Rav Dr. Abraham J. Twerski a’h, a quitté ce monde le 18 Chevat 5781

Rav Dr. Abraham J. Twerski a’h, a quitté ce monde le 18 Chevat 5781

Le Rav Dr. Abraham J. Twerski , psychiatre, Rav et auteur renommé qui a aidé des milliers de personnes dans son approche de la Torah à la toxicomanie et au rétablissement, est décédé dimanche 18 Chevat, 5781.

Il avait 90 ans et a été récemment infecté par le coronavirus.

Le Rav Twerski était un descendant des dynasties Tchernobyl et Sanzer et a retracé son arbre généalogique jusqu’au Baal Shem Tov. Il est également un descendant de l’Admour Hazaken et du Mitteler Rebbe.

Le Rav Twerski est né à Milwaukee, Wisconsin. Il s’est inscrit au Hebrew Theological College de Chicago et a reçu sa semi’ha en 1951. Il a pratiqué comme Rav pendant un certain nombre d’années à Milwaukee, avant de devenir psychiatre et de passer à Pittsburgh.

Le Rav Twerski a fondé à la fois le Gateway Rehabilitation Center et le centre de réadaptation Shaar Hatikvah pour les prisonniers israéliens en Pennsylvanie. Il a été directeur clinique de l’hôpital S. Francis de Pittsburgh et professeur agrégé de psychiatrie à l’école de médecine de l’Université de Pittsburgh.

Dans une interview avec JEM , il a révélé que le Rabbi lui envoyait des patients. «Le Rabbi m’a envoyé des patients», a-t-il dit, «c’est-à-dire qu’il avait l’habitude de dire aux gens d’aller voir un Rofeh Yedid – un médecin ami du patient – et j’ai été désigné comme le Rofeh Yedid.

Le Rav Twerski envoyait également ses patients voir le Rabbi. «J’ai vu l’impact psychologique qu’il avait sur les gens. Mon instinct était qu’il avait un moyen de faire en sorte que les gens se sentent spéciaux parce qu’il les traitait comme spéciaux.

Il a également composé le Nigun hassidique sur les mots «Hoshiya Et Ame’ha» qui était souvent chanté aux farbrengens du Rabbi de Loubavitch.

Le Rav Twerski est l’auteur de plus de 60 livres sur le judaïsme et l’auto-assistance, et est un expert de renommée mondiale en toxicomanie qui a aidé des milliers de personnes au fil des ans.

 

 

 

Ouvrages

  • Like Yourself: And Others Will, Too, Prentice Hall, 1978, 1986.
  • Caution: « Kindness » Can Be Dangerous to the Alcoholic, Prentice Hall, 1981, 1987.
  • It Happens to Doctors Too, Hazelden Foundation, 1982.
  • Who Says You’re Neurotic: How to Avoid Mistaken Psychiatric Diagnosis When the Problem May Be a Physical Condition, Prentice Hall, 1984.
  • Addictive Thinking: Why Do We Lie to Ourselves? Why Do Others Believe Us?, Hazelden Foundation, 1990.
  • Addictive Thinking et The Addictive Personality, avec Craig Nakken, M.J.F, 1990.
  • The Clergy and Chemical Dependency, Edgehill, 1990.
  • Let Us Make Man: Self-Esteem Through Jewishness, C.I.S., 1991
  • I Didn’t Ask to Be in This Family: Sibling Relationships and How They Shape Adult Relationships, Topper Books, 1992
  • I Am I: a Jewish Perspective From the Case Files of an Eminent Psychiatrist, Shaar Press/ArtScroll Mesorah Publications: New York, 1993.
  • Life’s Too Short: Pull the Plug on Self-defeating Behavior and Turn On the Power of Self-esteem, St. Martin’s Press, 1995.
  • Lights Along the Way: Timeless Lessons for Today from Rabbi Moshe Chaim Luzzato’s Mesillas Yesharim, ArtScroll Mesorah Publications: New York, 1995
  • Life’s Too Short: Pull the Plug on Self-defeating Behavior and Turn On the Power of Self-esteem, St. Martin’s Press, 1995,
  • Positive Parenting: Developing Your Child’s Potential, avec Ursula Verena Schwartz, ArtScroll Mesorah Publications: New York, 1996
  • I Didn’t Ask to Be in This Family: Sibling Reltionships and How They Shape Adult Relationships, avec Charles Monroe Schulz, Henry Holt, 1996
  • Not Just Stories: The Chassidic Spirit Through Its Classic Stories, Shaar Press/rtScroll Mesorah Publications: New York, 1997
  • Dearer Than Life: Making Your Life More Meaningful, ArtScroll Mesorah Publications: New York, 1997.
  • Do Unto Others: How Good Deeds Can Change Your Life, Andrews McMeel, 1997.
  • The Thin You Within You: Winning the Weight Game with Self-Esteem, St. Martin’s Press, 1997.
  • Getting Up When You’re Down: A Mature Discussion of an Adult Malady – Depression and Related Conditions, Shaar Press/ArtScroll Mesorah Publications: New York, 1997.
  • Substance-Abusing High Achievers: Addiction as an Equal Oppotunity Destroyer, J. Aronson, 1998.
  • It’s Not As Tough As You Think: Making Family Life at Home Smoother and Better, The Shaar Press/ArtScroll Mesorah Publications:New York, 1999
  • It’s Not As Tough As You Think: How to Smooth Out Life’s Bumps, Shaar Press/ArtScroll Mesorah Publications: New York, 1999
  • Angels Don’t Leave Footprints: Discovering What’s Right With Yourself, ArtScroll Mesorah Publications: New York, 2001.
  • The Enemy Within: Confronting your Challenges in the 21st Century, Shaar Press/ArtScroll Mesorah Publications: New York, 2001.
  • Coping With Stress: The 9/11 Generation, Gateway Rehabilitation Center, 2002.
  • The First Year of Marriage: Enhancing the Success of Your Marriage Right From the Start – and Even Before it Begins, ArtScroll Mesorah Publications: New York, 2004.
  • Growing Each Day, ArtScroll Mesorah Publications: New York, 2004.
  • Dear Rabbi, Dear Doctor: The Renowned rabbi-Psychiatrist Gives Straight Answers to Tough Questions, Shaar Press/ArtScroll Mesorah Publications: New York, 2005.
  • From Pulpit to Couch, Mirkov Publications, 2005.
  • Compulsive Gambling: More Than Dreidel, Mirkov Publications, 2006.
  • Dear Rabbi, Dear Doctor Volume 2: The Renowned Rabbi-Psychiatrist Gives Straight Answers to Tough Questions, Shaar Press/ArtScroll Mesorah Publications: New York, 2007.
  • Four Chassidic Masters: the Heart, the Mind, the Eye, and the Tongue – Histoy, Stories, Teachings, Shaar Press/ArtScroll Mesorah Publications: New York, 2008.
  • A Formula for Proper Living: Practical Lessons from Life and Torah, Jewish Lights Publishing, 2009.
  • Gevurah: My Life, Our World, and the Adventure of Reaching 80, Shaar Press/ArtScroll Mesorah Publications: New York, 2010.
  • Forgiveness: Don’t Let Resentment Keep You Captive, Shaar Press/ArtScroll Mesorah Publications: New York, 2012.
  • Effective Living: An Upbeat and Uplifting Life Can Be Yours, Shaar Press/ArtScroll Mesorah Publications: New York, 2014.
  • En Français: L’art de bien vivre formulé par la Torah, 2016.

 

Comment le Rabbi envoya, secrètement, un émissaire au Pakistan musulman en 1987

Comment le Rabbi envoya, secrètement, un émissaire au Pakistan musulman en 1987

Traduit par le Rav Haïm Mellul

Quelques jours avant la fête de Pessa’h 5747 (1987), le Rabbi envoya, en secret, un émissaire au Pakistan musulman. Il précisa qu’il financerait lui-même ce voyage dangereux. Cet émissaire devait disposer de documents attestant qu’il était un commerçant, vendant des tapis et qu’il se rendait au Pakistan pour reconstituer ses stocks. Les autorités pakistanaises lui indiquèrent, quand il sollicita un visa, qu’elles n’étaient pas en mesure d’assurer sa sécurité, mais le Rabbi expliqua qu’il n’y avait pas lieu de s’en affecter.

Le Pakistan compte cent quatre-vingt millions d’habitants. C’est le second pays musulman du monde, par sa taille, après l’Indonésie. C’est aussi l’un des centres du terrorisme. Ben Laden s’y était réfugié, pendant les dernières années de sa vie et les terroristes qui sont à l’origine du massacre, dans le Beth ‘Habad de Bombay, de l’assassinat du Rav Gabriel Holtzberg et de son épouse Rivki, venaient eux-mêmes du Pakistan.

Les terroristes du Pakistan portent aussi la responsabilité de nombreux autres crimes commis dans le monde. Ce sont eux, notamment, qui sont à l’origine de l’assassinat du journaliste juif Daniel Perl.

En 5747 (1987), le Rabbi réalisa une action dans ce pays hostile. C’est elle qui sera décrite ici. Comme c’est souvent le cas, de nombreux détails de ce récit ne nous sont pas encore connus, à ce jour, ou bien ne peuvent être divulgués.

Tout commença un jeudi de 5747 (1987), quelques jours avant la fête de Pessa’h. Le Rav Chalom Dov Ber Hecht transmit à son père, le Rav Yaakov Yehouda, une nouvelle inquiétante. L’un des membres de sa communauté, la synagogue de Forest Hills, venait de recevoir une lettre alarmante du Pakistan.

Celle-ci lui avait été envoyée par son neveu, qui lui indiquait que lui-même et trois cents autres Juifs s’étaient enfuis d’un pays voisin et se trouvaient maintenant à Karachi, au Pakistan, une ville dans laquelle il n’y avait pas un seul Juif. Le neveu demandait donc à son oncle de lui envoyer des Matsot pour être en mesure de célébrer le Séder. Le Rav Yaakov Yehouda Hecht raconte :

« Nous avons aussitôt communiqué cette information au Rabbi et sa réponse fut qu’il fallait trouver quelqu’un, possédant une certaine connaissance des coutumes de cette communauté, qui accepterait de se rendre sur place. Le Rabbi ajouta qu’il financerait lui-même ce voyage, de même que le coût des Matsot ».

Peu après, les Rabbanim Hecht cherchèrent et trouvèrent un jeune élève de la Yechiva qui acceptait de mener à bien cette mission. Le Rav Hecht précise :

« J’ai aussitôt appelé le sénateur Alphonse De Matto afin d’obtenir tous les documents officiels nécessaires à ce voyage au Pakistan ».

L’équipe du sénateur multiplia les appels téléphoniques et tous les documents officiels furent effectivement réunis. Toutes les démarches furent réalisées dans la journée du jeudi et le lendemain, vendredi, le jeune homme devait se présenter au consulat du Pakistan afin d’obtenir un visa d’entrée dans le pays.

Le consulat lui accorda ce visa, mais en précisant aussitôt que les autorités locales ne seraient pas en mesure d’assurer sa sécurité et qu’elles ne pourraient donc pas être tenues pour responsables des dangers auxquels il pourrait être exposé. Le Rav Hecht explique :

« Je me suis aussitôt adressé à Moché ‘Haïmpour, un Juif originaire d’Iran qui avait été très actif pour le sauvetage de milliers d’enfants juifs de son pays, par le Comité pour une bonne éducation, à l’époque de la révolution de Khomeiny. Il s’est aussitôt employé à établir un contact avec ce groupe de réfugiés.

Il a pris contact avec un médecin juif du Pakistan, qui a immédiatement accepté de prendre le groupe en charge, à la fois matériellement et spirituellement. Pour notre part, nous avons acheté quelques kilogrammes de Matsot et du jus de raisin, puisque le vin, comme on le sait, est interdit dans les pays musulmans.

A l’issue du Chabbat, à vingt-trois heures trente, deux jours avant la fête de Pessa’h, notre jeune homme a pris l’avion. Pour qu’il ne puisse être accusé de faire un voyage avec une motivation religieuse et arrêté, ce qu’à D.ieu ne plaise, nous l’avons muni d’un certificat, attestant qu’il était vendeur de tapis et qu’il se rendait au Pakistan pour des raisons professionnelles.

Le Rav Hecht poursuit son récit :

« Le jeune homme parvint à Karachi et la police de la frontière lui demanda s’il avait quelque chose à déclarer. Il répondit par la négative. Le policier lui demanda d’ouvrir ses valises. Il en fit sortir une Matsa et il l’observa, à la lumière,

comme s’il voulait faire ce qui y était caché. A l’issue d’une inspection scrupuleuse, on lui rendit la Matsa et les valises. Il y avait là, à proprement parler, un miracle !

Le jeune homme sortit de l’aéroport et il fut surpris de constater qu’aucun des réfugiés n’était venu à sa rencontre. Par la suite, il apprit qu’il y avait eu une confusion et qu’ils l’attendaient dans un autre endroit. Le jeune homme, quittant l’aéroport, vit un hôtel portant un nom américain et il y loua une chambre. Tout de suite après cela, il partit à la recherche des trois cents réfugiés.

Il découvrit ainsi, que, par peur de la population locale, ces réfugiés s’étaient installés dans des cabanes délabrées, en retrait de la ville. Le jeune homme rencontra le médecin juif et il lui remit les médicaments qu’il avait apportés avec lui, de New York, pour lui permettre de soigner ces réfugiés. Ce médecin le conduisit lui-même chez les réfugiés. Ceux-ci furent très émus, en le voyant et ils s’écrièrent : ‘C’est le prophète Elie !’. »

Le Rav Hecht poursuit son récit :

« La chambre louée par le jeune homme, à l’hôtel, était au huitième étage. Il se dit que, s’il montait par l’escalier, plutôt que par l’ascenseur, pendant les jours de fête, il éveillerait l’attention et pourrait mettre sa vie en danger, ce qu’à D.ieu ne plaise. Il expliqua donc à la réception de l’hôtel qu’il avait un ami logeant au deuxième étage et qu’il aimerait se rapprocher de lui. Sa demande fut satisfaite.

Par la suite, le jeune homme se rendit au marché, il acheta des fruits et des légumes. A l’approche de la fête, il donna des Matsot aux réfugiés qui organisaient leur Seder à part. En effet, il était inenvisageable d’organiser un Séder collectif pour trois cents personnes.

Le jeune homme réunit une trentaine de personnes dans sa chambre d’hôtel, il donna à chacun une Haggadah et le Séder fut célébré, conformément à la Hala’ha et aux coutumes de la communauté de laquelle ces réfugiés étaient originaires. Quand ils se mirent à chanter, il leur sembla qu’ils étaient dans un autre monde. Leur enthousiasme leur fit complètement oublier la situation dans laquelle ils se trouvaient ».

Le Rav Hecht conclut son récit :

« Le matin, ils firent la prière dans la chambre d’hôtel et il est dommage qu’ils n’aient pas disposé d’un Séfer Torah. Le soir eut lieu le second Seder et le lendemain, de nouveau la prière du matin, à l’issue de laquelle tous se mirent à danser. Le premier jour de ‘Hol Ha Moéd, le jeune homme quitta Karachi, accompagné par les réfugiés, qui avaient réellement le sentiment d’être en présence du prophète Elie.

Pour conclure, il s’agissait, en l’occurrence, d’un pays musulman, connu pour son hostilité aux Juifs. Or, quelques centaines de Juifs y étaient réfugiés, venant également d’un pays hostile aux Juifs. Ils se trouvaient dans un endroit où il n’y avait pas de communauté locale et tout ceci se passait quatre ou cinq jours avant la fête de Pessa’h.

Un jeune homme se déclara alors prêt à risquer sa vie pour leur apporter de la Matsa Chemoura, pour célébrer le Seder avec eux. Nous sommes même parvenus à contourner la loi américaine interdisant aux citoyens de ce pays de se rendre au Pakistan. Tout cela s’est fait en deux jours. Le jeune homme a effectué le voyage, il est arrivé en paix et il est reparti en paix.

Il y a là un véritable miracle et ce récit doit figurer dans l’histoire juive comme le miracle du Pakistan, pendant la fête de Pessa’h 5747. Il faut remercier le Rabbi, pour lequel chaque Juif est précieux, y compris celui qui est isolé, à l’extrémité du monde.

Faisant fi de toutes les difficultés, le Rabbi envoie un émissaire particulier, avec de la Matsa Chemoura, afin que ces Juifs puissent célébrer le Seder de Pessa’h et goûter ‘le temps de notre liberté’. »

 L’action du Rabbi de Loubavitch en terre d’Islam Récits et témoignages – Editions du Beth Loubavitch

 

 

 

20% des Israéliens ont reçu la deuxième dose du vaccin contre le COVID-19

20% des Israéliens ont reçu la deuxième dose du vaccin contre le COVID-19

Plus de 1,7 million d’israélien ont été vaccinées deux fois et 3 millions ont reçu la première injection. Selon le ministère de la Santé, seuls 26000 tests de coronavirus ont été effectués samedi et 64 Israéliens sont morts ce week-end de la maladie. Le gouvernement se réunira aujourd’hui pour discuter de l’extension de la quarantaine et de la fermeture de l’aéroport.

 

Hier (samedi), 2596 Israéliens ont reçu un diagnostic de coronavirus, selon les données du ministère de la Santé ce matin. Au total, 26 000 tests ont été réalisés, un chiffre nettement inférieur à la moyenne, et le taux positif était de 10%. Le nombre de patients hospitalisés atteints de COVID-19 a légèrement augmenté, s’établissant à 1 814, dont 1 162 sont dans un état critique. De plus, 298 patients reçoivent une ventilation mécanique.

Depuis le déclenchement de la pandémie, 4745 personnes sont décédées des suites du coronavirus, 23 d’entre elles hier et 41 vendredi, mais ce ne sont pas des chiffres définitifs. Le coefficient de contagion (R) continue d’augmenter et s’est établi ce matin à 0,95.

Ce matin, le nombre de vaccinés avec la première dose était de 3 005 382. En outre, 1 728 625 Israéliens ont reçu la deuxième injection. En d’autres termes, 32,61% des citoyens ont déjà reçu la première dose et 18,76% ont déjà été vaccinés deux fois. Environ un million d’Israéliens ont reçu les deux injections il y a plus d’une semaine, ils ne sont donc plus obligés de s’isoler.

Le système de santé se prépare pour une semaine fatidique au cours de laquelle il examinera les effets du troisième arrêt général. Dans les hôpitaux, les premiers signes d’un changement de tendance sont évidents. Selon les données du ministère de la Santé hier, 1764 patients atteints de coronavirus sont admis dans des centres médicaux à travers le pays, contre 2180 au plus fort de la troisième vague d’infections. De plus, on compte actuellement 1 173 personnes dans un état critique, contre 1 226 au plus fort de la vague.

Selon un rapport du Centre national d’information et de connaissances sur la lutte contre le coronavirus, il existe des signes encourageants d’une diminution de la morbidité grave chez les adultes de 60 ans et plus, probablement en raison de la campagne de vaccination.

Le rapport note que «la propagation et les caractéristiques généralisées de la mutation britannique du virus contribuent probablement au ralentissement de la diminution de la morbidité. Pour cette raison, un respect extrême de la distance sociale, l’utilisation de masques et la protection de la population enfantine sont nécessaires ».

Compte tenu des données publiées, le système de santé a exprimé l’espoir que les effets des vaccins se feront sentir de manière significative cette semaine.
Le professeur Galia Rahav, chef de l’unité des maladies infectieuses du Sheba Medical Center, a déclaré: «Nous constatons une sorte de diminution de la morbidité, en particulier dans la population à partir de 60 ans, et j’espère que dans une ou deux semaines l’influence des vaccins montrer leurs signes ».

Cependant, Rahav a averti: « S’il n’y a pas de tendance à la baisse, nous devrons recalculer l’itinéraire car nous avons appris que ce virus nous rend vraiment fous. »

Un autre chiffre encourageant qui peut indiquer un changement de tendance est lié au nombre quotidien de nouveaux patients gravement malades, qui est passé de 190 lundi à 115 vendredi. Cependant, de nombreux hôpitaux sont débordés, en particulier dans les services de coronavirus.

Pendant ce temps, le gouvernement prévoit de se réunir ce soir pour discuter d’une prolongation de deux semaines de la fermeture, qui devrait se terminer à minuit. Le Premier ministre Benjamin Netanyahu devrait soutenir la position du ministère de la Santé pour prolonger la quarantaine et la fermeture de l’aéroport Ben Gourion.

 

 

 

 

Gaagouim 5 : Nigun Hapilpoul chanté par le Rav Menahem Mendel Amar

Gaagouim 5 : Nigun Hapilpoul chanté par le Rav Menahem Mendel Amar

 

ניגון ה’פלפול ששמו במקור באידיש הוא ‘דער פלפול’, הוא ניגון בן חמש בבות אשר מהלכם הוא בתנועות של קושיא ותירוץ.

« מה שבבא הקודמת תובעת, דורשת ותמהה – הבבא שאחריה מצדקת, משתקת ומיישבת, והבבות מטפסות ועולות, סותרות ובונות, מפרקות ומקשות, מתרצות ומיישבות בדוגמת הפלפול התלמודי ».

ניגון זה הוא ניגון ס »ד בספר הניגונים.

פרוייקט ‘געגועים’ הוא ניגוני חב »ד המשורים בצורה אותנטית ומיוחדת כפי ששרו בעלי המנגנים במשך דורות רבים על ידי הרב מנחם מענדל עמאר רב קהילת חב »ד – ‘אור מנחם’ באשדוד.

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שירה: הרב מנחם מענדל עמאר
עיבוד ומיקס: עובד מוניס

Jérusalem : Des milliers de personnes assistent à la Lévaya du Rav Meshulam David Soloveitchik, dimanche 18 Chevat 5781

Jérusalem : Des milliers de personnes assistent à la Lévaya du Rav Meshulam David Soloveitchik, dimanche 18 Chevat 5781

Le Rav Soloveitchik est décédé dimanche matin à l’âge de 99 ans, trois mois après avoir reçu un diagnostic de coronavirus. L’état du Rav s’est détérioré vendredi. Son état s’est stabilisé Chabbat, mais s’est à nouveau détérioré dans la soirée et il est décédé ce matin 18 Chevat 5781.

Des milliers de personnes sont venues assister aux funérailles du Rav Meshulam Dovid Soloveitchik dimanche.

La Lévaya a commencé à son domicile de la rue Eli HaCohen à Jérusalem. Après avoir récité les Psaumes, son fils aîné, Rav Yitzchok Zev, a été nommé successeur et Rosh Yeshiva de Brisk.

Les funérailles ont été suivies par des Rabbanim et des Roch Yéchivot venus l’accompagner dans son dernier voyage. Même le Rabbi de Gour, qui n’était pas allé aux funérailles depuis le déclenchement de la pandémie de coronavirus, s’est rendu à quelques minutes de sa voiture.

Le Rav Soloveitchik a eu plusieurs épisodes médicaux au cours de l’année dernière, y compris une infection grave, une chute à la maison et une opération complexe à l’hôpital Hadassah Ein Kerem.

Le Rav Meshulam Dovid Soloveitchik est le fils du Rav Yitzchok Zev Soloveitchik, le «Rav de Brisk», et le petit-fils du Rav Haim de Brisk, à l’origine de la «méthode Brisker» pour étudier le Talmud. Son fils, le Rav Yitzchok Zev (Velvel) Soloveitchik, est conférencier à la Yeshiva de Brisk. Son gendre, le Rav Nechemya Kaplan, est le Rosh yYeshiva de la Yechiva Shaar HaTalmud à Jérusalem.

 

Le Rav Meshoulam David Soloveitchik (connu sous le nom de Reb Dovid) (משולם דוד סולובייצ’יק), né le 21 octobre 1921 à Brest en Biélorussie et mort le 31 janvier 2021, 18 Chevat 5781, est un Rav juif orthodoxe et rosh yeshiva d’une des branches de la Yeshiva de Brisk. à Jérusalem, Israël, qui a un corps étudiant de plus de 300 étudiants venus principalement des États-Unis. Il est l’un des fils de Rabbi Yitzchok Zev Soloveitchik, le gendre de Rabbi Asher Sternbuch de Londres3 et le beau frère de Rabbi Moshé Sternbuch et du Dayan H’anoh’ Ehrentreu. Il est aussi le Nassi (president) de la Eidah Hah’areidit.

Éléments biographiques
Le Rav Soloveitchik est le cinquième des douze enfants et le troisième fils du Rav Yitzchok Zev Soloveitchik et de son épouse, Alte Hindl, la fille du Rabbi Haim Auerbach de Jérusalem. Sa date exacte de sa naissance n’est pas connue. Par contre, on sait que son frère aîné Haïm est né en janvier 1920 et que son frère cadet Refael Yehoshoua est né au printemps 1924. Il est nommé Meshoulam d’après son arrière grand-père maternel, Meshoulam Auerbach, qui a proposé le shidouh’ entre sa petite-fille et le fils du Rav H’aim Soloveitchik5.

Rosh Yéchiva
Sa Yéchiva est située dans le quartier de Goush Shemonim à Jérusalem.

Beaucoup de ses œuvres ont été publiées par ses élèves, surtout dans les dernières impressions Mishor des œuvres de son père. Il est considéré par les Briskers comme l’un des derniers vestiges authentiques d’un pré-Seconde Guerre mondiale en Lituanie juive, et est souvent cité pour ses souvenirs de la vie de son père et grand-père et ses enseignements6,7,8,9.

Son fils, Velvel, est un Maggid Shiur (professeur) dans la Yéchiva de son père. Sa fille est mariée avec le Rav Nechemya Kaplan, Rosh Yeshiva de la Yeshiva Shaar HaTalmud, à Jerusalem.

Soloveitchik ou Soloveichik (hébreu סולובייצ’יק), ce qui signifie en russe « petit rossignol », est un patronyme porté entre autres par une famille rabbinique descendant de Yosef Dov Soloveitchik (Beis Halevi) (1820-1892). D’autres membres notables incluent :

Ahron Soloveichik (1917-2001),
Berel Soloveitchik
Chaim Soloveitchik (1853-1918)
Eliyahu Soloveitchik
Haïm Soloveitchik (1937- )
Joseph B. Soloveitchik (1903-1993)
Meshulam Dovid Soloveitchik (1921-2021)
Moshe Soloveichik (1879-1941)
Shulamith Soloveitchik Meiselman (1912-2009), éducatrice juive américaine née en Russie. Elle est la fille du Rav Moshe Soloveichik et la sœur du Rav Joseph B. Soloveitchik
Yitzchok Zev Soloveitchik (1886-1959)

 

 

 

 

Barouh Dayan Haemet : Mme Myriam El Baze a’h a quitté ce monde Chabbat 17 Chevat 5781

Barouh Dayan Haemet : Mme Myriam El Baze a’h a quitté ce monde Chabbat 17 Chevat 5781

Levaya de Mme El Baze dimanche 31 janvier 2021
9h15 : Lecture des Tehilim  au 11 avenue Champeval 94000 Créteil.
9h45 :  Départ pour CDG, puis pour Israël

Enterrement dimanche soir au cimetière de Guivat Shaoul à Jérusalem (horaire à venir)

Elle est la mère de :
Mme Marlène Sudry
Mme Ruth Shapira
Shmouel
Ouriel
Annie
David
Josiane Saada
Elya Cohen