Une scène touchante s’est déroulée aujourd’hui à Kfar Yona : l’entrepreneur chargé de la construction du nouveau mikvé n’a pu résister à l’appel de la joie hassidique. Alors qu’un cercle de danse se formait spontanément après la cérémonie de coulage du béton, il s’est empressé de rejoindre les célébrations, incarnant parfaitement l’esprit de « Oufaratsta » (l’expansion) si cher au mouvement Habad.

 

 

Cette journée marque un tournant historique pour la ville de Kfar Yona. Pour la première fois, un mikvé selon la méthode Habad « bor al gabei bor » (bassin sur bassin) y est construit, fruit d’une collaboration entre le Centre des Mikvés Habad, le Beth Habad local et le Conseil Religieux de la ville.

La cérémonie de coulage du béton a réuni des personnalités éminentes :
– Le Rav Avinoam Stern, émissaire au 770 de Jerusalem – Ramat Shlomo
– Le Rav Ouzi Shweitza, Rav de la ville
– Le Rav Haim Eliyahou Gluchovsky, expert en mikvés et rabbin du Centre
– Le Rav Nehemia Schmerling, émissaire de Kfar Yona
– Le Rav Israël Kot, superviseur des mikvés
– Mme Hila Hassan-Lefkowitz, présidente du Conseil Religieux

L’atmosphère de joie qui a culminé avec la danse spontanée témoigne de l’importance de cet événement pour la communauté. La participation enthousiaste de l’entrepreneur aux danses hassidiques symbolise parfaitement l’esprit d’unité et d’expansion que Habad cherche à promouvoir.

Ce nouveau mikvé, construit selon les plus hauts standards de la tradition Habad, représente bien plus qu’une simple installation rituelle. Il incarne l’engagement continu du mouvement Habad à renforcer la vie juive dans chaque ville d’Israël, en mettant l’accent sur l’excellence et l’accessibilité.

La construction de ce mikvé marque une étape importante dans le développement de la vie juive à Kfar Yona. Elle témoigne de la collaboration fructueuse entre les institutions religieuses et municipales, promettant un avenir enrichissant pour la communauté locale.

La scène de l’entrepreneur rejoignant spontanément la danse hassidique restera gravée dans les mémoires comme un symbole puissant de l’union entre le sacré et le profane, entre la tradition et la modernité, incarnant parfaitement la vision inclusive du judaïsme portée par le mouvement Habad.