Condoléances de Serge Berdugo, du Conseil des Communautés israélites du Maroc, à la famille du Rav Chalom Edelman Zal

Condoléances de Serge Berdugo, du Conseil des Communautés israélites du Maroc, à la famille du Rav Chalom Edelman Zal

 

 

Serge Berdugo est un avocat et homme politique marocain né à Meknès en 1938. Il a été ministre du Tourisme dans les gouvernements Lamrani VI et Filali I de novembre 1993 à janvier 1995. Appartenant à la communauté juive du Maroc, Serge Berdugo est également le secrétaire général du Conseil de la communauté israélite du Maroc et le président du Conseil de la communauté israélite de Casablanca, où vivent environ 2 000 juifs (la communauté la plus importante du pays).


Les restrictions sur les quartiers orthodoxes de Jérusalem au taux élevé d’infections entrent en vigueur

Les restrictions sur les quartiers orthodoxes de Jérusalem au taux élevé d’infections entrent en vigueur

Des restrictions de voyage seront imposées sur quatre quartiers de Jérusalem après qu’un comité ministériel ait approuvé cette décision lors d’un appel en fin de soirée. La restriction sera en vigueur du dimanche matin au mercredi à 7h. Ces quartiers, principalement ultra-orthodoxes, ont montré un taux élevé d’infections au Covid-19.

Ynetnews

Les ministres ont approuvé des restrictions sur:
1. Neven Yaacov
2. Ramat Shlomo et Romema
3. Har Nof
4. Mea Shearim, Makor Baruch, Bocharim et les communautés voisines.

Les zones industrielles, les quartiers palestiniens et les zones non orthodoxes dans les quartiers ne sont pas inclus dans la restriction.

Les résidents devront rester à l’intérieur de leur quartier et seront autorisés à sortir pour des travaux essentiels, des raisons médicales, les funérailles d’un membre de la famille proche ou le transport de mineurs d’un parent à l’autre.

Le Ministère de la défense et l’armée seront chargés de subvenir aux besoins des résidents confinés à leur domicile et à proximité.

Cette décision, intervenue après trois jours de délibérations, a été contestée par le maire de Jérusalem Moshe Leon et par le ministre de l’Intérieur, Aryeh Deri, qui est lui-même un résident de l’une des zones actuellement soumises à restrictions.

La ville de Jérusalem était divisée en sept zones et 15 quartiers distincts avec une population majoritairement religieuse ont été identifiés comme présentant un taux d’infection plus élevé que le reste du pays.

Les responsables du ministère de la Santé voulaient que les 15 quartiers soient soumis à des restrictions, mais la décision finale a été modifiée après que le maire Moshe Leon et Deri ont affirmé que le ministère choisissait les résidents ultra-orthodoxes sans motif valable.

Barou’h Dayam Haemet :  Rav Chalom a’h Edelman, Chalia’h au Maroc, a quitté ce monde le second jour de Pessa’h 5780

Barou’h Dayam Haemet : Rav Chalom a’h Edelman, Chalia’h au Maroc, a quitté ce monde le second jour de Pessa’h 5780

Le Rav Chalom Eidelman, 83 ans, Chalia’h dévoué de longue date du Rabbi à Casablanca, au Maroc, est décédé le 16 Nissan, 5780 après avoir été infecté par le coronavirus.

Le Rav Eidelman est né en 5696 – 1936 de ses parents, le Rav Aryeh Dov et Slava Eidelman . À l’âge de 9 ans, il s’est enfui avec sa famille de la Russie communiste à Paris en passant par la Pologne.

En tant que Ba’hour, il a appris à la Yechiva Tomhei Temimim de Brunoy, et bien qu’il ait demandé la permission au Rabbi de venir apprendre en 770, le Rabbi lui a écrit que son travail consistait à rester à Brunoy et à avoir une influence sur l’apprentissage des élèves sefaradim qui étudiaient  à Brunoy.

En 5716, le Rav Eidelman était l’un des Chlou’him que le Rabbi envoyé à Kfar ‘Habad pour réconforter la communauté après l’attentat dans la Yeshiva par un palestinien. Le Rav Edelman était le seul choisi de la Yechiva de Brunoy, le reste des étant envoyé du 770.

En 5719, avant son mariage, le Rabbi a nommé le Rav Eidelman comme le Chalia’h au Maroc. Il est parti pour le Maroc quelques jours après son mariage avec sa femme Gittel (née Gurkov), à Zot Hanoucca.

Depuis lors, il était un jeune Chalia’h dévoué du Rabbi à Casablanca, au Maroc, aux côtés du Rav Shlomo Matusof a’h et du Rav Leibel Raskin a’h. Sa grande influence se fit sentir dans tout le Maroc.

Il a ouvert un Kollel où le Rav Edelman a formé des centaines des Rabanim et Dayanim, en poste de part le monde et surtout en Israël, dont Rav Chlomo Amar, ancien Richone Letsion et actuel grand rabbin de Jérusalem, très apprécié du public français et francophone et le Rav Dayan de Montréal, Rav David Raphael Banon.

Ses enfants sont Chlou’him dans des communautés du monde entier. Avec son beau frère le Rav Hillel Pevzner, sous la direction du Rabbi, ils cherchaient des livres et manuscrits de Torah, plus précisément de ‘hassidout. Chaque fois qu’ils en avaient l’occasion, ils les envoyaient au Rabbi et dans certains cas, ils envoyaient des photocopies de ce qu’ils avaient trouvé.

Dernièrement, le Rav Eidelman est tombé malade du coronavirus, et, 15 Nissan, il est décédé.

Il laisse dans le deuil son épouse Gittel et ses enfants
le Rav Shneur Zalman Eidelman – Vienne, Autriche,
le Rav Yoel Eidelman – Brunoy, France,
le Rav Menachem Mendel Eidelman – Crown Heights,
le Rav Eliezer Eidelman – Manchester, Angleterre,
le Rav Shmuel Eidelman – Crown Heights,
Mme Toiba Rivka Belinow – Paris, France
et Mme Chana Gurevitch – Chicago,
et de nombreux petits-enfants et arrière-petits-enfants, dont beaucoup sont des Shluchim à travers le monde.

Il laisse également dans le deuil sa sœur, Assya Pevsner , France. (La famille a demandé à ne pas l’informer du décès).

Il a été précédé par son fils, le Rav Yossef Its’hak Eidelman d’Israël et par son frère, le Rav Yoel Edelman de Paris, France.

La Levaya de Rav Edelman a été réalisée par le Rav Lévy Banon accompagné de Mr Bentolila. L’enterrement du Rav Edelman c’est fait dans les règles et avec toutes les prières.

 


Dimanche 13 Janvier 2019 au Centre Communautaire Juif de Casablanca (CCJC) un vibrant hommage a été rendu à Rav Chalom a’h Edelman et son épouse, émissaires du Rabbi, pour saluer et honorer ses 60 ans de présence au Maroc.

 

Barouh Dayan Haemet : Rav Chmouel a’h ‘Hefer, directeur de l’école Beth Rivka de Kfar Habad, a quitté ce monde Chabbat 17 Nissan 5780

Barouh Dayan Haemet : Rav Chmouel a’h ‘Hefer, directeur de l’école Beth Rivka de Kfar Habad, a quitté ce monde Chabbat 17 Nissan 5780

עם צאת השבת מגיעה הבשורה המרה על פטירתו של ותיק עסקני חב »ד בארץ הקודש, הרה »ח ר’ שמואל הלוי חפר.

הרב חפר נולד בשנת תר »צ. בשנות היו »דים התקרב לחב »ד וגויס מיד על ידי הרבי ליטול חלק בראש הפעילות החב »דית בארץ הקודש.

בשנת תש »כ הטיל עליו הרבי את ניהול וביסוס מוסדות ‘בית רבקה’ ובשנת תשכ »ג הורה לו להקים את כפר חב »ד ב’.

בשנות הכ »פים העמיד אותו הרבי לצד הרב אפרים וולף והרב שלמה מיידנציק לעמוד בראש העסקנות החב »דית בארץ הקודש ובשנת תשל »ד הקים הרבי את ‘ארגון הגג’ שתפקידו היה לעמוד בראש כל מוסדות חב »ד בארץ ובראשו הפקיד הרבי את הרבנים וולף, מיינדציק, חפר והרב לייבל קפלן.

בשנות המ »מים הטיל הרבי על הרב חפר לבנות לו ‘ממלכת נשים בארץ הקודש’ מעבר ל’בית רבקה’ שבכפר חב »ד.

הרב חפר כיהן אף כיו »ר ה’ועד למען שלמות העם’ וניהל בעוז את המאבק לתיקון חוק ‘מיהו יהודי’ מתוך מסירות רבה.

לאורך השנים זכה להיקרא עשרות פעמים אל הקודש פנימה ל’יחידויות’ ממושכות, ואף לקבל מהרבי הוראות בשיחות טלפוניות ארוכות.

היה סמל ודוגמה לעסקן חסידי עם ‘גאון יעקב’ שנחוש למילוי רצון הרבי בכל דרך ומחיר, שבנה מוסדות מפוארים ונטל חלק בראש בבניין חב »ד בארץ הקודש.

הותיר אחריו את רעייתו תבלחט »א ואת ילדיו – הרב משה מכפר חב »ד, הרב מנחם מענדל מכפר חב »ד ושתי בנות.

יהי זכרו ברוך.

Chabbat ‘Hol Hamoed Pessa’h « Quel est votre titre ? – Juif ! » Par le Rav Yaacov Abergel

Chabbat ‘Hol Hamoed Pessa’h « Quel est votre titre ? – Juif ! » Par le Rav Yaacov Abergel

 

(Pour l’élévation de l’âme du Rav Leibel ben Morde’haï Avraham Yeshaya Groner)

Au chef du conseil municipal de la ville de Tchébialinsk et membre influent du K.G.B qui lui demandait :
– Quel est votre titre ? Rabbi Yossef Itz’hak répondit :
– Juif !
Le chef, étonné par la réponse du Rabbi, s’exclama :
– Tous ceux qui descendent d’Israël sont juifs. Est-ce là un titre ?
– Absolument. Tous ceux qui descendent d’Israël sont juifs. Et c’est cela qui est leur véritable titre, car il ne s’interrompt pas, il ne se change pas. Tous les autres titres sont perdus par leurs détenteurs s’ils commettent des fautes. Alors que celui de Juif n’est même pas perdu par celui qui agit mal, ainsi qu’il est dit : ‘Un Israël qui a commis une faute reste un Israël ‘, car l’étincelle juive qui réside dans le cœur est éternelle !’

Cette déclaration du Rabbi précédent s’accorde à l’un des enseignements du Rabbi extrait du Dvar Mal’hout sur la Paracha Chemini dont nous commencerons la lecture avec l’aide d’Hachem pendant la prière de Min’ha de ce Chabbat.

Pendant sept jours Moché monta et démonta le Michkan, et seulement le huitième jour il ne le démonta pas. Ce huitième jour, la présence divine se dévoila dans le Michkan (le Temple portatif dans lequel l’Éternel se dévoilait à Moché durant le séjour des enfants d’Israël dans le désert).

Le Rabbi nous enseigne la signification du chiffre sept et du chiffre huit. Le chiffre sept représente la perfection de ce monde, car le monde fut créé en 6 jours et le septième jour, qui est le jour du Chabbat, apporta le repos en ce monde. Ainsi, le chiffre sept symbolise la lumière divine qui s’habille dans la Création, dans ce monde matériel, et qui de ce fait est une lumière limitée.

Le chiffre huit symbolise la lumière divine qui est au-delà du monde, et le huitième jour fut celui de la révélation de la Présence divine. Le point souligné par le Rabbi est que la lumière du huitième jour ne fut pas séparée du monde, car au contraire le monde devint un réceptacle du dévoilement divin. Ce monde limité devint le réceptacle d’une lumière illimitée. La Présence divine unifia deux contraires, l’illimité et le limité.

Aussi, du fait que le Michkan est construit par les mains de l’homme, il apparaît que c’est par son œuvre que l’homme attire le dévoilement de la Présence divine à l’intérieur du Michkan, et que cette lumière peut ensuite se dévoiler dans l’univers entier.

Cet enseignement du Rabbi s’applique au sujet de l’âme. Simplement par le fait que la mission de chaque juif consiste à faire de soi-même un Michkan (un réceptacle) capable de recevoir le dévoilement de l’Essence divine. En ce sens, les sept jours des Milouim, qui précédent et constituent la préparation au dévoilement du huitième jour, correspondent au travail nécessaire pour ce dévoilement, lequel correspond au dévoilement de l’essence de l’âme Juive.

Le chiffre sept correspond donc à la partie de l’âme qui s’habille dans le corps (comme la lumière divine qui s’habille dans le monde) et le chiffre huit à la partie de l’âme qui ne s’habille pas dans le corps (comme la lumière infinie qui ne s’habille pas dans le monde).

La ‘Hassidout aborde longuement le sujet du dévoilement de l’Essence divine (symbolisée par le chiffre huit). Or, la réponse du Rabbi Rayats au membre du K.G.B, exprime avec clarté ce dévoilement. Le Rabbi répond en effet que le véritable titre d’un enfant d’Israël est celui de ‘Juif’ et que ce titre ‘ne se change pas’.

De fait, l’Essence divine a pour qualité de ne pas changer, ainsi que déclare l’Eternel : ‘Je n’ai pas changé’.

L’Admour Hazaken explique dans le Likouteï Torah que l’expression ‘de toute ton âme’ (prière du Chéma) désigne la force de ‘messirout néfech’, la capacité de chaque juif de faire don de sa propre vie pour sanctifier le Nom de D.ieu. Or, cette force ne découle absolument pas de l’intellect. C’est pourquoi nous employons l’expression ‘au-delà de l’intellect’, car cette force découle de l’essence de l’âme, laquelle est bien au-delà de l’intellect, puisque l’essence de l’âme fusionne avec la lumière d’Ein Sof.

Cependant l’Admour Hazaken explique que ‘de toute ton âme’ a également un autre sens. Il enseigne que l’intellect est un réceptacle de l’essence de l’âme. Comme pour les mondes supérieurs, la séfira de ‘Ho’hmah ilaa du monde d’Atsilouth est un réceptacle de la lumière d’Ein Sof.

En effet, la Torah est la Sagesse de D.ieu du monde d’Atsilouth dans lequel s’habille la lumière divine infinie. L’attribut de ‘Ho’hmah du monde d’Atsilouth illumine l’attribut de ‘Ho’hmah des mondes de Bria, Yetsira et Assyia, et s’habille dans les Halakhot de la Torah. De ce fait, quand un Juif étudie une Halakha, alors sa ‘Ho’hmah s’unit à la ‘Ho’hmah divine contenue dans cette Halakha.

Aussi, ‘de toute ton âme’ ne désigne pas seulement la force de ‘messirout néfech’ mais symbolise également l’union des pensées des paroles et des actes de l’homme à la pensée la parole et l’action divines. Par le fait d’unir son intellect à la Sagesse de la Torah, un juif unit l’essence de son âme à l’Essence divine.

Cet enseignement de l’Admour Hazaken s’accorde avec l’enseignement du Rabbi. L’intellect est une force limitée, à l’image du chiffre qui représente ce monde limité comme il a été expliqué précédemment. Or, c’est précisément par l’étude de la Halakha que l’intellect devient un réceptacle de l’essence de l’âme, laquelle est comparable au chiffre huit qui représente la lumière divine infinie, dévoilée dans le Michkan.

De la même façon, nous devons agir dans ce monde limité dans le but d’attirer la lumière de la Délivrance finale et la venue du Machia’h qui dépassent toutes les limites de ce monde. Il convient pour cela de s’attacher à l’exemple du Rabbi précédent, tout simplement, en agissant comme un ‘Juif’.

Equateur : Le Beth Habad au secours des touristes Israéliens bloqués

Equateur : Le Beth Habad au secours des touristes Israéliens bloqués

Ils n’ont pas pu rentrer, ou ont préféré ne pas se rendre dans les aéroports. En Argentine, au Pérou ou en Equateur, chaque histoire d’Israélien bloqué pour le Seder de Pessa’h est spéciale.

 

Il y a encore des centaines d’Israéliens dans différentes endroits d’Amérique du Sud qui n’ont pas pu rentrer chez eux et pour eux l’accumulation de sensations est diverse. Stressé ou plein d’espoir, tout le monde pouvait cependant prendre le temps de célébrer le Seder de Pessa’h et se souvenir de la libération du Peuple juif d’Egypte.

L’ambassade d’Israël à Buenos Aires est en contact permanent avec des dizaines d’Israéliens pour organiser un vol de retour. La communication est permanente et l’objectif est contre la montre: avant le week-end, ils devaient rassembler 60 israéliens pour les affréter dans un avion d’El Al qui les ramènerait à l’aéroport de Tel Aviv.

La veille des Fêtes les a mis dans un dilemme: soit payer le prix plus élevé pour garantir le retour ou annuler le vol et rester en Argentine jusqu’à ce qu’une autre alternative se présente. Mais ce plan a été annulé et tout le groupe d’Israéliens devait se désigner a passer le Seder loin de leur pays.

En Équateur, une poignée d’Israéliens sont resté à Cuenca, convaincus que la meilleure option est de rester isolé dans leur hôtel. Ils considèrent que voyager à travers les aéroports et entreprendre des vols internationaux en ce moment est dangereux pendant cette période de pandémie. De plus, heureusement pour eux, ils ont trouvé des gens autour d’eux des gens qui les ont aidé.

Le premier à collaborer avec eux a été Andrés Ochoa, le propriétaire de l’hôtel, qui leur a permis de rester à un prix très abordable. Quelques jours plus tard, grâce au Rav Mendy Fried, directeur du Beth Habad de Guayaquil  et un groupe de familles juives vivant à Cuenca se sont joint a eux, et ont reçu des Matsot, du vin et des salades pour le Seder de Pessa’h, peut-être pas avec la famille mais avec la communauté.
« Nous n’avons aucun mot pour remercier pour ce qu’ils nous ont donné et le traitement que nous avons reçu », a déclaré Tali, et d’autres israéliens qui ont subi le même sort.

Au Pérou Ohad, un Israélien a pris la décision de rester en Amérique du Sud : « D’après ce que je comprends, il n’y a presque plus d’Israéliens dans le pays », dit-il, des semaines après que la compagnie aérienne israélienne El Al ait décidé de faire une série de vols spéciaux pour rapatrier près de 600 touristes israéliens au Pérou. Notre avion pour Israël a été annulé, mais j’ai un endroit confortable pour passer le confinement jusqu’à la réouverture des routes aériennes », a-t-il déclaré depuis Cusco.

Le couvre-feu de Pessa’h en Israel : Des routes vides, des rues désertes

Le couvre-feu de Pessa’h en Israel : Des routes vides, des rues désertes

Les Israéliens ont largement obéi aux réglementations d’urgence imposées les premiers jours du festival dans le cadre des efforts visant à freiner la propagation du coronavirus; des restrictions strictes resteront en place jusqu’au vendredi matin, les transports en commun ne reprendront que le dimanche

Ynetnews

Les routes étaient pour la plupart vides de voitures, alors que très peu de gens pouvaient être vus dans les rues. Ceux qui s’aventuraient promenaient leurs chiens ou prenaient de l’air dans la plage  a moins de 100 mètres de leurs domiciles autorisée par la réglementation.

Parallèlement, la police a poursuivi jeudi de vastes opérations d’application de la loi dans tout le pays.

À Tel Aviv, la police a trouvé un homme violant l’isolement de son domicile pour se promener sur la promenade du bord de mer. Il a été condamné à une amende et renvoyé à son domicile. Se déplacer entre les villes est toujours interdit et les transports en commun ne reprendront que dimanche matin.

Le ministère de la Santé a déclaré jeudi matin que le nombre de morts du coronavirus en Israël était passé à 86 jeudi soir. Le nombre de cas confirmés a augmenté de 351, ce qui porte à 9 755 le nombre de personnes infectées par le virus. De ce nombre, 165 personnes sont dans un état grave et 119 personnes sont sous ventilation.

 

Des routes vides à Tel Aviv à l'ombre de la Corona (Photo: AP)

Des rues vides à Tel Aviv (Photo: AP)

Des routes vides à Eilat à l'ombre de la Corona (Photo: Meir Ohayon)

Route vide à Eilat (Photo: Meir Ohayon)

Des routes vides à Beer Sheva à l'ombre de la Corona

Beer Sheva (Photo: Herzl Yosef)

Des rues vides de Tel Aviv à l'ombre de la Corona (Photo: Shaul Golan)

La police dans une rue vide à Tel Aviv (Photo: Shaul Golan)

Des rues vides de Tel Aviv à l'ombre de la Corona (Photo: Shaul Golan)

Promenade de Tel Aviv (Photo: Shaul Golan)

Chemins vides d'Ayalon (Photo: Yigal Eliyahu)

Chemins vides d’Ayalon (Photo: Yigal Eliyahu)

Des rues vides de Tel Aviv à l'ombre de la Corona (Photo: Shaul Golan)

rues vides de Tel – Aviv (Photo: Shaul Golan)

 Fermetures de routes à Netivot (Photo: Roy Idan)

Barrière à Netivot (Photo: Roy Idan)