David Friedman, ambassadeur des États-Unis en Israël, se rend au Ohel du Rabbi

David Friedman, ambassadeur des États-Unis en Israël, se rend au Ohel du Rabbi

L’ambassadeur des États-Unis en Israël, M. David Friedman , a visité le Ohel du Rabbi, accompagné par le Rav Zalman Wolowik, Chalia’h dans cinq villes. Avant d’entrer dans le Ohel, il prépara un Pan.

David Melech Friedman, né le 8 août 1958 à Woodmere (État de New York), est un avocat américain. Il est ambassadeur des États-Unis en Israël depuis 2017.

David Friedman est l’un des quatre enfants du rabbin Morris S. Friedman.

En décembre 2016, il est désigné par Donald Trump pour être l’ambassadeur des États-Unis en Israël. Il se déclare en faveur de la colonisation et de l’annexion par Israël des territoires palestiniens sous occupation6. Il entre en fonction le 15 mai 2017.

 

 

 

 

Etats-Unis : Le Rav Shmoulik et ‘Haya Moushka Greenberg, nouveau Chlou’him à Wichita, au Kansas

Etats-Unis : Le Rav Shmoulik et ‘Haya Moushka Greenberg, nouveau Chlou’him à Wichita, au Kansas

Le Rav Shmulik et Chaya Mushka Greenberg, avec leurs trois jeunes enfants, déménageront à Wichita, au Kansas, pour ouvrir le tout premier Beth Habad dans la région.

Les Greenbergs déménageront à Wichita, la plus grande ville d’Amérique sans son propre Beth Habad, pour Rosh Hachana cette année.

Les Greenbergs établiront un centre Chabad pour apporter le judaïsme aux Juifs à travers le Mid-Kansas, offrant une éducation juive, des repas de Chabbat, des Minyanim, un camp d’été Gan Israel, et plus encore, dans un environnement amical, joyeux et sans jugement.

Pour soutenir le nouveau Shluchim, cliquez ici.

 

 

Rav Haim Nisenbaum :  la profondeur d’une défaite tient bien souvent à la manière dont on la regarde

Rav Haim Nisenbaum : la profondeur d’une défaite tient bien souvent à la manière dont on la regarde

Certaines dates claquent au vent comme les drapeaux les jours de victoire. Les 12 et 13 Tamouz que nous célébrons cette semaine sont de celles-là. Contraindre un empire sans pitié – l’URSS de Staline – à relâcher sa proie – Rabbi Yossef Its’hak, le précédent Rabbi de Loubavitch – est incontestablement un événement à fêter, d’abord pour lui-même et aussi pour toutes les conséquences dont il fut porteur. Sans doute est-ce cela qui rend le contraste encore plus difficile à vivre.

 

Moins d’une semaine plus tard, le calendrier indique la date du 17 Tamouz, jour de jeûne, et c’est de sentiments bien différents qu’il s’agit. Journée d’infortune est-on tenté de dire. De fait, au cours de l’histoire, les malheurs se succédèrent en ce jour, cinq rapportent les textes : depuis les Tables de la Loi brisées par Moïse au pied du mont Sinaï à la suite de la faute du veau d’or jusqu’à la première brèche pratiquée dans la muraille de Jérusalem par l’envahisseur, ce qui devait déboucher – nous le savons aujourd’hui – sur la destruction du Temple.

Que faut-il alors en dire ? Que, de cette date, s’élève la triste complainte des combats perdus, le sinistre murmure des abandons forcés ? Juste après la victoire, le désastre ? La vie peut-elle être faite de si brusques revirements ?

Toutes les armées du monde le savent : la profondeur d’une défaite tient bien souvent à la manière dont on la regarde. Devant l’adversité, la voie la plus facile, et donc la plus tentante, est toujours le renoncement. C’est ainsi que l’échec conduit à un autre échec et enferme sa victime dans une spirale du désespoir. Il y a pourtant un autre chemin : celui du redressement.

C’est ainsi que, si le 17 Tamouz marque bien la chute de la muraille protectrice de la Ville Sainte et du Temple, il peut également devenir le jour d’une prise de conscience renouvelée. La brèche dans la muraille devient ainsi une invitation à la reconstruction.

Dans la période de trois semaines qui s’ouvre après ce jour pour s’étendre jusqu’au 9 Av, date anniversaire de  la destruction du premier et du second Temple de Jérusalem, les Sages nous enseignent un chemin de vie : celui de l’étude des lois concernant l’édifice.

C’est bien plus qu’un symbole, c’est un acte d’avenir. Etudiant ces règles qui décrivent le Temple dans la prophétie d’Ezéchiel, dans le traité du Talmud Midot ou dans le Michné Torah de Maïmonide, nous ne rêvons pas à un monde meilleur, nous en posons les bases.

Entre l’acceptation désespérée d’une fatalité aveugle et le combat sans faillir pour un avenir de bonheur, de liberté et de paix, le choix est facile. Il appartient à chacun.