אנא בכח – דקבלת שבת – אומרים בלחש.
ופרוס עלינו כו’ – בקבלת שבת – בעמידה.

בשנת תקפ’ט חל שבת פ’ במדבר ה’ בסיון. קודם הדלקת נרות של שבת אמר ה’צמח צדק’ מאמר ‘שאו את ראש גו’ אבותם’. פי’ ‘שאו’, כפירוש הראב’ע [אבן עזרא] מענין ‘כי תשא את ראש. וביאור הענין, שע’י עבודת הארת הנשמה שבגוף, נעשה עליה בראש ועצם הנשמה כמו שהיא למעלה. והסביר כמה פסוקים ומאמרי זהר ומדרש. בשבת בצהרים אמר רבינו הדרוש ‘וארשתיך לי לעולם’ וביאורו, שנדפסו ב’ליקוטי-תורה’. ביום א דחג-השבועות אמר רבינו את הדרוש ‘וספרתם לכם’ וביאורו – שנדפסו ב’לקוטי-תורה’. ביום השני דחה’ש בסעודת יו’ט אמר רבינו את הדרוש ‘והחכמה מאין תמצא’, והוא ‘ביאור’ השני בענין ‘תספרו חמישים יום’ הנדפס ב’לקוטי תורה’.

 

. Le paragraphe ‘Ana Bekoa’h’ dit lors de la réception du Chabbat est récité à voix basse (Sidour p.131).
. Le paragraphe ‘Oufross Aleïnou’ dit lors de la réception du Chabbat est récité debout (Sidour p.138).

En 5589 (1829), le Chabbat Parchat Bamidbar était le 5 Sivan. Avant l’allumage des bougies du Chabbat, le Tséma’h Tsédek dit le discours ‘hassidique introduit par le verset «comptez les têtes des enfants d’Israël… suivant la maison de leur père».
Se référant au commentaire d’Ibn Ezra, il indiqua que le mot ‘Seou’, comptez, devait être interprété comme ‘élevez’, tout comme dans la Parchat Ki Tissa.
Son explication fut donc la suivante:
L’illumination qu’acquiert, par son effort, la partie de l’âme qui se trouve dans le corps, confère l’élévation à ‘la tête’, à l’essence de l’âme qui se trouve là-haut.
Puis, il expliqua, sur la base de cette interprétation, différents versets et passages du Zohar et du Midrach.
Pendant le Chabbat, à midi, le Rabbi prononça le discours «tu Me seras lié à jamais» et son commentaire, qui sont imprimés dans le Likouteï Torah.
Le lendemain, premier jour de Chavouot, il dit le discours «Et vous compterez pour vous» et son commentaire, qui sont imprimés dans le Likouteï Torah.
Durant le second jour de la fête, au cours du repas, le Rabbi prononça le discours «d’où trouver la sagesse?», qui est le second commentaire sur la Mitsva du compte de l’Omer, qui est imprimé dans le Likouteï Torah.