Comme chaque année, le Beth Loubavitch, dirigé par le Rav Mendel Azimov, invite la communauté à participer à des allumages publics, chaque soir de ‘Hanouccah, sur les plus grandes places de Paris.

Liste des allumages publics du lundi 19 décembre, seconde bougie de Hanouka

75 – PARIS 3è 19h30 sur la place de la République

– PARIS 1er à 18h30 Place Vendôme

– PARIS 6è à 19h00 Place Vavin (croisement rue Bréa/rue Vavin)

– PARIS 7è à 19h30 Place René Char

– PARIS 8è à 19h00 Parc Monceau – Entrée 111/113 boulevard Malesherbes

– PARIS 10è à 19h30 3, rue Henri Turot

– PARIS 14è à 19h00 Place Victor et Hélène Basch (à coté de la BNP) (M° Alésia)

– PARIS 15è à 19h30 Place Jacques Marette

– PARIS 16è à 18h00 Place Jean Lorrrain – Marché d’Auteuil

EN BANLIEUE

60 – Lamorlaye à 18h30 Château de Lamorlaye

77 – Pontault-Combault à 19h00 Hôtel de Ville – (sur le parvis de la Médiathèque)

78 – Versailles à 19h30 au 10, rue Albert Joly

93 – Aubervilliers à 17h30 porte d’Aubervilliers – (avenue Victor Hugo – entrée Périphérique)

– Bobigny à 16h30 au 12, rue Gutenberg – Factory 58

– Drancy à 18h30 Place Wagon

– Les-Lilas à 19h30 Jardin du Théâtre du Garde Chasse – avenue Paul de Kock

– Les-Pavillons-sous-Bois à 19h45 Salle de Sports Lino Ventura (Parking extérieur) – 3 Rue de Berlin

94 – Créteil à 18h00 devant Family Kash – 42 avenue Maggelan

– Ivry sur Seine à 19h00 Esplanade Georges Marrane – face à la Mairie

– Joinville-le-Pont à 19h00 Angle Quai de Polangis et boulevard de Polangis

– Rungis à 19h00 Place Louis XIII

– Vitry-sur-Seine à 20h. Allumage CTEEN (spécialement pour adolescents) réservé aux Filles, à la patinoire de Vitry-sur-Seine

95 – Villiers-le-Bel à 19h00 4, rue de Chanzy – Salle Chanzy

– Domont à 19h30 42 avenue Aristide Briand

Attention! Ces allumages sont purement symboliques, vous devez impérativement allumer votre Ménora chez vous à la maison ou ailleurs.

Beth Loubavitch Paris Ile-de-France

 

Histoire de ‘Hanouccah

II y a plus de 2100 ans, Alexandre le grand conquiert le monde. A sa mort, son immense empire est partagé entre ses généraux. C’est aux Séleucides que revient, entre autres, la Syrie et donc la terre d’Israël qui y est rattachée. C’est alors qu’Antiochus IV monte sur le trône. Il a une volonté : effacer toutes les cultures et faire que la vision grecque du monde s’impose à tous. Mais le peuple juif résiste à ces tentatives ; il veut rester fidèle à l’héritage de ses ancêtres. Antiochus décide donc de recourir à la force. Il interdit la pratique du judaïsme, impose le culte idolâtre. Ceux qui refusent de plier sont tués sans pitié.

Matityahou, le Grand-Prêtre, donne le signal de la révolte. Rassemblant autour de lui ses fils et les Juifs fidèles, il entreprend de combattre les puissantes armées grecques. Cette famille, les Asmonéens, avec à sa tête Yéhouda, le fils de Matityahou, prend pour nom « Maccabi », acronyme en hébreu du verset « Qui est comme Toi, D.ieu ! ». Bien que très largement inférieure en nombre et en armement, la petite armée juive entame ce que l’on appellerait en notre temps une guérilla. Elle vole de victoire en victoire, devient une véritable menace pour l’envahisseur.

Las de voir ses troupes défaites, Antiochus envoie au combat son meilleur général avec une armée, sans pareille pour l’époque, de 47000 soldats, renforcée par un corps d’éléphants. Les Asmonéens n’ont que 6000 hommes ; ils comprennent que seul un miracle peut les sauver.

Descendant des collines où ils se cachent, ils passent alors à l’offensive au cri de « Qui est comme Toi… ». Saisis de terreur, les Grecs s’enfuient. Les Juifs les poursuivent et parviennent à libérer tout Israël. Enfin, Jérusalem est délivré et, le 25 du mois de Kislev, le Temple est ré-inauguré. Il reste à rallumer le Chandelier à sept branches du Temple, la Ménorah. Mais, pour cela, il faut une huile pure. Or, avant de fuir, les Grecs ont souillé toute l’huile du Temple. Les Asmonéens finissent pourtant par trouver une petite fiole d’huile pure, juste suffisante pour alimenter la Ménorah pendant une seule journée. Il faut huit jours pour fabriquer une nouvelle huile. Malgré tout, les Asmonéens rallument le chandelier et l’huile brûle pendant huit jours.

En souvenir de ce miracle, chaque soir de ‘Hanouccah, pendant huit jours, les Juifs allument les lumières de la fête à la nuit tombée. 

%d blogueurs aiment cette page :