Rubrique réalisée par Réouven Bennaïm
Beth Habad des enfants de Perpignan – « Tsivot Moshiah »

Léilouy Nishmat Rav MORDE’HAÏ (Mottel) a’h PEVZNER
Chalia’h du Rabbi à Perpignan pendant 17 ans

РУССКИЙ 🇷🇺

Вы можете начать менять наш мир к лучшему уже сегодня, и, неважно, насколько малы ваши действия. Бейт Хабад Детей Перпиньяна

О свободе и проколотом ухе Р-н Александр Фейгин

Много всякого говорят о религиозных людях. Самая, пожалуй, распространенная сказка о них такова: слабые люди нуждаются в утешении, надежде, а особенно в том, чтобы за них решали. Люди с рабской психологией сбиваются в робкие стада – это и есть религиозные общины. Надо заметить, выдумка эта родилась не на еврейской улице, не в современном Израиле. Идея старая, психологически объяснимая: всякому атеисту хочется объяснить свой выбор не духовной поверхностностью, а свободолюбием.

Тора – не только Закон Жизни (Торат Хаим), но и закон свободы. Начало Израиля как народа лежит там, где кончается рабство. Тора говорит: «А если скажет раб: «Я люблю своего хозяина, свою жену и своих детей – не выйду на свободу!» – то его хозяин приведет его к судьям, и подведут его к двери или к мезузе, и проколет хозяин ему ухо и станет его рабом навсегда».

Нет в еврейском языке ругательства более крепкого (хотя и вполне цензурного), чем эвед нирца – раб с проколотым ухом. Раб, пренебрегший свободой, любящий хозяина, любящий сытое рабство, – нет человека ниже, презреннее.

Раби Шимон сын Раби (раби Йегуды Анаси) удивляется: почему еврейского раба, отказывающегося выйти из рабства, подводят именно к дверям и мезузе? И отвечает – дверь и мезуза были свидетелями чуда в Египте, когда в заслугу того, что евреи смазали косяки дверей кровью пасхальной жертвы, не боясь египтян, Всевышний миновал (пасах на иврите) их двери и вывел евреев из рабства на свободу, сказав: «Мне сыновья Израиля рабы, а не рабы рабов».

Раби Йоханан бен Закай, спрашивает, в чем провинилось именно ухо. Еврей, слышавший на горе Синай: «Мне сыновья Израиля рабы», (а не рабы рабов) и «Пусть не будет у тебя других богов», – и при этом все-таки предпочетший ярмо другого человека прямой власти Всевышнего заслуживает, чтобы прокололи его ухо!

Может быть, именно в этом и заключается судьбоносная ошибка тех, кто выбирает неверие из искреннего свободолюбия (это отнюдь не большинство атеистов): человек стоит не перед воображаемым выбором: быть свободным или рабом. Он может выбрать только между признанием над собой власти Всевышнего или власти людей.

Р-н Александр Фейгин

« Vous pouvez commencer à changer notre monde, chaque jour, pour le MEILLEUR, même avec une petite action ! »

   Soutenez le « BETH HABAD DES ENFANTS » de Perpignan
« PARCEQU’ILS LE VALENT BIEN !  » 

cliquez ici   

 


HAYOM YOM DU 22 CHEVAT


Le Hayom Yom d’aujourd’hui explique la différence entre les règles que les humains créent pour rendre les choses plus organisées et les règles de la Torah.

Les règles humaines sont basées sur des événements passés pour EN améliorer l’organisation, tandis que les règles de la Torah viennent directement de Hachem pour donner la vie de la façon dont elle devrait être.

Par exemple, allumer les bougies de Chabbat n’est pas une règle créée en raison d’un événement passé, mais une Mitsva qui a pour but d’apporter de la kédoucha dans le monde. La Torah est universelle et immuable car elle n’est pas basée sur le fonctionnement du monde, mais c’est la Torah qui guide le monde à être ce qu’il doit être selon la volonté d’Hachem.


HOUMACH


La Paracha Michpatim se poursuit dans le Houmach, continuant ainsi d’enseigner aux juifs les Mitsvot qu’Hachem a ordonné à Moché Rabbénou de transmettre. L’objectif est de les guider vers un comportement en adéquation avec la volonté d’Hachem.

Dans la Paracha de ce jour, plusieurs Mitsvot sont présentées. Tout d’abord, les sanctions encourues pour avoir causé du tort à une personne ou à son esclave sont énoncées.

Ensuite, le traitement à adopter en cas de décès causé par un animal est abordé. Ce traitement varie en fonction de la dangerosité de l’animal, qui peut être un tam, c’est-à-dire non habituellement dangereux, ou un mu’ad, qui a déjà tué. Le texte traite également de la responsabilité d’un individu ayant creusé un trou non couvert dans le sol, qui est responsable en cas de chute d’un animal.

Enfin, la Paracha présente la punition prévue pour un voleur.


TEHILIM


Dans le chapitre 107, nous apprenons qu’il y a quatre moments où une personne en danger doit remercier Hachem pour le miracle qu’il a accompli.

Le Rabbi explique que ces quatre types de dangers sont comparables aux quatre sortes de « dangers » qui rendent difficile pour un juif d’agir comme il devrait :

1 – Une personne malade qui guérit – car un juif a besoin d’une tête et d’un cœur en bonne santé pour servir Hachem. S’il est malade, ‘Hass Vechalom, il ne peut pas servir Hachem correctement.

2 – Une personne qui sort de prison – il y a une certaine sorte de « prison » spirituelle que le Yetser Hara peut faire subir à une personne, ne laissant pas la Néchama faire ce qu’elle veut.

3 – Voyager par la mer – il y a des années, les gens voyageaient principalement parce qu’ils avaient besoin de parnassa. Tous les sentiments qu’une personne éprouve à propos de la parnassa – l’inquiétude ou la peur – peuvent empêcher un juif de servir Hachem.

4 – Voyager dans le désert – cela représente le travail que doit accomplir un juif pour faire une Dira Beta’htonim. Un désert est un endroit où personne ne vit. Le monde peut sembler être un désert, car nous ne pouvons pas voir Hachem dans le monde. Notre travail est de nous assurer que nous POUVONS voir Hachem, mais cela peut être un travail difficile !

Tout cela fait partie de notre Chli’hout, et lorsque nous faisons de notre mieux, Hachem nous aide et nous voyons des miracles dans l’accomplissement de notre Chli’hout correctement !


TANYA CHAPITRE 26


Dans le Tanya d’aujourd’hui, nous apprenons comment un juif peut servir Hachem besim’ha, même s’il sait qu’il a commis une faute pour laquelle il doit faire Téchouva.

Pour vaincre son Yetser Hara, un juif ne peut pas être paresseux. C’est seulement lorsqu’une personne est heureuse qu’elle peut vaincre son Yetser Hara !

Cependant, certaines choses peuvent faire ressentir à une personne de l’inquiétude ou de la tristesse. L’une d’entre elles est si une personne a fait quelque chose qu’elle n’était pas censée faire – cela pourrait la rendre très contrariée et très très malheureuse. Si elle est contrariée, elle n’aura pas beaucoup d’énergie pour combattre son Yetser Hara !

L’Alter Rabbi nous enseigne donc une façon de ne pas être triste :

Une personne devrait se dire : « Hachem m’a envoyé ici dans ce monde pour faire une Chli’hout ! Quelle est ma Chli’hout ? Agir comme un juif devrait le faire. Et cette Chli’hout a lieu CHAQUE INSTANT de ma vie ! Penser à ce que j’ai fait de mal ne me permettra pas de faire la Chli’hout que je suis censé faire maintenant ! Donc, je ne dois pas y penser maintenant. »

Mais que dire de la Téchouva ? Une personne doit penser à ses Aveirot pour pouvoir faire Téchouva !

Pour cela, il y a un moment spécial pour y penser et faire Téchouva, dont l’Alter Rabbi parlera plus tard dans le Tanya. Mais à tout autre moment, penser aux Aveirot, c’est écouter le Yetser Hara, qui essaie de vous dissuader de faire la Chli’hout que vous êtes censé faire à ce moment là ! Il veut que vous soyez de mauvaise humeur pour que vous empêcher de faire ce que vous êtes censé faire.


SEFER HAMITSVOT


La Mitsva d’aujourd’hui (Mitsvat Lo Taassei #252) est de ne pas parler d’une manière qui blesserait les sentiments d’un converti.

Nous apprenons cette Mitsva d’un verset de la Paracha Mishpatim : וְגֵר לֹא תוֹנֶה.

Tout comme nous avons appris dans le Sefer Hamitsvot d’hier qu’il y a une Mitsva spéciale de ne pas tromper un converti, même si bien sûr, nous n’avons pas le droit de tromper QUI QUE CE SOIT, nous avons également une Mitsva spéciale de ne pas dire de paroles balisantes à un converti, même si nous avons également une Mitsva de ne pas dire de choses désagréables à quiconque!

Nous ne devrions pas dire des choses comme: « Hier, tu as servi l’Avodah Zarah, et aujourd’hui, tu étudies la Torah et fais des Mitsvot. »

 

LES DOUZE PSOUKIM

 


LES DOUZE PSOUKIM

1 – Torah TORAH TSIVA LANOU MOCHÉMORACHA KÉHILAT YAAKOV.

תּוֹרָה צִוָּה לָנוּ מֹשֶׁה מוֹרָשָׁה קְהִלַּת יַעֲקֹב

“La Torah que Moïse nous a ordonnée est l’héritage de la Communauté de Jacob” (Deut. 33:4)

C’est Moïse, le fidèle serviteur de D.ieu qui nous a transmis la Torah. Et chaque Juif, garçon ou fille, la reçoit pour lui-même. Qu’il l’ait étudiée durant des années ou qu’il n’en connaisse qu’un tout petit peu, Elle lui appartient, pour l’apprendre et la mettre en pratique. C’est le plus beau cadeau que D.ieu pouvait nous faire.


2 – Chéma CHEMA Israël ADO-NAY ELO-HÉNOU ADO-NAY É’HAD..

שְׁמַע יִשְׂרָאֵל ה’ אֱ־לֹהֵינוּ ה’ אֶחָד

Ecoute Israël, l’Eternel est notre D.ieu, l’Eternel est Un.

C’est Moïse, le fidèle serviteur de D.ieu qui nous a transmis la Torah. Et chaque Juif, garçon ou fille, la reçoit pour lui-même. Qu’il l’ait étudiée durant des années ou qu’il n’en connaisse qu’un tout petit peu, Elle lui appartient, pour l’appr-endre et la mettre en pratique. C’est le plus beau cadeau que D.ieu pouvait nous faire.


3 – Bé’hol BÉ’HOL DOR VADOR ‘HAYAV ADAM LIROT ETE ATSMO KE-ILOU HOU YATSA MIMITSRAYIM

בְּכָל דּוֹר וָדוֹר חַיָּב אָדָם לִרְאוֹת אֶת עַצְמוֹ כְּאִלּוּ הוּא יָצָא מִמִּצְרַיִם

“Dans chaque génération, il faut se considérer comme sorti soi-même d’Egypte.

Il y a quelques 3500 ans, Hachem nous a fait sortir d’Egypte. Il nous a fait passer de l’esclavage à la liberté. Et, si Hachem ne l’avait pas fait, nous serions encore des esclaves aujourd’hui. Aussi, chaque jour, nous remercions D.ieu de nous avoir libérés. Et, dans notre cœur, nous promettons d’utiliser notre liberté du mieux possible, comme les serviteurs choisis du Roi des rois.


4 – Kol Israël KOL ISRAEL YECH LAHEM ‘HÉLEK LÉOLAM HABA CHÉNÉÉMAR VÉAMÈ’H KOULAM TSADIKIM LÉOLAM YIRCHOU ARETS NÉTSER MATAAÏ MAASSÉ YADAÏ LEHITPAERE.

בכָּל יִשְׂרָאֵל יֵשׁ לָהֶם חֵלֶק לְעוֹלָם הַבָּא, שֶׁנֶּאֱמַר: וְעַמֵּךְ כֻּלָּם צַדִּיקִים לְעוֹלָם יִירְשׁוּ אָרֶץ, נֵצֶר מַטָּעַי מַעֲשֵׂה יָדַי לְהִתְפָּאֵר

Tous les Juifs ont une part dans le monde futur, comme il est dit : « Dans Ton peuple, il n’y a que des Justes. Ils hériteront de la terre pour toujours. Ils sont le produit de Mes plantations, l’œuvre de Mes mains. Et, J’en suis fier. «

D.ieu est particulièrement fier de chaque Juif. Il nous a créés et Il prend soin de nous comme un jardinier prend soin d’une jeune plante. Et, comme nous grandissons, en étudiant Sa Torah, en faisant Ses Mitsvot extraordinaires, alors D.ieu nous prépare une place dans le Monde Futur, à côté d’Avraham, d’Its’hak, de Yaakov, de Moché, du roi David et de tous les grands hommes de notre histoire.


5 – Ki Karov KI KAROV ÉLÉ’HA HADAVAR MÉOD BÉFI’HA OUVILVAV’HA LAASSOTO.

כִּי קָרוֹב אֵלֶיךָ הַדָּבָר מְאֹד בְּפִיךָ וּבִלְבָבְךָ לַעֲשׂוֹתוֹ

Obéir à la Torah en paroles, en pensée et en action, tout cela est à ta portée.

Tu sais, la Torah n’est pas dans le ciel. Elle est ici, sur terre, toute proche, facile à étudier et à pratiquer. Elle est à ta portée, aussi proche que la synagogue du coin de la rue, aussi proche que le livre que je tiens dans la main ou la phrase de Torah que je connais par cœur, ou encore que le bonheur que je ressens au fond de moi. En fait, la Torah, c’est tout ce que je veux vraiment. C’est comme cela que Hachem m’a fait.


6 – Véhiné Hachem VÉHINÉ HACHEM NITSAV ALAV OUMELO KOL HAARETS KEVODO OUMAVIT ALAV OUVO’HEN KÉLAYOT VALEV IM OVDO KARAOUÏ.

וְהִנֵּה ה’ נִצָּב עָלָיו וּמְלֹא כָּל הָאָרֶץ כְּבוֹדוֹ וּמַבִּיט עָלָיו וּבוֹחֵן כְּלָיוֹת וָלֵב, אִם עוֹבְדוֹ כָּרָאוּי

D.ieu se tient au-dessus de lui, et toute la terre est pleine de Sa gloire. Il regarde au fond de son esprit et de son cœur pour voir s’il Le sert comme il convient.

Imagine que tu sois dans le palais d’un roi. Autour de toi, tout est magnifique : les pièces, les murs, les meubles. Des princes et des gouverneurs, habillés d’or et d’argent, se tiennent debout avec respect, attendant d’obéir à l’ordre du roi ou simplement de le voir. Imagine que tu passes au milieu d’eux et, tout à coup, tu te trouves devant le roi. Personne ne dit un mot. Comme tu approches, il te regarde avec un grand intérêt. Imagine l’effet que cela ferait ! Eh bien, c’est exactement ainsi que nous nous tenons à tout instant devant Hachem, le Roi du monde entier.


7 – Béréchit BERECHIT BARA ELO-HIM ETE HACHAMAYIM VEETE HAARETS.

בְּרֵאשִׁית בָּרָא אֱ-לֹהִים אֵת הַשָּׁמַיִם וְאֵת הָאָרֶץ

Au commencement, D.ieu créa le ciel et la terre.

D.ieu a créé tout l’univers : les cieux et tout ce qui s’y trouve, la terre et tout ce qui y vit. C’est la toute première chose que la Torah nous dit. Aussi, si jamais nous avons peur du noir, de la tempête, du froid, des gens et si rien ne semble aller comme cela devrait, la Torah nous dit de ne pas en être effrayé. Hachem a créé l’univers et Il en prend soin. Et, Il nous a donné la Torah pour faire que les choses soient comme elles doivent être. La Torah nous dit ce que nous devons faire et comment nous pouvons rendre, la terre meilleure et plus sainte. Et quand D.ieu voit que nous nous conduisons bien, alors Il nous donne la réussite et Sa bénédiction.


8 – Véchinanetam VÉCHINANETAM LÉVANÉ’HA VÉDIBARTA BAM BÉCHIVTÉ’HA BÉVÉTÉ’HA OUVLE’HTÉ’HA VADÉRÈH OUVCHO’HVÉ’HA OUVKOUMÉ’HA.

וְשִׁנַּנְתָּם לְבָנֶיךָ וְדִבַּרְתָּ בָּם בְּשִׁבְתְּךָ בְּבֵיתֶךָ וּבְלֶכְתְּךָ בַדֶּרֶךְ וּבְשָׁכְבְּךָ וּבְקוּמֶךָ

Et tu enseigneras la Torah à tes enfants, et tu en parleras chez toi et en voyage, avant de te coucher et quand tu te lèveras.

La Torah s’adresse à nos parents. Elle leur dit : « Papa, maman, enseignez-moi à vos enfants. Je veux qu’ils connaissent mes saints mots ». Nous aussi, il faut que nous disions à nos parents : « Papa, maman, faites la meilleure chose que vous puissiez faire pour moi: apprenez-moi la Torah. Apprenez-moi les phrases de la Torah avec soin jusqu’à ce que je m’en souvienne toujours, à la maison ou sur le chemin, en allant dormir ou en me levant ». Si nous le demandons du fond du cœur, de la manière que l’on utilise pour demander les choses que l’on veut vraiment, nos parents nous écouteront. Ils nous enverront dans une colonie de vacances dirigée selon la Torah et dans une école où nous apprendrons la Torah, les Mitsvot et tout le Judaïsme.


9 – Yagati YAGATI VÉLO MATSATI AL TAAMINE. LO YAGATI OUMATSATI AL TAAMINE. YAGATI OUMATSATI TAAMINE.

ויָגַעְתִּי וְלֹא מָצָאתִי – אַל תַּאֲמִין, לֹא יָגַעְתִּי וּמָצָאתִי – אַל תַּאֲמִין, יָגַעְתִּי וּמָצָאתִי – תַּאֲמִין

Si l’on te dit: « j’ai travaillé dur, mais je n’ai pas réussi », ne le crois pas. Si l’on te dit: « je n’ai pas travaillé dur, mais j’ai réussi », ne le crois pas. Si l’on te dit : « j’ai travaillé dur et j’ai réussi », tu peux le croire.

S’il arrive qu’un jour on n’agisse pas exactement comme il faudrait et que l’on ne se sente pas assez fort pour continuer d’étudier la Torah et de pratiquer les Mitsvot, alors il faudra se souvenir de la promesse de Hachem : Si nous essayons encore et encore plus, le mieux possible, alors finalement nous réussirons. Et ce que nous obtiendrons à ce moment-là dépassera tout ce que nous avions imaginé.


1 0 – Véahavta VÉAHAVTA LÉRÉA’HA KAMO’HA. RABBI AKIVA OMER: ZÉ KLAL GADOL BATORAH.

וְאָהַבְתָּ לְרֵעֲךָ כָּמוֹךָ – רַבִּי עֲקִיבָא אוֹמֵר, זֶה כְּלָל גָּדוֹל בַּתּוֹרָה

Rabbi Akiva dit que « tu aimeras ton prochain comme toi-même » est un principe de base de la Torah.

Quand nous travaillons dur pour nous améliorer, il ne faut pas oublier nos amis et nos voisins. Comme l’a dit Rabbi Akiva, il faut aimer son prochain exactement comme on s’aime soi-même. C’est le plus important de tout ce que nous apprenons. Aussi, si nous avons la chance d’étudier la Torah, nous devons travailler dur pour aider nos amis juifs à la pratiquer eux aussi.


11 – Vézé VÉZÉH KOL HAADAM VÉTA’HLIT BRIATO OUVRIAT KOL HAOLAMOT ÉLYONIM VETA’HTONIM LIHYOT LO ITBARE’H DIRA BETA’HTONIME.

וְזֶה כָּל הָאָדָם וְתַכְלִית בְּרִיאָתוֹ וּבְרִיאַת כָּל הָעוֹלָמוֹת, עֶלְיוֹנִים וְתַחְתּוֹנִים, לִהְיוֹת לוֹ יִתְבָּרֵךְ דִּירָה בְּתַחְתּוֹנִים

Rabbi Akiva dit que « tu aimeras ton prochain comme toi-même » est un principe de base de la Torah.

Pourquoi D.ieu a-t-il créé chacun d’entre nous et l’univers tout entier ? Pour qu’en respectant la Torah et les Mitsvot, nous puissions faire de nous-mêmes, de nos maisons et du monde qui nous entoure un endroit où D.ieu puisse résider, un endroit où Il vivra exactement comme nous vivons dans nos maisons


12 – Yisma’h Israël YISMA’H ISRAEL BÉOSSAV PÉROUCH CHÉKOL MI CHÉHOU MIZÉRA ISRAEL YECH LO LISMOA’H BESIM’HAT HACHEM ACHER SAS VÉSAMEA’H BÉDIRATO BÉTA’HTONIM.

יִשְׂמַח יִשְׂרָאֵל בְּעוֹשָׂיו, פֵּרוּשׁ שֶׁכָּל מִי שֶׁהוּא מִזֶּרַע יִשְׂרָאֵל יֵשׁ לוֹ לִשְׂמֹחַ בְּשִׂמְחַת ה’, אֲשֶׁר שָׂשׂ וְשָׂמֵחַ בְּדִירָתוֹ בְּתַחְתּוֹנִים

« Les Juifs doivent se réjouir de leur Créateur ». Cela signifie que chaque Juif doit partager la joie de D.ieu, qui est heureux de Sa demeure dans ce monde.

Chaque Juif, quoi qu’il ait étudié jusqu’à présent, où qu’il ait vécu jusqu’ici, reste toujours un membre de notre peuple. Et il doit être heureux et fier que Hachem lui ait donné la plus grande mission du Monde : faire une Maison où D.ieu puisse habiter.

 

 

 

 



PARENTS ! 
VOUS AUSSI ENVOYEZ LA PHOTO DE VOS ENFANTS
POUR QU’ILS FASSENT PARTIE DE TSIVOT MOSHIAH !
par mail: [email protected]