Dans un geste audacieux typique du mouvement Habad, quelques jeunes Ba’hourim Habad se sont retrouvés au cœur d’une manifestation pro-palestinienne et anti-juive à New York. La scène qui s’est déroulée ensuite a attiré l’attention.
Suivant de près le cortège des manifestants, les Habadniks ont repéré un Juif parmi la foule. Sans hésiter, ils se sont approchés pour lui permettre d’accomplir la Mitsva des Tefilines.
L’image frappante d’un Juif acceptant de mettre les Tefilines au milieu d’une marche ouvertement critique envers Israël a créé un contraste saisissant. D’un côté, ce Juif dénonce la politique israélienne et de l’autre, il accomplit un acte de dévotion religieuse marquant son attachement à la tradition juive.
Cette scène paradoxale met en lumière la complexité de l’identité juive et les tensions qui peuvent exister entre l’engagement politique et l’attachement religieux.
Cette action caractéristique du mouvement Habad, connu pour ses efforts de sensibilisation auprès des Juifs moins pratiquants, illustre leur détermination à promouvoir l’observance religieuse dans toutes les circonstances, même les plus improbables ou controversées. Pour les Habadniks, chaque opportunité de rapprocher un Juif de son héritage est saisie, indépendamment du contexte politique ou social.
Je suis pas antisémite, je suis antisioniste.
« Si le sionisme n’existait pas l’antisémitisme l’aurait inventé »…