Joëlle Yamna Malki nait dans la musique. Sa mère est pianiste et lui donne ses premières leçons de piano, son père assure ensuite ses leçons de piano avec des professeurs..

Elle apprend au Conservatoire et travaille avec de grands maîtres. A 17 ans sa mère lui offre son premier petit piano à queue.

Elle étudie le droit et hésitera entre une carrière musicale et celle d’avocate. Elle enseigne aux enfants, joue partout où un piano est présent.. Toujours en recherche d’une autre musique.

Sa rencontre avec Habad à Toulouse va éclairer sa musique.

Elle fait son alya en Israël en 1998 avec son mari ( ses enfants naîtront en Israël).

Et suite à une conférence d’une pianiste sur la Techouva, elle entendra dire  » la musique classique n’a pas de sens ! ». Ceci déclenchera en elle l’envie de  » jeter ses partitions classiques » et de se consacrer entièrement à la musique Habad et à ses Nigounim.

Elle va aussi composer sa propre musique de laquelle naîtra un album, « Séfirot », il y a 10 ans.

Elle continue d’enseigner les Nigounim Habad et aussi sa musique aux enfants et aux mamans, à Raanana où elle habite.

Peu à peu elle revient à sa culture musicale et comprend, grâce à l’étude de la Hassidout ( qu’elle diffuse en français aussi, en donnant des cours de Tanya aux femmes) qu’il ne faut pas rejeter le monde qui nous entoure mais le transformer.

Elle va utiliser dans ses nouvelles créations, ses acquis musicaux grâce, et va composer un deuxième album en cours de publication « Méloditch »

Elle chante aussi mais seulement dans des concerts pour femmes

Parallèlement elle prépare un album du « Séder HaNigounim » des Admourei Habad, qu’elle réécrit au piano en essayant de restituer l’esprit de chaque Rabbi dans chaque Nigoun.

Elle est toujours encouragée par un public de femmes enthousiastes pratiquante ou non.

Dr Tally Nahoum (non pratiquante) dit de sa musique : « C’est la musique des anges, une merveilleuse musique « thérapeutique ».

Rahel Tal El :  » Quand tu joues un Nigoun, on sent la présence du Rabbi ici, ta musique me guérit.. »

Son actualité

Elle joue pour les grandes dates hassidiques dans les Bathei Habad, sans manquer une seule date clé. Un concert pour Toutes les femmes est en préparation !!

Son but et sa vision est d’aider les femmes à faire Techouva grâce à la musique, et ainsi éclairer son entourage et sa ville :
« La Hassidout se vit, se communique.. dans chacun de mes  cours J’essaye de donner une vitalité nouvelle et cela s’exprime aussi par la musique, dont l’Admour Hazaken, le Baal Hatanya, dit que l »a musique est la plume de l’âme » .. Alors lors d’un cours, plus qu’avec des mots, lorsque je leur joue des Nigounim je peux ainsi les sensibiliser à la profondeur de la Torah ».

Nigun « Le Beinoni »

 

Nigun Koa’h Sivan