ברכת ‘שפטרני’ [שמברך האב על בן הנכנס לעול מצוות] מברכים בלא שם ומלכות, ומברכים אותה גם ביום ב’, ה’, בר’ח, ולאו דוקא בשבת.

מקובל בידינו בשם מורינו הבעש’ט: כששומעים דבר לא טוב על אחד מישראל, גם אם אין מכירים אותו, צריך להצטער צער רב, כי אחד מהם הוא בודאי לא טוב: אם אמת הדבר שמספרים על פלוני, הלא הוא לא טוב, ואם אינו אמת הלא המספר נמצא במצב לא טוב.

La bénédiction ‘Barou’h Chepatrani’ (Sidour p.70) (récitée par le père lors de la Bar Mitsva de son fils) est dite sans citer le nom de D.ieu et Sa royauté. On peut également la dire le lundi, le jeudi ou pendant Roch ‘Hodech et non uniquement pendant le Chabbat.

Nous respectons une tradition qui est attribuée au Baal Chem Tov: lorsque l’on entend un mot peu flatteur sur le compte d’un Juif, même si on ne le connaît pas, on doit en concevoir une intense douleur.

Car, en tout état de cause, quelqu’un est dans l’erreur. Si ce que l’on raconte sur cette personne est vrai, celle-ci n’est pas bonne. Si cela est faux, c’est celui qui raconte qui n’est pas bon.