EN IMAGES. 60 élèves du séminaire Beth Rivkah font un voyage inoubliable à Marbella, dans le sud de l’Espagne

EN IMAGES. 60 élèves du séminaire Beth Rivkah font un voyage inoubliable à Marbella, dans le sud de l’Espagne

Marbella on n’y croyait vraiment pas ! ! C’était l’hymne que nous chantions depuis plusieurs semaines. Chose promise…

Le lendemain de Chavouot le séminaire de Beth Rivkah a une fois de plus franchi les frontières pour aller en Andalousie au sud de l’Espagne.
Une semaine de détente, de visite et surtout de découverte d’une histoire juive fabuleuse.

Nous étions 60, hébergées dans un Lodge de rêve avec au centre une grande piscine. Chaque jour un car nous emmenait visiter des lieux chargés d’histoire et d’une beauté infinie !

Un Chabbat que nous ne sommes pas prêts d’oublier au Beth Habad de Marbella entouré des Chlouhim, Rav Mendy Attal et son épouse Hani.

Le retour au séminaire était un peu difficile mais les yeux brillants de tout ce que nous avons vu nous reprenons maintenant nos chères études.

MUCHAS GRACIAS BETH RIVKAH !!!!

 

 

 

Tollé en Israël : le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, dit qu’Israël pourrait devenir un Etat-apartheid

Tollé en Israël : le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, dit qu’Israël pourrait devenir un Etat-apartheid

Suite aux déclarations du ministre français des Affaires étrangères selon lesquelles Israël pourrait devenir un État d’apartheid, le Premier ministre Binyamin Netanyahou et le ministre israélien des Affaires étrangère ont vivement réagi aux propos pour le moins inconvenants tenus par le ministre français.

« Je souhaite exprimer une vive protestation contre le gouvernement français et en particulier le ministre des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, suite à ses propos tenus lors d’une interview télévisée.

« Le ministre Jean-Yves Le Drian a dit qu’Israël pourrait devenir un Etat-apartheid. Il s’agit d’une affirmation insolente, fallacieuse et qui est totalement infondée. En Israël, tous les citoyens sont égaux face à la loi sans égard à leur origine. L’Etat d’Israël est un phare de démocratie et de respect des droits de l’homme dans toute la région. C’est même la seule démocratie de la région. Cela a toujours été et cela le restera. Nous n’accepterons pas de leçons de morale hypocrites et mensongères sur cette question ».

le ministre israélien des Affaires étrangères Gabi Ashkenazi (Kakhol lavan) a convoqué l’ambassadeur de France en Israël pour une réunion.

Lors de la réunion, Ashkenazi a déclaré à l’ambassadeur français Eric Danon que «les propos du ministre des Affaires étrangères sont inacceptables, infondés et loin de la réalité».

« Israël attend de ses amis qu’ils ne s’expriment pas de manière irresponsable, ce qui donne lieu à des éléments extrémistes et à des activités anti-israéliennes. »

Dimanche , le ministre français des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian s’est entretenu à la radio RTL et au Figaro, disant que les affrontements entre juifs et arabes qui ont éclaté dans plusieurs villes israéliennes « montrent clairement » que « si à l’avenir nous avions une solution autre que la solution à deux États, nous aurions les ingrédients d’un apartheid durable. »

Il a également déclaré que « le risque d’apartheid est élevé » si Israël continuait à agir « selon une logique à un seul État », mais a ajouté que « même le statu quo produit cela ».

Actu J : La disparition du Rav Pin’has Pachter

Actu J : La disparition du Rav Pin’has Pachter

Il a œuvré pour le renouveau du judaïsme français. Le Rav Pin’has Pachter est décédé le 12 mai dernier, à l’âge de 83 ans.

C’est en présence d’une foule nombreuse, à Paris comme à Jérusalem, que Rav Pin’has Pachter a été escorté vers sa dernière demeure sur le mont des Oliviers. Malgré les restrictions sanitaires et les tensions déjà palpables à Jérusalem, les innombrables personnes qui doivent à Rav Pachter leur attachement au judaïsme avaient tenu à honorer sa mémoire et se souvenaient avec émotion de l’influence déterminante qu’il avait eue sur leurs vies.

Son grand-père, Reb Chabssé, ‘Hassid d’Alexander, portant fièrement le Shtreimel le Chabbat, était arrivé de Pologne au début du 20e siècle et avait transmis à ses enfants et ses petits-enfants un judaïsme traditionnel sans compromis.

Né à Paris en 1938, Pin’has avait gardé de son enfance dans la capitale occupée le sens du dévouement pour les autres Juifs (le petit appartement de ses parents abritait souvent des réfugiés de passage) et la détermination nécessaire pour survivre dans les conditions angoissantes du moment. Nombre de membres de sa famille furent déportés et assassinés, une blessure morale qui le hanta toute sa vie.

Fréquentant la petite synagogue fondée par son grand-père, rue Duc, dans le 18e arrondissement, se posant des questions existentielles comme tout adolescent à cette époque, Pin’has eut la chance d’être mis en contact avec un réfugié russe, M. Léïb Lévine, inoubliable hazzan de la synagogue St Isaure. Celui-ci sut patiemment initier à la ‘Hassidout Loubavitch de nombreux jeunes gens dont il s’occupait comme un père, favorisant d’ailleurs leurs mariages.

Doué d’un charisme intellectuel et d’une force oratoire puissante, Rav Pin’has Pachter devint, à son tour, en 1966, un Chlia’h (envoyé) du Rabbi et transmit le message du judaïsme. Inlassablement, avec l’aide de son épouse, il a pratiqué une hospitalité à toute épreuve (la porte était toujours ouverte, se souvient ‘Hanna, une de ses filles …) et ceux qui ont goûté au chabbat chez lui attestent que ce fut souvent le déclic pour leur retour complet à la tradition juive.

Attaché au Rabbi de Loubavitch de toutes les fibres de son âme, Rav Pachter donnait des cours de ‘Hassidout, suivait attentivement les progrès de ses disciples – même ceux qui choisissaient une autre voie. Il initiait aussi les non-Juifs à la pratique des sept lois des enfants de Noé : à ses funérailles, Marwan, un musulman, attesta, en larmes, qu’impressionné par son dévouement, il l’avait bénévolement conduit toute cette année dans les hôpitaux afin d’apporter aux malades du corona des repas casher.

Jusqu’à son dernier souffle, il édita un feuillet hebdomadaire « Le Courrier de la Gueoula », distribué dans tout Paris. Que son souvenir soit une bénédiction.

Feiga Lubecki

Etats-Unis : Début de la construction du centre communautaire ‘Habad à Monroe après 15 ans de planification

Etats-Unis : Début de la construction du centre communautaire ‘Habad à Monroe après 15 ans de planification

VILLAGE DE MONROE – Les invités à la cérémonie d’inauguration sur la rue Gilbert ont siroté des mimosas et récupéré des friandises dans le camion de glace casher pour combattre la chaleur, heureusement libérés des masques pour la première fois en un an.

Le rassemblement de dimanche était à la fois un adieu doux à la pandémie et une étape importante attendue depuis longtemps. Après 15 ans de planification, le Rav Pessa’h Burston et son épouse, ‘Hanna, célébraient enfin la construction d’un centre Habad pour les activités, les services et les cours juifs qu’ils ont tenus dans des lieux temporaires à proximité depuis 2004.

Les fondations avaient déjà été coulées pour le bâtiment de 1000 m2 que le couple espère terminer au printemps prochain. Une fois terminée, la structure à un étage abritera une synagogue qui se double d’une salle sociale, ainsi que des salles de classe, des bureaux et une cuisine professionnelle pour préparer la nourriture qui alimente les activités Habad.

Le bâtiment est environ la moitié de la taille initialement envisagée. Le Rav Burston a déclaré mardi que la longue période passée à collecter des fonds et à élaborer des plans s’est avérée une opportunité, lui donnant ainsi qu’à sa femme plus de temps pour construire leur communauté et reconnaître ce dont elle avait besoin et pouvait se permettre.

«Nous avons déjà construit une communauté, et maintenant nous aurons un magnifique édifice pour la développer», a-t-il déclaré.