Le Bureau national de vigilance contre l’antisémitisme rompt le silence qui entoure l’assassinat d’un homme de confession juive par un suspect de confession musulmane

Le Bureau national de vigilance contre l’antisémitisme a été requis par de très nombreux correspondants qui voient circuler des informations sur le meurtre d’un homme de confession juive, M. L. H, 34 ans, originaire de Djerba en Tunisie et dont la famille vit à Beer Sheva en Israël.

L’assassinat aura été commis par un suspect de confession musulmane. L’inquiétude est avivée par le silence qui entoure cette affaire.

Les faits se sont déroulés le 20 août à Longperrier, Seine et Marne. L’auteur présumé des faits qui témoignent d’un terrible acharnement, a lui-même prévenu la police, a été interpellé et placé en détention.

Selon les informations du Bureau national de vigilance contre l’antisémitisme, le suspect aurait déclaré lors de son arrestation que la victime, qui cohabitait avec lui, lui devait 100 euros et ne les avait pas rendus.

Et dans un deuxième temps il aurait avoué qu’il l’avait tué parce qu’il était juif.

Selon nos informations, l’assassin a fracassé le crâne de sa victime au moyen d’une hache puis il a brûlé son visage et aurait même commencé à enterrer le corps. Il s’est constitué lui-même à la police

Le Bureau national de vigilance contre l’antisémitisme qui s’intéresse attentivement à cette affaire, demande que les faits soient examinés en envisageant le caractère antisémite, et en ne l’écartant pas a priori.

Nous chargeons notre Conseil de constituer le Le Bureau national de vigilance contre l’antisémitisme partie civile, afin de vérifier si le caractère antisémite est à confirmer.

Le Bureau national de vigilance contre l’antisémitisme est habitué à voir que les différends de voisinage se concluent par des violences verbales ou physiques antijuives.