ליום ט’ אדר א’

כשהולכים ברחוב ומהרהרים תניא; יושבים בחנות עם חומש, תהלים – הרי זה יקר עתה יותר מכפי שהיה זמן שהרחוב היה מואר באור תורה. אסור להלך ברחוב אליבא רקניא [=בלב ריקן], יש להצטייד בתורה עמה יתהלכו ברחוב.

Marcher dans la rue en pensant aux mots de la Michna ou du Tanya, être assis dans un magasin (store) avec un ‘Houmach ou un Tehilim, a, de nos jours, plus de valeur qu’auparavant, lorsque la rue (street) brillait de la lueur de la Torah.
On ne peut marcher dans la rue avec un « coeur vide ». On doit connaître des passages de la Torah par coeur et les avoir présents à l’esprit lorsque l’on s’y rend.

ליום ט’ אדר ב’

בברכת ‘בורא נפשות’ אומרים « על כל מה שבראת » – הכ »ף בחולם ולא בקמץ.

גודל התשוקה להתקשרות, יכול להשביע רק כאשר ילמוד מאמרי החסידות שאומר הרב וכותב, כי בראיית פנים בלבד לא סגי [=די].

Dans la bénédiction « Boré Nefachot » (Sidour p.95), « qui crée des âmes », récitée après avoir mangé, on dit « Al Kol Ma Chebarata », « pour tout ce que Tu as créé ». Le mot « Kol » est ponctué avec un ‘Holam et non avec un Kamatz.

Un désir intense d’être attaché au Rabbi ne peut être assouvi que par l’étude des discours ‘hassidiques qu’il prononce ou rédige. Se contenter de voir son visage n’est pas suffisant.