Anevia770
sur 27 janvier 2022 – 25 Shevat 5782 à 17 h 40 min
Une *petite histoire sur la Rabanit Hanna*, pour l’anniversaire , 28 Tevet 😉
En 5699-1939, Rabbi Lévi Its’hak, (le mari de la Rabanit hanna) fut emprisonné pour son intense activité, tendant à préserver le Judaïsme. Il fut condamné à l’exil, à Tchiaily, un village qui se trouve au fin fond du Kazakhstan.
Dès que la Rabbanit Hanna sut où se trouvait son mari, elle fit don d’elle-même et partit le rejoindre, malgré les difficultés et le danger qui en résultaient. Lorsqu’elle arriva à Tchiaily, elle parvint à réduire considérablement les souffrances du Rav, Elle assuma également une importante responsabilité d’ordre spirituelle, en *fabriquant de l’encre de ses propres mains* et en se procurant du papier, pour permettre à son mari de rédiger ses merveilleux commentaires de la Torah.
Quand la rabanit Hanna, après la mort de son mari , s’enfuit de la Russie communiste , elle emporta avec lui les manuscrits de son mari, qui furent édités par son fils, les rabbi de Loubavitch, une trentaine d’années plus tard (Les ´Likoutei Levi Itshaq’)
Une *petite histoire sur la Rabanit Hanna*, pour l’anniversaire , 28 Tevet 😉
En 5699-1939, Rabbi Lévi Its’hak, (le mari de la Rabanit hanna) fut emprisonné pour son intense activité, tendant à préserver le Judaïsme. Il fut condamné à l’exil, à Tchiaily, un village qui se trouve au fin fond du Kazakhstan.
Dès que la Rabbanit Hanna sut où se trouvait son mari, elle fit don d’elle-même et partit le rejoindre, malgré les difficultés et le danger qui en résultaient. Lorsqu’elle arriva à Tchiaily, elle parvint à réduire considérablement les souffrances du Rav, Elle assuma également une importante responsabilité d’ordre spirituelle, en *fabriquant de l’encre de ses propres mains* et en se procurant du papier, pour permettre à son mari de rédiger ses merveilleux commentaires de la Torah.
Quand la rabanit Hanna, après la mort de son mari , s’enfuit de la Russie communiste , elle emporta avec lui les manuscrits de son mari, qui furent édités par son fils, les rabbi de Loubavitch, une trentaine d’années plus tard (Les ´Likoutei Levi Itshaq’)