Nissim T
sur 17 mars 2021 – 4 Nisan 5781 à 21 h 15 min
Cher Mr Elie de Paris,
si j’ai bien compris, vous posez deux questions.
Faire sortir du Hametz de chez soi pendant Chabbat par la voie des toilettes – c’est bien évidemment permis au même titre que tout ce qui sort de la maison par cette même voie.
Jeter un aliment comestible aux toilettes – s’il ne s’agissait pas d’une Mitsva il serait effectivement interdit de jeter quelque aliment comestible que ce soit. Or dans notre cas la Mitsva est précisément de détruite le Hametz – qui, soit dit en passant, ne porte ce qualificatif que aussi longtemps qu’il est comestible. (La question se pose même s’il faut en acheter pour le détruire, au cas où on n’en a pas). Vous auriez pu tout autant poser la question sur le biour hametz : pourquoi ne pas consommer tout notre hametz plutôt que le bruler ?
Je vous proposerais, dans le futur, de procéder à une rechercher hala’hique plus poussée, avant de remettre en cause les directives du rav de la communauté Loubavitch.
Élie de Paris
sur 11 mars 2021 – 27 Adar 5781 à 7 h 44 min
Shalom ouvra’hah, et votre permission
Certes..
Mais je trouve des difficultés ici.
Jeter du hametz aux toilettes est une façon détournée, i{puisque ntentionnellement} , de le faire sortir de chez soi, au dehors, et, à charge, le pain n’a pas vocation d’être annulé automatiquement, comme les excréments humains dont c’est le conduit habituel, et c’est donc avec la kavanah de le chasser de chez soi… et c’est Shabbath !
Et ce hametz est de plus valide et mangeable, double problème.
Si au moins il était souillé _avant_ d’être jeté, mais on rentre alors dans détruire. Et c’est Shabbath.
Je n’ai comme unique solution, comme chaque Pessah’ dans une telle configuration, de ne laisser que le pain ou pita qu’on est sûr de manger jusqu’à la dernière miette, et faire, donc, le compte le plus proche de ce qu’on mangera comme pain, et le MANGER ENTIÈREMENT, , et ranger, AVANT l’heure limite, si on a mal compté, le ‘hametz de trop dans le placard ou le congélateur vendu.
Afin qu’il ne reste vraiment aucun reste de pain à gérer.
Mashiah’ Tsidkenou nous apprendra…
Pessah ‘ Kasher véSameah’
Cher Mr Elie de Paris,
si j’ai bien compris, vous posez deux questions.
Faire sortir du Hametz de chez soi pendant Chabbat par la voie des toilettes – c’est bien évidemment permis au même titre que tout ce qui sort de la maison par cette même voie.
Jeter un aliment comestible aux toilettes – s’il ne s’agissait pas d’une Mitsva il serait effectivement interdit de jeter quelque aliment comestible que ce soit. Or dans notre cas la Mitsva est précisément de détruite le Hametz – qui, soit dit en passant, ne porte ce qualificatif que aussi longtemps qu’il est comestible. (La question se pose même s’il faut en acheter pour le détruire, au cas où on n’en a pas). Vous auriez pu tout autant poser la question sur le biour hametz : pourquoi ne pas consommer tout notre hametz plutôt que le bruler ?
Je vous proposerais, dans le futur, de procéder à une rechercher hala’hique plus poussée, avant de remettre en cause les directives du rav de la communauté Loubavitch.
Pessah cacher vessameah
Shalom ouvra’hah, et votre permission
Certes..
Mais je trouve des difficultés ici.
Jeter du hametz aux toilettes est une façon détournée, i{puisque ntentionnellement} , de le faire sortir de chez soi, au dehors, et, à charge, le pain n’a pas vocation d’être annulé automatiquement, comme les excréments humains dont c’est le conduit habituel, et c’est donc avec la kavanah de le chasser de chez soi… et c’est Shabbath !
Et ce hametz est de plus valide et mangeable, double problème.
Si au moins il était souillé _avant_ d’être jeté, mais on rentre alors dans détruire. Et c’est Shabbath.
Je n’ai comme unique solution, comme chaque Pessah’ dans une telle configuration, de ne laisser que le pain ou pita qu’on est sûr de manger jusqu’à la dernière miette, et faire, donc, le compte le plus proche de ce qu’on mangera comme pain, et le MANGER ENTIÈREMENT, , et ranger, AVANT l’heure limite, si on a mal compté, le ‘hametz de trop dans le placard ou le congélateur vendu.
Afin qu’il ne reste vraiment aucun reste de pain à gérer.
Mashiah’ Tsidkenou nous apprendra…
Pessah ‘ Kasher véSameah’