Compromis ou aggravation ? Dis juste la vérité !

Vous m’interrogez également sur la nécessité d’enseigner la Torah sans compromis.

Vous craignez, si vous adoptez une position trop rigoriste envers les enfants, que ceux-ci n’acceptent rien du tout, ce qui plaiderait la cause de ces compromis.

S’agissant précisément de tels enfants, il est nécessaire de ne pas faire de compromis, de ne pas leur dire que l’on peut transgresser quelques Mitsvot, ce qu’à D.ieu ne plaise, à condition d’en respecter d’autres.

Tout d’abord, il est interdit de mentir. En outre, il s’agit là d’un enseignement de la Torah qui n’est pas conforme à la Hala’ha, d’une modification de la foi.

Il faut donc montrer aux enfants, leur expliquer qu’on leur enseigne, pour l’heure, telle Mitsva, mais qu’il en existe d’autres.

Néanmoins, il est impossible de toutes les apprendre d’emblée. On procède donc par étapes.

Vous leur parlerez également de la Techouva. Si quelqu’un a succombé à l’épreuve, ce qu’à D.ieu ne plaise et n’a pas agi comme il faut, il reste, comme auparavant, astreint à toutes les Mitsvot de la Torah, car “ même s’il commet une faute, il reste un Israël ”.

Par la suite, il est possible de réparer grâce à la Techouva.

Source : Lettre 6373

À l’initiative du Beth Loubavitch et du Mak’hon Or Ha’Hassidout

👉 Rejoignez le groupe (silencieux) grâce au lien :
https://chat.whatsapp.com/CkWQay2yaMrFfzqS4hEcpU