La cérémonie du 8 Mai à Aubervilliers, en présence de la maire, Mme Karine Francklet, a rassemblé différentes communautés pour commémorer la fin de la Seconde Guerre mondiale et rendre hommage aux victimes. Les élèves de l’école Chnéor ont participé activement à l’événement, partageant un message d’espoir et d’unité pour construire un avenir meilleur.
La maire d’Aubervilliers, Mme Karine Francklet, le maire adjoint et des élus étaient présents pour cet événement annuel, qui vise à commémorer la fin de la Seconde Guerre mondiale et à rendre hommage à ceux qui ont perdu la vie durant cette période tragique de l’histoire.
Les participants ont observé une minute de silence en mémoire des victimes de la guerre et pour rendre hommage à leur sacrifice. La présence de la communauté juive d’Aubervilliers a également marqué la cérémonie. Représentée par une fanfare des Tsivot Hashem, elle a ouvert l’événement avec le Nigun de « Aderet Vehaemouna », interprété sur l’air de la Marseillaise. Cette performance a apporté une dimension spirituelle à cette commémoration solennelle.
Mr Nardine, directeur du mouvement de jeunesse, a pris la parole pour rappeler que chaque année, le Rav Eliezer Nisilevitch zal prononçait un discours lors de cet événement. Cette année, c’est la Chlou’ha Mora Haya Nisilevitch, directrice des institutions ChneOr, qui a prononcé un discours empreint d’inspiration et d’espoir. Elle a évoqué le message selon lequel « un peu de lumière chasse beaucoup d’obscurité » et a rappelé les enseignements du Rabbi, qui affirme que nous vivons les derniers instants de l’exil et le début de la délivrance. Mora Haya Nisilevitch a encouragé l’assistance à agir pour accélérer la venue du Machiah en répandant la lumière et la bonté dans le monde.
Suite à la cérémonie, les participants ont marché en procession jusqu’à la mairie d’Aubervilliers. Mme Karine Francklet y a prononcé un discours sur l’importance de cette commémoration, insistant sur la nécessité de se souvenir des victimes de la Seconde Guerre mondiale et de rester vigilants face aux menaces qui pèsent encore sur la paix et la liberté.
En somme, la cérémonie du 8 Mai à Aubervilliers a été un moment de recueillement, de commémoration et d’unité entre les différentes communautés de la ville. Les discours prononcés ont souligné l’importance de se souvenir du passé et de travailler ensemble pour construire un avenir meilleur, empreint de paix, de tolérance et de respect mutuel. Cet événement rappelle que le devoir de mémoire est essentiel pour préserver les valeurs de liberté et d’humanité et pour favoriser la cohésion entre les générations et les communautés.
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