Le verger dont le Rabbi a choisi le nom ! Vous pensiez que c’est un verger de cédrats ? Il ne s’agit donc pas de cela.
Dans les Pyrénées, près de Toulouse, en France, les deux colonies de vacances des institutions Habad à Toulouse, dirigés par l’émissaire en chef, le Rav Yossef Its’hak Matusof, se sont achevées avec succès.
Pendant les mois d’été, lorsque les enfants ne sont pas à l’école, c’est le moment où le Rabbi a exigé que chaque enfant juif aille dans un centre où il recevrait 24 heures sur 24 une éducation juive profonde et ‘hassidique.
Les camps « Gan Israël-Pardess Mamach » pour garçons et « Pardess Hanna » pour filles – accueillent des dizaines d’enfants de toute la France, et des enfants francophones du monde entier, et leur offre une atmosphère vivifiante et détendue avec des expéditions uniques.
Cette année, malgré la pandémie du coronavirus, environ deux cents (!) enfants ont participé à ces centres de vacances dans les montagnes près de Toulouse. Parmi eux, des enfants des émissaires, des enfants d’Anash, ainsi que des enfants envoyés par les émissaires dans leurs lieux de résidence qui bénéficieraient de l’atmosphère spéciale et stimulante de ces camps.
Cette année, qui vient tout juste de terminer le quarantième cycle d’étude du Rambam, les camps ont été organisés autour du thème de l’étude du Rambam. Les groupes ont été nommés d’après les 14 livres du Michné Torah du Rambam et chaque jour, les enfants ont participé à un programme unique dans l’étude quotidienne du Rambam.
Des enfants du Nigeria, de Chine, de Suède, de Luxembourg, de Monaco et de toute la France ont étudié, prié et voyagé ensemble dans une atmosphère intense.
Certains des enfants, qui toute l’année ne se voient qu’à travers un écran, dans le cadre de school.net organisé par le bureau de Chlou’him, ont apprécié les réunions en présentiel et ont profité de la présence de leurs camarades d’une manière qu’ils ne pourraient pas faire tout au long de l’année.
Les administrateurs du camp insistent pour que les conseillers restent en contact avec les enfants tout au long de l’année, maintiennent un contact étroit avec les enfants, afin que l’impact du camp puisse se prolonger tout au long de l’année.
Le Chalia’h, Rav Haim Hillel Matusof de Toulouse nous dit : « Nous avons pu voir les bénédictions du Rabbi dans le déroulement et le succès de ces colonies de vacances. Nous avons eu le privilège que le Rabbi lui-même ait choisi le nom « Pardess Hanna » pour le camp des filles. Par la suite nous avons nommé la section des Garçons « Pardess Mamach ». Dans ces colonies de vacances, l’attachement au Rabbi et la conviction que le Machia’h arrive très bientôt sont imprégnés dans chaque activité, et nous espérons que les enfants intérioriseront tout au long de l’année ce qu’ils ont reçu pendant cette période unique. »
Les camps ont été menés cette année par les Chlou’him : Rav Moshe Chen, son épouse Nehama Dina et leurs enfants, Rav Levi Eidelman et son épouse Beila, Rav Chmouel Matusof et Rav Moshe Gurarié et son épouse Haya Mouchka.
PARDESS MAMACH
PARDESS HANNA