גם העולה לתורה אומר חזק חזק ונתחזק.
באמירת ויהי נועם במוצש’ק כופלים פסוק אורך ימים גו’, אבל לא בתפלת שחרית.
בהיות ה’צמח צדק’ ילד ולמד את הכתוב ‘ויחי יעקב בארץ מצרים שבע עשרה שנה’, תירגם לו מורו – על פי פירוש בעל-הטורים – יעקב אבינו חי את שבע-עשרה השנים הטובות ביותר במצרים. כשבא הביתה מה’חדר’ שאל את זקנו האדמו’ר הזקן: היתכן שיעקב אבינו, בחיר האבות, יהיו מבחר שנות חייו – יז שנה שגר בארץ מצרים ‘ערות הארץ’?

ויענהו אדמו’ר הזקן: כתיב ‘ואת יהודה שלח לפניו אל יוסף להורות לפניו גשנה’, ואיתא במדרש – מובא ברש’י – א’ר נחמיה: להתקין לו בית תלמוד, שתהא שם תורה ושיהיו השבטים הוגים בתורה’.

‘להורות לפניו גשנה’, על ידי לימוד תורה [=’להורות לפניו’ אזי – ‘גשנה’ ‘ניגשים’] מתקרבים לקב’ה, באופן שגם במצרים הוא בבחי’ ‘ויחי’-בחיות.

. Celui qui est le dernier appelé à la Torah (pour conclure la lecture de chaque livre de la Torah) dit également ‘Hazak ‘Hazak Venit’hazek’ (comme le font tous les présents).

. Lorsqu’on dit ‘Vayehi Noam’ (Sidour p.116), à l’issue du Chabbat, on répète deux fois le verset ‘Ore’h Yamim’, mais on ne le fait pas à Cha’harit (Sidour p.154).

Lorsque le Tséma’h Tsédek était enfant, il étudia le verset “et Yaacov vécut en Egypte pendant dix sept ans”. Son maître lui expliqua, selon l’interprétation du Baal Hatourim, que “Yaacov vécut ses dix sept meilleures années en Egypte”.

Lorsqu’il quitta le ‘Heder et rentra à la maison, il interrogea son grand-père, l’Admour Hazaken: “comment est-ce possible que notre ancêtre Yaacov, élu d’entre tous les Patriarches, ait pu connaître les meilleures années de sa vie en Egypte, dans le pays le plus corrompu de la terre?”

L’Admour Hazaken lui répondit:
“Il est écrit ‘et il envoya Yehouda devant lui pour donner des instructions à Yossef concernant Gochen’”. Le Midrach, cité par Rachi, explique: “Rabbi Ne’hemia dit: pour y instaurer une maison d’étude, afin que la Torah se trouve là-bas et que les tribus l’étudient”.

L’expression ‘pour donner des instructions concernant Gochen’, souligne, selon une interprétation plus profonde, que celui qui étudie la Torah devient plus proche de D.ieu, puisse-t-Il être béni. Alors, même en Egypte, on pouvait dire ‘Vaye’hi’, il a vécu.”