Celui qui veut voir ce qu’est un « amour éternel », doit voir le grand amour de mon père pour le Rabbi, et du Rabbi pour mon père. Je ne me souviens pas d’une telle chose. Nous voyons toujours avec quel respect mon père se referait à chaque mot du Rabbi.
Nous avons vu les rencontres de mon père avec le Rabbi. J’ai eu le mérite d’assister à deux d’entre elles. Le plus incroyable était le moment où le Rabbi a dit à mon père: « Le délivrance est là, il suffit d’ouvrir la porte et de la tirer à l’intérieur. »
La délivrance attend juste que nous ouvrions la porte et que nous la tirions avec Sa force unique. Je me souviens de moi-même regardant la porte, et aussi regardant le visage de mon père. J’ai vu la lumière, la joie, la satisfaction sur le visage de mon père quand il lui dit : « On peut laisser la porte ouverte. C’est mon fils et il a un kollel, il faut l’encourager à continuer à étudier la Torah, qu’il s’élève et grandisse dans la Torah. »
Je ne me considère pas comme un Habad, mais j’ai lu et étudié les Si’hot du Rabbi dans le Dvar Mal’hout de nombreuses fois. J’ai vraiment ressenti que c’était comme un commandement. Une des choses les plus merveilleuses qu’on y trouve, c’est la déclaration qui dit qu’une personne doit ouvrir ses yeux, ses oreilles et son cœur. Depuis que j’ai entendu ces paroles du Rabbi dans les Si’hot du Dvar Mal’hout, je fais chaque jour un effort pour ouvrir mes yeux, mes oreilles et mon cœur, car c’est notre travail. Et quand tu ouvres, tu ressens vraiment que les choses que le Rabbi dit sont tellement vraies. Cela ne dépend que de nous d’ouvrir et de « tirer le Machia’h à l’intérieur ».
Je sens vraiment que toute ma vie a pris un nouveau sens depuis que j’ai étudié les Si’hot du Rabbi. Il y a une Si’ha du Rabbi du 28 Nissan que j’ai lue je ne sais combien de dizaines de fois, où il dit que les gens doivent voir le Machia’h au point qu’ils se mettent à danser, et qu’il n’est même pas nécessaire de les réveiller à ce sujet. Il suffit d’ouvrir les yeux. Il y a aujourd’hui des miracles plus grands que ce qu’il y avait à l’époque de Morde’hai et Esther.
Mon père disait du Rabbi : « Leit din bar inish ! » « Ce n’est pas un être humain ! », (c’est-à-dire qu’il est comme un ange !). Je me souviens que quand j’ai entendu cela de mon père, je lui ai dit : « Papa, à ce point? » il m’a répondu : « oui! »
Je pense que quiconque a étudié une fois les Si’hot du Rabbi comprend qu’il est impossible de comprendre ce qui se passe dans notre génération sans lire ces livres. Si tu veux réfléchir correctement à la réalité, lis le Dvar Mal’hout. C’est simplement un grand mérite. Ces livres sont un mérite, un mérite pour nous de pouvoir étudier, d’acquérir cette perspective unique.
Le Rav Shmouel Eliyahu est un éminent rabbin orthodoxe israélien, né en 1956. Il est le fils de Morde’hai Eliyahou a’h, ancien grand rabbin séfarade d’Israël.
1. Formation et éducation solides : Il a étudié dans des institutions prestigieuses comme Yashlatz à Jérusalem et Mercaz HaRav Kook.
2. Service militaire : Il a servi dans une unité de combat des Forces de défense israéliennes.
3. Carrière rabbinique précoce : Ordonné rabbin à 23 ans, il est devenu rabbin municipal de Shlomi à 29 ans.
4. Leadership religieux : Il est l’actuel grand rabbin de Safed et membre du Conseil du Grand Rabbinat.
5. Engagement dans la justice : Il a joué un rôle clé dans l’enquête sur des allégations d’abus sexuels, contribuant à traduire en justice un faux kabbaliste.
6. Défense des victimes : Dans l’affaire Chaim Walder, il a encouragé les victimes à témoigner et a soutenu leur cause.
7. Influence politique : Il a des liens étroits avec des personnalités politiques influentes en Israël.
8. Soutien à Jérusalem : Il a organisé une lettre de remerciement signée par 250 rabbins orthodoxes israéliens à Donald Trump pour avoir reconnu Jérusalem comme capitale d’Israël.