אין אומרים צדקתך.

בקריאת-שמע שיש אומרים בבוקר – קודם התפילה – כדי לצאת חובת ק’ש בזמנה, ג’כ כופלים ג’ התיבות [‘אני ה’ אלוקיכם’], ומסיימים בתיבת ‘אמת’. בק’ש דתפילין דר’ת ושמושא-רבא אין כופלים, אבל אומרים ‘אמת’.

ל’ג בעומר שנת תר’ד – לערך – סיפר ה’צמח צדק’ תורת הבעש’ט: כתיב ‘כי תהיו אתם ארץ חפץ אמר ה’ צבאות’. כשם שהחכמים הגדולים ביותר לעולם לא ישיגו את אוצרות הטבע הגדולים שהשי’ת הטביע בארץ ש’הכל היה מן העפר’ – כך לא יכול אף אחד להשיג את האוצרות הגדולים שחבוי ביהודים. שהם ‘ארץ חפץ’ של הקב’ה. וסיים הבעש’ט: חפץ אנכי לפעול שיהודים יתנו יבול כפי ש’ארץ חפץ’ של הקב’ה יכול לתת.

On ne dit pas Tsidkate’ha (Sidour p.209).

Dans le Chema Israël que certains récitent le matin, avant la prière, afin de s’acquitter de la Mitsva de le dire en son temps, on répète deux fois les trois derniers mots du Chema et l’on conclut par le mot ‘Emet’ (Sidour p.48). Dans le Chema que l’on dit avec les Tefilin de Rabbenou Tam ou de Chimoucha Rabba, on ne double pas les derniers mots mais on dit ‘Emet’.

A Lag Baomer, aux alentours de 5604 (1844), le Tséma’h Tsédek rapporta l’explication suivante du Baal Chem Tov:
“Il est écrit ‘afin que vous soyez, une terre de convoitise, parole de l’Eternel, D.ieu des Armées célestes’. Tout comme les plus grands savants n’arriveront jamais à percer les grands secrets de la nature, les immenses ressources que D.ieu plaça dans la terre, car ‘tout vient de la poussière’, de même personne ne découvrira jamais la limite des immenses trésors que renferme un Juif, terre de convoitise de D.ieu.”
Le Baal Chem Tov conclut:
“Je veux faire que les Juifs fournissent la production à laquelle on est en droit de s’attendre de la part de la terre de convoitise de D.ieu.”