les Sli'hot au 17 par le Rav Chmouel Azimov 

 
L’association “Netina” de Netanya et “Echel” de Jérusalem s’associent dans leurs actions à l’approche des Fêtes.

C’est avec une émotion peu ordinaire qu’a l’approche des fêtes, deux associations de bien faisances bien connues ont décidé de joindre leurs activités au profit du public. L’association de charité «ECHEL» Jérusalem par le collel HABAD tend la main et soutien massivement l’association «NETINA» dans un immense projet de distribution alimentaire et d’équipement aux familles nécessiteuses.

L’association «NETINA» est bien connue par les habitants de Netanya pour ses intenses activités tout au long de l’année. «NETINA» est considérée comme l’association de charité la plus importante et la plus active de Netanya. A l’approche des fêtes, l’organisation se prépare à la grande distribution des produits alimentaires variés ainsi que dun équipement de base pour des centaines de familles et de retraités délaissés. L’organisation «ECHEL» de Jérusalem, d’envergure nationale, a remarqué la capacité d’organisation ordonnée et suivie de «NETINA» et a décidé de se joindre à elle pour amplifier son action.

« NETINA »représente par son action une approche judaïque fondamentale, ne faisant pas de différence entre les nécessiteux, qu'ils soient religieux ou non, enfants ou vieillards. Toutes les couches de la population bénéficient d’un soutien conséquent de l’association. Chaque semain, tout le long de l’année, l’association distribue des centaines de colis alimentaires, comprenant aussi des produits de base comme des couches pour bébé, des couvertures, des cartables pour les élèves et autres…

Le caractère spécifique de «NETINA» est la relation étroite et fertile avec les services sociaux de la mairie de Netanya. C’est par son mérite qu’elle s’est vue obtenir, il y a quelques mois par le maire de la ville, le "Signe de Témoignage du Volontariat". Leur effort sincère afin de rechercher et trouver les véritables nécessiteux, leur dévouement absolu afin de trouver les donations et de les répartir et leur minutie dans discrétion, font de cette association de la charité une véritable valeur supplémentaire dont le rouage est actionné par les nombreux volontaires bénévoles.

Ces jours-ci, lorsque les camions chargés de miel et de grenades, de viandes, de poissons, de produits d’entretiens et des produits pour bébés, déchargent leurs cargaisons aux portes de l’association «NETINA», elle lance un appel vers le reste de la population afin de participer activement à ce soutient vital. Les dons de toutes sortes et de toute valeur sont reçus avec remerciements chaleureux et permettront a ceux qui reçoivent notre soutien ainsi qu’a ceux qui nous soutiennent de passer la période des fêtes avec abondance, satisfaction et un sentiment de joie réelle.

Les dons peuvent être verses sur le compte de l’association "NETINA" Banque Habenleoumi Harichon succursale 022 Netanya
Compte no 409 612 367
Tél: 00 972 (0)9-862 44 42
L’association détient l’approbation pour les dons, suivant l’article 46 du service des impôts.

Le Rav Nathanael Dreyfus, directeur de l'association "Netina"

400 colis de produits de première nécessité sont distribués
chaque jour par l'association "Netina" de Netanya

Jeudi 6 septembre 2007 - 23 Elloul 5767    
Mazal Tov!
Mr et Mme Mickael Chaouat
à l'occasion de la Brit Mila de leur fils "Chalom Dov Ber"
mercredi 22 Elloul 5767
5 septembre 2007

Dans la petite salle de la synagogue, derrière les façades de la rue du Castagno qui dévale vers le vieux port de Bastia, des mains ridées étreignent les franges du tallith, le châle traditionnel de prière juif. Ce samedi d'août, trois vieux messieurs psalmodient dans un hébreu un peu hésitant la prière du shabbat, les yeux clos, le regard tourné vers un passé où les rires des enfants de réfugiés juifs d'Alep ou de Tibériade encombraient les ruelles du vieux quartier génois de la ville.

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La première pierre du centre culturel, social et sportif de la communauté juive de Téhéran a été posée dimanche 2 septembre. A la cérémonie le ministre de la Construction, de l’Urbanisation et du Logement ainsi que le représentant des juifs au parlement iranien, Maurice Mouatmad, étaient présents. Mouatmad a déclaré que « la construction du centre coûtera 3 millions de dollars » et a estimé qu’elle sera finie en deux ans et demi.

Près de 25 000 juifs vivent en Iran, la majorité dans les grandes villes : Téhéran, Ispahan et Shiraz. Selon Mouatmad, « la construction de ce centre témoigne de l’unité et de la coopération entre les religions en Iran ».
Mouatmad ajoute : « Le ministère du Logement a aidé à la préparation du terrain pour la construction du centre », suite à la décision prise par le parlement d’accorder le terrain à la communauté juive. 3300 m seront consacrés à des terrains pour le sport et 3300 autres à la construction du centre, qui comprendra entre autres des restaurants cachers.

Le ministre de la Construction, de l’Urbanisation et du Logement iranien a dit au cours de la cérémonie : « En Iran, les croyants en des religions différentes jouissent de la liberté de culte comme le veut la constitution. En Iran, il y a une union entre les religions et tous vivent sous le même drapeau. La construction de centres comme celui ci pour des minorités peut créer un rapprochement et remplir un rôle important dans le développement de la société iranienne ».

Le régime iranien prend garde à montrer au monde sa tolérance envers les nombreuses minorités vivant dans le pays. L’Iran fait généralement la différence entre sa haine pour Israël et le sionisme et la religion juive qui est respectée car c’est la religion de Moché, fondée sur la Thora. Les membres de la communauté juive jouissent de la liberté de culte, mais comme toute minorité, ils reçoivent moins de budgets de la part de l’Etat. Malgré cela, à cause de l’absence de liberté d’expression, la communauté juive est obligée de faire sienne les positions de l’Etat, en particulier concernant la politique étrangère et les relations a vec Israël. Rebecca Serfaty (A7)

Le centre Rohr Chabad, situé dans la partie occidentale de Berlin et dont le coût est estimé à 5 millions d'euros, comprend notamment une synagogue de 250 places, une bibliothèque, un centre multi-médias, un restaurant et un point d'informations pour les touristes.

"La mise en place de cette institution est une manifestation de la confiance que les Juifs et les non-Juifs ont placée dans la République fédérale d'Allemagne", a souligné le directeur du centre, le Rav Yehuda Teichtal, lors de la cérémonie.

"Si nous voulons nous souvenir des six millions de Juifs (assassinés durant l'Holocauste), nous ne devons pas nous contenter de cérémonies commémoratives", a déclaré le Rav. "Nous devons continuer à construire ensemble - en élevant nos enfants dans la tradition juive, et par une conscience et une identité juives. Nous sommes ici, nous en sommes fiers et nous proclamons ici aujourd'hui que la vie juive va croître en Allemagne", a-t-il ajouté.

Le chef de la diplomatie Frank-Walter Steinmeier a affirmé que "la mémoire des victimes (de la Shoah) est profondement marquée dans celle de notre pays", et s'est réjoui de ce que "bientôt, on entendra ici des rires d'enfants et d'adolescents".

Outre le ministre des Affaires étrangères, une trentaine de rabbins venus du monde entier et les ambassadeurs des Etats-Unis, de Grande-Bretagne et de Russie ont participé à l'inauguration de ce lieu géré par le mouvement Loubavich, et qui a été largement financé par des dons de particuliers.

L'ouverture de ce centre, qui s'est accompagnée d'une fête de rue et d'un concert en plein air de musique hassidique avec Avraham Fried, intervient alors que le judaïsme connaît un véritable renouveau à Berlin et plus largement en Allemagne, grâce à l'arrivée massive d'immigrants de Russie. Ainsi, vendredi, la plus grande synagogue d'Allemagne, également située à Berlin mais dans un autre quartier, a rouvert ses portes après trois ans et demi de travaux de restauration.

Dans les années 1920, quelque 173.000 Juifs vivaient à Berlin. Ils n'étaient plus que 6.500 en 1945. Aujourd'hui, 120.000 Juifs vivent en Allemagne, dont 10% dans la capitale.

Dimanche 2 Septembre 2007 à 20h30
Chez Simha Ctorza
13 rehov Yona (quartier de Geoula)
bus: 1,3,4,10,11,15,16,19,25,39
Renseignements: 02.538.07.17

En 1968, nous éditions en plusieurs volumes le Tanya qui était alors traduit pour la première fois en français (petits livres bordeaux).
Aujourd’hui, c’est avec un profond sentiment de gratitude envers le Tout Puissant que nous annonçons au lecteur francophone l’édition du Tanya en français en un seul volume et pour la première fois, le texte hébraïque avec sa traduction française en face.
Sachant combien le Rabbi se déclara heureux lorsqu’une version similaire vit le jour pour la première fois en anglais, nous sommes certains que cette édition française sera elle aussi une source de satisfaction pour le Rabbi et une source de bénédiction pour tous ceux qui, d’une manière ou d’une autre, ont contribué à cette oeuvre et ont apporté leurs connaissances pour qu’aujourd’hui cette source d’eaux vives soit mise à la portée de tous.
Que D.ieu veuille que nos efforts pour «diffuser les sources du ‘Hassidisme» et pour rapprocher le monde de son Créateur, se joignent aux efforts de tout le peuple juif. Puissions-nous mériter de voir de nos propres yeux la Rédemption complète et glorieuse grâce à notre juste Machia’h.
Rabbi Yossi Gorodetsky
Bureau Lubavitch Européen - 8 Rue Meslay - 75003 Paris France
Tel.: +331 4887 8712 - Fax: +331 4887 8770

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