Parution des deux derniers romans de Sarah Abichid

Parution des deux derniers romans de Sarah Abichid

Sarah Abichid a le plaisir d’annoncer à ses fidèles lectrices, «lecteurs», la parution de ses deux derniers livres. L’inconnue de Venise et la dernière chance de Rebecca Weismann.

À des époques bien différentes l’une de l’autre, le destin incroyable de deux jeune femmes exceptionnelles.

Quand à Rebbecca Weismann, jusqu’où peut aller la jalousie et la méchanceté d’une mère pour garder son fils?

À lire sans modération. Des rires et des larmes tout aux longs des pages où vous découvrirez Natalia Marquetti et Rebecca Weismann.

 

EN VENTE CHEZ BIBLIEUROPE

L’inconnue de Venise, je commande…
Ce roman a pour héroïne, Natalia Marketti, une splendide jeune fille de 23 ans issue d’une bonne famille juive traditionnelle. Dotée d’une indéniable beauté et de belles qualités intellectuelles, mue par une ambition et une persévérance hors-pair, don avenir semble tout tracé. Elle poursuit des études de Droit à l’Université de la Sorbonne à Paris et dans un an, elle présentera son Barreau.
20,00 € TTC

La dernière chance de Rebecca Weismann, je commande…
Durant les années de guerre 1942, où la Gestapo est aux aguets, il ne fait pas bon de s’appeler Rebecca Weisman. Les rafles se succèdent, la vie est difficile, clandestine à Bordeaux un jeune bomme de la haute bourgeoisie Française, Mare de la Morney, rencontre Rebecca. Il en tombe éperdument amoureux. C’est la guerre et malgré leurs différences religieuses, il désire l’épouser au plus vite.
20,00 € TTC

 

Cinq ans – Savoir étudier le Commentaire de Rachi sur la Torah

Cinq ans – Savoir étudier le Commentaire de Rachi sur la Torah

 

L’approche révolutionnaire du Rabbi sur Rachi a commencé à être exposé au grand public Chabbat Noa’h, il y a 55 ans, le 4 ‘hechvan 5725. A l’approche de cet anniversaire, les éditions Kehot sont heureuses d’annoncer la réédition du livre « Cinq ans – savoir étudier le Commentaire de Rachi sur la Tora ». Paru pour la première fois en 2017, l’ouvrage a reçu un excellent accueil du public et a été salué par la critique, s’épuisant d’ailleurs en quelques mois. Ce livre, axé autour de l’approche du Rabbi, s’adresse à l’initié comme au débutant. Il est inédit en la matière et contient une véritable mine d’or pour tout savoir sur Rachi de la Tora ou presque. Désormais Rachi ne s’abordera plus comme un enseignement technique mais comme une leçon de vie qui s’adresse à tout un chacun. Le livre est parsemé de nombreuses illustrations approchées à travers un florilège de questions, grandes comme petites, le tout dans une perspective hassidique.

· Quel est l’objectif de Rachi ? Quelle est la vocation profonde du Commentaire ? Comment comprendre son style ? Comment aborder l’œuvre ?
· Quels sont les grands commentateurs de Rachi ?
· Quels sont les rabbins du Talmud cités dans le Commentaire et à quelle fréquence ?
· Quelles sont les langues utilisées par Rachi ?
· Y-a-t-il un lien entre Rachi et le Zohar ?
· Y-a-t-il un lien entre Rachi et Rambam ?
· Y-a-t-il un lien entre Rachi et le Tanya ?
· Comment le Commentaire de Rachi a-t-il vécu à travers l’histoire de l’imprimerie ?
· Pourquoi les leçons du Rabbi sur Rachi commencent-elles après le décès de la Rabbanite ‘Hanah, sa mère ?
· Quelle est l’essence de l’approche du Rabbi sur Rachi ?
· En quoi l’enseignement du Rabbi sur Rachi est-il révolutionnaire et pourquoi est-il désormais incontournable ?
· Qui est cet Enfant de 5 ans dont parle le Rabbi en permanence ?
· Y-a-t-il un lien entre l’approche du Rabbi et celle de l’Admour Hazaken ?
· Etc.
Bonne lecture !

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Les Éditions Merkos L’Inyonei Chinuch – Kehot
Département culturel du : Bureau Lubavitch Européen 8, Rue Meslay 75003 Paris – Tél. : 01 48 87 87 12
E-mail : [email protected]

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Actu J : Rav Mendel Azimov « L’incroyable développement de notre mouvement ne s’explique pas par la logique »

Actu J : Rav Mendel Azimov « L’incroyable développement de notre mouvement ne s’explique pas par la logique »

Après les fêtes de Tichri contrastées, le Rav Mendel Azimov, directeur du Beth Loubavitch Paris Ile-de-France, fait le point sur la situation et les projets du mouvement.

 

Le Beth Loubavitch de Paris lle-de-France a été fondé par votre père, le Rav Chmouel Azimov en 1969. Comment se porte le mouvement ?
L’incroyable développement de notre mouvement ne s’explique pas par la logique. En cinquante ans, nous avons multiplié de façon exponentielle nos structures cultuelles, culturelles, sociales, charitables mais surtout éducatives pour toutes les tranches d’âge. Nos Chlou’him effectuent un travail remarquable avec, sans cesse, de nouvelles initiatives qui exigent des efforts et parfois un lourd investissement financier, mais leur enthousiasme porte ses fruits.

Comment ces émissaires oeuvrent-ils ?
Chacun est indépendant pour diriger sa communauté et en créer de nouvelles. Nous tenons souvent des réunions, réelles ou virtuelles, pour agir en conformité avec les directives que nous a laissées le Rabbi. La coopération entre tous est entière car nous poursuivons le même but, offrir au maximum de juifs la possibilité de se reconnecter à leur héritage spirituel en mettant l’accent sur l’étude de la Torah. Le nombre croissant d’écoles de bon niveau et d’élèves heureux justifient nos efforts. Pour les élèves qui ne fréquentent pas les écoles juives, nous avons mis en place des cantines cachères qui remportent un succès incroyable. Cela exige une organisation impeccable avec l’accord, bien sûr, des parents et des directeurs des écoles publiques.

Le Beth Loubavitch a essuyé de lourdes pertes humaines lors de la crise sanitaire. Nous pensons notamment à André Touboul. Comment faites-vous face?
André Touboul, le directeur de l’école Beth Hanna, était un cadre important du mouvement et si cinq personnes ne peuvent en remplacer une, nous bénéficions des structures qu’il avait mises en place. Binyamin Mergui travaille aujourd’hui avec l’équipe pédagogique ; les effectifs de l’école sont stables et par ailleurs, je dois dire que les élèves n’ont pas trop souffert du confinement. Ils et elles ont fait la classe sur Zoom. D’une manière générale, le mouvement fait face à la situation sanitaire. Nous travaillons en symbiose avec le Consistoire qui a édicté des protocoles très stricts. Nos bonnes relations avec les préfectures et les mairies nous ont aussi permis d’organiser les fêtes de Tichri dans de bonnes conditions et le respect des règles sanitaires.

Quels sont vos projets aujourd’hui ?
Tout d’abord je tiens à remercier du fond du coeur tous ceux qui nous aident financièrement en respectant leurs engagements passés malgré leurs propres difficultés, mais aussi en participant à nos activités et en les émulant eux-mêmes. Cette année,  nous allons célébrer les vingt ans de l’inauguration de l’école de la rue Petit. Ce sera un évènement. Et nous procéderons à la rénovation de nos synagogues et nos écoles, avec des travaux d’envergure bien nécessaires.

Propos recueillis par Feiga Lubecki

 

Ce jour où le Rabbi enseigna Rachi : 4 ‘hechvan 5725 – Chabbat Parachat Noa’h

Ce jour où le Rabbi enseigna Rachi : 4 ‘hechvan 5725 – Chabbat Parachat Noa’h

L’œuvre du Rabbi, dans toutes ses composantes, se conjugue avec l’Histoire. Il y a 56 ans, le 4 ‘hechvan 5725 (10 Octobre 1964), le Rabbi initia une approche sur Rachi qui modifia complètement le regard que l’on pouvait porter à cette œuvre. Le décès de sa mère, intervenu un mois plus tôt, occasionna l’une des plus extraordinaires aventures spirituelles de notre temps. A la mémoire de la rabbanit ‘Hanna, le Rabbi se mît à enseigner Rachi. La révolution était en marche.

C’était chabat Noa’h et telle fut l’introduction du Rabbi lors de cette toute première intervention * :
« Est connu l’adage de nos maîtres et chefs, selon lequel : « Dans le Commentaire de Rachi sur la Tora, il y a le vin de la Tora », la partie profonde de la Tora. De même que dans le Commentaire, il y a le Pchat de la Tora, puisque c’est apparemment la préoccupation de Rachi qui explique la Tora, les Néviim – les Prophètes, les Kétouvim – les Hagiographes, selon le sens littéral du Texte, jusqu’à ce que même les enfants du ‘héder puissent comprendre que c’est le Pchat du Pchat.

Cela veut dire que dans le Commentaire de Rachi, il y a deux parties de la Tora : le Pchat et le Sod. Et même si, à première vue, le Sod est très éloigné du Pchat – puisque le Sod est déjà distant du Rémez et du Drach et donc à plus forte raison du Pchat – malgré tout, les deux extrémités s’unifient dans le Commentaire de Rachi […] ».
Les bases sont jetées, et déjà, voilà que tout est dit. L’Enfant de cinq ans est au cœur de cette étude, il en représente l’assise. Cinq ans, c’est l’âge au ‘héder auquel on est initié à l’étude de la Tora, Cet enfant est au seuil de la connaissance, à l’opposé de l’érudit, si coutumier des saintes écritures et de toute l’exégèse rabbinique. Face au talmid ‘hakham, l’Enfant de 5 ans, doté seulement d’un regard neuf et de bon sens, fait office d’outsider, mais c’est justement ce qui le rend fascinant et irrésistible. Le manque apparent est devenu qualité essentielle. L’approche est à peine croyable et l’audace folle, à comparer avec l’ensemble des commentateurs de Rachi, si nombreux au cours des siècles, qui considèrent l’œuvre de Rachi comme s’adressant d’emblée à l’érudit.

Au fil du temps, le Rabbi restituera désormais cette œuvre au grand public, comme Rachi lui-même l’avait conçu à son origine. Il en permettra à nouveau l’accès à chacun et en livrera le passe-partout. L’Enfant de 5 ans est en réalité en chacun de nous et ne demande qu’â être éveillé. L’étude se libère et n’appartient plus qu’aux experts. Le Rabbi procèdera ainsi plus tard avec l’œuvre du Rambam, mais à y réfléchir, cette  accès à la sagesse juive et au Judaïsme en général, est l’esprit de toute l’action du Rabbi le long de ses 45 années de leadership. La Tora est pour tous.

Plus en profondeur, ce niveau de l’Enfant de 5 ans, le pchat, voire le pchat du pchat, rejoint le Sod, et même le sod du sod, comme le corps et l’âme. Bien plus, la simplicité propre à l’Enfant de 5 ans est l’expression de l’essence de l’âme juive, une et indivisible, la yéhida, le 5ème niveau de l’âme. Les révélations les plus hautes se réalisent aux endroits les plus bas. A travers Rachi, le Rabbi opère un travail d’unification entre le Ciel et la Terre. Il œuvre ainsi à l’accomplissement de la venue de notre juste Machia’h.
Le Rabbi sur Rachi, c’est 25 années d’explications édifiantes, des centaines d’interventions éblouissantes, des milliers d’explications prodigieuses.

Plus que jamais, à nous de les incarner, les diffuser. Plus que jamais, à nous de tisser la suite.

C’est, je crois, la volonté profonde du Rabbi, j’en ai la conviction intime.

Daniel TOLEDANO

*Traduction extraite du livre « Cinq ans – Savoir étudier le commentaire de Rachi sur la Tora », publié aux éditions Kehot.

 

 

 

La Mitsva du Rambam en vidéo par et pour les enfants !  par Chalom et Shmouel

La Mitsva du Rambam en vidéo par et pour les enfants !  par Chalom et Shmouel

En ces journées de Roch Hodech H’echvan, nous sommes heureux de vous présenter le tout dernier projet réalisé en partenariat avec le Gan de Beth Rivkah !

La Mitsva du Rambam en vidéo par et pour les enfants !
Par… Chalom et Shmouel !! »

Pour vous inscrire rien de plus simple, envoyez mitzva au 06 29 82 07 22

La mitsva d’aujourd’hui est dédiée à la refoua chlema de Boris Yossef ben bathsheva