À la veille des vacances inter-semestrielles, le Rav Shmuel Brodowicz, directeur de la première année de la Yechiva Ktana Tomhei Tmimim de Brunoy, a emmené ses élèves découvrir l’histoire des célèbres plages du Débarquement en Normandie.

 

Le voyage a été organisé par l’émissaire du Rabbi dans la ville de Caen, le Rav Motti Lewin. Les jeunes ont appris l’histoire des années 30 et 40, le séjour du Rabbi en France durant cette période, ainsi que l’implication du Rabbi Rayatz dans le sauvetage de son gendre et de sa fille, et la chronologie des événements qui ont conduit au Débarquement.

Ils ont visité des avions de combat, des bunkers, récité le Kaddish dans le cimetière pour les âmes des soldats héroïques, et chanté des nigounim de Habad. Le voyage s’est aussi fait en jeeps, offrant une expérience immersive de tous les aspects de cette bataille historique.

Les étudiants ont également visité la ville voisine de Cabourg, guidés par l’émissaire le Rav Shlomo Lewin, qui leur a parlé de l’importance de partir en mission.

Le moment tant attendu fut celui où les étudiants ont participé à l’écriture d’une lettre dans un Sefer Torah spécialement écrit sur les plages du Débarquement, dans des bunkers nazis, près de ponts historiques et sur les plages, en l’honneur et à la mémoire des soldats sacrés. Les lettres ont été écrites par le scribe Rav Shneor Dov Lewin, émissaire du Rabbi et rabbin de la ville de Le Havre en Haute-Normandie.

Dans la ville de Caen, ils ont chanté « L’hymne français » et « HaAderet VeHaEmunah », l’hymne de la révolution, devant l’hôtel de ville avec grande ferveur.

Pour conclure, ils ont dîné et dansé joyeusement lors d’un Farbrenguen avec le mashpia Rav Aryeh Zvi Nisselovitch, émissaire du Rabbi à Drancy, qui a enthousiasmé les étudiants avec sa vitalité et sa sensibilité particulière, dans le nouveau Beth Habad récemment acquis par les émissaires Rav Motti et Zlata Lewin. Ce Beth Habad servira de centre communautaire, de salle d’événements, de magasin casher, de chambres d’hôtes pour les étudiants et les familles hospitalisées, du premier mikvé de la ville, d’un jardin d’enfants et bien plus encore.