11 Nissan 5783 : Ecrire un Pan (Pidyon Nefesh) au Rabbi – demande de bénédictions

11 Nissan 5783 : Ecrire un Pan (Pidyon Nefesh) au Rabbi – demande de bénédictions

La semaine où tombe le 11 Nissan, est un moment propice pour s’attacher au Rabbi, lui demander d’intercéder auprès du Tout Puissant pour recevoir les bénédictions spirituelles et matérielles dont nous avons besoin et aussi de prendre de bonnes décisions (dans les domaines de l’étude de la Torah et de la pratique des Mitsvot, de la Tefila et enfin de la Tsédaka) afin de pouvoir recevoir ces bénédictions de la meilleure façon. 

Le 11 Nissan, qui tombe cette année le dimanche 2 avril 2023, est l’anniversaire du Rabbi.
Un anniversaire est bien plus qu’une simple occasion de festoyer. C’est un jour où Mazalo Gover, où la source spirituelle de son âme brille d’une force particulière. Or, « la source spirituelle de son âme » désigne quelque chose bien au-delà de nos capacités conscientes. Nous avons nos pensées et nos sentiments. Et puis nous avons notre essence spirituelle tout au fond de nous, de laquelle jaillissent nos pensées et nos sentiments. Cette essence spirituelle est le Mazal qui brille si fort un jour d’anniversaire.

Un Rabbi est une âme collective dont l’existence est vécue en conscience permanente des autres et dont les efforts sont dédiés à resserrer les liens qui existent entre eux. Ainsi, l’anniversaire du Rabbi est un évènement qui a un effet sur chacun d’entre nous, que nous en ayons conscience ou pas.

DEMANDE DE BENEDICTION

 

Le “Ohel” est le lieu où le Rabbi de Loubavitch, Rabbi Mena’hem Mendel Schneerson, repose depuis le 3 Tamouz 5754 (le 12 Juin 1994), à côté de son beau-père, le sixième Rabbi de Loubavitch, Rabbi Yossef Yts’hak Schneersohn.

Le terme “Ohel” (littéralement: “tente”) désigne la structure édifiée au-dessus du tombeau d’un Tsadik, d’un Juste.

Le Rabbi a toujours été à l’écoute de chacun, quels qu’aient été son degré d’éducation ou de pratique religieuses.

Ceux qui ont approché le Rabbi savent l’extrême attention qu’il portait à chaque situation. Ils ont trouvé un puissant réconfort dans ses conseils et ses bénédictions.

Aujourd’hui, rien n’a changé : des milliers d’hommes et de femmes se rendent au Ohel ou écrivent au Rabbi pour le prier d’intercéder en leur faveur auprès du Tout-Puissant. Elles en ressentent une inspiration et une vitalité renouvelées.

A défaut de se rendre personnellement au Ohel, on peut lui écrire des lettres, des fax ou des mails.

“Un Tsaddik, un Juste, qui quitte ce monde n’en disparaît pas. Il s’y trouve avec une intensité encore plus grande”, nous enseigne le Zohar. Le 3 Tamouz, jour où le Rabbi quitta matériellement ce monde, cette phrase, immanquablement, résonne dans l’esprit et dans l’âme de chacun.

Par conséquent,  avec le déroulement du temps, chacun constate à quel point la présence du Rabbi semble être encore plus sensible avec les années. Par ses enseignements, par les actions croissantes qu’il suscite aux quatre coins du monde, le Rabbi continue de guider. Il conduit, vivifie des centaines de milliers de personnes, diverses tant par leur origine que par leur mode de vie, leurs opinions ou leur situation géographique.

Le Rabbi recevait des centaines de lettres chaque jour. Des gens de tous les milieux lui écrivaient, quels qu’aient été leur origine sociale, leur âge, leur niveau de pratique religieuse, leur lieu de résidence.

Aujourd’hui encore, des milliers de personnes continuent d’écrire au Rabbi pour solliciter ses bénédictions et ses conseils.

 

 

 

 

11 Nissan 5783 : Ecrire un Pan (Pidyon Nefesh) au Rabbi – demande de bénédictions

5 Tevet, jour propice pour écrire un Pan (Pidyon Nefesh) au Rabbi – demande de bénédictions

La semaine du 5 Tevet est une période Très propice pour les demandes de bénédictions. Le 6 Tévet 5747, le Rabbi avait alors demandé à chacun d’envoyer une demande de bénédictions et d’augmenter la Tsédaka.

Mercredi 6 Tévet à 14h15, le Rabbi prit la route pour le Ohel. Il rentra à 18h30 et pria Min’ha et Maariv dans la choule en haut.

A 18 h 40, après la prière, il se tourna soudainement vers l’assemblée qui remplissait la choule et prononça une Si’ha d’environ sept minutes.

Au milieu de la Si’ha, Rav Harélig entra et apporta un micro ; le Rabbi se tourna vers le micro et continua de sorte que même ceux qui étaient dehors purent écouter.
Un point de cette Si’ha :

« Concrètement : tous ceux qui, pour une raison ou pour une autre, n’ont pas encore donné la Tsedaka, avec leur nom et le nom de leur mère – s’empresseront de donner une somme spécifique à la Tsedaka (car là, ce n’est pas la quantité qui compte mais le fait même de s’associer à la Tsedaka) ce qui inclut aussi qu’il faut le faire avec le sourire. Il faut envoyer les noms avec les noms des mères avant le départ, demain, Bli Néder, au Ohel pour que leurs noms soient mentionnés.
Il serait souhaitable qu’ils donnent les noms et l’argent séparément (en même temps mais dans des enveloppes séparées) pour éviter le travail supplémentaire de séparer l’argent des lettres. Car certainement, il y en aura une grande quantité et encore plus une grande qualité.

Et comme il n’y aura pas le temps de lire toutes les lettres mais seulement la possibilité de les déposer sur le tombeau, chacun est libre d’écrire ce qu’il veut (sans honte) car c’est comme s’il écrivait au Saint Béni soit-Il par l’intermédiaire du Rabbi (précédent). On peut agir ainsi dans tout endroit où se trouve un cimetière juif où sont enterrés des Grands Hommes de notre peuple car, comme on le sait, tous les cimetières sont liés les uns aux autres. Et tous sont liés au Caveau des Patriarches à ‘Hévrone, par l’intermédiaire de « tunnels » comme il est rapporté dans certains livres ».

« Tout ceci s’applique aussi aux femmes et aux enfants – « avec nos jeunes et avec nos vieux, avec nos fils et avec nos filles » (faisant ainsi allusion aux paroles de Moché Rabénou (Moïse notre maître) au moment de la Sortie d’Égypte) ».

DEMANDE DE BENEDICTION

 

Le “Ohel” est le lieu où le Rabbi de Loubavitch, Rabbi Mena’hem Mendel Schneerson, repose depuis le 3 Tamouz 5754 (le 12 Juin 1994), à côté de son beau-père, le sixième Rabbi de Loubavitch, Rabbi Yossef Yts’hak Schneersohn.

Le terme “Ohel” (littéralement: “tente”) désigne la structure édifiée au-dessus du tombeau d’un Tsadik, d’un Juste.

Le Rabbi a toujours été à l’écoute de chacun, quels qu’aient été son degré d’éducation ou de pratique religieuses.

Ceux qui ont approché le Rabbi savent l’extrême attention qu’il portait à chaque situation. Ils ont trouvé un puissant réconfort dans ses conseils et ses bénédictions.

Aujourd’hui, rien n’a changé : des milliers d’hommes et de femmes se rendent au Ohel ou écrivent au Rabbi pour le prier d’intercéder en leur faveur auprès du Tout-Puissant. Elles en ressentent une inspiration et une vitalité renouvelées.

A défaut de se rendre personnellement au Ohel, on peut lui écrire des lettres, des fax ou des mails.

“Un Tsaddik, un Juste, qui quitte ce monde n’en disparaît pas. Il s’y trouve avec une intensité encore plus grande”, nous enseigne le Zohar. Le 3 Tamouz, jour où le Rabbi quitta matériellement ce monde, cette phrase, immanquablement, résonne dans l’esprit et dans l’âme de chacun.

Par conséquent,  avec le déroulement du temps, chacun constate à quel point la présence du Rabbi semble être encore plus sensible avec les années. Par ses enseignements, par les actions croissantes qu’il suscite aux quatre coins du monde, le Rabbi continue de guider. Il conduit, vivifie des centaines de milliers de personnes, diverses tant par leur origine que par leur mode de vie, leurs opinions ou leur situation géographique.

Le Rabbi recevait des centaines de lettres chaque jour. Des gens de tous les milieux lui écrivaient, quels qu’aient été leur origine sociale, leur âge, leur niveau de pratique religieuse, leur lieu de résidence.

Aujourd’hui encore, des milliers de personnes continuent d’écrire au Rabbi pour solliciter ses bénédictions et ses conseils.

 

 

Roch Hachana 5783 : Ecrire un Pan (Pidyon Nefesh) au Rabbi – demande de bénédictions

Roch Hachana 5783 : Ecrire un Pan (Pidyon Nefesh) au Rabbi – demande de bénédictions

Avant Roch Hachana, des milliers de juifs écrivent un Pidyon Nefesh, une demande de bénédiction au Rabbi pour la nouvelle année qui arrive.

Il est de coutume de commencer la lettre par les mots :

אנא לעורר רחמים רבים בעבור [שם שלך] בן/בת [שם של אמך] 

« S’il vous plaît, suscitez une miséricorde abondante pour [votre nom hébraïque] fils/fille de [nom hébraïque de votre mère]. »

Vous pouvez lister les noms de votre famille et d’autres personnes qui ont besoin de prière. Ensuite, vous pouvez écrire tout ce que vous désirez au Rabbi lors d’une réunion en face à face : les défis auxquels vous faites face, les bénédictions que vous recherchez, les décisions dont vous n’êtes pas sûr.

Assurez-vous aussi de signaler également les bonnes choses, à la fois ce que vous avez fait et les bonnes actions que vous espérez accomplir.

Lorsqu’on mentionne un individu juif, il est d’usage d’utiliser son nom hébreu et le nom hébreu de sa mère.

DEMANDE DE BENEDICTION

 

Le “Ohel” est le lieu où le Rabbi de Loubavitch, Rabbi Mena’hem Mendel Schneerson, repose depuis le 3 Tamouz 5754 (le 12 Juin 1994), à côté de son beau-père, le sixième Rabbi de Loubavitch, Rabbi Yossef Yts’hak Schneersohn.

Le terme “Ohel” (littéralement: “tente”) désigne la structure édifiée au-dessus du tombeau d’un Tsadik, d’un Juste.

Le Rabbi a toujours été à l’écoute de chacun, quels qu’aient été son degré d’éducation ou de pratique religieuses.

Ceux qui ont approché le Rabbi savent l’extrême attention qu’il portait à chaque situation. Ils ont trouvé un puissant réconfort dans ses conseils et ses bénédictions.

Aujourd’hui, rien n’a changé : des milliers d’hommes et de femmes se rendent au Ohel ou écrivent au Rabbi pour le prier d’intercéder en leur faveur auprès du Tout-Puissant. Elles en ressentent une inspiration et une vitalité renouvelées.

A défaut de se rendre personnellement au Ohel, on peut lui écrire des lettres, des fax ou des mails.

“Un Tsaddik, un Juste, qui quitte ce monde n’en disparaît pas. Il s’y trouve avec une intensité encore plus grande”, nous enseigne le Zohar. Le 3 Tamouz, jour où le Rabbi quitta matériellement ce monde, cette phrase, immanquablement, résonne dans l’esprit et dans l’âme de chacun.

Par conséquent,  avec le déroulement du temps, chacun constate à quel point la présence du Rabbi semble être encore plus sensible avec les années. Par ses enseignements, par les actions croissantes qu’il suscite aux quatre coins du monde, le Rabbi continue de guider. Il conduit, vivifie des centaines de milliers de personnes, diverses tant par leur origine que par leur mode de vie, leurs opinions ou leur situation géographique.

Le Rabbi recevait des centaines de lettres chaque jour. Des gens de tous les milieux lui écrivaient, quels qu’aient été leur origine sociale, leur âge, leur niveau de pratique religieuse, leur lieu de résidence.

Aujourd’hui encore, des milliers de personnes continuent d’écrire au Rabbi pour solliciter ses bénédictions et ses conseils.

DEMANDE DE BENEDICTION

 

 

 

3 Tamouz 5782 : Demande de bénédictions à l’occasion de la Hilloula du Rabbi

3 Tamouz 5782 : Demande de bénédictions à l’occasion de la Hilloula du Rabbi

Chabbat 3 Tamouz 5782, 28ème Hilloula du Rabbi de Loubavitch

La semaine où tombe le 3 Tamouz, jour de la Hilloula, est un moment propice pour s’attacher au Rabbi, lui demander d’intercéder auprès du Tout Puissant pour recevoir les bénédictions spirituelles et matérielles dont nous avons besoin et aussi de prendre de bonnes décisions (dans les domaines de l’étude de la Torah et de la pratique des Mitsvot, de la Tefila et enfin de la Tsédaka) afin de pouvoir recevoir ces bénédictions de la meilleure façon. 

DEMANDE DE BENEDICTION

 

Le “Ohel” est le lieu où le Rabbi de Loubavitch, Rabbi Mena’hem Mendel Schneerson, repose depuis le 3 Tamouz 5754 (le 12 Juin 1994), à côté de son beau-père, le sixième Rabbi de Loubavitch, Rabbi Yossef Yts’hak Schneersohn.

Le terme “Ohel” (littéralement: “tente”) désigne la structure édifiée au-dessus du tombeau d’un Tsadik, d’un Juste.

Le Rabbi a toujours été à l’écoute de chacun, quels qu’aient été son degré d’éducation ou de pratique religieuses.

Ceux qui ont approché le Rabbi savent l’extrême attention qu’il portait à chaque situation. Ils ont trouvé un puissant réconfort dans ses conseils et ses bénédictions.

Aujourd’hui, rien n’a changé : des milliers d’hommes et de femmes se rendent au Ohel ou écrivent au Rabbi pour le prier d’intercéder en leur faveur auprès du Tout-Puissant. Elles en ressentent une inspiration et une vitalité renouvelées.

A défaut de se rendre personnellement au Ohel, on peut lui écrire des lettres, des fax ou des mails.

“Un Tsaddik, un Juste, qui quitte ce monde n’en disparaît pas. Il s’y trouve avec une intensité encore plus grande”, nous enseigne le Zohar. Le 3 Tamouz, jour où le Rabbi quitta matériellement ce monde, cette phrase, immanquablement, résonne dans l’esprit et dans l’âme de chacun.

Par conséquent,  avec le déroulement du temps, chacun constate à quel point la présence du Rabbi semble être encore plus sensible avec les années. Par ses enseignements, par les actions croissantes qu’il suscite aux quatre coins du monde, le Rabbi continue de guider. Il conduit, vivifie des centaines de milliers de personnes, diverses tant par leur origine que par leur mode de vie, leurs opinions ou leur situation géographique.

Le Rabbi recevait des centaines de lettres chaque jour. Des gens de tous les milieux lui écrivaient, quels qu’aient été leur origine sociale, leur âge, leur niveau de pratique religieuse, leur lieu de résidence.

Aujourd’hui encore, des milliers de personnes continuent d’écrire au Rabbi pour solliciter ses bénédictions et ses conseils.

 

 

 

 

11 Nissan 5783 : Ecrire un Pan (Pidyon Nefesh) au Rabbi – demande de bénédictions

10 Chevat, jour propice pour les demandes de bénédictions au Rabbi

Le 10 Chevat 5710 – 1950 Rabbi Yossef Yits’hak , le Rabbi précédent, quitta ce monde (cette année le mercredi 12 janvier 2022).

Même s’il ne succéda officiellement à son beau-père qu’un an après son décès, le Rabbi, dès le 10 Chevat 5710-1950, devint, pour tous les ‘Hassidism, celui que l’on consultait pour poser une question ou solliciter une bénédiction.

DEMANDE DE BENEDICTION

 

Le “Ohel” est le lieu où le Rabbi de Loubavitch, Rabbi Mena’hem Mendel Schneerson, repose depuis le 3 Tamouz 5754 (le 12 Juin 1994), à côté de son beau-père, le sixième Rabbi de Loubavitch, Rabbi Yossef Yts’hak Schneersohn.

Le terme “Ohel” (littéralement: “tente”) désigne la structure édifiée au-dessus du tombeau d’un Tsadik, d’un Juste.

Le Rabbi a toujours été à l’écoute de chacun, quels qu’aient été son degré d’éducation ou de pratique religieuses.

Ceux qui ont approché le Rabbi savent l’extrême attention qu’il portait à chaque situation. Ils ont trouvé un puissant réconfort dans ses conseils et ses bénédictions.

Aujourd’hui, rien n’a changé : des milliers d’hommes et de femmes se rendent au Ohel ou écrivent au Rabbi pour le prier d’intercéder en leur faveur auprès du Tout-Puissant. Elles en ressentent une inspiration et une vitalité renouvelées.

A défaut de se rendre personnellement au Ohel, on peut lui écrire des lettres, des fax ou des mails.

“Un Tsaddik, un Juste, qui quitte ce monde n’en disparaît pas. Il s’y trouve avec une intensité encore plus grande”, nous enseigne le Zohar. Le 3 Tamouz, jour où le Rabbi quitta matériellement ce monde, cette phrase, immanquablement, résonne dans l’esprit et dans l’âme de chacun.

Par conséquent,  avec le déroulement du temps, chacun constate à quel point la présence du Rabbi semble être encore plus sensible avec les années. Par ses enseignements, par les actions croissantes qu’il suscite aux quatre coins du monde, le Rabbi continue de guider. Il conduit, vivifie des centaines de milliers de personnes, diverses tant par leur origine que par leur mode de vie, leurs opinions ou leur situation géographique.

Le Rabbi recevait des centaines de lettres chaque jour. Des gens de tous les milieux lui écrivaient, quels qu’aient été leur origine sociale, leur âge, leur niveau de pratique religieuse, leur lieu de résidence.

Aujourd’hui encore, des milliers de personnes continuent d’écrire au Rabbi pour solliciter ses bénédictions et ses conseils.