Le Hé Tevet 5747 – 6 janvier 1987, le Rabbi annonça que le jour de Hé Tevet était très propice pour la bénédiction, et encouragea à écrire des lettres qui seraient déposées sur le Ohel, dans lesquelles chacun demandera des bénédictions dans tous les domaines et donnera la Tedaka ce jour. Voir l’article sur le Hé Tevet
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Un Tsaddik, un Juste, qui quitte ce monde n’en disparaît pas, il s’y trouve avec une intensité encore plus grande, nous enseigne le Zohar. Lorsque, au début de la semaine prochaine, reviendra le 3 Tamouz, jour où le Rabbi quitta matériellement ce monde, cette phrase, immanquablement, résonnera dans l’esprit et dans l’âme de chacun. Car, avec le déroulement du temps, chacun constate à quel point la présence du Rabbi semble être encore plus sensible avec les années. Par ses enseignements, par les actions croissantes qu’il suscite aux quatre coins du monde, le Rabbi continue de guider, conduire, vivifier des centaines de milliers de personnes, diverses tant par leur origine que par leur mode de vie, leurs opinions ou leur situation géographique.
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Certains pourraient penser que la grandeur du 3 Tamouz se limite à ces considérations. Certes, ces idées expriment une actualité indéniable – et, en cela, elles sont essentielles. Toutefois, si cette date se contentait d’incarner cela, les années qui passent ne verraient rien se rajouter aux acquis antérieurs. On dirait alors que ce jour n’est qu’une commémoration, même importante, parmi toutes les autres. Or il représente bien autre chose et sans doute est-ce en cela qu’il révèle sa profondeur et son urgence pour chacun, car il est un jour d’élévation. Cela signifie que, lorsqu’il revient, d’année en année, il ne réapparaît pas au même niveau. Il entraîne toujours dans un degré plus haut et ce progrès est infini. C’est ainsi que le Rabbi lui-même s’élève également de degré en degré. Il ouvre un chemin toujours nouveau et chacun peut le suivre. Plus encore, il importe pour chacun de s’élever avec lui.
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Le propre d’une voie qui monte, c’est d’exister et d’offrir le passage. Mais il appartient à l’homme de s’y engager et d’en suivre les avancées. Cette route-là est spirituelle, c’est spirituellement qu’il faut savoir l’emprunter. C’est dire que le 3 Tamouz n’est pas qu’une journée qu’il faut marquer, c’est un moment rare qu’il faut vivre par l’action et par l’étude, par le cœur et par l’esprit. Ce jour tombe en début de semaine, a-t-on dit, comme pour souligner qu’il est un signe de commencement. Parce que c’’est une période nouvelle qui s’ouvre et que notre âme sait y trouver les ressources du renouveau. Afin que l’ombre recule pour faire place à la Lumière, celle du temps de Machia’h.
Au nom du Mouvement Loubavitch et de notre Communauté, je tiens à remercier très chaleureusement, la Mairie et les Élus, Mr Bruno Dommergue et Mme Mimi Gueye, pour leur amicale et active présence, hier Dimanche 29 Décembre 2019, lors de mon premier allumage public pour la Fête de Hanouka, Fête des Lumières, dans la ville de GOUSSAINVILLE !!
Sans vous, rien n’aurait été possible ! Ainsi, votre soutien me donne la force, de poursuivre mes efforts dans la voie du partage et de l’union. Je vous en suis très reconnaissant !
J’en profite également, pour saluer le remarquable travail des forces de l’ordre et du personnel de Sécurité qui ont, malgré le froid, veiller à la protection de tous, lors des discours et du spectacle de feu !
Sans oublier, Mr René Taïeb qui nous fait l’amitié de participer, sans compter, à chacun de nos évènements ! Ce fut un réel moment de plaisir, de grande satisfaction que d’être ainsi tous réunis et je tiens à nouveau, à vous en remercier !
Je saisis cette occasion, pour vous souhaiter une Bonne Nouvelle Année 2020 !
L’histoire a été faite dimanche dernier à Bonita Springs et à Estero, en Floride.
Plus de 400 personnes ont participé à l’ouverture du premier centre juif à Bonita Springs et Estero, qui a eu lieu avec l’allumage d’une grande Chanukya Menorah dans le comté de South Lee.
Le maire de Bonita Peter Simmons et le maire d’Estero William Ribble ont participé à la cérémonie de coupure du ruban. La foule a dansé joyeusement pour assister à un divertissement musical en direct de la chanteuse latino-israélienne Yehuda Glantz .
Les participants ont dégusté des latkes chauds, des sandwichs au pastrami Lamehadrin, de la restauration rapide israélienne, des beignets et des boissons. Les enfants ont apprécié les activités.
Le RavMendy Greenberg et son épouse Luba, directeurs du centre ‘Habad, ont remercié la foule d’avoir aidé à l’achat du tout nouveau centre de la communauté, qui servira les communautés locales et environnantes avec une programmation juive et éducative et le Chabbat et jour de Fêtes.
« À la lumière de ce qui s’est passé en termes d’antisémitisme dans le pays, nous sommes fiers d’ouvrir un nouveau centre juif, etd’augmenter ainsi la lumière dans le monde », a déclaré le Rav Greenberg. «Nous sommes impatients de répondre à tous les besoins de notre communauté.»
Le réalisateur Roy Germano a récemment visité une synagogue située près de chez lui à Brooklyn. Il se trouve que c’est également le siège du mouvement ‘Habad Loubavitch.
L’auteur, réalisateur de documentaires sur l’immigration et Brooklynite Roy Germano a écrit: « Je vis à quelques pâtés de maisons d’une communauté juive hassidique à Crown Heights, Brooklyn, qui a malheureusement été la cible d’une augmentation des crimes de haine au cours de la dernière année.
« Mon ami le rabbin Yoni Katz me fait visiter sa communauté alors que nous parlons de trouver son but et de lutter contre la haine en apprenant à se connaître. »
Le rabbin Yoni Katz est né à Netanya, en Israël et est maintenant un Brooklynite. Il y a plusieurs années, il a lancé une campagne intitulée «Unite the Beards» pour unifier les différentes données démographiques qui changeaient rapidement le visage de Brooklyn.
« Un non-juif visite une synagogue hassidique à Brooklyn »
Un Tsaddik, un Juste, qui quitte ce monde n’en disparaît pas, il s’y trouve avec une intensité encore plus grande, nous enseigne le Zohar. Lorsque, au début de la semaine prochaine, reviendra le 3 Tamouz, jour où le Rabbi quitta matériellement ce monde, cette phrase, immanquablement, résonnera dans l’esprit et dans l’âme de chacun. Car, avec le déroulement du temps, chacun constate à quel point la présence du Rabbi semble être encore plus sensible avec les années. Par ses enseignements, par les actions croissantes qu’il suscite aux quatre coins du monde, le Rabbi continue de guider, conduire, vivifier des centaines de milliers de personnes, diverses tant par leur origine que par leur mode de vie, leurs opinions ou leur situation géographique.
