Attentat à Jérusalem : Un attentat à la voiture belier fait 2 morts, un garçon de 6 ans et un jeune de 20 ans et 5 blessés

Attentat à Jérusalem : Un attentat à la voiture belier fait 2 morts, un garçon de 6 ans et un jeune de 20 ans et 5 blessés

Deux personnes sont mortes et cinq autres ont été blessées dans une attaque terroriste à Jérusalem vendredi après-midi.

L’attentat a eu lieu à 13h27 vendredi à un arrêt de bus dans le quartier de Ramot de la capitale.

Selon les rapports préliminaires, le terroriste a percuté de plein fouet sa voiture contre un groupe de piétons qui attendaient un bus sur la boulevard Golda Meir, à la lisière de Ramot près de la tombe de Chmouel Hanavi (Parc national Nebi Samuel).

Les témoins disent que le terroriste, qui a été identifié comme Hussein Karaka, résident d’Issawiya âgé de 31 ans, a été éliminé.

Des premiers secours de l’UHM et de Hatzalah ont été dépêchés sur les lieux pour soigner les blessés.

Deux enfants blessés dans L’attentat ont été initialement listés dans un état critique, avec deux autres victimes considérées comme gravement blessées et deux dans un état modéré.

Deux des victimes, un jeune de 20 ans et  un garçon de six ans, ont finalement succombé à leurs blessures.

« Une voiture a heurté les gens à l’arrêt de bus. Les bénévoles effectuent actuellement une RCP sur un jeune garçon d’environ huit ans », a déclaré le PDG d’United Hatzalah, Eli Pollack. « Un autre homme dans la fin de la vingtaine est en état critique. Nous avons soigné trois autres personnes qui ont été blessées dans l’incident. »

Le centre médical Hadassah Mont Scopus a rapporté qu’une des victimes, un homme dans la quarantaine, a été admis avec des blessures modérées.

Quatre autres victimes ont été évacuées vers le centre médical Shaare Zedek.

« La scène était terrible quand nous sommes arrivés », a déclaré le premier intervenant MDA, Shraga Rosenthal.

« Nous avons vu un véhicule près de l’arrêt de bus qui a heurté des piétons qui attendaient. Nous avons vu six victimes près les unes des autres. Deux d’entre eux étaient des enfants de six ans qui étaient inconscients avec de graves blessures multi-système. »

« Un homme de 27 ans et un homme de 30 ans étaient inconscients, et deux autres victimes étaient conscientes avec des blessures aux membres. »

« Nous avons fourni les premiers soins et effectué une RCP sur les deux enfants. C’est un incident très grave. »

 

Texte et Audio : Yitro ‘A la Lumière du Dvar Mal’hout’ par le Rav Yaacov Abergel

Texte et Audio : Yitro ‘A la Lumière du Dvar Mal’hout’ par le Rav Yaacov Abergel

 

Moché répète les Dix Commandements afin que le peuple d’Israël soit capable d’intégrer de manière profonde la Parole Divine :
Il est dit dans notre Paracha (Yitro, 20, 15-16) que lors du Don de la Torah tous les Juifs’ tremblèrent et se tinrent debout, de loin. Ils dirent à Moché : parle, toi avec nous, et nous t’écouterons, et que D.ieu ne parle pas avec nous de peur que nous mourrions’.
De fait, les enfants d’Israël ne purent supporter d’entendre les deux premiers Commandements de la Bouche de l’Eternel. Lorsque l’Eternel parlait, l’âme des enfants d’Israël quittait leurs corps, ainsi qu’il est écrit (Chabbat, 88b) : ‘A chaque expression divine, leurs âmes s’envolaient… Mais L’Eternel la leur restituait avec la rosée dont Il fera revivre les morts’.

Par ailleurs, dans le Dvar Mal’hout sur notre Paracha le Rabbi souligne que les Dix Commandements sont mentionnés deux fois dans la Torah. La première fois, Paracha Yitro, L’Eternel dit Lui-même les Dix Commandements et la seconde fois, Paracha Vaèt’hanan, Moché répète les Dix Commandements aux enfants d’Israël durant la quarantième année de leur séjour dans le désert. Le Rabbi nous donne la raison de cette répétition. Le rôle de Moche est d’unir les enfants d’Israël avec D.ieu et du fait que lorsque L’Eternel parlait l’âme des enfants d’Israël ‘s’envolait’ Moché dut leur répéter les Commandements afin de Les mettre à leur portée. Pour qu’eux-mêmes soient capables d’intégrer de manière profonde la Parole Divine.

De manière profonde, Moché établit le lien entre l’Essence divine et les forces de l’intellect des enfants d’Israël car lorsque Moché leur enseigna les Dix Commandements, les enfants d’Israël furent touchés au plus profond d’eux-mêmes. L’enseignement de Moché atteignait leurs pensées, leurs sentiments et leurs actions, conformément à l’explication de Rachi du verset : ‘Et voici les Lois que tu placeras devant eux’ (Michpatim, 21, 1), selon laquelle le rôle de Moché fut de présenter les Lois de D.ieu comme des aliments, ‘dressées sur une table, prêts à être consommés’.

Cependant, bien que la parole de Moché possède l’avantage d’être assimilée par chacun, elle n’est ‘que’ la parole d’un homme, c’est à dire que contrairement à la Parole de D.ieu, la parole de Moché ne dévoile pas la dimension la plus profonde de la Torah, son Essence. De fait, c’est avec le dévoilement du Machia’h et le dévoilement de la Torah ‘Hadacha que l’Essence de la Torah sera dévoilée et intégrée de manière profonde par le peuple d’Israël.

Lorsque Machia’h parlera aux enfants d’Israël en leur dévoilant l’Essence de la Torah, leurs âmes ne ‘s’envoleront’ pas comme ce fut le cas au Mont-Sinaï. Le dévoilement de la Torah ‘Hadacha sera perçu de manière profonde sans que l’âme ne quitte le corps. En d’autres termes, le Machia’h unira l’Essence divine avec les forces de la partie de l’âme qui s’habillent dans le corps (l’intellect, les sentiments et l’action).

La signification profonde des dates du 10, du 11 et du 22 Chevat :
Dans une autre Si’ha du Dvar Mal’hout sur cette même Paracha Yitro, le Rabbi explique la signification profonde des dates du 10 Chevat, du 11 Chevat et du 22 Chevat :

*Le ’10 Chevat’, jour de la Hilloula du Rabbi Rayats représente le niveau du chiffre ’10’. ’10’ représente les ’10 Commandements’ lesquels sont liés avec ce monde matériel qui a été lui-même créé par ’10 Paroles’.

*Le 11 Chevat est lié à la prise de fonction du Rabbi un an exactement après le jour de la disparition de son beau-père le Rabbi Rayats. ’11’ représente le niveau de L’Essence divine, le niveau du Divin qui est au-dessus du monde : Ano’hi, le premier mot des Dix Commandements.

*Le 22 Chevat qui est la date du décès de la Rabbanite incarne la perfection du chiffre 11 : 2×11=22.

Le dévoilement divin qui eut lieu lors du don de la Torah ne fut que provisoire. Après Matan-Torah le Mont-Sinaï redevint ce qu’il était. Les âmes des enfants d’Israël quittèrent leurs corps quand ils entendirent la Parole de D.ieu. Comme il a été dit précédemment, ce monde inférieur et limité, symbolisé par le chiffre 10, ne put contenir le dévoilement de l’Essence divine. Le Les âmes des enfants d’Israël quittèrent leurs corps quand ils entendirent la Parole de D.ieu. Aussi, le but recherché après le Don de la Torah fut que l’homme avec ses propres forces agisse dans le but de faire de lui-même et de ce monde matériel une demeure pour l’Essence divine. Purifier son être et purifier ce monde matériel afin que le dévoilement de l’Essence divine ne soit pas provisoire comme ce fut le cas au moment du Don de la Torah, mais que ce dévoilement soit permanent. Attirer l’Essence divine, symbolisée par le chiffre 11, dans ce monde, symbolisé par le chiffre 10… et dans tout ce qu’il contient.

Le Rabbi nous enseigne que la date du 10 Chevat correspond à la fin du travail qui consistait à nous préparer au dévoilement de l’Essence divine.

La date du 11 Chevat correspond au début du dévoilement de l’Essence divine mais sans que ce dévoilement n’ait véritablement fait de ce monde ‘une demeure qui fait Un avec D.ieu’.

Enfin la perfection du niveau du chiffre 11 correspond à la date du 22 Chevat car selon l’enseignement du Rabbi c’est par le mérite des femmes Tsidkaniot, et par le mérite de la Rabbanite ‘Haya-Mouchka (l’épouse du Rabbi) que notre mission de faire de ce monde une demeure pour D.ieu atteindra la perfection du fait que cette ‘demeure’ : nous-mêmes, le monde, et tout ce qu’il contient, feront Un avec D.ieu.

Dans son discours intitulé ‘Et tu ordonneras aux enfants d’Israël’, le Rabbi explique qu’il y a plusieurs niveaux de l’Essence de l’âme :

le niveau de ‘Haya est le niveau inférieur de l’Essence de l’âme car il a pour effet de s’unir aux forces de l’âme, ‘de faire Un’ avec ces forces, mais de façon provisoire. Ce dévoilement est donc ‘comme une chose ajoutée à nous-même’ car il peut y avoir une situation où un Juif fera don de lui-même pendant des années car il brillera en lui-même ce niveau de ‘Haya, mais lorsque ce dévoilement s’arrêtera les forces de son âme (l’intellect, les sentiments, l’action) ne changeront pas.

Le niveau supérieur de l’Essence de l’âme est celui de l’âme telle qu’elle est enracinée dans l’Essence divine. Lorsque ce niveau se dévoile dans l’âme il pénètre au plus profond des forces de l’âme au point de les transformer véritablement et de faire ‘Un’ avec elles.
Pour l’intellect par exemple, lorsque le niveau de ‘Haya se révèle dans l’intellect, un Juif agit au-delà de l’intellect mais quand ce niveau ne brille plus l’intellect redevient ce qu’il était, A l’opposé, lorsque l’Essence de l’âme brille dans l’intellect, l’intellect agit tel qu’il est mais il dévoile aussi l’Essence de l’âme. La lumière de l’Essence de l’âme se révèle dans l’intellect dans les sentiments et dans tous les vêtements de l’âme : la pensée la parole et l’action.

Le 22 Chevat représente ce niveau de l’Essence. Il correspond au niveau décrit par le Rabbi dans le Dvar Mal’hout comme étant ‘la perfection du niveau du chiffre 11′ car ce niveau désigne le pouvoir d’unir le Divin qui est au-delà du monde (’11’) avec le monde (’10’) : de faire de ce monde (’10’) une demeure pour l’Essence divine (’11’).

En résumé,

*le 10 Chevat représente le travail de purification qui nous prépare au dévoilement de l’Essence divine.
* Le 11 Chevat représente le niveau ‘inférieur’ de l’Essence car ce dévoilement élève le monde mais ne le transforme pas (à l’exemple du niveau de ‘Haya).
* Le 22 Chevat représente le plus haut niveau de l’Essence, lequel a le pouvoir de transformer ce monde au point qu’il ne fait plus qu’Un’ avec l’Essence divine, comme le Rabbi dit souvent : le dévoilement de l’Essence de l’âme signifie que l’on ne fait plus qu’Un avec Hachem.

Il est écrit dans le Traité Bra’hot (57b) que ‘Trois choses apaisent l’esprit de l’homme : une voix mélodieuse, une belle vue et une bonne odeur. Trois choses le mettent à l’aise et lui donne un sentiment de bien-être : une belle maison, une belle épouse et de beaux ustensiles’.

A la lumière de cet enseignement le Rabbi exprime le fait qu’il ne s’agit pas seulement de faire de ce monde une demeure pour Hachem, mais il s’agit que cette demeure soit belle. Dans ce cas les enfants d’Israël procurent un grand plaisir au Saint béni soit-Il qui est Lui-même le propriétaire de cette demeure. Notre mission est de transformer ce monde au point qu’il devienne une demeure pour l’Essence divine qui est au-delà du monde. Or, comme l’écrit le Rabbi : ‘La beauté de cette demeure (la force de la rendre belle), qu’il s’agisse de sa beauté spirituelle ou de sa beauté matérielle, dépend du mérite des femmes.

Le Rabbi écrit aussi que ‘la beauté matérielle découle de la beauté spirituelle’, et nous enseigne que la valeur numérique du mot ‘Ner’ (bougie) est égale à 250. Les 248 injonctions positives plus le chiffre 2 (qui est une allusion aux deux mains avec lesquelles on accomplit les Commandements divins, et aussi une allusion à l’amour et à la crainte de D.ieu) font un total de 250. Ainsi les bougies que les femmes et les filles d’Israël allument le soir du Chabbat et les jours de fêtes illuminent les maisons Juives de la lumière, de la beauté de la Kédoucha et de la beauté matérielle de la lumière.

La beauté de cette demeure vient de la vitalité que les femmes d’Israël lui insufflent. C’est la raison pour laquelle le Rabbi souligne que cette demeure doit être emplie d’une bonne odeur parfumée. Cette odeur (spirituelle et matérielle) ajoute à la beauté de la lumière des bougies.

Le prénom de la Rabbanite est une allusion à tout cela. ‘Haya qui désigne la ‘vitalité’ (‘Hayout) est une allusion aux forces de l’âme qui s’habillent dans le corps : la vitalité ‘Pnimi’, et Mouchka désigne les forces de l’âme qui ne s’habillent pas dans le corps et l’Essence de l’âme elle-même : Ko’hot ha makifim).

Ainsi, le 22 Chevat désigne bien la perfection du niveau du chiffre 11, car l’union de ‘Haya avec Mouchka exprime le lien entre le Divin qui s’habille dans le corps et dans ce monde avec le Divin qui est au-delà de ce monde : l’Essence divine.

Il apparait donc à nos yeux que c’est par le mérite de la Rabbanite et de toutes les femmes et les filles d’Israël qui suivent son exemple et sa conduite que nous aurons le mérite d’atteindre la perfection de notre mission de faire de ce monde une demeure pour l’Essence divine, et la perfection de cette mission consiste à faire de ce monde inférieur une belle demeure pour D.ieu du fait que la beauté dans ce cas représente l’union entre l’Essence de lame et les forces de lame qui s’habillent dans le corps, entre lEssence divine et les limites de ce monde inferieur. La beauté représente la Guéoula, lorsqu’il apparaîtra à nos yeux de chair qu’Hachem Israël et la Torah ne sont qu’Un, avec le dévoilement de notre Juste Machia’h, très bientôt et de nos jours, avec l’aide de D.ieu.

Résumé :
D’une certaine manière, les Dix Commandements, lorsqu’ils sont dits par l’Eternel, représentent l’Essence divine laquelle est au-delà de toutes les limites de tous les mondes de la Création. Ce niveau est celui de la partie de l’âme qui ne s’habille pas dans le corps : l’Essence de l’âme divine qui est enracinée dans l’Essence divine et dont la force dépasse donc totalement, infiniment, la partie de l’âme qui s’habille dans le corps et qui est limitée. Ainsi, les 10 Commandements tels qu’ils seront enseignés par le Machia’h, avec l’aide de D.ieu, représentent donc la perfection de la beauté de la Torah : la beauté de la Torah du Machia’h, la beauté de la Torah ‘Hadacha : le dévoilement de l’Essence de la Torah qui détient le pouvoir d’unir l’Essence divine avec l’âme telle qu’elle s’habille dans le corps.

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L’enseignement du Rabbi selon lequel ‘Yitro’ est une allusion au corps et à l’âme animale :
Dans le Likoutey Si’hot (‘Hélek 4, page 1271), le Rabbi pose une question : la Paracha que nous lisons ce Chabbat porte le nom de Yitro (le beau-père de Moché), pourtant il n’est pas seulement question de Yitro dans cette Paracha. Bien au contraire, cette Paracha parle essentiellement du don de la Torah, et du fait que le Don de la Torah est bien plus important que l’histoire de Yitro, pourquoi dans ce cas cette Paracha ne porte-t-elle pas plutôt le nom de ‘Matan Torah’ ?

Le livre du Zohar (début de la Paracha Yitro) nous répond : c’est par le fait qu’il était un idolâtre et qu’il se convertit, disant à Moché (Yitro, 18, 11) : « Maintenant je sais que l’Eternel est plus grand que toutes les divinités », que le Don de la Torah fut désormais possible.

A la lumière de cet enseignement du Zohar le Rabbi explique que ‘Yitro’ est une allusion au corps et à l’âme animale qui ne désirent assouvir que des plaisirs matériels et grossiers. Dans chaque Juif se trouve cet ‘Yitro’ qui le tire vers le bas à l’exemple d’un animal dont les yeux sont continuellement tournés vers la terre et jamais vers le ciel.

Notre travail consiste donc à combattre cet ‘Yitro’ en nous détournant des plaisirs matériels et dénués de divin pour enfin ‘regarder vers le ciel’ à l’exemple de Yitro qui fut un idolâtre et qui finit par reconnaître que « l’Eternel est plus grand que toutes les divinités ».

Lorsqu’un Juif parvient à utiliser toute la force de son âme animale, c’est à dire lorsqu’il emploie à ne désirer seulement que le dévoilement de D.ieu. Lorsque ce juif emploie toute la vitalité de son corps pour accomplir la Volonté du Saint béni soit-Il et qu’il consacre toutes les forces de son âme à l’étude de la Torah alors il parvient à aimer D.ieu au moyen de ses deux penchants.

Son âme ‘animale’, à l’image de Yitro qui au départ était un idolâtre, porte désormais le nom d’âme ‘vitale’, à l’exemple de Yitro qui déclara à Moché lorsqu’il se convertit : « Maintenant je sais que l’Eternel est plus grand que toutes les divinités ».
En effet, chaque juif possède la force de transformer l’obscurité en lumière, de transformer ‘l’âme animale’ en une ‘âme vitale’, et quand il y parvient, il peut désormais servir et aimer D.ieu avec une force dédoublée : la force de son âme ‘animale’ et celle de son âme Divine.

Vendredi 10 février 2023 à 10h30 : Etude du Kovets Yitro – « L’impact de la Havdala sur la semaine »- Rav Levi Azimov

Vendredi 10 février 2023 à 10h30 : Etude du Kovets Yitro – « L’impact de la Havdala sur la semaine »- Rav Levi Azimov

En direct, chaque vendredi, étude du Likoutei Si’hot
avec le Rav Levi Azimov de 10h30 – 11h30
Tél. :  +330756753993 – code : 33 41 593#
 ET SUR RADIO HASSIDOUT
RADIO HASSIDOUT

Le Rav Lévi Azimov se trouvant chez le Rabbi à l’occasion du Le’haim de son fils Israël Arié Leib et de Hanna Gotlieb (Nilolaïev).
LE COURS N’A PAS LIEU.

Yitro – L’impact de la Havdala sur la semaine
Source : Likouté Si’hot volume 31, deuxième Si’ha sur Yitro

 

VIDEO. Lévaya devant le 770, de Mme Heya Federman, Chlou’ha aux Iles Vierges, le 18 Chevat 5783

VIDEO. Lévaya devant le 770, de Mme Heya Federman, Chlou’ha aux Iles Vierges, le 18 Chevat 5783

 

Henya Federman, la femme de l’émissaire Habad Rav Asher Federman, était dans le coma depuis plusieurs mois suite à un accident qui a coûté la vie à sa fille.

Henya Federman, la femme de l’émissaire Habad aux îles Vierges Rav Asher Federman, est décédée mercredi à l’âge de 40 ans.

Henya Federman a été gravement blessé et laissé dans le coma lorsqu’elle est tombée à l’eau avec sa fille Shterna dans un port de plaisance à St. Thomas il y a plusieurs mois.

Shterna est décédée dans l’incident, tandis que sa mère a été transportée à l’hôpital dans un état grave.

Depuis, Henya était maintenue en vie grâce à des soins intensifs, et des prières ont été récitées en son nom. Elle est décédée mercredi dans un centre de soins intensifs à Lakewood, NJ.

Elle laisse derrière elle son mari et 12 enfants, ainsi que ses parents.

 

Le Chalia’h de Barcelone  est contre la décision du maire de la ville de rompre les liens  avec Israël

Le Chalia’h de Barcelone est contre la décision du maire de la ville de rompre les liens avec Israël

Ada Colau, la maire de Barcelone – la deuxième plus grande ville d’Espagne et la capitale de la Catalogne, a annoncé hier soir (mercredi) lors d’une conférence de presse que la ville romprait les liens avec l’État d’Israël en raison, selon elle, de l’apartheid politique envers les Palestiniens.

L’émissaire Habad à Barcelone, le Rav David Liberson, qui est lié à l’administration et aux responsables de la ville et travaille beaucoup au sein de la communauté juive de la ville, a noté et déclaré que « cette décision incite et accroît l’antisémitisme contre les Juifs ». dans le pays en général et à Barcelone en particulier, mais c’est le moment d’augmenter les actions positives de la Torah et des Mitsvot et d’illuminer fièrement notre âme juive intérieure. »

Ada Colau avait envoyé une lettre officielle au Premier ministre Benjamin Netanyahu, expliquant la démarche unilatérale de Barcelone. « J’ai décidé de rompre temporairement les relations avec l’État d’Israël et ses institutions officielles, y compris l’Alliance des villes jumelles avec la municipalité de Tel-Aviv, jusqu’à ce que les autorités israéliennes mettent fin à la violence systématique et à la violation des droits de l’homme du peuple palestinien », a-t-elle déclaré. écrit. Elle a déclaré que le gel des relations est temporaire et non dirigé contre les citoyens.

L’une des raisons de l’appel surprenant de Ada Colau est qu’en mai prochain, il y aura des élections pour la municipalité de Barcelone, et le parti dirigé par Ada Colau se bat pour les votes de l’extrême gauche et de la communauté musulmane de la ville, et par conséquent, il n’hésite pas non plus à prendre des décisions aussi extrêmes.

 

L’enseignement du dernier mot du récit biblique des 7 jours de la création – Par Yohan Amsellem

L’enseignement du dernier mot du récit biblique des 7 jours de la création – Par Yohan Amsellem

En hébreu, le monde se dit « Olam », est de la même racine que le mot « Elem » qui signifie «voilement».

Durant les six jours de la création du monde, le récit biblique de la création de chacun des jours se termine par la phrase וַיְהִי־עֶרֶב וַיְהִי־בֹקֶר יוֹם «Ce fut un soir, ce fut un matin, jour…».

Puis, arriva le septième jour de la création, le Chabbat, qui vient conclure la création.

Cependant le septième jour, la formule «Ce fut un soir, ce fut un matin, jour…» qui conclut les six premiers jours de la création, n’est pas mentionnée.

Le récit du septième jour se conclu par le verset suivant :
וַיְבָרֶךְ אֱלֹהִים אֶת־יוֹם הַשְּׁבִיעִי וַיְקַדֵּשׁ אֹתוֹ כִּי בוֹ שָׁבַת מִכׇּל־מְלַאכְתּוֹ אֲשֶׁר־בָּרָא אֱלֹהִים לַעֲשׂוֹת׃
Dieu bénit le septième jour et le sanctifia, car en ce jour Il se reposa de l’œuvre entière qu’il créa pour « agir ».

« Laassot », « agir » , est le dernier mot du récit biblique des 7 jours de la création, où le Créateur invite l’homme à « agir » afin de terminer Son Oeuvre.

Passer sa vie en se laissant porter par le vent, une ambition de feuilles mortes…

Yohan Amsellem

Beth Habad de Nice : 50 étudiants participent a un « wrap party » à la maison des jeunes

Beth Habad de Nice : 50 étudiants participent a un « wrap party » à la maison des jeunes

A l’occasion de Youd Chevat une cinquantaine de jeunes se sont rassemblés pour un « wrap party » à la maison des jeunes.

Ils ont écouté des enseignements du premier Maamar de Youd Chevat 1951 du Rabbi, délivrés par le Rav Menahem Altabé.

Ensuite, un « kahoot » (jeu de questionnaires à choix multiples qui permettent à plusieurs utilisateurs de jouer simultanément), a été organisé autour d’un bar à pâtes.

Tous les étudiants on reçu un livre de récits sur le Rabbi.