Pour vous inscrire, ou pour plus d’informations,
Fredj Zerbib au +33 6 64 42 84 69


 

Le Goral du Beth Loubavitch : une tradition spirituelle vieille de 40 ans

Depuis près de quatre décennies, une tradition spirituelle profondément ancrée marque les grandes dates du calendrier hassidique. Orchestrée par Fredj Zerbib du Beth Loubavitch, un Goral, ou tirage au sort, est organisé régulièrement, offrant au gagnant une opportunité unique : un billet d’avion pour se rendre chez le Rabbi à New York.

Le concept du Goral est simple, mais chargé de symbolisme. Le gagnant du tirage au sort se rend chez le Rabbi, non pas seulement en son nom propre, mais au nom de tous les participants. Ainsi, même ceux qui n’ont pas eu la chance de gagner le Goral sont considérés comme ayant pris part à ce voyage spirituel.

La participation à ce Goral est accessible à tous, avec une participation financière de 8 euros. Pour ceux qui souhaitent s’engager davantage, un abonnement est également proposé, permettant de participer à plusieurs tirages tout au long de l’année.

Ce Goral est une merveilleuse opportunité d’ancrer sa foi et de renforcer son lien avec le Rabbi.

Lettre du Rabbi :
« Ainsi, d’une certaine manière, lorsque un gagnant au Goral se rend chez le Rabbi, tous y vont également, par son intermédiaire. Ainsi, même si le tirage au sort ne retient qu’un seul gagnant, tous les participants doivent se préparer comme s’ils y allaient eux-mêmes. »

…Je suis satisfait que vous avez joint à votre lettre une liste des participants au Goral pour vous rendre auprès du Rabbi (précédent). Vous m’écrivez que vous faites partie du Comité organisateur de ce Goral. Vous trouverez donc les mots pour expliquer aux participants le sens d’un tel tirage au sort, selon le Choul han Arou h ‘Hochen Michpat, chapitre 207, paragraphe 11.

Le gagnant reçoit en effet un prix dont la valeur dépasse largement sa participation. Il y a donc à craindre qu’il ne puisse en faire l’acquisition de cette manière. Il faut donc que tous les participants aient l’intention d’offrir l’intégralité de leur contribution à ce gagnant.

Pour faire disparaître tous les doutes, il serait souhaitable que le gagnant se considère comme le représentant de tous les participants, car « l’émissaire d’un homme est considéré comme cet homme lui-même ». Ainsi, d’une certaine manière, lorsqu’il se rend chez le Rabbi, tous y vont également, par son intermédiaire.

Peut-être y a-t-il, parmi les participants, quelqu’un qui désire se rendre chez le Rabbi pour une autre raison. Néanmoins, il est clair que ceux-ci souhaitent, pour la plupart, se trouver auprès du tombeau du Rabbi, y être vus. Ainsi, même si le tirage au sort ne retient qu’un seul gagnant, tous les participants doivent se préparer comme s’ils y allaient eux-mêmes.

Avant de se rendre auprès du tombeau d’un Juste, surtout s’il assume une mission envers son peuple, est un chef du peuple juif, il faut se préparer, par toutes les façons qu’explique l’Admour Haemtsahi, lequel mentionne cinq points, qui correspondent aux cinq parties constitutives de l’âme juive.

Puisse ce qui vient d’être dit permettre la prise de conscience et la motivation concrète, dans les pensées, les paroles et les actions, conformément à la volonté de notre chef, mon beau-père, le Rabbi.