« One Mitsva » : Découvrez le pouvoir miraculeux d’une seule Mitsva

« One Mitsva » : Découvrez le pouvoir miraculeux d’une seule Mitsva

 

Shimon Schnaider a’h, était un Juif colombien peu loquace mais dont l’impact était considérable.

Farouchement attaché à son judaïsme, il a travaillé sans relâche pour inculquer ses valeurs de crainte de D.ieu et de bonté à ses quatre filles. Élevé par ses parents dans l’atmosphère spirituellement désolée de l’Amérique du Sud d’après-guerre, sans avoir le privilège de recevoir une éducation juive complète, il a néanmoins fait tout son possible pour pratiquer les Mitsvot au mieux de ses connaissances.

Après son décès il y a 16 ans, ses enfants ont cherché un moyen approprié de rendre hommage à sa mémoire. Pendant la Shivah, sa fille Rachel Benchimol, une Chlou’ha dans l’Upper East Side de Manhattan, a eu une idée originale : Encourager les gens à s’inscrire et à s’engager à accomplir une Mitsva, n’importe quelle Mitsva, pour honorer sa mémoire. Avec ses sœurs, elle a réussi à faire participer de nombreux membres de la communauté à un projet qu’elles ont appelé « Mitsva Fun » en mémoire de leur défunt père.

Au départ, Rachel a considéré la campagne Mitsva comme une façon pour les gens de rendre hommage à son père. Mais au fil du temps, elle a remarqué que les promesses de Mitsva amélioraient la qualité de vie des gens. Les hommes et les femmes trouvaient plus de sens à leur quotidien, et la croissance dans un domaine du judaïsme s’était répercutée dans d’autres. Tout cela grâce au pouvoir d’une seule Mitsva.

« Au début, les gens me demandaient quelle Mitsva ils devaient faire, mais j’étais réticent à le leur dire. J’estimais qu’il était important que les gens fassent ce qui leur correspondait, et que même s’ils ne pouvaient pas identifier immédiatement ce que c’était, ils finiraient par savoir quoi faire », explique Rachel. « Les résultats de cette campagne ont été remarquables ! Une personne m’a dit qu’elle avait commencé à porter des Tsitsit quotidiennement – et qu’elle les porte encore aujourd’hui.

« Une autre jeune mère m’a fait part de son défi : elle était trop débordée par les soins à donner à ses enfants. Elle ne pouvait pas trouver le temps de se consacrer à une nouvelle Mitsva. Elle a donc décidé qu’avant de sortir du lit chaque jour, elle prendrait quelques secondes pour réciter le Modé Ani. Ces courts moments, chaque matin, ont eu un impact remarquable. Elle a continué à grandir dans son judaïsme et a finalement eu un impact sur toute sa famille. »

Cette année, en l’honneur de son anniversaire, Rachel a voulu marquer l’occasion en exploitant le pouvoir d’une Mitsva pour transformer la vie des gens. Mais cette fois, il n’était plus nécessaire de le faire par le biais d’e-mails, de lettres et de feuilles de calcul. Elle a pu utiliser la plateforme de collecte de Mitsva lancée récemment par OneMitsva. Après le lancement de sa campagne, la réponse et l’engagement ont été extraordinaires. De Londres à Israël, de vieux amis et de vieilles connaissances ont pris sur eux d’allumer les bougies de Chabbat et de donner de la Tsedaka, réveillant ainsi des liens qui étaient restés en sommeil pendant des années.

Projet du Moshiach Office de Merkos 302, OneMitsva est une plateforme qui permet à quiconque de lancer une « campagne de collecte de Mitsva » en ligne. Il suffit de se rendre sur le site Web, de lancer une campagne grâce à un processus de configuration simple et de partager le lien vers une page personnelle de campagne de Mitsva.
« L’interface est conviviale et il est facile de suivre les engagements des gens en matière de Mitsva. Cela a encouragé d’autres membres de la communauté à créer leurs propres équipes et à faire participer leurs amis et leur famille », explique Rachel.

« Ce projet vise à amplifier le message du Rabbi sur le pouvoir de transformation d’une Mitsva pour changer radicalement le monde », explique le Rav Shlomie Naparstek, directeur du Moshiach Office à Merkos 302. « En tant qu’organisation dédiée à la sensibilisation au message du Rabbi concernant l’immanence de l’arrivée de Machia’h et les actions nécessaires pour y parvenir, notre objectif est de promouvoir cette idée grâce à l’utilisation créative de la technologie. »

La plateforme est ouverte à tous et propose des modèles uniques pour les événements du cycle de vie tels que les anniversaires, les Bar Mitsvot et les yahrzeits. Elle cherche à donner plus de sens à ces événements importants en canalisant la bonne volonté de la famille et des amis de la manière la plus constructive possible sur le plan spirituel.

« Ce projet a touché d’innombrables personnes et témoigne de l’immense bienfait que peut accomplir une bonne utilisation de la technologie moderne », déclare le Rav Moshe Kotlarsky, vice-président de Merkos L’inyonei Chinuch. « Nous prions pour que les Mitsvot générées par ces campagnes créent un effet d’entraînement, entraînant de plus en plus de Mitsvot, jusqu’à ce que le monde entier soit transformé positivement avec la venue de Machia’h. »

Pour Rachel, la campagne Mitsva a commencé comme un moyen de rendre hommage à son père, mais elle s’est transformée en quelque chose de beaucoup plus grand. Elle espère que les Mitsvot générées par ces campagnes auront un effet d’entraînement et transformeront positivement le monde.

Visitez OneMitzvah.org

 

Barouh Dayan Haemet : David a’h (Daniel) Uzan, 73 ans, a quitté ce monde Chabbat 4 Adar 5783

Barouh Dayan Haemet : David a’h (Daniel) Uzan, 73 ans, a quitté ce monde Chabbat 4 Adar 5783

Baroukh Dayan Haemet
ברוך דיין האמת

C’est avec une grande tristesse que nous vous faisons part du décès de notre cher père, grand père et arrière grand père, Reb Daniel UZAN ז״ל
הרה״ח ר׳ דוד ב״ר אליהו חי ע״ה אוזן

————

Horaires Chiva Famille Uzan

Les Chiva de Reb. (Daniel) David ben Eliahou Hai Uzan z »l se dérouleront à son domicile,
23 rue du dr Potain
75019 Paris, esc B
(Porte ouverte où code 5A69B)

à partir de mardi 28.02

Horaires des Minyanim (deux offices) :
Chaharit:
7h30 et 8h30

Minha:
13h45 et 18h00

Arvit: 20h00

Nihoum Avélim, tous les jours a partir de 10h

Fin des Chiva
Dimanche matin, Chaharit 8h00 suivi de la levée des Chiva.

Familles Uzan, Bensoussan, Benhacoun, Barcochva, Touboul et Benhamou

והקיצו ורננו שוכני עפר והוא בתוכם

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

   


Lors de la parade de Lag Baomer à Paris


Lors de la visite des locaux de la Place des Fêtes du maire du 19ème, Jacques Féron


Lors de l’inauguration du Beth Haya Mouchka


Au séminaire d’études à Beaupréau

Avec Jean Tiberi lors de la visite à la Mairie de Paris à l’occasion de Hanouccah


Lors de la visite de Elie Wiesel au Beth Haya Mouchka

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Hayom Yom du 18 Adar 1 : La bénédiction après avoir bu du vin et mangé des fruits appartenant aux sept espèces

Hayom Yom du 18 Adar 1 : La bénédiction après avoir bu du vin et mangé des fruits appartenant aux sept espèces

בברכה מעין שלש אם שתה יין ואכל פירות מז’ המינים, חותם: « ועל פרי הגפן ועל הפירות, ברוך אתה ד’ על פרי הגפן והפירות » (ולא [להוסיף גם בסיום:] « ועל » הפירות).

Après avoir bu du vin et mangé des fruits appartenant aux sept espèces par lesquelles fut prononcée l’éloge d’Erets Israël, on conclut la bénédiction finale par « Veal Peri Haguefen Veal Haperot. Barou’h… Al Peri Haguefen Vehaperot » et non par « Veal Haperot ».

Préparation des activités de Pourim par les Chlou’him du Beth Loubavitch en Ile de France

Préparation des activités de Pourim par les Chlou’him du Beth Loubavitch en Ile de France

Les Chlou’him du Beth Loubavitch se préparent avec enthousiasme pour la fête de Pourim en organisant des activités et des Mivtsaïm pour l’occasion. Pourim est l’une des fêtes les plus joyeuses du calendrier juif, célébrant la délivrance des Juifs de la Persécution. Les Chlou’him commencent à planifier dès maintenant les événements communautaires tels que les lectures publiques de la Meguila, des fêtes pour enfants, des distributions de milliers de Michloa’h Manot, et de guides de la Fête. Les Chlou’him utilisent cette occasion pour atteindre aussi les Juifs qui ne sont pas affiliés à une communauté juive ou qui sont peu pratiquants.

La soirée de préparation était organisée par le Rav Mendel Azimov et son frère le Rav Lévi Azimov. Ils étaient secondés par le Rav Binyamin Mergui.

Les Chlou’him se réunissent également pour partager des idées sur la façon de mieux atteindre les juifs les plus éloignés. Ces réunions sont souvent l’occasion pour les Chlou’him d’échanger des histoires et des astuces sur la manière de réussir dans leurs efforts pour rapprocher les Juifs de la Torah et des Mitsvot.

En somme, les Chlou’him du Beth Loubavitch, très investis dans la préparation de Pourim, cherchent à maximiser les opportunités offertes par cette fête pour apporter de la joie et du sens aux Juifs de toute l’Ile de France.

 

 

 

Témoignage : Les révélations de M. Daniel Uzan sur la « Révolution française » du Rabbi

Témoignage : Les révélations de M. Daniel Uzan sur la « Révolution française » du Rabbi

C’est avec une grande tristesse que nous avons appris la disparition de M. Daniel Uzan le 25 février 2023. Il a été l’un des piliers fondateurs du Beth Loubavitch de Paris et son engagement envers le Rav Chmouel Azimov a été remarquable. En sa mémoire, nous avons décidé de partager avec vous une interview qu’il a accordée il y a quelques années, où il évoque son parcours et sa participation active dans la « révolution française » du Rabbi pour rapprocher les Juifs de la Torah. Nous espérons que cet entretien permettra de rendre hommage à son action et de perpétuer sa mémoire.

Dès 1963, le Rabbi appelait les Juifs de France à se rapprocher de la Torah. Une mission qui a mobilisé des jeunes élèves de la Yechiva de Brunoy dont le Rav Chmouel Azimov.

En 1968, le Rav Chmouël Azimov, de retour en France après son mariage, devint le Chlia’h du Rabbi à Paris. Il avait déjà influencé de nombreux jeunes étudiants juifs à se reconnecter avec leur judaïsme.

Parmi les premiers membres de cette équipe se trouvaient David Uzan et son épouse, qui ont eu plusieurs rencontres avec le Rabbi et contribuèrent grandement au développement des institutions du Beth Loubavitch.

M. Daniel UZAN est né le 16 novembre 1949 – 24 Hechvan 5710. Il se rapprocha du mouvement ‘Habad grâce aux cours de Torah dispensés par le Rav Chmouel Azimov et les Chlou’him du Rabbi (qui étaient les seuls à cette époque à s’occuper de la jeunesse juive). Il participa activement à ces cours pendant un an puis décida que le moment était venu de se rendre chez le Rabbi.

Quelle était la première fois où vous étiez le Rabbi ?

Mon premier voyage chez le Rabbi était à ‘Hannoucah en 1971. J’y suis resté une dizaine de jours. J’ai eu la chance de rentrer en Ye’hidout dans le bureau du Rabbi. La Ye’hidout dura dix minutes, ce qui représentait beaucoup de temps ! (La Ye’hidout d’un Ba’hour durait en général moins de deux minutes…). Lors de la Ye’hidout, je ressentais une grande Kedoucha, une crainte révérencielle, j’avais même peur de m’exprimer… Aux questions du Rabbi je répondais le strict minimum. Il y avait tout simplement une sorte de crainte du Rabbi. Par ailleurs, je ne voulais pas «voler» le temps précieux du Rabbi. Le Rabbi faisait tout pour instaurer une ambiance agréable afin que je me sente à l’aise.

De façon générale, lors de mes Ye’hidout avec le Rabbi (ainsi que celles de la majorité des membres du groupe), le Rabbi parlait en français. Il arrivait parfois que le Rabbi commence en français et continue en anglais ou en hébreu.

Pouvez-vous partager avec nous cette première Ye’hidout ?

Il est écrit dans Hayom Yom que la Avoda d’un ‘Hassid est fixée selon sa première Ye’hidout. J’ai eu la chance lors de ma première Ye’hidout le Rabbi me dise explicitement le but de ma vie.
Le Rabbi me dit ainsi : « Votre tâche principale (« your main purpose ») est de renforcer le ‘groupe’ et d’être en contact avec le Rav Azimov ».

Je demandais alors au Rabbi si je devais enseigner au Talmud Torah. J’étais étudiant à cette époque, mon emploi du temps était très chargé et cela n’était pas facile pour moi. Le Rabbi répondit ainsi : « Le Talmud Torah est une Mitsva extraordinaire ! ». Tous les dimanches et mercredis j’enseignais donc au Talmud Torah dirigé par le Rav ‘Haïm Hillel Azimov, le père du rav Chmouel Azimov.

Je me souviens encore comment le Rav ‘Haïm Hillel Azimov (fondateur et directeur des Talmud-Torah) me demandait chaque fois qu’il me rencontrait « Répète-moi ce que le Rabbi t’a dit à propos des Talmud-Torah»… Pour lui, c’était important et encourageant d’entendre ces Saints mots du Rabbi.

J’ai également demandé au Rabbi s’il était préférable que j’arrête mes études universitaires pour me consacrer à l’étude en Yechiva. Le Rabbi a répondu que je devais poursuivre mes études. Il m’a donné une directive qui m’a profondément marqué: « Ce sera une occasion de montrer aux Juifs de France qu’il est possible de suivre des études universitaires tout en restant un Juif Chomer Torah OuMitsvot! ».

Après cette rencontre avec le Rabbi, j’ai vécu une anecdote intéressante. J’avais un examen très important prévu un samedi, jour du Chabbat. Étant donné ce que le Rabbi m’avait dit, je ne voulais pas passer cet examen. Cependant, je me suis dit que je n’avais rien à perdre en demandant conseil à mon professeur. De manière surprenante, celui-ci m’a répondu : « Je peux vous faire passer l’examen le vendredi, à condition que vous ne le racontiez à personne… »

Lors de cette même Ye’hidout, le Rabbi a souligné l’importance de l’étude de la Torah, en particulier du Choul’han Arou’h et de la ‘Hassidout. En 1973, j’ai eu l’occasion de me rendre chez le Rabbi avec plusieurs membres de notre groupe. C’est le Rav Bentsion Chemtov, beau-père de Rav Chmouël Azimov, qui s’est occupé de nous trouver des endroits pour manger et dormir. À l’époque, les Chlou’him d’outre-mer n’avaient l’autorisation de venir chez le Rabbi qu’une fois tous les deux ans.

Après cette première Ye’hidout, j’ai eu l’opportunité d’avoir une autre rencontre privilégiée avec le Rabbi durant le Tichri. Durant cette rencontre, j’ai demandé au Rabbi si je pouvais suivre des études à la Yechiva de Brunoy. Le Rabbi m’a donné son accord. Ainsi, j’ai étudié durant une année entière à la Yechiva de Brunoy.

Par la suite, je me suis marié. Mon épouse avait également eu la chance de rencontrer le Rabbi en tant que jeune fille et avait reçu plusieurs instructions précieuses.

En 1980, lors de notre voyage pour les fêtes de Tichri, nous sommes passés devant le secrétariat du Rabbi au 770. Le Rav Binyamin Klein m’a appelé et m’a demandé si j’étais venu avec mon épouse. Il est ensuite sorti du bureau du Rabbi pour me remettre une Sidour tamponnée « Asseret Yemei Techouva » avec la signature du Rabbi ! A ma connaissance, seules quatre Sidoourim comme celle-ci ont été distribuées. Il y avait une rumeur selon laquelle le Rabbi en distribuerait à tout le monde, mais cela ne s’est pas concrétisé.

Lors de la fête de Pessa’h en 1974, nous sommes allés chez le Rabbi avec toute la famille. J’ai eu la chance d’entrer en Ye’hidout. Le Rabbi m’a alors dit que je devais continuer mes études pour obtenir un Doctorat. Il m’a donné un argument très puissant : « Cela vous aidera dans la Parnassa et dans ‘Oufaratsta’ ! ». Je me suis souvenu constamment de cet argument tout au long de mes études pour le Doctorat. À cette époque, je travaillais déjà. Pour travailler sur le Doctorat, j’ai suivi des cours deux soirs par semaine pendant cinq ans. J’ai finalement obtenu mon Doctorat et l’ai envoyé au Rabbi, qui m’en a remercié.

Lors de vos voyages en Tichri, avez-vous reçu des instructions particulières du Rabbi ?

Le Rabbi nous demandait de profiter de notre présence à New York pour aller dans les universités locales et raconter la « révolution française » de la vie juive en France. Pour cela, nous nous rendions chez les Chlou’him locaux et racontions les changements et progrès de la vie juive en France, notamment sous l’impulsion du Rabbi. Les personnes que nous rencontrions étaient souvent très impressionnées en entendant ces histoires. C’était donc une mission importante que nous prenions très à cœur et que nous accomplissions avec plaisir.

Quand était la dernière fois que vous avez eu le privilège de parler avec le Rabbi ?

Il me semble que c’était en 1990. Je supervisais alors la modernisation de cent-vingt agences du travail. Ces agences aidaient les français désireux de gérer des entreprises à l’étranger. Dans le cadre de mon travail, je voyageais à New York tous les trois mois environ. Avant l’un de ces voyages, le Rav Chmouël Azimov me demanda de transmettre la maquette de l’école « Beth ‘Haya Mouchka » dont nous planifions à cette époque la construction.

En passant à la distribution des dollars avec la maquette, j’avais trois choses très importantes à demander au Rabbi. Une demande était liée aux autorisations municipales pour la construction de l’école.

Je remis alors la maquette de l’école au Rabbi. Celui-ci me demanda : « Est-ce que cela est pour moi ? ». Je répondis affirmativement. Le Rabbi posa alors la maquette sur le côté et me donna un dollar. Alors que je m’apprêtais à partir, le Rabbi me rappela et me donna trois dollars supplémentaires en me disant : « Pour toutes ces choses, une bonne solution ! ».

En effet, sur les deux autres problèmes que j’avais à lui exposer, j’ai trouvé des solutions qui ont résolu les difficultés de manière inattendue. Ce qui m’intriguait était la réponse inhabituelle du Rabbi : « bonne solution » au lieu de « bonne réussite ». La construction de l’école a été associée à de nombreux problèmes, mais nous avons finalement réussi à les résoudre, même si la construction elle-même a duré plus de dix ans!

Par ailleurs, je tiens à souligner que Mme Bassie Azimov nous avait beaucoup aidé durant cette période difficile. Son aide hors-du-commun a été d’une grande importance et nous a été très bénéfique. Nous sommes profondément reconnaissants de tout ce qu’elle a fait pour nous.

 

 

 

 

3000 ados du monde entier réunis pour l’événement CTeen « Meant2B » en direct !

3000 ados du monde entier réunis pour l’événement CTeen « Meant2B » en direct !

Après un week-end incroyable rassemblant 3000 jeunes Juifs du monde entier, la 15ème cérémonie de clôture annuelle du CTeen est arrivée.

Cette année, le point culminant emblématique du CTeen Shabbaton explorera le thème de « Meant2B » et de la raison pour laquelle tout arrive.

Attendez-vous à entendre de puissantes histoires de croissance et de résilience de jeunes Juifs de tous horizons.

Des réponses héroïques de Rosie Grossbaum face à la maladie à l’expérience d’Enzo Seban en famille d’accueil, ces histoires inspireront et motiveront les spectateurs à persévérer même face aux défis les plus difficiles.

Avec des performances en direct de Nissim Black et Berel Zucker, l’événement de cette année promet d’être une expérience inoubliable.

 

Attentat en Israël : deux frères de 20 et 22 ans résidents de Har Bracha, ont été assassinés à Hawara

Attentat en Israël : deux frères de 20 et 22 ans résidents de Har Bracha, ont été assassinés à Hawara

Hillel Menachem (22 ans) et Yigal Yaakov (20 ans) Yaniv, deux frères résidents de Har Bracha, ont été tués lors d’une attaque terroriste à Hawara.

 

Yigal, qui étudiait à la Yéchiva de Givat Olga, avait prévu de s’engager dans l’armée : « talentueux et dévoué ». Dans l’attentat de Hawara, il a été tué avec son frère Hillel, âgé de 22 ans, qui venait de terminer son service militaire et avait étudié à la Yéchiva de Kiryat Shmona : « il était aimé, toujours souriant ». La traque du terroriste continue, qui a tiré à bout portant sur les frères qui voyageaient en voiture.

Les forces de l’armée israélienne poursuivent la traque du terroriste qui a tué les deux frères, notamment dans les villages autour de Ch’hem. L’unité de renseignement de l’IDF travaille à identifier l’agresseur et travaille également à recueillir des preuves sur place en démantelant des caméras de sécurité dans la région.

L’armée enquête également sur la façon dont le terroriste est arrivé sur les lieux – et comment il a pu s’échapper – après avoir signalé plus tôt que les tirs avaient été ouverts à partir d’un véhicule en mouvement.

Hillel, 22 ans, qui a étudié à la Yéchiva de Kiryat Shmona, venait de terminer son service dans la marine et est récemment revenu à ses études dans le cadre du programme d’études juives. « Il est revenu à la Yéchiva la semaine dernière avec une grande fierté après avoir terminé son service de commandement et a souri en disant que même s’il avait presque terminé, ils l’avaient appelé pour lui dire qu’il recevait une distinction pour son rôle », a déclaré Eliav Samuel, directeur général de la Yéchiva de Kiryat Shmona, où Hillel a étudié en 4e année. « Il était très aimé de ses amis et des rabbins, faisait partie intégrante de la Yéchiva et de ses étudiants. Il avait toujours le sourire aux lèvres, aidait et était serviable autant que possible ».

Selon Samuel, « la semaine dernière, son frère Yigal, âgé de 20 ans, qui étudiait à la Yéchiva de Givat Olga, avait également prévu de s’engager dans le programme d’études juives – et ces jours-ci, il devait commencer à se préparer pour son service militaire.

L’Union des yeshivot de Hesder a déclaré : « Nous prions pour le renforcement de la famille chère, de ses amis dans les yeshivot et dans les communautés, ainsi que pour tout Israël ». Le colonel de l’Union, Uri Pinsk, a déclaré qu’il était « profondément choqué d’apprendre la nouvelle du meurtre des frères sacrés, résidents de Har Bracha, sur leur chemin de la maison à l’étude. Nous envoyons un grand câlin à leur famille bien-aimée ».

Le ministre des Finances, Zeev Elkin, a également fait référence à l’attaque et au meurtre des frères, déclarant que « le cœur se brise de tristesse. J’étais moi-même là-bas quelques minutes avant l’attaque, et des milliers de Juifs y passent chaque jour. Chaque Juif est une cible pour ces meurtriers assoiffés de sang ». Il a ajouté que « le rabbin Shalom Yaniv (le père des victimes) est un enseignant à Hesed, qui a éduqué certains de mes enfants en première année. Son fils Hillel, paix à son âme, a travaillé avec nous avec beaucoup de dévouement à la tête du mouvement sioniste religieux. Ils étaient aimables, idéalistes, talentueux et dévoués. Une famille modeste et juste qui est un exemple pour l’Israël. Terre, ne couvre pas leur sang et qu’il n’y ait pas de place pour notre cri ».

Le conseil régional de Shomron, où se trouve le mont Bracha, a déclaré qu’il était en deuil pour le meurtre des frères.

Le chef du conseil, Yossi Dagan, a déclaré sur les lieux de l’attaque que « chaque année, nous mettons en garde contre des événements difficiles et une main molle face au terrorisme palestinien. Nous sommes forts et nous vaincrons les barbares de l’Autorité palestinienne. Du gouvernement, je demande – changez la donne une fois pour toutes. Je demande au Premier ministre, au ministre de la Défense et à tous les ministres de rappeler la délégation des pourparlers absurdes. Assez de ‘gestes de sécurité’ alors que le peuple juif est versé ici à Hawara à Jérusalem et partout ailleurs. Nous devons mener une opération contre le terrorisme ».

Le chef du conseil de Beit El, Shai Alon, qui se trouvait sur les lieux de l’attaque, a raconté plus tôt: « Les tirs ont eu lieu juste derrière moi. Cela avait l’air terrible – les tirs étaient à bout portant ». Il a ajouté qu’il avait commencé à coordonner les forces sur le terrain et à agir avec eux. « Vous êtes encerclé à droite et à gauche, il n’y a pas moyen de sortir. Il n’est pas possible que les terroristes puissent tenir une arme aussi facilement et tirer librement à bout portant en plein jour. C’est une menace réelle pour les habitants juifs de la région », a-t-il déclaré.

Dans une interview avec Ynet, Alon a ajouté: « J’ai entendu des rafales. J’étais vraiment sûr qu’ils tiraient sur moi et j’étais sûr qu’ils m’avaient touché. J’ai vu des gens morts et j’ai couru vers les soldats. Je suis vraiment sous le choc. Je n’ai jamais connu une telle expérience. J’ai entendu des rafales de 10 à 15 balles. Je reprends mon souffle ».

 

Hassidout pour les enfants – Tetsave #1: «Vous pouvez commencer à changer notre monde pour le meilleur !»

Hassidout pour les enfants – Tetsave #1: «Vous pouvez commencer à changer notre monde pour le meilleur !»

Rubrique réalisée par Réouven Bennaïm
Beth Habad des enfants de Perpignan – « Tsivot Moshiah »

Léilouy Nishmat Rav MORDE’HAÏ (Mottel) a’h PEVZNER
Chalia’h du Rabbi à Perpignan pendant 17 ans

РУССКИЙ 🇷🇺

Вы можете начать менять наш мир к лучшему уже сегодня, и, неважно, насколько малы ваши действия. Бейт Хабад Детей Перпиньяна

Духовная комбинаторика

Р-н Эли Коган

В главе Торы “Тецаве” описываются драгоценные одеяния Первосвященника. И среди них – самый, наверное, драгоценный – нагрудник. Самый драгоценный – потому что он был весь покрыт драгоценными камнями, которых было двенадцать, по числу колен народа Израиля. И имена колен были выгравированы на каждом из камней.

Это число племен, составлявших народ Израиля, отнюдь не случайно. И оно было определено не фертильным потенциалом наших праматерей, а, как объясняет Каббала, количеством комбинаций священного имени Творца. В этом четырехбуквенном имени Всевышнего, Тетраграмматоне, каждая буква соответствует одному из духовных миров – этапов воплощения Б-жественного замысла. Число комбинаций четырех символов, из которых один повторяется дважды, равно двенадцати.

Таким образом двенадцать колен народа Израиля соответствуют двенадцати потокам Б-жественной энергии, приходящей в этот мир. Поэтому каждое из них получило свое особое благословение Свыше, и у каждого была своя особая роль: в одном из них было непропорционально много великих мудрецов, преуспевших в Учении, в другом – успешных бизнесменов, в третьем искусных воинов и т. д.

Но подобно тому, как двенадцать потоков света были раскрытием одного высшего источника, а двенадцать камней были частью одного украшения на груди Первосвященника, так же и двенадцать племен были частью единого народа Израиля. Но и спустя тысячелетия, после смешения колен и исчезновения многих из них, для нас, их потомков, сохраняется та же закономерность: Тора, дарованная Свыше, задает общий путь для народа Израиля, но на этой дороге – у каждого есть своя индивидуальная тропа.

При этом единство общины строится из индивидуальных личностей, а личная самобытность не застилает общей цели. Или, говоря проще, все вместе мы составляем бесценный узор, но в нем – каждый из нас неповторим и драгоценен.

« Vous pouvez commencer à changer notre monde, chaque jour, pour le MEILLEUR, même avec une petite action ! »

   Soutenez le « BETH HABAD DES ENFANTS » de Perpignan
« PARCEQU’ILS LE VALENT BIEN !  »

cliquez ici     


HAYOM YOM DU 5 ADAR


5 Adar Alef :

Chaque juif est un Chalia’h de Hachem. Avec Hashga’ha Pratit, Hachem met chaque personne là où elle est pour réparer et purifier le monde avec les paroles de Torah et de Tefilla. C’est important pour nous TOUS de le faire.

Dans de nombreux endroits des Igrot Kodesh du Rabbi, le Rabbi dit aux gens d’apprendre un chapitre de Tanya et quelques chapitres de Michnayot par cœur, afin qu’ils aient des paroles de Torah sur lesquelles ils peuvent réfléchir et réviser dans leur temps libre et où qu’ils soient.

5 Adar Sheini :

Un Ba’hour a demandé au Rabbi précédent dans une lettre, puisqu’il y a tellement de choses à apprendre, peut-être devrait-il se concentrer uniquement sur l’apprentissage d’une chose. Le Rabbi précédent lui a expliqué que non seulement nous devons apprendre toutes ces choses, mais que chacune aide l’autre à être ce qu’elle devrait être !

Un Hassid doit apprendre Nigleh (Guémara et le Choul’han Arou’h) car comme le dit la Michna, « Lo Am Ha’aretz Hassid » – un Am Ha’aretz, une personne ignorante, ne peut pas être un Hassid. De là, nous voyons qu’il est important d’apprendre Niglah, afin de ne pas être un Am Ha’aretz !

Et un Hassid doit apprendre le Hassidout, qui montre sa connexion avec Hachem. Comme il est écrit dans le Zohar, « Eizehou Hassid? Hamis’hased Im Kono, » qu’un Hassid est quelqu’un qui agit de manière Hassidique avec Hachem. Cela signifie qu’il accomplit les Mitsvot d’une manière belle, behidour – et pour cela, nous devons apprendre le Hassidout !

Et les deux ensemble nous amènent à nous comporter comme de meilleurs juifs, à travers la prière et l’accomplissement des Mitsvot Behidour, qui est le but de notre apprentissage !


HOUMACH TETSAVE 1ERE MONTÉE


Dans la Paracha de la semaine dernière, nous avons commencé à apprendre comment Hachem a donné des instructions à Moché Rabénou pour construire le Mishkan.

Aujourd’hui, dans la Paracha de Tétsavé, nous apprenons comment allumer la Menorah et nous commençons à apprendre sur les vêtements des Cohanim.

Hachem dit à Moché comment faire de l’huile d’olive que nous devons utiliser pour la Menorah : nous ne devons utiliser que l’huile qui sort lorsque la peau de l’olive est d’abord brisée par pression, avant que les olives ne soient écrasées par quelque chose de lourd ou broyées.

Voici comment la Menorah doit être allumée : le Cohen doit tenir la flamme près de la mèche pendant assez longtemps pour s’assurer que la mèche brûle seule. Les Kohanim doivent mettre suffisamment d’huile dans la Menorah pour qu’elle brûle toute la nuit.

Maintenant, Hachem dit à Moché quels vêtements les Kohanim devraient porter – 8 pièces spéciales pour le Cohen Gadol et 4 pour les autres Kohanim. Aujourd’hui, Hachem parle de l’Efod :

L’Efod doit être fabriqué à partir de fils colorés comme les rideaux du Mishkan. C’est comme un tablier porté à l’envers – il ne couvre pas le Cohen Gadol à l’avant. L’Efod est fait avec une ceinture en tant que partie de celui-ci, et des bretelles attachées à celle-ci.

Les juifs devraient également prendre deux pierres précieuses et y graver les noms des Shevatim – la moitié des Shevatim sur chaque pierre. De cette façon, chaque fois que le Cohen Gadol entrera dans le Mishkan, Hachem se souviendra à quel point les juifs sont spéciaux!


TEHILIM 29-34


Le Psaume 29 est un poème de louange à la puissance de Dieu, qui est comparée à une tempête violente.

  • Le Psaume 30 est un chant d’action de grâce pour la guérison et la protection de Dieu.
  • Le Psaume 31 est une prière de confiance en Dieu malgré les épreuves.
  • Le Psaume 32 célèbre le pardon de Dieu et encourage à la confession des péchés.
  • Le Psaume 33 est un hymne à la création et à la bonté de Dieu.
  • Le Psaume 34 est un poème de louange à Dieu pour sa protection et sa provision pour les fidèles, ainsi qu’un appel à la crainte de Dieu et à l’éloignement du mal.

Dans les Tehilim d’aujourd’hui, il y a un verset qui dit : « Hashem Oz Le’amo Yitein, Hashem Yevare’h Es Amo BaChalom. » « Hachem donne de la force à sa nation, Hachem bénit sa nation avec la paix. »

Mais que donne exactement Hachem à sa nation ? Dans la Torah Shebaal Peh, nous apprenons que ce verset parle de la Torah !

Les Hahamim expliquent qu’Oz (force) signifie Torah – Hachem nous donne la Torah, qui nous donne de la force.

Comment la Torah nous donne-t-elle de la force ? Lorsque nous apprenons la Torah et que nous savons que les mots de Torah que nous disons sont les mêmes que ceux que Moché Rabénou a prononcés sur Har Sinai, et qui nous ont été révélés par les tzadikim et les Hahamim au fil des générations, nous savons que nous disons LEURS mots ! Ces paroles saintes donnent de la force à notre neshama et affaiblissent notre Yetzer Hara, de sorte que nous sommes capables de réussir dans notre shlichus.


TANYA CHAPITRE 31


Nous apprenons dans le Tanya d’aujourd’hui à utiliser une pensée spéciale pour nous aider à nous motiver à prier et à lutter contre le Yetzer Hara lorsque nous ne sommes pas intéressés ou que nous nous sentons tristes. Le Alter Rebbe nous donne une astuce : penser à des choses qui nous rendent humbles.

Le Alter Rebbe nous explique que même si ces pensées humbles peuvent nous rendre tristes pendant un moment, ce n’est pas grave. Cette tristesse brisera l’orgueil du Yetzer Hara qui nous empêche de faire notre Avodas Hashem correctement.

Si nous faisons cette réflexion correctement, ces pensées ne nous rendront pas seulement tristes, mais elles nous donneront plus de force et nous aideront à servir Hachem comme il se doit !

Cette méthode fonctionne le mieux et devrait être pratiquée à certains moments : lorsque le Yetzer Hara nous empêche de faire notre Avodah correctement ou lorsque nous sommes de toute façon dans un état d’esprit triste. C’est un bon moment pour utiliser cette réflexion, qui peut nous aider de bien des façons.

En fait, en faisant cela, nous utiliserons notre humeur pour une bonne chose, et alors Hachem enlèvera les sentiments qui nous rendent anxieux ou tristes !


SEFER HAMITSVOT


Certaines Mitsvot ne sont pas trop compliquées. Elles peuvent être expliquées en quelques Mishnas ou quelques pages de Guemara ou moins. Le Rambam les rassemble et les met dans quelques Hala’hot ou quelques perakim.

Puis il y a d’autres Mitsvot qui ont de nombreux détails ! Nous devons savoir comment accomplir la Mitsva dans toutes sortes de situations, et chaque situation a ses propres Hala’hot. Il peut y avoir une mesechta entière de la Guemara ou plus expliquant cette Mitsva, et de nombreux ensembles de Hala’hot dans le Rambam pour nous montrer comment faire !

La Mitsva d’aujourd’hui (Mitsvat Assei #245), est l’un de ces catégories de Mitsvot. Si vous allez faire des affaires de quelque nature que ce soit, vous devez suivre les règles de la Torah sur la façon de le faire. Nous apprenons ces ensembles de Hala’hot en ce moment dans le Rambam. C’est pourquoi nous révisons cette Mitsva encore et encore !

 

 

CIQUEZ ICI POUR RÉCITER LES DOUZE PSOUKIM


LES DOUZE PSOUKIM

1 – Torah TORAH TSIVA LANOU MOCHÉMORACHA KÉHILAT YAAKOV.

תּוֹרָה צִוָּה לָנוּ מֹשֶׁה מוֹרָשָׁה קְהִלַּת יַעֲקֹב

“La Torah que Moïse nous a ordonnée est l’héritage de la Communauté de Jacob” (Deut. 33:4)

C’est Moïse, le fidèle serviteur de D.ieu qui nous a transmis la Torah. Et chaque Juif, garçon ou fille, la reçoit pour lui-même. Qu’il l’ait étudiée durant des années ou qu’il n’en connaisse qu’un tout petit peu, Elle lui appartient, pour l’apprendre et la mettre en pratique. C’est le plus beau cadeau que D.ieu pouvait nous faire.


2 – Chéma CHEMA Israël ADO-NAY ELO-HÉNOU ADO-NAY É’HAD..

שְׁמַע יִשְׂרָאֵל ה’ אֱ־לֹהֵינוּ ה’ אֶחָד

Ecoute Israël, l’Eternel est notre D.ieu, l’Eternel est Un.

C’est Moïse, le fidèle serviteur de D.ieu qui nous a transmis la Torah. Et chaque Juif, garçon ou fille, la reçoit pour lui-même. Qu’il l’ait étudiée durant des années ou qu’il n’en connaisse qu’un tout petit peu, Elle lui appartient, pour l’appr-endre et la mettre en pratique. C’est le plus beau cadeau que D.ieu pouvait nous faire.


3 – Bé’hol BÉ’HOL DOR VADOR ‘HAYAV ADAM LIROT ETE ATSMO KE-ILOU HOU YATSA MIMITSRAYIM

בְּכָל דּוֹר וָדוֹר חַיָּב אָדָם לִרְאוֹת אֶת עַצְמוֹ כְּאִלּוּ הוּא יָצָא מִמִּצְרַיִם

“Dans chaque génération, il faut se considérer comme sorti soi-même d’Egypte.

Il y a quelques 3500 ans, Hachem nous a fait sortir d’Egypte. Il nous a fait passer de l’esclavage à la liberté. Et, si Hachem ne l’avait pas fait, nous serions encore des esclaves aujourd’hui. Aussi, chaque jour, nous remercions D.ieu de nous avoir libérés. Et, dans notre cœur, nous promettons d’utiliser notre liberté du mieux possible, comme les serviteurs choisis du Roi des rois.


4 – Kol Israël KOL ISRAEL YECH LAHEM ‘HÉLEK LÉOLAM HABA CHÉNÉÉMAR VÉAMÈ’H KOULAM TSADIKIM LÉOLAM YIRCHOU ARETS NÉTSER MATAAÏ MAASSÉ YADAÏ LEHITPAERE.

בכָּל יִשְׂרָאֵל יֵשׁ לָהֶם חֵלֶק לְעוֹלָם הַבָּא, שֶׁנֶּאֱמַר: וְעַמֵּךְ כֻּלָּם צַדִּיקִים לְעוֹלָם יִירְשׁוּ אָרֶץ, נֵצֶר מַטָּעַי מַעֲשֵׂה יָדַי לְהִתְפָּאֵר

Tous les Juifs ont une part dans le monde futur, comme il est dit : « Dans Ton peuple, il n’y a que des Justes. Ils hériteront de la terre pour toujours. Ils sont le produit de Mes plantations, l’œuvre de Mes mains. Et, J’en suis fier. «

D.ieu est particulièrement fier de chaque Juif. Il nous a créés et Il prend soin de nous comme un jardinier prend soin d’une jeune plante. Et, comme nous grandissons, en étudiant Sa Torah, en faisant Ses Mitsvot extraordinaires, alors D.ieu nous prépare une place dans le Monde Futur, à côté d’Avraham, d’Its’hak, de Yaakov, de Moché, du roi David et de tous les grands hommes de notre histoire.


5 – Ki Karov KI KAROV ÉLÉ’HA HADAVAR MÉOD BÉFI’HA OUVILVAV’HA LAASSOTO.

כִּי קָרוֹב אֵלֶיךָ הַדָּבָר מְאֹד בְּפִיךָ וּבִלְבָבְךָ לַעֲשׂוֹתוֹ

Obéir à la Torah en paroles, en pensée et en action, tout cela est à ta portée.

Tu sais, la Torah n’est pas dans le ciel. Elle est ici, sur terre, toute proche, facile à étudier et à pratiquer. Elle est à ta portée, aussi proche que la synagogue du coin de la rue, aussi proche que le livre que je tiens dans la main ou la phrase de Torah que je connais par cœur, ou encore que le bonheur que je ressens au fond de moi. En fait, la Torah, c’est tout ce que je veux vraiment. C’est comme cela que Hachem m’a fait.


6 – Véhiné Hachem VÉHINÉ Hachem NITSAV ALAV OUMELO KOL HAARETS KEVODO OUMAVIT ALAV OUVO’HEN KÉLAYOT VALEV IM OVDO KARAOUÏ.

וְהִנֵּה ה’ נִצָּב עָלָיו וּמְלֹא כָּל הָאָרֶץ כְּבוֹדוֹ וּמַבִּיט עָלָיו וּבוֹחֵן כְּלָיוֹת וָלֵב, אִם עוֹבְדוֹ כָּרָאוּי

D.ieu se tient au-dessus de lui, et toute la terre est pleine de Sa gloire. Il regarde au fond de son esprit et de son cœur pour voir s’il Le sert comme il convient.

Imagine que tu sois dans le palais d’un roi. Autour de toi, tout est magnifique : les pièces, les murs, les meubles. Des princes et des gouverneurs, habillés d’or et d’argent, se tiennent debout avec respect, attendant d’obéir à l’ordre du roi ou simplement de le voir. Imagine que tu passes au milieu d’eux et, tout à coup, tu te trouves devant le roi. Personne ne dit un mot. Comme tu approches, il te regarde avec un grand intérêt. Imagine l’effet que cela ferait ! Eh bien, c’est exactement ainsi que nous nous tenons à tout instant devant Hachem, le Roi du monde entier.


7 – Béréchit BERECHIT BARA ELO-HIM ETE HACHAMAYIM VEETE HAARETS.

בְּרֵאשִׁית בָּרָא אֱ-לֹהִים אֵת הַשָּׁמַיִם וְאֵת הָאָרֶץ

Au commencement, D.ieu créa le ciel et la terre.

D.ieu a créé tout l’univers : les cieux et tout ce qui s’y trouve, la terre et tout ce qui y vit. C’est la toute première chose que la Torah nous dit. Aussi, si jamais nous avons peur du noir, de la tempête, du froid, des gens et si rien ne semble aller comme cela devrait, la Torah nous dit de ne pas en être effrayé. Hachem a créé l’univers et Il en prend soin. Et, Il nous a donné la Torah pour faire que les choses soient comme elles doivent être. La Torah nous dit ce que nous devons faire et comment nous pouvons rendre, la terre meilleure et plus sainte. Et quand D.ieu voit que nous nous conduisons bien, alors Il nous donne la réussite et Sa bénédiction.


8 – Véchinanetam VÉCHINANETAM LÉVANÉ’HA VÉDIBARTA BAM BÉCHIVTÉ’HA BÉVÉTÉ’HA OUVLE’HTÉ’HA VADÉRÈH OUVCHO’HVÉ’HA OUVKOUMÉ’HA.

וְשִׁנַּנְתָּם לְבָנֶיךָ וְדִבַּרְתָּ בָּם בְּשִׁבְתְּךָ בְּבֵיתֶךָ וּבְלֶכְתְּךָ בַדֶּרֶךְ וּבְשָׁכְבְּךָ וּבְקוּמֶךָ

Et tu enseigneras la Torah à tes enfants, et tu en parleras chez toi et en voyage, avant de te coucher et quand tu te lèveras.

La Torah s’adresse à nos parents. Elle leur dit : « Papa, maman, enseignez-moi à vos enfants. Je veux qu’ils connaissent mes saints mots ». Nous aussi, il faut que nous disions à nos parents : « Papa, maman, faites la meilleure chose que vous puissiez faire pour moi: apprenez-moi la Torah. Apprenez-moi les phrases de la Torah avec soin jusqu’à ce que je m’en souvienne toujours, à la maison ou sur le chemin, en allant dormir ou en me levant ». Si nous le demandons du fond du cœur, de la manière que l’on utilise pour demander les choses que l’on veut vraiment, nos parents nous écouteront. Ils nous enverront dans une colonie de vacances dirigée selon la Torah et dans une école où nous apprendrons la Torah, les Mitsvot et tout le Judaïsme.


9 – Yagati YAGATI VÉLO MATSATI AL TAAMINE. LO YAGATI OUMATSATI AL TAAMINE. YAGATI OUMATSATI TAAMINE.

ויָגַעְתִּי וְלֹא מָצָאתִי – אַל תַּאֲמִין, לֹא יָגַעְתִּי וּמָצָאתִי – אַל תַּאֲמִין, יָגַעְתִּי וּמָצָאתִי – תַּאֲמִין

Si l’on te dit: « j’ai travaillé dur, mais je n’ai pas réussi », ne le crois pas. Si l’on te dit: « je n’ai pas travaillé dur, mais j’ai réussi », ne le crois pas. Si l’on te dit : « j’ai travaillé dur et j’ai réussi », tu peux le croire.

S’il arrive qu’un jour on n’agisse pas exactement comme il faudrait et que l’on ne se sente pas assez fort pour continuer d’étudier la Torah et de pratiquer les Mitsvot, alors il faudra se souvenir de la promesse de Hachem : Si nous essayons encore et encore plus, le mieux possible, alors finalement nous réussirons. Et ce que nous obtiendrons à ce moment-là dépassera tout ce que nous avions imaginé.


1 0 – Véahavta VÉAHAVTA LÉRÉA’HA KAMO’HA. RABBI AKIVA OMER: ZÉ KLAL GADOL BATORAH.

וְאָהַבְתָּ לְרֵעֲךָ כָּמוֹךָ – רַבִּי עֲקִיבָא אוֹמֵר, זֶה כְּלָל גָּדוֹל בַּתּוֹרָה

Rabbi Akiva dit que « tu aimeras ton prochain comme toi-même » est un principe de base de la Torah.

Quand nous travaillons dur pour nous améliorer, il ne faut pas oublier nos amis et nos voisins. Comme l’a dit Rabbi Akiva, il faut aimer son prochain exactement comme on s’aime soi-même. C’est le plus important de tout ce que nous apprenons. Aussi, si nous avons la chance d’étudier la Torah, nous devons travailler dur pour aider nos amis juifs à la pratiquer eux aussi.


11 – Vézé VÉZÉH KOL HAADAM VÉTA’HLIT BRIATO OUVRIAT KOL HAOLAMOT ÉLYONIM VETA’HTONIM LIHYOT LO ITBARE’H DIRA BETA’HTONIME.

וְזֶה כָּל הָאָדָם וְתַכְלִית בְּרִיאָתוֹ וּבְרִיאַת כָּל הָעוֹלָמוֹת, עֶלְיוֹנִים וְתַחְתּוֹנִים, לִהְיוֹת לוֹ יִתְבָּרֵךְ דִּירָה בְּתַחְתּוֹנִים

Rabbi Akiva dit que « tu aimeras ton prochain comme toi-même » est un principe de base de la Torah.

Pourquoi D.ieu a-t-il créé chacun d’entre nous et l’univers tout entier ? Pour qu’en respectant la Torah et les Mitsvot, nous puissions faire de nous-mêmes, de nos maisons et du monde qui nous entoure un endroit où D.ieu puisse résider, un endroit où Il vivra exactement comme nous vivons dans nos maisons


12 – Yisma’h Israël YISMA’H ISRAEL BÉOSSAV PÉROUCH CHÉKOL MI CHÉHOU MIZÉRA ISRAEL YECH LO LISMOA’H BESIM’HAT Hachem ACHER SAS VÉSAMEA’H BÉDIRATO BÉTA’HTONIM.

יִשְׂמַח יִשְׂרָאֵל בְּעוֹשָׂיו, פֵּרוּשׁ שֶׁכָּל מִי שֶׁהוּא מִזֶּרַע יִשְׂרָאֵל יֵשׁ לוֹ לִשְׂמֹחַ בְּשִׂמְחַת ה’, אֲשֶׁר שָׂשׂ וְשָׂמֵחַ בְּדִירָתוֹ בְּתַחְתּוֹנִים

« Les Juifs doivent se réjouir de leur Créateur ». Cela signifie que chaque Juif doit partager la joie de D.ieu, qui est heureux de Sa demeure dans ce monde.

Chaque Juif, quoi qu’il ait étudié jusqu’à présent, où qu’il ait vécu jusqu’ici, reste toujours un membre de notre peuple. Et il doit être heureux et fier que Hachem lui ait donné la plus grande mission du Monde : faire une Maison où D.ieu puisse habiter.

 

 



PARENTS ! 
VOUS AUSSI ENVOYEZ LA PHOTO DE VOS ENFANTS
POUR QU’ILS FASSENT PARTIE DE TSIVOT MOSHIAH !
par mail: [email protected]