A la conclusion des fêtes, après Roch Hachana, Yom Kippour, Soukkot, Chemini Atséret, Sim’hat Torah, un Juif doit réintégrer les jours ouvrables. Bien plus, il pénètre alors dans l’hiver et, pendant près d’une demi année, ne connaîtra plus de fêtes. Il doit donc prendre des « provisions » pour le chemin, des forces et des bénédictions qui lui permettront de mettre en pratique l’Injonction « et Yaakov avança sur son chemin », afin qu’il progresse de manière certaine, même si toutes les routes sont réputées dangereuses.

C’est donc à Chemini Atséret que l’on collecte toutes les bénédictions, de portée générale, qui sont obtenues pendant le mois de Tichri. Puis, à Sim’hat Torah, la bénédiction nouvelle commence à se révéler. Dès lors, il est plus aisé de mettre en pratique, tout au long de l’année, les bonnes résolutions prises pendant ce mois.

En outre, ce Sim’hat Torah introduira la joie de la Mitsva en tous les jours de l’année. Ainsi, les limites, barrières et obstacles à l’étude de la Torah et à la pratique des Mitsvot disparaîtront définitivement.

En effet, Sim’hat Torah révèle la lumière la plus haute, entourant tout à la fois et collectant toutes les lumières du mois de Tichri.

Source : Lettre 783

À l’initiative du Beth Loubavitch et du Mak’hon Or Ha’Hassidout_

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