humaine est complexe mais nous ne devons jamais perdre espoir… car après de nombreuses pérégrinations les enfants de Yaacov sont finalement sortis de l’exil pour recevoir la Torah et s’installer en Terre sainte.

Attentat en Israël : un mort et deux blessés près de Homesh dans le nord de la Samarie.

Attentat en Israël : un mort et deux blessés près de Homesh dans le nord de la Samarie.

Un Israéliens a été assassiné et deux autres ont été blessés, lors d’une fusillade qui a eu lieu près de la communauté de Homesh en Samarie.

 

L’homme qui a été assassiné lors d’un attentat terroriste à Samarie jeudi soir a été identifié comme étant Yehuda Dimentman, il a été autorisé à être publié après que sa famille a été informée de son décès.

Yehuda Dimentman, 25 ans, vivait à Shavei Shomron et était étudiant à la Yéchiva Homesh. Il laisse derrière lui une femme et un enfant d’un an.

Deux autres israéliens, Avia Antman et Neria Shlomo Feldman, ont été blessés dans la fusillade, l’un modérément et l’autre légèrement. Les trois victimes ont été transportées à l’entrée du Yichouv Shavei Shomrom où elles ont reçu un premier traitement médical par United Hatzalah, Magen David Adom et des médecins de Tsahal.

Les équipes médicales ont tenté de réanimer Yehuda Dimentman et ont ordonné à un hélicoptère de le transporter à l’hôpital, mais il a succombé à ses blessures. Les autres blessés ont été évacués vers l’hôpital Meir de Kfar Saba.

Une enquête préliminaire a révélé que la fusillade avait été perpétrée par deux terroristes. Les forces de sécurité les poursuivent actuellement. L’un des blessés a déclaré que les deux attendaient au bord de la route, puis ont ouvert le feu sur lui et ses amis. Ces dernières semaines, plusieurs avertissements ont été émis dans l’establishment de la défense concernant des escouades prévoyant de mener des attaques par balles.

 

 

 

Omicron en Israël : Dimanche soir, la France sera ajoutée à la liste des pays « rouges »

Omicron en Israël : Dimanche soir, la France sera ajoutée à la liste des pays « rouges »

L’Irlande, la Norvège, l’Espagne, la Finlande, la France, la Suède et les Émirats arabes unis seront ajoutés à la liste des « pays rouges » dès dimanche soir.

 

Le comité de classification d’État du ministère de la Santé a recommandé mercredi au gouvernement de déclarer l’Irlande, la Norvège, l’Espagne, la Finlande, la France, la Suède et les Émirats arabes unis comme pays «rouges».

La décision prendra effet le 19 décembre, dans la nuit de dimanche à lundi, sous réserve de l’approbation du gouvernement et de la commission constitutionnelle de la Knesset.

Voici la liste des pays rouges à ce jour :

Ouganda, Seychelles, Angola, Érythrée, Éthiopie, Eswatini, Botswana, Burundi, Burkina Faso, Bénin, Royaume-Uni, Ghana, Gabon, Djibouti, Guinée, Guinée-Bissau, Guinée équatoriale, Gambie, Danemark, Afrique du Sud, Soudan du Sud, Démocratique République du Congo, République centrafricaine, République du Congo (Congo-Brazzaville), Zimbabwe, Zambie, Côte d’Ivoire, Togo, Tanzanie, Libéria, Lesotho, Mauritanie, Maurice, Mali, Madagascar, Mozambique, Nigéria, Niger, Malawi, Namibie, São Tomé et Príncipe, Somalie, Sénégal, Sierra Leone, Sainte-Hélène (Royaume-Uni), Tchad, Comores, Cap Vert, Kenya, Cameroun, Réunion (France), Rwanda.

Un pays rouge est un État vers lequel voler est interdit sauf avec autorisation, et tous les rapatriés d’un pays rouge sont obligés de se mettre en quarantaine complète. Tous les rapatriés qui ne sont pas protégés conformément aux définitions du ministère de la Santé devront être isolés dans un hôtel au nom de l’État, jusqu’à ce qu’un résultat négatif soit obtenu lors d’un test PCR qu’ils ont effectué à leur arrivée en Israël.

Après avoir reçu un résultat négatif, ils seront autorisés à terminer la période d’isolement à leur domicile, à condition qu’ils déclarent que personne d’autre qu’eux ne vit ou ne se trouve dans le domicile.

L’Omicron à la Knesset

Le ministère de la Santé a informé aujourd’hui (jeudi) la Knesset qu’après qu’un des agents de sécurité de l’Assemblée législative eut été testé positif au variant Omicron.

LeL’agent de sécurité était pour la dernière fois à la Knesset le dimanche 12 décembre.

À la suite d’une enquête épidémiologique visant à couper les chaînes d’infection, qui a été menée en collaboration avec des professionnels du ministère de la Santé, des consignes d’isolement ont été données à 21 autres agents et employés de la Knesset, ainsi qu’au député Meir Porush.

 

Campagne d’urgence pour le Rav Nachum Presman, Chalia’h du Rabbi à Potsdam, en Allemagne

Campagne d’urgence pour le Rav Nachum Presman, Chalia’h du Rabbi à Potsdam, en Allemagne

Les Chou’him du Rabbi à Potsdam, en Allemagne, Rav et Nachum Presman  et son épouse travaillent dans la ville depuis plus de 25 ans.

Pendant toutes ces années, ils ont dû lutter et faire face à de nombreuses difficultés, mais le couple Presman a continué à se consacrer à leur Chli’hout avec abnégation.

Il y a un mois, ils ont fait une percée lorsqu’une cérémonie d’inauguration a eu lieu pour la construction d’une nouvelle synagogue à Potsdam, qui leur permettrait d’étendre et de développer leur activités.

Mais avec grave accident vasculaire cérébral (AVC) soudain du Rav Nachum vendredi matin, il est sous sédatif à l’hôpital et il lui faudra du temps pour se remettre de sa situation.

La situation financière n’a jamais été facile et maintenant le fardeau de la famille et du Beth Habad, en plus des dépenses médicales, repose sur les épaules de son épouse.

Contribuons tous à aider la famille de ces Chlou’him dévoués.

 

CAMPAGNE DE SOUTIEN

RECU CERFA ENVOYÉ AUTOMATIQUEMENT