11 Nissan 5784 : Ecrire un Pan (Pidyon Nefesh) au Rabbi – demande de bénédictions

11 Nissan 5784 : Ecrire un Pan (Pidyon Nefesh) au Rabbi – demande de bénédictions

Le 11 Nissan est l’anniversaire du Rabbi. La semaine où tombe le 11 Nissan, est un moment propice pour s’attacher au Rabbi, lui demander d’intercéder auprès du Tout Puissant pour recevoir les bénédictions spirituelles et matérielles dont nous avons besoin et aussi de prendre de bonnes décisions (dans les domaines de l’étude de la Torah et de la pratique des Mitsvot, de la Tefila et enfin de la Tsédaka) afin de pouvoir recevoir ces bénédictions de la meilleure façon. 

Un anniversaire est bien plus qu’une simple occasion de festoyer. C’est un jour où Mazalo Gover, où la source spirituelle de son âme brille d’une force particulière. Or, « la source spirituelle de son âme » désigne quelque chose bien au-delà de nos capacités conscientes. Nous avons nos pensées et nos sentiments. Et puis nous avons notre essence spirituelle tout au fond de nous, de laquelle jaillissent nos pensées et nos sentiments. Cette essence spirituelle est le Mazal qui brille si fort un jour d’anniversaire.

Un Rabbi est une âme collective dont l’existence est vécue en conscience permanente des autres et dont les efforts sont dédiés à resserrer les liens qui existent entre eux. Ainsi, l’anniversaire du Rabbi est un évènement qui a un effet sur chacun d’entre nous, que nous en ayons conscience ou pas.

DEMANDE DE BENEDICTION

 

Le “Ohel” est le lieu où le Rabbi de Loubavitch, Rabbi Mena’hem Mendel Schneerson, repose depuis le 3 Tamouz 5754 (le 12 Juin 1994), à côté de son beau-père, le sixième Rabbi de Loubavitch, Rabbi Yossef Yts’hak Schneersohn.

Le terme “Ohel” (littéralement: “tente”) désigne la structure édifiée au-dessus du tombeau d’un Tsadik, d’un Juste.

Le Rabbi a toujours été à l’écoute de chacun, quels qu’aient été son degré d’éducation ou de pratique religieuses.

Ceux qui ont approché le Rabbi savent l’extrême attention qu’il portait à chaque situation. Ils ont trouvé un puissant réconfort dans ses conseils et ses bénédictions.

Aujourd’hui, rien n’a changé : des milliers d’hommes et de femmes se rendent au Ohel ou écrivent au Rabbi pour le prier d’intercéder en leur faveur auprès du Tout-Puissant. Elles en ressentent une inspiration et une vitalité renouvelées.

A défaut de se rendre personnellement au Ohel, on peut lui écrire des lettres, des fax ou des mails.

“Un Tsaddik, un Juste, qui quitte ce monde n’en disparaît pas. Il s’y trouve avec une intensité encore plus grande”, nous enseigne le Zohar. Le 3 Tamouz, jour où le Rabbi quitta matériellement ce monde, cette phrase, immanquablement, résonne dans l’esprit et dans l’âme de chacun.

Par conséquent,  avec le déroulement du temps, chacun constate à quel point la présence du Rabbi semble être encore plus sensible avec les années. Par ses enseignements, par les actions croissantes qu’il suscite aux quatre coins du monde, le Rabbi continue de guider. Il conduit, vivifie des centaines de milliers de personnes, diverses tant par leur origine que par leur mode de vie, leurs opinions ou leur situation géographique.

Le Rabbi recevait des centaines de lettres chaque jour. Des gens de tous les milieux lui écrivaient, quels qu’aient été leur origine sociale, leur âge, leur niveau de pratique religieuse, leur lieu de résidence.

Aujourd’hui encore, des milliers de personnes continuent d’écrire au Rabbi pour solliciter ses bénédictions et ses conseils.

 

 

 

 

Le Rabbi : « Période du 5 Tevet, une semaine propice pour demander à D.ieu toutes les bénédictions »

Le Rabbi : « Période du 5 Tevet, une semaine propice pour demander à D.ieu toutes les bénédictions »

La semaine du 5 Tevet est une période très propice pour les demandes de bénédictions. Le 6 Tévet 5747, le Rabbi avait alors demandé à chacun d’envoyer une demande de bénédictions et d’augmenter la Tsédaka.

Mercredi 6 Tévet 5747 à 14h15, le Rabbi prit la route pour le Ohel. Il rentra à 18h30 et pria Min’ha et Maariv dans la choule en haut.

A 18h40, après la prière, il se tourna soudainement vers l’assemblée qui remplissait la choule et prononça une Si’ha d’environ sept minutes.

Au milieu de la Si’ha, Rav Harélig entra et apporta un micro ; le Rabbi se tourna vers le micro et continua de sorte que même ceux qui étaient dehors purent écouter.
Un point de cette Si’ha :
« Concrètement : tous ceux qui, pour une raison ou pour une autre, n’ont pas encore donné la Tsedaka, avec leur nom et le nom de leur mère – s’empresseront de donner une somme spécifique à la Tsedaka (car là, ce n’est pas la quantité qui compte mais le fait même de s’associer à la Tsedaka) ce qui inclut aussi qu’il faut le faire avec le sourire. Il faut envoyer les noms avec les noms des mères avant le départ, demain, Bli Néder, au Ohel pour que leurs noms soient mentionnés.
Il serait souhaitable qu’ils donnent les noms et l’argent séparément (en même temps mais dans des enveloppes séparées) pour éviter le travail supplémentaire de séparer l’argent des lettres. Car certainement, il y en aura une grande quantité et encore plus une grande qualité.

Et comme il n’y aura pas le temps de lire toutes les lettres mais seulement la possibilité de les déposer sur le tombeau, chacun est libre d’écrire ce qu’il veut (sans honte) car c’est comme s’il écrivait au Saint Béni soit-Il par l’intermédiaire du Rabbi (précédent). On peut agir ainsi dans tout endroit où se trouve un cimetière juif où sont enterrés des Grands Hommes de notre peuple car, comme on le sait, tous les cimetières sont liés les uns aux autres. Et tous sont liés au Caveau des Patriarches à ‘Hévrone, par l’intermédiaire de « tunnels » comme il est rapporté dans certains livres ».

« Tout ceci s’applique aussi aux femmes et aux enfants – « avec nos jeunes et avec nos vieux, avec nos fils et avec nos filles » (faisant ainsi allusion aux paroles de Moché Rabénou (Moïse notre maître) au moment de la Sortie d’Égypte) ».

Extrait du Farbrenguen de Hé Tevet 5784 du Rav Mendel Azimov au Beth Haya Mouchka : « L’importance de la semaine du Hé Tevet »

 

DEMANDE DE BENEDICTION

Le 5 Tévet est un jour de fête, celui de la « victoire des livres »

En 1987, des livres précieux ont disparu de la bibliothèque du mouvement Loubavitch à New York, dont des manuscrits remontant au Baal Shem Tov. Ces documents avaient été rassemblés au prix de grandes difficultés par le précédent Rabbi, Rabbi Yossef Itshak Schneerson. Ils avaient une grande valeur spirituelle.

L’enquête a révélé que le responsable était un proche qui voulait les vendre pour en tirer profit. Le Rabbi a dénoncé publiquement cet acte grave qui détournait la bibliothèque de son but voulu.

Faute de solution, l’affaire est arrivée devant un tribunal new-yorkais. La question était de savoir si Rabbi Schneerson possédait ces livres à titre personnel ou dans un but plus large, auquel cas son intention devait être respectée.

La Rabbanite Haya Mushka Schneerson, interrogée comme témoin, a déclaré : « Le Rabbi et les livres appartiennent aux hassidim ».

Le juge a tranché que les livres volés devaient être restitués. Ils ont été ramenés dans la bibliothèque Loubavitch le 5 Tévet.

Depuis, le 5 Tévet est un jour de fête, celui de la « victoire des livres ». Le Rabbi a demandé que chaque année, chacun enrichisse sa bibliothèque en achetant de nouveaux livres.

Le “Ohel”

Le “Ohel” est le lieu où le Rabbi de Loubavitch, Rabbi Mena’hem Mendel Schneerson, repose depuis le 3 Tamouz 5754 (le 12 Juin 1994), à côté de son beau-père, le sixième Rabbi de Loubavitch, Rabbi Yossef Yts’hak Schneersohn.

Le terme “Ohel” (littéralement: “tente”) désigne la structure édifiée au-dessus du tombeau d’un Tsadik, d’un Juste.

Le Rabbi a toujours été à l’écoute de chacun, quels qu’aient été son degré d’éducation ou de pratique religieuses.

Ceux qui ont approché le Rabbi savent l’extrême attention qu’il portait à chaque situation. Ils ont trouvé un puissant réconfort dans ses conseils et ses bénédictions.

Aujourd’hui, rien n’a changé : des milliers d’hommes et de femmes se rendent au Ohel ou écrivent au Rabbi pour le prier d’intercéder en leur faveur auprès du Tout-Puissant. Elles en ressentent une inspiration et une vitalité renouvelées.

A défaut de se rendre personnellement au Ohel, on peut lui écrire des lettres, des fax ou des mails.

“Un Tsaddik, un Juste, qui quitte ce monde n’en disparaît pas. Il s’y trouve avec une intensité encore plus grande”, nous enseigne le Zohar. Le 3 Tamouz, jour où le Rabbi quitta matériellement ce monde, cette phrase, immanquablement, résonne dans l’esprit et dans l’âme de chacun.

Par conséquent,  avec le déroulement du temps, chacun constate à quel point la présence du Rabbi semble être encore plus sensible avec les années. Par ses enseignements, par les actions croissantes qu’il suscite aux quatre coins du monde, le Rabbi continue de guider. Il conduit, vivifie des centaines de milliers de personnes, diverses tant par leur origine que par leur mode de vie, leurs opinions ou leur situation géographique.

Le Rabbi recevait des centaines de lettres chaque jour. Des gens de tous les milieux lui écrivaient, quels qu’aient été leur origine sociale, leur âge, leur niveau de pratique religieuse, leur lieu de résidence.

Aujourd’hui encore, des milliers de personnes continuent d’écrire au Rabbi pour solliciter ses bénédictions et ses conseils.

DEMANDE DE BENEDICTION

 

 

Roch Hachana 5784 : Ecrire un Pan (Pidyon Nefesh) au Rabbi – demande de bénédictions

Roch Hachana 5784 : Ecrire un Pan (Pidyon Nefesh) au Rabbi – demande de bénédictions

Avant Roch Hachana, des milliers de juifs écrivent un Pidyon Nefesh, une demande de bénédiction au Rabbi pour la nouvelle année qui arrive.

Il est de coutume de commencer la lettre par les mots :

אנא לעורר רחמים רבים בעבור [שם שלך] בן/בת [שם של אמך] 

« S’il vous plaît, suscitez une miséricorde abondante pour [votre nom hébraïque] fils/fille de [nom hébraïque de votre mère]. »

Vous pouvez lister les noms de votre famille et d’autres personnes qui ont besoin de prière. Ensuite, vous pouvez écrire tout ce que vous désirez au Rabbi lors d’une réunion en face à face : les défis auxquels vous faites face, les bénédictions que vous recherchez, les décisions dont vous n’êtes pas sûr.

Assurez-vous aussi de signaler également les bonnes choses, à la fois ce que vous avez fait et les bonnes actions que vous espérez accomplir.

Lorsqu’on mentionne un individu juif, il est d’usage d’utiliser son nom hébreu et le nom hébreu de sa mère.

DEMANDE DE BENEDICTION

 

Le “Ohel” est le lieu où le Rabbi de Loubavitch, Rabbi Mena’hem Mendel Schneerson, repose depuis le 3 Tamouz 5754 (le 12 Juin 1994), à côté de son beau-père, le sixième Rabbi de Loubavitch, Rabbi Yossef Yts’hak Schneersohn.

Le terme “Ohel” (littéralement: “tente”) désigne la structure édifiée au-dessus du tombeau d’un Tsadik, d’un Juste.

Le Rabbi a toujours été à l’écoute de chacun, quels qu’aient été son degré d’éducation ou de pratique religieuses.

Ceux qui ont approché le Rabbi savent l’extrême attention qu’il portait à chaque situation. Ils ont trouvé un puissant réconfort dans ses conseils et ses bénédictions.

Aujourd’hui, rien n’a changé : des milliers d’hommes et de femmes se rendent au Ohel ou écrivent au Rabbi pour le prier d’intercéder en leur faveur auprès du Tout-Puissant. Elles en ressentent une inspiration et une vitalité renouvelées.

A défaut de se rendre personnellement au Ohel, on peut lui écrire des lettres, des fax ou des mails.

“Un Tsaddik, un Juste, qui quitte ce monde n’en disparaît pas. Il s’y trouve avec une intensité encore plus grande”, nous enseigne le Zohar. Le 3 Tamouz, jour où le Rabbi quitta matériellement ce monde, cette phrase, immanquablement, résonne dans l’esprit et dans l’âme de chacun.

Par conséquent,  avec le déroulement du temps, chacun constate à quel point la présence du Rabbi semble être encore plus sensible avec les années. Par ses enseignements, par les actions croissantes qu’il suscite aux quatre coins du monde, le Rabbi continue de guider. Il conduit, vivifie des centaines de milliers de personnes, diverses tant par leur origine que par leur mode de vie, leurs opinions ou leur situation géographique.

Le Rabbi recevait des centaines de lettres chaque jour. Des gens de tous les milieux lui écrivaient, quels qu’aient été leur origine sociale, leur âge, leur niveau de pratique religieuse, leur lieu de résidence.

Aujourd’hui encore, des milliers de personnes continuent d’écrire au Rabbi pour solliciter ses bénédictions et ses conseils.

DEMANDE DE BENEDICTION

 

 

 

3 Tamouz 5783 : Demande de bénédictions à l’occasion de la  Hilloula du Rabbi

3 Tamouz 5783 : Demande de bénédictions à l’occasion de la Hilloula du Rabbi

Jeudi 3 Tamouz 5783, 29ème Hilloula du Rabbi de Loubavitch

La semaine de la Hilloula, qui coïncide avec le 3 Tamouz, est une période propice pour se lier Rabbi. C’est le moment idéal pour lui demander d’intercéder en notre faveur auprès du Tout-Puissant, afin de recevoir les bénédictions spirituelles et matérielles dont nous avons besoin. Profitons de cette occasion pour prendre 3 bonnes décisions, symbolisant le 3 Tamouz.

  1. Dans les domaines de l’étude de la Torah et de la pratique des Mitsvot
  2. de la prière
  3. et de la Tsédaka, afin de recevoir ces bénédictions de la meilleure façon.

Extrait d’une lettre du Rabbi datée du 10 Nissan 5710 : « Quant à votre demande de poser des questions au Rabbi, il est important de comprendre que bien qu’il ne soit plus physiquement présent, si vous maintenez fermement votre attachement à lui et résistez aux tentations du mauvais penchant, il existe des moyens par lesquels le Rabbi peut vous répondre.
Une façon de le faire est d’envoyer une lettre au Ohel du Rabbi, en exprimant vos préoccupations et vos questions. Par la Providence Divine, le Rabbi peut trouver un moyen de vous répondre ». 

On commence sa demande avec la phrase suivante :
 « אנא לעורר רחמים רבים »
« Je vous en prie, d’éveillez de nombreuses miséricordes pour moi (votre prénom et le prénom de votre mère) »
Ensuite, veuillez indiquer les prénoms des membres de votre famille ou de vos proches, ainsi que les prénoms de leur mère
et la liste des demandes de bénédictions.

DEMANDE DE BENEDICTION

 

Le Ohel du Rabbi

Le “Ohel” est le lieu où le Rabbi de Loubavitch, Rabbi Mena’hem Mendel Schneerson, repose depuis le 3 Tamouz 5754 (le 12 Juin 1994), à côté de son beau-père, le sixième Rabbi de Loubavitch, Rabbi Yossef Yts’hak Schneersohn.

Le terme “Ohel” (littéralement: “tente”) désigne la structure édifiée au-dessus du tombeau d’un Tsadik, d’un Juste.

Le Rabbi a toujours été à l’écoute de chacun, quels qu’aient été son degré d’éducation ou de pratique religieuses.

Ceux qui ont approché le Rabbi savent l’extrême attention qu’il portait à chaque situation. Ils ont trouvé un puissant réconfort dans ses conseils et ses bénédictions.

Aujourd’hui, rien n’a changé : des milliers d’hommes et de femmes se rendent au Ohel ou écrivent au Rabbi pour le prier d’intercéder en leur faveur auprès du Tout-Puissant. Elles en ressentent une inspiration et une vitalité renouvelées.

A défaut de se rendre personnellement au Ohel, on peut lui écrire des lettres, des fax ou des mails.

“Un Tsaddik, un Juste, qui quitte ce monde n’en disparaît pas. Il s’y trouve avec une intensité encore plus grande”, nous enseigne le Zohar. Le 3 Tamouz, jour où le Rabbi quitta matériellement ce monde, cette phrase, immanquablement, résonne dans l’esprit et dans l’âme de chacun.

Par conséquent,  avec le déroulement du temps, chacun constate à quel point la présence du Rabbi semble être encore plus sensible avec les années. Par ses enseignements, par les actions croissantes qu’il suscite aux quatre coins du monde, le Rabbi continue de guider. Il conduit, vivifie des centaines de milliers de personnes, diverses tant par leur origine que par leur mode de vie, leurs opinions ou leur situation géographique.

Le Rabbi recevait des centaines de lettres chaque jour. Des gens de tous les milieux lui écrivaient, quels qu’aient été leur origine sociale, leur âge, leur niveau de pratique religieuse, leur lieu de résidence.

Aujourd’hui encore, des milliers de personnes continuent d’écrire au Rabbi pour solliciter ses bénédictions et ses conseils.

Qu’est-ce qu’un Rabbi ?

Traduction libre d’une lettre écrite par le Rabbi plusieurs mois après le décès de son beau-père et prédécesseur, Rabbi Yossef Its’hak Schneersohn de Loubavitch. La lettre a été imprimée en introduction d’un livret de Maamarim du Rabbi précédent.

« La notion du Rabbi en tant que Nassi n’est pas une abstraction, mais bien une réalité palpable qui imprègne chaque aspect de nos vies. Il est la source de notre vitalité spirituelle, le guide qui nous conduit sur le chemin de la Torah et le pont qui nous relie à notre source divine. Il est le berger qui veille sur son troupeau, nourrissant chaque âme avec le soin et l’amour qui convient à sa nature unique. Il est le pilier de lumière dans la nuit qui nous guide à travers les ténèbres, et la fontaine d’eau vive qui désaltère notre soif spirituelle ».

« En lui, se trouve le pouvoir de nous élever au-dessus de nos propres limitations et de nous aider à atteindre des sommets que nous n’aurions jamais pu atteindre seuls. Par son dévouement infatigable et sa foi inébranlable en chacun de nous, il nous inspire à aspirer à plus, à chercher plus profondément en nous-mêmes, à révéler les étincelles divines qui résident en nos âmes ».

« Chacun de nous, quel que soit son niveau spirituel ou sa position dans la vie, peut trouver en lui un guide, un maître, un ami. Il est notre source de sagesse et d’inspiration, notre rocher dans les moments de doute, notre réconfort dans les moments de peine. Sa vie est un modèle de sainteté et de dévotion, une preuve vivante de ce qu’il est possible d’accomplir lorsque l’on sert D.ieu avec un amour pur et inconditionnel ».

« Chacun d’entre nous est appelé à faire de cette vérité une réalité vivante dans sa vie, à reconnaître le Rabbi comme notre Nassi, notre chef spirituel, et à rechercher son orientation et sa bénédiction dans tous les aspects de notre vie. C’est par notre lien avec lui que nous sommes capables de puiser dans les courants profonds de sainteté et de divinité qui coulent en nous, et c’est à travers lui que nous sommes capables de nous relier à notre source divine la plus élevée ».

« En fin de compte, le rôle du Rabbi est de nous aider à réaliser notre potentiel divin, de nous guider dans notre voyage spirituel et de nous aider à nous élever vers des hauteurs plus grandes. Il est notre guide, notre lumière, notre source d’inspiration et d’espoir. Il est, en effet, notre Nassi – le chef de notre peuple, le gardien de notre héritage, le berger de notre âme ».

Guimel Tamouz

Nous allons célébrer la journée singulière de Guimel Tamouz. Cette date, profondément ancrée dans l’esprit des Hassidim Lubavitch du monde entier, revêt une importance pour tous les Juifs et, véritablement, pour l’ensemble de la population mondiale.

Malgré l’absence visuelle du Rabbi depuis Guimel Tamouz, sa présence dans la vie de centaines de milliers de ses Hassidim et des millions de ses admirateurs est indéniable. Et l’engagement du Rabbi dans les milliers d’institutions qu’il a fondées, et la douzaine d’institutions établies depuis Guimel Tamouz, est tangible.

Guimel Tamouz correspond au troisième jour du mois hébreu de Tamouz. Le chiffre trois revêt une grande importance dans les enseignements juifs. Nos Sages nous disent que le monde repose sur trois piliers : l’étude de la Torah, la prière, et les actes de bienfaisance. Ils affirment également que le Tsadik est le socle du monde entier.

Quelle fut l’impulsion du Rabbi, ce pilier du monde, durant ses décennies de leadership ? Comme le savent bien nos lecteurs, depuis que le Rabbi a accepté le manteau de la direction, il a exprimé clairement que l’objectif de notre génération, la septième génération, est d’apporter la Rédemption.

Dans des centaines de discours publics, le Rabbi a exposé comment nous pouvons accomplir cela par une campagne tripartite : l’étude de la Torah, la prière, et les actes de bonté.

Notre étude de la Torah doit être renforcée dans tous les domaines de la connaissance juive en général, et de la Hassidout en particulier, en insistant sur les questions qui sont présentes partout dans l’enseignement juif qui traitent du Machia’h et de la Rédemption.

Nos prières doivent être imprégnées de requêtes sincères à D.ieu pour qu’il apporte la Rédemption, en criant « Combien de temps encore ? » et allant même jusqu’à exiger la Rédemption (comme l’explique le Hafets Haïm).

Enfin, à travers l’amour du prochain en général, et même par de simples actes de bonté et de bonnes actions, nous pouvons nous préparer à la Rédemption et en accélérer l’arrivée.

Puissions-nous être rapidement réunis avec notre Rabbi et être témoins de l’avènement de la Rédemption complète et éternelle.

 

DEMANDE DE BENEDICTION

 

 

 

 

Le Rabbi : « Période du 5 Tevet, une semaine propice pour demander à D.ieu toutes les bénédictions »

10 Chevat, jour propice pour les demandes de bénédictions au Rabbi

Le 10 Chevat 5710 – 1950 Rabbi Yossef Yits’hak , le Rabbi précédent, quitta ce monde (cette année le mercredi 12 janvier 2022).

Même s’il ne succéda officiellement à son beau-père qu’un an après son décès, le Rabbi, dès le 10 Chevat 5710-1950, devint, pour tous les ‘Hassidism, celui que l’on consultait pour poser une question ou solliciter une bénédiction.

DEMANDE DE BENEDICTION

 

Le “Ohel” est le lieu où le Rabbi de Loubavitch, Rabbi Mena’hem Mendel Schneerson, repose depuis le 3 Tamouz 5754 (le 12 Juin 1994), à côté de son beau-père, le sixième Rabbi de Loubavitch, Rabbi Yossef Yts’hak Schneersohn.

Le terme “Ohel” (littéralement: “tente”) désigne la structure édifiée au-dessus du tombeau d’un Tsadik, d’un Juste.

Le Rabbi a toujours été à l’écoute de chacun, quels qu’aient été son degré d’éducation ou de pratique religieuses.

Ceux qui ont approché le Rabbi savent l’extrême attention qu’il portait à chaque situation. Ils ont trouvé un puissant réconfort dans ses conseils et ses bénédictions.

Aujourd’hui, rien n’a changé : des milliers d’hommes et de femmes se rendent au Ohel ou écrivent au Rabbi pour le prier d’intercéder en leur faveur auprès du Tout-Puissant. Elles en ressentent une inspiration et une vitalité renouvelées.

A défaut de se rendre personnellement au Ohel, on peut lui écrire des lettres, des fax ou des mails.

“Un Tsaddik, un Juste, qui quitte ce monde n’en disparaît pas. Il s’y trouve avec une intensité encore plus grande”, nous enseigne le Zohar. Le 3 Tamouz, jour où le Rabbi quitta matériellement ce monde, cette phrase, immanquablement, résonne dans l’esprit et dans l’âme de chacun.

Par conséquent,  avec le déroulement du temps, chacun constate à quel point la présence du Rabbi semble être encore plus sensible avec les années. Par ses enseignements, par les actions croissantes qu’il suscite aux quatre coins du monde, le Rabbi continue de guider. Il conduit, vivifie des centaines de milliers de personnes, diverses tant par leur origine que par leur mode de vie, leurs opinions ou leur situation géographique.

Le Rabbi recevait des centaines de lettres chaque jour. Des gens de tous les milieux lui écrivaient, quels qu’aient été leur origine sociale, leur âge, leur niveau de pratique religieuse, leur lieu de résidence.

Aujourd’hui encore, des milliers de personnes continuent d’écrire au Rabbi pour solliciter ses bénédictions et ses conseils.