Texte et Audio : Paracha Vayikra  ‘Face aux grandes vagues de la mer’

Texte et Audio : Paracha Vayikra ‘Face aux grandes vagues de la mer’

(Pour la Réfouah Chéléma de Samuel Ben Babeth)

 

Dans le Dvar Mal’hout sur la Paracha Vayikra, le Rabbi nous enseigne que lorsque le jour de Roch ‘Hodech Nissan tombe le jour du Chabbat nous sortons trois Livres de la Torah, et le fait de sortir ces trois livres détient le pouvoir de renforcer les enfants d’Israël de manière considérable (‘Hazaka), même durant les années pendant lesquelles Roch ‘Hodech ne tombe pas Chabbat, comme c’est le cas cette année 5780 (voir Dvar Mal’hout, fin de la lettre ב).

Dans le premier Livre, nous lisons la Paracha de la semaine, dans le second nous lisons le sujet de Roch ‘Hodech, et enfin dans le troisième nous lisons : ‘Ce mois-ci (Nissan) sera pour vous le commencement des mois’.

Chaque fois que nous sortons un Séfer Torah nous disons le verset (Bamidbar, 10, 35) : ‘C’était quand l’Arche se mettait en voyage, Moché disait lève-toi Eternel, que Tes ennemis se dispersent et que ceux qui te haïssent fuient de devant Toi…’.

Le Rabbi nous rappelle ici l’enseignement du Tanya selon lequel chaque Juif possède en lui-même une étincelle de Moché. Aussi, quand Moché s’adresse à D.ieu en disant ‘Lève-Toi Eternel’, il exprime l’importance pour chaque Juif d’ajouter dans le domaine de la Sainteté, et lorsque Moché déclare ‘que tes ennemis se dispersent et que ceux qui te haïssent fuient de devant Toi’, il souligne l’importance d’effacer tout ce qui s’oppose à notre élévation et qui perturbent notre service divin.

Par ailleurs, le Rabbi précise que nous sortons également trois Livres de la Torah le jour de Sim’ha Torah.

Cependant, ces trois Livres mettent d’avantage l’accent sur l’action d’étudier la Torah, alors que les trois Livres que nous sortons le jour du Chabbat Roch ‘Hodech Nissan mettent d’avantage l’accent sur les Commandements divins, les Mitsvoth.

Le Rabbi insiste en effet sur le fait que l’acte de la Mitsvah est essentiel pendant le mois de Nissan. La différence entre la Torah et la Mitsvah est connue. La Torah est la pensée du Saint béni soit-Il, laquelle est au-delà du monde. Par contre, la Mitsvah est ordonnée à l’homme pour qu’il agisse dans le monde, qu’il réalise l’union entre lui-même, le monde et D.ieu.

L’importance des Mitsvoth durant tout le mois de Nissan s’exprime aussi par le fait que dans le troisième Livre de la Torah il est question de la sanctification de la lune, qui est la toute première Mitsvah ordonnée aux enfants d’Israël : ‘Ce mois-ci (Nissan) sera pour vous le commencement dans l’ordre du compte des mois’.

Rachi explique que l’Eternel montra à Moché la lune dans le firmament, en lui disant que lorsque la lune se renouvellera dans le ciel, elle sera pour lui ‘le commencement des mois’.

Aussi le mois de Nissan est appelé le mois de la Délivrance, le Rabbi nous explique que contrairement aux trois Livres de la Torah de Sim’hat Torah, lesquels nous renforcent dans notre service divin habituel, les trois Livres du Chabbat Roch ‘Hodech Nissan nous renforcent dans notre service divin ‘nissit’ : ‘miraculeux’ qui relève de notre aptitude à agir au-delà de la nature et de nos habitudes.

Ainsi, dans le troisième livre que nous lisons il est question du Sacrifice de Pessa’h, et le Rabbi explique que le mot ‘Pessa’h’, ‘Saut’, vient pour exprimer le service divin qui est au-delà de toutes les limites.

Dans la lecture du second livre, il est question de Roch ‘Hodech, et le Rabbi enseigne que le mot ‘Hodech’ est lié au mot ‘Hidouch’ (nouveauté), afin de nous inciter à chercher la nouveauté en nous-même, à dépasser nos habitudes pour atteindre le ‘Hidouch, une lumière nouvelle dans notre service divin.

Enfin, dans le premier livre nous lisons la Paracha Vayikra, ‘Il appela Moché et D.ieu lui parla depuis la tente d’assignation en disant’ (Vayikra, 1, 1). Le sujet de ‘Vayikra’ est que Moché reçoit un reflet de lumière afin qu’il puisse s’élever et pénétrer dans la tente d’assignation, dans laquelle l’Eternel se dévoile à lui.

Or, comme il a été dit précédemment, chaque Juif possède une étincelle de Moché, et de ce fait il peut attirer et dévoiler en lui-même un reflet de la lumière infinie de D.ieu. Aussi, et dans le même ordre d’idée le Rabbi déclare que chaque enfant d’Israël possède la force d’attacher sa pensée à D.ieu d’un lien très puissant, au point de ressentir et ‘de voir avec ses yeux’ les dévoilements divins, comme ce sera effectivement le cas au moment de la Délivrance finale.

Cependant, et c’est là un des points essentiels de l’enseignement du Rabbi, même si l’on atteint le plus haut dévoilement, il est impératif que l’âme demeure dans le corps. En effet, la ‘Hassidout nous enseigne qu’un Juste parfait, même lorsqu’il connaît l’extase, tant est grande sa perception du divin, ne perd jamais de vue le désir de D.ieu d’avoir une demeure ici-bas.

Contrairement aux fils d’Aaron, Nadav et Avihou, qui perdirent leurs vies car leur désir de s’attacher à D.ieu dépassait la nécessité que l’âme demeure dans le corps, nous devons toujours élever notre âme vers les cimes les plus élevées, en ayant conscience qu’elle ne doit jamais quitter le corps. Bien que le désir de l’âme de quitter le corps pour s’unir à D.ieu soit très fort, il ne doit jamais mettre en danger notre existence. Aussi, nous devons faire tout ce qui est en notre pouvoir pour nous élever aux plus hauts niveaux et en même temps garder à l’esprit que cette élévation a pour but d’agir dans ce monde.

Pour illustrer cet enseignement, il est possible de donner ici l’exemple de l’Arche des Tables de l’Alliance.

Dans le traité ‘Yoma’ il est dit que lorsque l’Arche était déposée dans le Saint des Saints, il se produisait un miracle. Bien qu’elle possède des mesures précises, l’Arche ne prend pas de place dans le Saint des Saints.

De fait, chaque Juif doit être à l’image de l’Arche. Quand il sert D.ieu, il se doit d’agir au-delà de toutes les mesures, de toutes les limites, à l’exemple de l’Arche ‘qui ne prend pas de place’ et que l’on ne peut mesurer lorsqu’elle est déposée dans le Saint des Saints.

Mais, tout en servant D.ieu, et même si l’âme connaît la plus haute élévation, elle se doit de demeurer dans les limites du corps, à l’exemple de l’Arche ‘que l’on peut mesurer’.

La qualité d’un ‘Hassid consiste à lier la lumière divine infinie avec les limites de ce monde. Il accomplit les Commandements divins, qui possèdent des mesures et des limites, avec un amour infini pour D.ieu.

Dans une Si’ha (Likoutey Si’hot, ‘Helek Aleph, pages 134-138) le Rabbi nous enseigne que ‘la mer s’ouvrit par le mérite d’un seul juif, du nom de Na’hchon ben Aminadav’. Ce juste du peuple juif savait que le Saint béni soit-Il avait libéré Ses enfants de l’Egypte afin de les conduire au pied du Mont-Sinaï et de leur donner la Torah, laquelle n’est autre que l’Arbre de vie, la Sagesse de D.ieu grâce à laquelle les enfants d’Israël pourraient s’attacher à Lui et feraient de ce monde matériel une demeure pour Son Essence bénie.

Na’hchon ne fut donc pas du tout impressionné par tous les évènements extérieurs qui se produisirent autour de lui. Alors qu’une partie de l’Assemblée d’Israël désirait retourner en Egypte, qu’une autre partie envisageait de combattre les égyptiens qui les poursuivaient, et que d’autres souhaitaient fuir dans le désert, il n’y avait seulement qu’un groupe d’hommes qui pensait que la solution était de rentrer dans la mer.

Na’hchon fut l’un de ces hommes. Il ressentait profondément le projet divin, et ne fut donc nullement apeuré par l’image des égyptiens qui approchaient. La seule chose qui importait à ses yeux était de gagner le plus vite possible le Mont Sinaï pour y recevoir la Torah.

Il agit donc au-delà de la raison, de la logique, et de l’intellect, et sauta dans la mer.

Dans le Dvar Mal’hout sur notre Paracha, le Rabbi rapporte le Midrach Raba selon lequel le nom ‘Na’hchon’ vient de ‘Na’hchol’ qui désigne ‘les grandes vagues de la mer’ que Na’hchon n’eut pas peur d’affronter lorsqu’il entra, le premier, dans la mer.

Le nom de Na’hchon n’est donc pas sans évoquer la force de Messirout néfech, et la soumission la plus totale vis-à-vis du Saint béni soit-Il.

Le Midrache nous révèle que Na’hchon avança dans la mer jusqu’à ce que le niveau de l’eau atteint celui de ses yeux, bien que cela l’empêchait de respirer, et alors seulement après cela la mer s’ouvrit devant lui. Nous comprenons de cela que lorsqu’un juif dépasse le niveau de l’intellect, comme ‘l’eau de la mer dépassa le niveau de son nez et atteint celui de ses yeux’, alors l’Eternel ouvre la mer devant lui.

Le Rabbi souligne à ce sujet que la Mitsva de la Tsédaka, plus que tout autre Mitsva, doit être accomplie en cette veille de Pessa’h avec le plus grand dévouement, au-delà de toutes les limites. Dès-lors, rien ne pourra constituer d’obstacle, pas même ces ‘grandes vagues de la mer’, pour voir enfin avec nos yeux de chair, la Délivrance finale avec la venue de notre juste Machia’h, très bientôt et de nos jours. Avec l’aide de D.ieu.

Le Gaone Rogatshover : La Mitsva de « ונשמרתם מאוד לנפשותיכם », « et vous ferez extrêmement attention de ne pas mettre votre vie en danger »

Le Gaone Rogatshover : La Mitsva de « ונשמרתם מאוד לנפשותיכם », « et vous ferez extrêmement attention de ne pas mettre votre vie en danger »

Rav Yossef  Rosen, connu comme le Gaone Rogatchover (1858 – 1936) est un rabbin connu comme Génie (Gaone) pour ses connaissances talmudiques, un des plus grands talmudistes du début du xxe siècle. 

À une certaine époque, le Gaone Regatshover est venu dans la grande ville de Pétersbourg et a voulu traverser une tres grande avenue.

Le Gaone Regatshover a attendu très longtemps que toutes les calèches et les charrues passent pour traverser.

Un Hassid qui l’accompagnait lui demanda :
« Rabbi, pourquoi avez-vous si peur de tenter de traverser entre elles? »

le Gaone Regatshover répondit :
« Il y a 612 Mitsvot dans la Torah pour lesquelles on peut faire Techouva. Il y a un seul commandement pour lequel aucune Techouva n’est possible. Cette Mitsva est « ונשמרתם מאוד לנפשותיכם, et vous ferez extrêmement attention de ne pas mettre votre vie en danger! »

Ne négligez pas les consignes de santé! Ne mettez pas votre vie en danger et surtout pas celle des autres!!

Le Ohel Hevra Kadisha, une association habilitée à faire les Kaddich à l’année

Le Ohel Hevra Kadisha, une association habilitée à faire les Kaddich à l’année

Suite à de nombreuses inhumations faites dans des conditions pénibles, cette association est habilitée à faire les Kadichim à l’année

VOUS N’ÊTES PAS AFFECTÉ ?
AIDEZ LDES FAMILLES À FINANCER LES KADDISHIM, RECITES CHAQUE JOUR, TOUTE L’ANNEE !
Reçu envoyé dans l’immédiat : https://www.allodons.fr/le-ohel

06 38 67 69 01

 

Coronavirus : Comment faire le ménage pour limiter la propagation

Coronavirus : Comment faire le ménage pour limiter la propagation

D’après l’Organisation Mondiale de la Santé, les surfaces peuvent être contaminées par le virus. Combien de temps le COVID-19 reste-t-il sur celles-ci ? Comment nettoyer son intérieur et ses vêtements ? Réponses.

 

Doctissimo

La France est au stade 3 du coronavirus. Pour désengorger les hôpitaux qui prennent en charge les cas graves, les patients qui ne sont pas à risque de manifester des complications restent chez eux. Mais contaminée ou non, toute la population française se confine à son domicile pour limiter la propagation du virus.

Pour éviter tout risque de transmission, que l’on soit porteur sain ou que l’on vive avec un proche touché par le coronavirus, il convient de respecter les mesures d’hygiène barrière, sans oublier de nettoyer régulièrement son intérieur.

Pourquoi faut-il nettoyer son logement ?

Pour rappel, le coronavirus se transmet par les gouttelettes, c’est-à-dire par des sécrétions projetées lors d’éternuements ou de la toux. « On considère donc qu’un contact étroit avec une personne malade est nécessaire pour transmettre la maladie : même lieu de vie, contact direct à moins d’un mètre lors d’une toux, d’un éternuement ou d’une discussion en l’absence de mesures de protection » indique le site du gouvernement.

Le virus peut continuer de vivre ailleurs que dans le corps humain, d’après une étude publiée par des chercheurs américains dans la revue The New England Journal of Medicine. Les chercheurs ont mené plusieurs tests, notamment en déposant le virus sur des surfaces inertes et en le pulvérisant avec un brumisateur. D’après leurs travaux, la durée de vie du virus sur une surface varie en fonction de la surface contaminée :

– 3h dans l’air
– 4h sur du carton
– 3 jours sur du plastique
– 3 jours sur de l’acier
– 4 jours sur du bois 
– 5 jours sur du verre
« Les mains sont en contact avec de nombreuses surfaces qui peuvent être contaminées par le virus. Si vous vous touchez les yeux, le nez ou la bouche, vous risquez d’être en contact avec le virus présent sur ces surfaces » confirme l’ Organisation Mondiale de la Santé.

Par ailleurs, une étude publiée le 4 mars 2020 dans la revue américaine JAMA montrait que les patients atteints pas le virus contaminaient leur chambre et leur salle de bains. Les scientifiques ont testé l’une des chambres avant le nettoyage quotidien et les deux autres après les mesures de désinfection.

Résultat : sur les 15 surfaces, le premier patient en avait contaminé 13 dont sa chaise, son lit, sa fenêtre et le sol, ainsi que son lavabo et la cuvette des toilettes. Les échantillons d’air étaient négatifs, mais positifs dans les grilles d’aération. Les deux autres chambres testées après le nettoyage ne contenaient pas de trace de virus.

Comment faire le ménage pour limiter la propagation du coronavirus

QUEL ENDROIT NETTOYER ?
Il faut surtout nettoyer les endroits que l’on est susceptible de toucher plusieurs fois et/ou dès que l’on rentre chez soi, juste avant de se laver les mains. Il s’agit donc des interrupteurs, des poignées de porte, du robinet, ou encore de son téléphone. Le sol, les chaises, la table, les télécommandes, la salle de bain et les toilettes doivent aussi être passés au crible.

Pour le linge, il est préférable de laver les vêtements systématiquement après avoir été en contact avec d’autres personnes, ou après s’être assis dans des lieux avec beaucoup de passage, comme les transports en commun. Les draps des lits doivent aussi être passés en machine régulièrement. « Selon Santé Canada et par analogie avec SARS-CoV et MERS-CoV, un cycle en machine de 30 mn à 60°C serait de nature à détruire ces virus », estime le Haut Conseil de la santé publique.

QUEL PRODUIT UTILISER ?
L’agence américaine Centers for Disease Controle and Prevention (CDC) conseille à la fois de nettoyer et de désinfecter. Le nettoyage consiste à éliminer les contaminants, la désinfection à tuer les agents pathogènes. L’idéal serait de faire les deux quotidiennement à chaque fois que quelqu’un entre dans le logement : d’abord avec de l’eau savonneuse ou un spray nettoyant, puis de l’eau de javel. Le CDC conseille de mélanger 4 cuillères à café d’eau de javel domestique pour un litre d’eau et de verser le tout dans un flacon pulvérisateur.

« Le virus peut rester sur les objets. Le mieux est d’utiliser l’eau de javel pour désinfecter son intérieur », confirme Agnès Ricard-Hibon, présidente de la Société Française de Médecine d’Urgence. Dans son document, le Haut conseil de la santé publique déclare : « une désinfection de l’environnement des cas confirmés peut être obtenue par l’usage d’eau de Javel à une concentration de 0,5% (5 000 ppm) ou de tout autre produit validé par la norme EN 14 476 en suivant les recommandations du fabricant ». « Sachez que l’alcool et le chlore peuvent tous deux être utiles pour désinfecter les surfaces, mais ils doivent être utilisés en suivant les recommandations appropriées » ajoute l’ Organisation mondiale de la Santé.

L’OMS met en garde toutefois : « vaporiser de l’alcool ou du chlore sur tout le corps ne tuera pas les virus qui ont déjà pénétré dans votre corps. La pulvérisation de ces substances peut être nocive pour les vêtements ou les muqueuses ».

Vendez votre ‘Hamets en ligne

Vendez votre ‘Hamets en ligne

N’ATTENDEZ PAS LA DERNIERE MINUTE :
Dans la mesure où il est interdit de posséder du ‘Hametz à Pessa’h, il est nécessaire de vendre à un non-juif celui que l’on possède, de même que les ustensiles ‘Hamets (qui n’ont pas été nettoyés).

Vous pouvez vendre votre ‘Hamets avant que tout aura été rangé dans les placards ou dans des chambres, lors de la préparation de la maison pour Pessa’h. Ces endroits seront ensuite fermés à clé ou avec un adhésif et loués au non-juif, lors de la vente du ‘Hamets. Il suffit de préciser dans le formulaire ces endroits (ou de préciser globalement : « Dans tous les endroits ou se trouve le ‘Hamet »

Les modalités de cette vente étant très complexes, elles ne peuvent être exécutées que par un Rabbin, qui, au nom de tous ceux qui lui en délèguent le pouvoir, vend le ‘Hamets à un non-juif, le matin précédant Pessa’h et le lui rachète la nuit suivant la fête.

et partout où le Hamets se trouverait. J’accepte toutes les modalités et les conditions énoncées dans l’acte général de procuration pour la vente du ‘Hamets, établi par le Rabbin L.I. Kahn.

Inutile d'avoir rangé tout votre 'Hamets pour renvoyer la procuration. Précisez simplement les lieux où vous le déposerez. Il suffit que le 'Hamets s'y trouve à la date de la vente effective.
Merci de cocher une des options