Le familles du Cercle de l’amitié de Brooklyn a débuté l’été avec une aventure en kayak sur le fleuve Hudson
Un dimanche matin ensoleillé, les familles faisant partie de « Friendship Circle of Brooklyn » ont débuté l’été par une aventure en kayak sur la rivière Hudson.
Les familles ont apprécié la navigation dans une petite crique avec des vues spectaculaires sur Manhattan et sa Statue de la Liberté.
Après avoir profité du temps passé sur l’eau, les familles ont eu droit à une visite surprise du camion de crèmes glacées Lamehadrin de Crown Heights.
C’était un bel après-midi où les familles de FC s’amusaient et passaient du temps ensemble. Un merci spécial à Esther Begun pour l’organisation de cette journée.
Le point culminant de sa première année réussie, la Tambourines Academy a donné une représentation inoubliable au « Brooklyn Children’s Museum » la semaine dernière.
L’Académie Tambourines offre aux jeunes filles de Crown Heights la possibilité de pratiquer les arts de la scène dans une atmosphère hassidique, sous la direction des instructeurs professionnels Chaviva Tarlow, Alicia O’hare et Leslie Class.
L’Académie a été créée par Lea Shemtov, qui a grandi en tant que Chlou’ha à Montevideo, en Uruguay, où les arts de la scène représentaient une grande partie de son enfance. « Je sais à quel point il est important pour les filles d’avoir des débouchés sains pour l’expression», dit-elle. « Je voulais fournir cette opportunité dans notre communauté. »
Après avoir perfectionné leurs techniques vocales, leurs techniques de danse et leurs capacités d’exécution pendant huit mois, les 30 participants âgés de 6 à 14 ans étaient ravis de montrer leurs talents.
« Je me suis tellement amusé à jouer », explique Chava Hurwitz, une élève de 5eme année.
Ils se sont produits dans une salle comble au théâtre Commons du « Brooklyn Children’s Museum ». Le spectacle était une comédie musicale dans laquel les filles dansaient de belles chorégraphies à des chansons perspicaces apprises en studio, en plus de scènes dramatiques préenregistrées dans lesquelles les filles jouaient.
Chaque fille a eu l’occasion de briller à travers une apparition solo sur scène, ainsi qu’un prix personnalisé félicitant sa contribution unique au groupe.
Après le spectacle, les parents ont partagé l’impact que l’Académie Tambourines a eu sur leurs enfants. « Ma fille a toujours hâte d’assister aux cours», explique Shulamis Pellin. « Tambourines lui a donné une telle confiance en elle! »
Des centaines d’étudiants participant à l’organisation faîtière de la jeunesse juive en Russie ont profité d’un inoubliable
Beaucoup d’énergie et de ressources sont investies dans les jeunes Juifs russes qui sont les bâtisseurs des futures générations juives en Russie. Des milliers de jeunes hommes et femmes participent au réseau éducatif dans des centaines de villes à travers le vaste pays.
Afin de réaliser leur avancement spirituel et d’absorber les nombreuses études religieuses et hassidiques qu’ils ont apprises au cours de l’année, des séminaires sont organisés pour eux dans différentes villes d’Europe, où ils sont accompagnés de rabbins et de Chlou’him qui utilisent l’atmosphère spéciale pour le maximum.
Cette semaine, un tel séminaire s’est tenu en Italie avec le directeur du Centre communautaire juif de Moscou à Marina Roscha, le Rav Morde’hai Weisberg.
Le point culminant de ce séminaire a été le « Chabbat de l’unité » dans un hôtel spécial qui a été caché à l’avance dans les Alpes italiennes. Les cours de Torah et de Hassidout, les Tefilots, les repas de Chabbat, dans une atmosphère spéciale. Le fondateur de l’organisation, le grand Rabbin de Russie, Rav Berel Lazar, s’est egalement adressé aux participants.
Les montées à la Torah étaient «vendus» non pas en dons mais en échange de bonnes résolutions que les jeunes prenaient sur eux: observer le Chabbat, faire sa Brith Mila, mettre régulièrement Tefillin, n’étaient que quelques-unes de ces bonnes resolutions, et les résultats furent agréablement surprenants.
Le Rav Menahem Mendel Wilansky, directeur de YAHAD, dit qu’à la suite de ces séminaires qui ont eu lieu jusqu’à maintenant, des dizaines de nouvelles maisons juives ont été établies, beaucoup se sont inscrits à la Yechiva, et leurs liens avec leurs rabbins et les centaines de Chlou’him dans toute la Russie s’est considérablement renforcée, que ce soit en rejoignant les Minyanim à leur synagogue locale, ou en aidant les activités dans leurs communautés.
Plus de 400 Shluchim ont participé jeudi, Rosh Chodesh Tamouz au JLI Conference and Expo au Grand Prospect Hall à Park Slope.
Ils ont exploré les nombreuses façons dont ils pourraient faciliter la croissance de leur Chli’hout. « Nous vous remercions de nous avoir aidés à obtenir une perspective, nous POUVONS changer le monde « , a écrit un responsable aux organisateurs de la conférence.
La plupart du programme consistait en des ateliers dirigés par des experts en pédagogie et en marketing, ainsi que des panels de collègues Chlou’him partageant des stratégies réussies.
Les sessions en petits groupes ont créé un environnement plus convivial pour encourager l’interaction et les questions dans le contexte plus large de la conférence.
Le Tséma’h Tsédek note, dans l’un de ses discours:
Notre maître, l’Admour Hazaken, s’adressant à ses fils, un mardi de la Parchat Balak 5562 (1802), leur dit:
Les astronomes se demandent pourquoi les hommes habitant aux antipodes, en Amérique, ne tombent pas, puisque la terre est ronde et sphérique comme une pomme.
La réponse qu’ils donnent à cette question n’est pas exacte.
Notre maître, l’Admour Hazaken, dit qu’elle peut être déduite de l’explication du Ets ‘Haïm, selon laquelle les neuf astres tirent leur existence des Cercles célestes. Or, un cercle n’a ni haut ni bas.
C’est la raison pour laquelle ceux qui vivent aux antipodes, en bas, ont au dessus d’eux un ciel qui est la continuité du nôtre. Et la terre, là-bas, est bien en bas par rapport au ciel qui se trouve au dessus d’elle.
