L’une des nouveautés dans le sujet de notre Paracha concerne le partage de la terre d’Israël pour chaque tribu, et pour chaque juif.
À l’heure où nous nous tenons au seuil de la délivrance complète et véritable, ce que nous comprenons à partir de tous les signes de la délivrance (comme il a été mentionné dernièrement à plusieurs reprises), il est compréhensible qu’avant tout, il y a là un enseignement concernant la répartition de la terre d’Israël, et plus simplement ; dans la délivrance (Baba Batra 122,a).

Toutefois, étant donné que nous nous trouvons un instant encore avant la délivrance, il est compréhensible que nous devions apprendre de cela un enseignement qui nous concerne aujourd’hui également puisque la Torah est éternelle ; un enseignement éternel valable pour tous les temps et pour tous les lieux.

Il y a lieu de rappeler l’enseignement du Tséma’h Tsédek concernant un juif qui voulait monter en Israël pour devenir assidu dans la Torah et dans son service de D.ieu, [et le Rabbi de répondre :] « Ma’h Da Erets Israël », Fais ici même la terre d’Israël ! Étant donné que la chose a été racontée et diffusée par mon beau père le Rabbi, a chacun, nous déduisons de là, qu’il y a un enseignement pour tous ; même lorsque nous nous trouvons « ici », en dehors de la terre d’Israël, durant l’exil (ne serait-ce que dans ses derniers instants) nous devons « ici », dans ce temps et ce lieu, faire « Erets Israël » !

Ceci étant dit, de quelle manière s’exprime le travail de «fait Erets Israël ici même », puisqu’à priori, selon le jugement de la Torah, « ici » (en dehors d’Israël) n’est pas la terre d’Israël !? La perfection du service de D.ieu dans la Torah et les Mitsvot, pour les enfants d’Israël, se réalise justement en terre d’Israël (comme il est expliqué dans de nombreux commentaires de nos sages, de mémoire bénie).

Et même si nous sommes « ici », dans le temps et le lieu de l’exil, un juif prie (son visage tourné vers Erets Israël (Bra’hot 30,a)) trois fois par jours (durant les jours profanes) tel qu’il est dit « rassemble nous, tous ensemble, des quatre coins de la terre, dans notre terre » avec tout ce que cela entraîne…

Plus particulièrement dans les dernières générations, dans les derniers instants de l’exil et dans le temps le plus récent, étant donné que tous les signes de la délivrance sont là, tel qu’il est écrit « voilà cela (Machia’h) vient », (comme il sera précisé plus loin dans le paragraphe 11). S’il en est ainsi, quel est donc l’enseignement de  faire « ici même » Erets Israël ? Et en particulier, puisqu’un instant plus tard nous sortons déjà de l’exil et que nous allons (concrètement) en Erets Israël ?

Le miracle : un Goral qui parle !

Nous comprendrons ceci en devançant le sujet de notre Paracha : en ce qui concerne le partage de la terre d’Israël, distribuée par un tirage au sort, (Goral) comme il est dit dans notre Paracha, ce que rapportera le Rachi (d’après le Midrache de nos sages) : qui précise que le Goral parlait de lui-même, il criait et disait : « je suis le Goral, je me suis élevé à la frontière d’un tel de la tribu d’un tel ».

Il nous faut comprendre la raison et l’utilité de ce prodige parce D.ieu ne fait pas de miracle « gratuit»(Drachot HaRan, Dracha 8). Pourquoi dans ce cas, a-t-il fait le miracle du Goral qui parlait ? Il était possible de distribuer la terre (telle frontière à telle tribu) selon le Goral (comme pour chaque Goral sans avoir recourt au miracle d’un Goral qui parle ?!  Car même si D.ieu voulait donner la preuve au peuple juif que le partage ne se faisait pas au hasard mais bien à partir de Son choix, sur ce fait, il y avait déjà un miracle auparavant qui démontrait que « le Goral était fait selon l’inspiration Divine», le Roua’h Hakodech !

« Eléazar le Cohen était habillé avec les Ourim VéToumim et annonçait avec l’inspiration Divine ; Si telle tribu monte, tel territoire monte avec elle »(Pirouch Rachi,dans notre Paracha, 54) ce qui démontrait aux enfants d’Israël que le Goral était vérité et droiture. Quelle était dans ce cas la nécessité du miracle d’un Goral qui parlait ?

La véracité du Goral 

Il y a lieu d’expliquer tout cela : étant donné que D.ieu a ordonné que «  la terre soit répartie uniquement par le Goral » (« Cet héritage sera attribué selon la voix du sort [Goral]», « Et vous hériterez de la terre selon le Goral ») et justement par le biais du Goral, (« seulement par le Goral ») et non pas d’une autre manière.

C’est pour cela qu’il y eut la répartition, et que la clarification de la situation de chaque lot de terre doit se faire par le Goral lui-même (et non pas par l’intermédiaire d’autre chose).

Il y a lieu de préciser le véritable éclaircissement concernant le sujet du Goral, qui se faisait de lui-même (« le Goral criait…»), car s’il y avait un doute que le Goral était le fruit du hasard, et dans ce cas on aurait besoin d’une preuve supplémentaire (l’inspiration Divine, avec tout ce que cela entraîne…) pour démontrer qu’il est la vérité et l’intention [de D.ieu] car alors, ce ne serait pas le Goral seul qui entraîne la répartition totale de la terre !

C’est donc pour cela que « le Goral lui-même criait » ! Le Goral à donc bel et bien entraîne la répartition totale de la terre. De lui-même « il a dit », d’une manière claire et dévoilé que « telle frontière [est attribuée] à telle tribu ».

La perfection d’une Conquête

L’explication de tout ceci dans l’intériorité des sujets : la conquête, la répartition et l’installation sur la terre d’Israël sont une allusion au travail [service de D.ieu] des enfants d’Israël qui est de conquérir la « terre de Kénahan », « la terre des sept peuples » (Dans le langage du Rachi, début de la Paracha Béréchit) et d’en faire Erets Israël, la terre sainte, c’est-à-dire une terre juive et sainte, une terre dans laquelle apparaît clairement son lien avec le judaïsme, divinité et sainteté. Par le fait que les enfants d’Israël utilisent la terre pour accomplir (et par son intermédiaire) les Mitsvot qui dépendent de la terre et d’y construire le Beth Hamikdach, duquel D.ieu dit « vous me ferez un sanctuaire, et Je résiderais [au-dedans de vous] parmi vous » (Tan’houma 25:8).

Et c’est l’intention et la finalité de toute la création : prendre possession de tout le monde matériel, (ainsi qu’il est écrit « croissez et multipliez et remplissez la terre et conquérez la ») et faite de lui [du monde] une résidence pour D.ieu ici bas, un endroit où D.ieu se trouve de façon dévoilée (comme un homme dans sa résidence privée, si l’on peut dire ainsi…).

Pour que le travail de conquête soit total, il doit s’effectuer dans tous les détails. Que ce soit chez celui qui est conquit ou chez celui qui conquiert : 1) La conquête totale de la terre est effective lorsque nous conquérons toute la terre (comme ce fut le cas lors de la conquête de la terre d’Israël). S’il reste la moindre part de terre qui n’a pas été conquise, alors la conquête n’est pas complète ([entraînant son imperfection et fragilisant] également dans les endroits de la terre qui a été conquise).

Tout simplement, il subsiste encore un danger des hommes qui se trouvent sur la part de la terre non conquise. 2) Du coté du conquérant, quand la conquête est-elle complète d’une manière où apparaît clairement que celui qui est conquis l’est totalement par celui qui conquit ? Lorsque le conquérant est investit dans l’action de conquérir de toutes ses forces, dans les moindres détails de son existence, et la généralité de l’action de l’homme (le conquérant) dans le monde se fait par le biais des trois vêtements d’expressions : la pensée, la parole et l’action (Tanya Chapitre 4).

Et s’il ne prend pas possession de la terre par le biais des trois vêtements (mais uniquement par l’action, sans préparation (dans la pensée) et sans ordonnance (dans la parole) aux soldats et à ceux qui sont conquis, ou encore uniquement dans la pensé et l’action avec tout ce que cela entraîne…) il manque alors la perfection de la conquête (et automatiquement dans la conquête dans tous ses détails chez celui qui est conquis).

De cette manière là s’effectue également la conquête du monde en ce qui concerne la tâche spirituelle pour lui faire une résidence ici bas. Or, la perfection de la résidence se réalise justement lorsque : 1) celle ci pénètre dans tous les détails de la maison elle-même (à la manière du conquis) autant que dans les moindres détails de la résidence où apparaît son lien avec le propriétaire. 2) l’homme qui habite dans la maison et s’y trouve dévoilé dans une expansion totale, dans chaque détail de son existence, (dans la pensée, la parole et l’action) dans sa demeure, puisque c’est un endroit fixe (pour son habitation) .

Il en va de même en ce qui concerne Sa résidence, ici bas : la perfection de la demeure s’exprime dans tous les détails ici bas, ils sont alors une résidence dévoilée de D.ieu, où Son essence et Sa nature profonde, qu’il soit bénit, se trouvent dévoilées, ensemble avec toutes ses « forces » et  ses « vêtements », les dévoilements dans l’enchaînement des mondes ( les dix séfirot) qui se répartissent de manière générale en pensée, parole et action (Bria, Yétsira et Assiya).

S ’ investir intensément dans ce que nous accomplissons

Selon ce qui a été dit, nous comprendrons le sujet du « Goral qui parlait ».
De même que le travail de conquête et d’installation sur la terre doit être totale ; dans la pensée, la parole et l’action, c’est aussi  le cas, en ce qui concerne les détails du travail et également les sujets qui ne sont qu’une préparation et une introduction au travail. Bien qu’ils ne soient pas une finalité en soi ou qui ne sont qu’un détail, il nous faut les accomplir dans la plus haute perfection, dans la pensée, la parole et l’action. Et comme il est connu, le proverbe du Rabbi Rachab dont l’âme est au jardin d’Eden (qui a été transmis par son fils unique et successeur, le prince de notre génération, le Rabbi Rayats).

Un être « Pnimi » (Hayom Yom 24 Tamouz), un être profond, est un être qui s’investit totalement dans ce qu’il accompli. Lors d’une Idvaadout [réunion ‘hassidique] le Rabbi Rachab ressentit que les jeunes gens chantaient le Nigoun [la mélodie ‘hassidique] trop rapidement, en introduction à ce qui viendrait après le Nigoun (les Propos de ‘Hassidout et tout ce qui est lié à cela).

Il donna alors sur ce sujet un discours tout entier, dont le contenu est que chaque travail qu’un juif exécute doit être  réalisé dans toute sa perfection. Même lorsqu’il parle d’un sujet qui est lié à un autre sujet, et bien que nous nous trouvons encore dans la situation précédente, nous devons être totalement investis dans cela. « C’est de manière générale un fondement essentiel, que là où nous sommes, nous devons y être totalement » , « étant donné que nous nous trouvons là bas, il nous faut y être, tout le temps ou je m’occupe de cela, je dois être ici », et après cela, nous en viendrons au second sujet (pour lequel ce sujet est une introduction), et nous l’exécuterons dans la perfection.

Il y a lieu de dire que le fondement de cela, dans la Torah dévoilée, (comme l’on sait, que tous les sujets de l’intériorité de la Torah se reflètent dans la Torah dévoilée) et ceci vient de l’explication citée plus haut (paragraphe 4), du Rogatchover à propos des sujets de Kdoucha (sainteté), que même dans l’introduction il existe une importance de par elle-même.

Une mission particulière qui influence le monde entier

Pour chacun [des enfants] d’Israël, il y a sa part et sa mission, dans le monde que D.ieu lui a donné. L’un est un commerçant (Zévouloun) et le sujet de l’autre est l’étude de la Torah (Issa’har) avec tout ce qui en découle… dans chaque genre, il y a pour chacun une part et une mission autre dans le monde. Chacun se trouve dans une partie définie du monde, c’est vers elle que D.ieu l’a dirigé (« l’Éternel affermit les pas de l’homme »(Téhilim 37:23)), étant donné que sa mission se trouve justement dans cet endroit là.

De cette manière, en ce qui concerne le temps, chaque instant, chaque heure, chaque jour, chaque mois, chaque année, et chaque période, implique un travail et une mission particulière.

Et bien que chaque endroit précis et chaque instant dans le temps, ainsi que la mission de chacun dans le monde, n’est uniquement qu’une petite part du monde, tous les lieux et tous les temps, même si quelques fois l’homme peut penser : comment se passerait les choses s’il se trouvait dans un autre endroit et dans un autre moment ? Il se peut que son travail aurait été d’une autre manière, et peut-être aurait-il été meilleur que celui de cet instant, avec tout ce que cela entraîne….

De cette manière là, chacun peut se poser la question : étant donné que mon travail s’effectue juste dans un petit coin du monde, qu’il représente un détail du détail, quelle différence entraînera ma manière de me comporter? Et combien plus, lorsque à priori il n’y a là, selon son avis, aucune influence sur le monde.

Et plus encore, il pose la question ; comment peut-on exiger de lui qu’il apporte la Guéoula ? La délivrance totale du monde, compte tenu que son travail ne touche qu’un petit endroit du monde (dans le temps et le lieu) !

Il est dit pour chacun d’entre les enfants d’Israël ; tu as un enseignement du prince de notre génération « Fais ici la terre d’Israël », ton travail doit s’exprimer non pas par une simple pensée sur ce qui s’accomplit à l’autre extrémité du monde, dans un autre moment, avec une utilité séparée, mais tu dois être totalement investi (dans la pensée, la parole et l’action) pour faire « ici même la terre d’Israël ». Dans ton endroit privé et dans chaque instant de ton temps privé.

Et justement par ce fait là, ceci aura un impact sur le monde entier (dans chaque endroit et à chaque moment) puisque dans ta part du monde sont inclus tous les endroits du monde (à la manière dont ce fut le cas pour la répartition de la terre d’Israël, et bien que chaque tribu (et toute famille de chaque tribu) a reçu une certaine part dans la terre d’ Israël, il y avait dans chaque part, tous les niveaux d’élévation (toutes les parts) de la terre d’ Israël (de laquelle il est dit « Une terre vers laquelle…, les yeux de l’Éternel ton D.ieu sont tournés, depuis le début de l’année jusqu’à la fin de l’année).

Les sages de mémoires bénies, nous enseignent que (Yoma 81:2)« la terre d’Israël ne manque de rien, ainsi qu’il est dit : il ne manquera rien en elle » ainsi que les sages de mémoire bénie nous l’on enseigné « il n’y a personne parmi les enfants d’Israël qui ne possède [une part] dans la montagne, dans la plaine, dans le sud et dans le val …».

Nous comprenons de cela que « chacun est obligé de dire pour moi le monde a été créé » (Michna Sanédrin 37:1), étant donné que le monde entier a créé pour lui, de là nous comprenons, qu’il possède les forces d’agir dans le monde entier et par ce fait, tel qu’il se trouve dans son endroit défini, il contient le monde entier (comme il est écrit « et le monde J’ai donné dans leur cœur »).

Bien que son travail soit orienté dans une direction unique avec tout ce qui en découle, [comme le prouve la situation des juifs et des Tsadikim qui ont déjà terminé leur mission dans ce monde ci, puisque tous les enfants d’Israël sont potentiellement Kasher, nous devons dire qu’ils (quelque uns tout au moins) ont totalement accomplies leur mission dans le monde [bien que ce ne fût pas dans tous les domaines du service de D.ieu].

Alors, en réalité ceci inclut chacun d’entre les enfants d’Israël, lequel contient individuellement toutes les lignes [directions] dans le service Divin. Nous comprendrons alors, ce que nous disons lors du Kriat Shéma Al HaMita [la prière avant le coucher] « que ce soit dans cette incarnation ou dans une autre incarnation…» étant donné qu’il s’agit là d’un compte de la justice divine, il est compréhensible qu’il possède la force d’agir également dans une autre incarnation, (c’est pourquoi il peut produire [sur le juif] une introspection et un bilan sur sa situation spirituelle).

Dès lors, il sera compréhensible, que le travail de chacune de ses réincarnations puisse se joindre à son travail [actuel].
Alors nous comprenons, que chacun d’entre les enfants d’Israël, quelque soit sa mission dans le monde, possède la force de réaliser « ici (toute) la terre d’Israël », et par ce fait, d’agir sur le monde tout entier, même si un homme est un commerçant occupé aux sujets du monde et non pas l’intendant d’une synagogue, ou dans un maison d’étude avec tout ce qui en découle… alors en plus du fait qu’il puisse participer par la construction de la synagogue ou de la maison d’étude, par un soutient financier et également par son travail personnel (lorsqu’il l’accomplie dans la perfection et selon ses forces) ce qui inclus, en soi, tous les sujets du service de D.ieu et toutes les parts de la terre d’Israël.

Il devient compréhensible que pour chacun d’entre les enfants d’Israël il y a la responsabilité d’amener la Guéoula pour le monde entier, par le fait qu’il accomplisse son travail personnel dans la perfection (dans la pensée, la parole et l’action, et plus en détail ; dans un seul instant et dans un seul endroit « ici », il y a la force de le transformer en terre d’Israël [l’endroit où il se trouve] et par cela agir et emmener la Guéoula complète dans le monde entier.
Plus simplement : dans notre situation qui est extrêmement proche et qui précède la délivrance, il faut que chacun d’entre les enfants d’Israël s’habitue à la situation de la délivrance et se conditionne par une définition exacte et un sentiment de délivrance ressentit, en transformant sa journée personnelle en un jour de délivrance personnelle, qu’il transforme son lieu privé en « terre d’Israël. En exécutant son travail à cet instant et dans ce lieu précis dans toute sa perfection, par la pensée, la parole et l’action.

Agir concrètement pour que le monde devienne Israël

Et comme une résultante de la perfection du travail personnel (dans la pensée, la parole et l’action) c’est-à-dire, qu’il doit s’exprimer comme le « Goral qui parlait », étant donné qu’il est pénétré dans son intériorité par l’enseignement et le travail de « fais ici Erets Israël » par une vitalité intérieure, il parle alors à propos de cela avec vitalité également avec les autres, et il fait connaître l’enseignement de « fais ici Erets Israël » chez les gens de sa maison, chez ses proches, et combien plus chez ses élèves jusqu’à ce qu’il en parle  avec tout ceux qui peuvent arriver à lui, puisque cela provient de son intériorité, il parle de choses qui sortent de son cœur et rentre dans le cœur des autres (Séfer Hayachar LéRabbénou Tam Paragraphe 13) et combien plus, par ce comportement, il deviendra un exemple vivant de son propre travail. Jusqu’à entraîner que ceux qui l’entendent deviennent, eux aussi, ceux qui parlent [à leur tour] ; « le Goral parlait ».

En ce qui concerne l’action concrète, immédiatement dès la sortie de Chabbat (si Machia’h n’est pas arrivé avant cela, D.ieu nous en préserve) ils auront à cœur de publier dans chaque endroit où ils se trouvent (d’une manière permise après le Chabbat) l’enseignement « fais ici la terre d’Israël » et ils continuerons à publier cet enseignement dans les jours qui suivent, jusqu’à ce que vienne notre juste Machia’h et alors ils continuerons dans la terre d’Israël, dans son sens simple. Vient se rajouter à cela, que dans le futur, la terre d’Israël se répandra sur toutes les terres du monde.

 

Pour le mérite de toute la famille WOLICA, des enfants et des petits enfants. Bénédictions matérielles et spirituelles pour recevoir le Rabbi Mele’h Hamachia’h avec joie et enthousiasme dans le 3ème Beth Hamikdach Now Mamach !!!

Pour le mérite de R Yeshayaou Ben Toybe, qu’Hachem le bénisse matériellement et spirituellement, pour une bonne santé, qu’il ait beaucoup de Na’hat ‘Hassidi de ses enfants et de ses petits enfants !

Pour le mérite de toute la famille Mimoun

 

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