Guimel Tamouz 5778 : Journée de dimanche au Ohel
Les Ba’hourim français du Beth Habad de Golden Beach (Miami) mettent les Tefiline à 117 personnes en l’honneur du 3 Tamouz. (Beth habad du Rav Chay Amar)
Le Rav Azar Mordehai ע״ה ben Haim Korsia est le père du Grand Rabbin de France, Rav Haim Korsia, de Mme Rahel Fleischer, de M. Elie Korsia (zal), de Mme Myriam Belhamou et de Mme Sarah Nizar
– Tehilim à l’hôpital Émile roux à Limeil Brevannes rue de Verdun (chambre mortuaire).
– Levaya lundi 18 juin à 14h15 de l’hôpital vers le cimetière d’Alfortville 180 rue Étienne Dolet à 15h15
L’Admour Hazaken demanda à l’un de ses grands et proches ‘Hassidim, lorsqu’il lui accorda une entrevue, comment il se portait.
Le ‘Hassid soupira amèrement et lui répondit que sa situation financière s’était considérablement détériorée.
L’Admour Hazaken lui répondit:
«Ton rôle est d’éclairer ton entourage par la Torah et par le service de D.ieu du coeur (la prière). La prospérité matérielle et la satisfaction de tes besoins, c’est D.ieu Qui doit te les accorder. Remplis donc ton devoir et D.ieu remplira le Sien.»
Le rabbin Menachem Mendel Futerfas (1906-1995) connu sous le nom de Reb Mendel , était un célèbre Mashpia et grand Hassid. Il était un des meilleurs élèves du célèbre Mashpia, Reb Zalman Moishe HaYitzchaki .
Le Rav Menahem Mendel Futerfas ouvrait des écoles juives clandestines en URSS. Ce fut la raison pour laquelle il a été incarcéré pendant 14 ans dans les goulags de Sibérie.
Après avoir quitté la Russie, le Rabbi de Loubavitch , lui a demandé d’être Machpia dans la Yechiva Tom’hei Temimim de Kfar Chabad, en Israël Il y est arrivé à l’été 1973 où ses Farbrengen étaient célèbres.
Il quitta ce monde le 2 juillet 1995 et fut enterré à Londres.
Il était connu pour raconter des histoires, en particulier de son incarcération, et tirer des leçons de tout ce qu’il a entendu et vu là-bas.
Il raconta une fois que jouer aux cartes était contraire aux règles de la prison, mais ses compagnons de prison jouaient toujours dans leur cellule. Le gardien de la prison pouvait les voir jouer.
Cependant, chaque fois que le gardien rentrait dans la cellule, les cartes disparaissaient et il lui était impossible de les trouver. Finalement il abandonna les recherches et promis de ne pas empêcher les prisonniers de jouer si ils lui révéler ce qu’ils ont fait avec les cartes. Les prisonniers lui répondirent que chaque fois qu’il entrait, ils glissaient les cartes dans sa poche et les reprenaient avant son départ.
Le Rav Futerfas a appris de cela que souvent nous cherchons loin ce que nous voulons, alors qu’il se trouve dans notre poche.